Sa fait maintenant 8 ans, que tu m'as quitté Diego. Je ne comprends toujours pas, pourquoi tu as du partir. Pourquoi tu as du me laisser seule. Pourquoi tu es mort? Pourquoi ils n'ont pas pu me téléphoner et me dire tout simplement, que ... le seule mot, que j'aurais pu supporter au pire aurait était Paraplégique. Malgré, que je n'aurais pas été contente, au moins, tu serais encore là... tu aurais peut-être fini devenir mon mari... et le père de mes futurs enfants...mais non, le destin a fait un autre choix. Le destin t'as pris loin de chez moi. Tu me manques tellement.

Se jour là, je suis assise au parc, entrain de boire une gorgée de citronnade, j'adore boire sa. Mais sa aussi, réveille des mauvaises mémoires dans ma tête. Des mémoires, que j'aimerais tant oublier. C'était la boisson préféré de Diego. Sa prenait la soif. C'était bien à boire, surtout, quand sa faisait chaud dehors. Ou bien, quand on n'avait pas tellement de temps, de boire quelque chose. Diego... se nom... Je ne supporte pas de l'entendre. Même maintenant, les larmes me montent encore dans les yeux. Je ne peux pas avancer, sans avoir quelqu'un à mes côtés, qui accepte mes faiblesses.

Mais, je dois avancer dans ma vie. Je ne peux pas rester bloquer encore une fois pendants 8 ans sur le même sort. Je dois oublier mes sentiments envers Diego. Je dois arrêter de me donner la faute. Surtout, que je sais, que je ne suis pas fautive dans ce accident. Je n'étais même pas sur la place. Tout comme je sais, que je suis responsable, pour la vie que j'ai mené jusqu'à maintenant.

Doucement, je regarde au tour de moi. Pendant un moment, le soleil me fait mal aux yeux. Lorsque je me rends compte, que non loin de moi est assise une jeune femme, asiatique. Elle a l'air d'être perdue dans ces pensés. On dirait, que je ne suis pas la seule ici à Barcelone, qui a des secrets, ou qui ne sait pas comment avancer dans la vie. La jeune femme non loin de chez moi, doit sûrement attendre quelqu'un. Sûrement son amant.

J'arrête d'observer la jeune femme et je me concentre sur le livre, que je viens de sortir. Lire un peu, sa peut me changer des idées. Sa me fait peut-être moins penser... ou bien sa me fait penser, à ce qui se passe dans l'histoire, tant que personne y meurt dans un accident de voiture, tout est bien.

Je ne sais pas trop quoi fair de ma journée. La discussion, que je viens d'avoir avec Eli, m'a ouvert un peu les yeux. Je dois m'ouvrir plus aux autres et aussi, je dois accepter, que mon coeur va choisir la personne, dont je vais tomber amoureuse, si je ne le suis pas déjà. Non! Non! Et non! Je ne peux pas l'être, donc je ne le suis pas. Et même, si je le suis... Je ne peux pas l'être de cette personne. Non! Non! Et non!

Pour ne pas penser à cette personne, je devrais me pincer avec un Pince à Linge. D'accord, sa va me faire mal, mais au moins, je n'allais pas penser à ce genre de choses. Je n'ai pas le droit de penser à lui. Surtout, que j'ai peur, qu'il va l'apprendre, que je craque un peu sur lui.

J'en suis certaine, qu'un Coup de fouet  pourrait me sortir de mes pensés. Ces pensés, qui ne doivent jamais voire le jour. Il allait encore prendre la fuite... et ne plus jamais m'adresser la parole.

Un long soupire passe sur mes lèvres et je regarde au tour de moi. Un peu plus loin de chez moi, j'obsèrve une jeune femme, blonde. Elle a l'air d'être perdue, tout comme moi je le suis aussi. Je ne penses pas, que je l'ai déjà vu par ici. Est-elle espagnole? En tout cas, elle a l'air, comme quelqu'un qui vient d'un pays exotique.

Je retire mon regard et je me concentre sur un point au ciel. Je dois vraiment penser, à comment continuer ma vie. Me changer? Rester, comme je suis? Eli, trouve, que je dois m'ouvrir plus aux autres... mais comment? Comment, peux-je faire sa? Je ne le sais pas...Et Léo, je ne sais pas du tout se qu'il pense... J'aimerais bien le savoir. Ah! Arrête de penser Eba, sa me te fait rien de bon.

Mon regard, se tourne à nouveau vers la blonde. Peut-être, je peux lui parler? Ainsi, je vais apprendre à contacter des gens, que je ne connais pas encore... Mais comment le faire? Je ne le sais pas...

En tournant à nouveau mon regard, je me rends compte, que la jeune femme, qui vient de l'asie, est entrain de m'observer. Je me demande, se qu'elle cherche. Peut-être, elle cherche quelqu'un pour parler, parce qu'elle est encore nouvelle en Espagne. Peut-être, elle est même encore nouvelle en Europe. Je ne peux pas m'imaginer, vivre en dehors de l'Europe. Quelque chose d'important allait me manquer, sauf, que je ne sais pas quoi. Je suis encore toujours entrain de chercher. Un soupire échappe de mes lèvres. Un soupir, qui en dit large, sur mes sentiments, que j'ai en ce moment. Je suis déprimée.

Pour quel raison? C'est simple, je ne sais pas trop quoi faire de ma vie. D'accord, j'ai mes études. Des études, pour lesquels des autres allaient se battre. Mais, j'ai aussi beaucoup de choses, qui me manquent. J'ai 25 ans, je suis célibataire et je n'ai pas encore d'enfants. Au Portugal, si tu n'es pas déjà marié à cet age, les gens pensent, que tu n'es pas normal. Ce qui est aussi un peu la raison, pour laquelle, je suis venue en Espagne. J'espère, que ici ce n'est pas pareil. J'espère, que les gens ici, sont un peut plus ouvert et un peu moins catholique. D accord, un peu beaucoup moins, catholique. Je ne suis pas une personne religieuse, se qui faisait, que ma famille, ne pouvait pas me voire. Même, les gens dans mon village... ils me regardaient parfois avec un de ces regards, je ne sais pas le décrire.

Doucement, je me lève et je m'approche de la jeune femme. Je ne sais pas trop quoi lui dire, ou comment débuter une conversation. D'habitude, c'est toujours les autres, qui les commencent. Lorsque je me suis approchée de la jeune femme, je prends tout mon courage, pour lui adresser la parole. D'accord, je le fais souvent, mais, je ne veux pas, qu'elle pense, qu'elle doit avoir peur de moi.

„Ehm...bonjour! Désolé de vous déranger, mais être-vous encore nouvelle ici?“

Je ne sais pas trop quoi dire d'autre. Je ne sais pas, comment m'adresser à le jeune femme. D'habitude, je suis plutot du genre, à parler à des hommes.

Lorsque je tournais à nouveau mon regard, je me rendais compte, que la jeune femme venait de s'approcher de moi. Je ne m'attendais pas du tout à sa. Je ne suis pas du genre, à parler à des inconnus. J'en avait déjà du mal à parler aux gens, avec qui j'ai du contact maintenant. Même avec eux, j'en ai encore toujours du mal, pour leur parler. Je crois, que surtout Elizabeth, peut en raconter des histoires.

Lorsque, la jeune femme me parle, je ne réponds pas tout de suite. Je suis perdue pendant un moment. Je prends doucement de l'air, pour penser et me calmer.

„Ehm...bonjour! Désolé de vous déranger, mais être-vous encore nouvelle ici?“ Elle vient de me demander, si je suis encore nouvelle dans cette ville? Ou est-ce qu'elle me demande, si je suis nouvelle dans ce pays? Les deux, sont pareille enfaîtes. Je me demande, pourquoi, je me pose de tel question.

„Je suis encore nouvelle ici... et vous?“

Je ne sais pas trop, quoi dire. Je ne sais pas, si je dois lui raconter plus. Si elle veut savoir , encore, plus sur moi, ou si ce n'est pas le cas. Peut-être, je dois attendre, ou bien, je dois lui poser moi-même un question.

„Enfaîtes, je suis Eba.... Eba Rae-Ying.“

D accord, je me présente pour une fois, avant que l'autre personne le fait en premier. Je dois avouer, que j'ai un peu peur, car je ne connais pas du tout la personne en face de moi. Elle pourrait être une tueuse en série... D'accord, la, je viens peut-être de penser un peu trop loin. Faut m'excuser de temps en temps. J'ai des idées assez bizarre dans ma tête.

„C'est beau ici non?“

Quoi? Je viens de poser encore une question? Et cette fois, sans que la personne en face de moi, le fait en premier? Ce n'est pas normale, je crois, que je suis entrain de tomber malade. Je ne fais jamais se genre de chose. Je ne suis pas du genre à parler en premier.

Je ne suis pas sur, d'avoir choisir le meilleur moyen, de m'adresse à la jeune femme, qui a l'air de venir du Japon, ou au moins d’un des pays, qui est proche du Japon. Je sais, que les gens là-bas, sont un peu spéciale parfois. Mais, je suis contente, lorsque je me rends compte, qu'elle me répond. Quelque chose, à quoi, je ne m'attendais pas du tout au premier moment.

„Je suis encore nouvelle ici... et vous?“ Lorsqu'elle me répond, qu'elle est belle est bien encore nouvelle ici, je me rends compte, que je dois vraiment faire attention, comment je m'adresse à elle. Je ne peux pas être sur, qu'elle se soie déjà habitué, à sa vie en Europe. Sa doit encore être assez bizarre pour elle.

« Moi ? Je suis aussi encore assez nouvelle en Espagne. Mais, je ne viens pas de très loin. Enfaîtes, juste du pays voisin. Le Portugal. »

Un sourire amicale, s'affiche sur mon visage. Je me rends comte, que toutes les deux on est assez petite. Je ne sais pas, si sa veut dire quelque chose, mais c'est assez étrange, pour un début. Peut-être, je peux lui poser des questions sur le Japon ? Ainsi, je peux aussi encore apprendre des choses, que je ne sais pas encore.

« Enfaîtes, elle est comment la vie au Japon ? Ce n'est pas trop dur pour une fille' ? »

Je dois avouer, que je ne m'attends pas du tout, à qu'elle me répond. Mais, si elle le fait, je ne vais pas rigoler, si je trouve quelque chose, de ce qu'elle dit, marrant. Je n'ai pas le droit de me moquer de quelqu'un ou de la vie de quelqu'un. C'est quelque chose, que je penses, depuis, que les gens étaient de cette façon avec moi.

„Enfaîtes, je suis Eba.... Eba Rae-Ying.“ Lorsque tu te présente, au début je suis un peut surprise. Je dois réfléchir, car j'avais cru, qu'on avait fait déjà sa. Mais, lorsque je me rends compte, que l'on ne l'as vraiment pas encore fait. Je me frappe légèrement contre la tête, en rigolant.

« Enchantée, moi c'est Laura, Laura Mendes. Eba ? C'est un très beau nom. »

Je lui répond toujours en souriant. Je suis du genre à souvent sourire, pour oublier la douleur, qui se trouve dans mon cœur. Une douleur, que je n'arrive pas à oublier. Et que parfois, je ne veux aussi pas oublier.

„C'est beau ici non?“ Doucement, je regarde au tour de moi et je me rends compte, que Eba a bel et bien raison. C'est même très beau ici. On a encore beaucoup de places vertes dans cette région. Quelque chose, qu'on ne voie pas très souvent, dans les grandes ville. D'accord, moi j'ai grandi dans des villes, qui se trouvent entre petit et grand.

« Oui, tu as raison. C'est même très beau ici. »

Un sourire s'affice à nouveau sur mon visage.

Doucement, je commençsais donc une conversation avec la jeune femme en face de moi. Je n'osais pas encore poser trop de questions, mais pour un début, une petite question ne faisait pas de mal.

« Moi ? Je suis aussi encore assez nouvelle en Espagne. Mais, je ne viens pas de très loin. Enfaîtes, juste du pays voisin. Le Portugal. » Le Portugal? Un pays, qui a l'air assez intéressant, mais que personnellement, je n'avais pas encore la chance, de le visiter. Surtout, qu'il y a des beau gosses, qui vivent dans ce pays. Prenant par exemple, notre cher joueur de foot, celui dont presque toutes les personnes, du genre féminin, sont folles. Je parle bien sur de Monsieur, Cristiano Ronaldo. Qui est, ce que je dois avouer un des meilleurs, joueurs de foot, au monde entier. Bien sur que niveau jeu, la seule personne, qui est mieux, est Lionel Messi, je ne suis pourtant pas, sur à cent pour cent, que j'ai utilisé le nom juste. En tout cas... merde je parts du sujet initiale.

„Le Portugal? Sa doit être beau là-bas. Et sa ne doit vraiment pas être très différent d'ici. Vue que se sont plutôt des pays, qui sont familiarisé. Non? Il se peut aussi, que je me trompe à se sujet...“

Je ne peux pas être sur, si j'ai encore tout très bien dans ma tête. Sa fait quand même quelques années, que j'ai du apprendre des différentes choses sur les pays.

Lorsque la jeune femme en face de moi, afficha un sourire amicale, as me calmait tout de suite. Je suis contente, qu'elle ne prend pas la fuite en courant de moi. Donc, sur mon visage, s'afficha aussi, un sourire amicale. Se qui était un bon signe de ma part.

« Enchantée, moi c'est Laura, Laura Mendes. Eba ? C'est un très beau nom. » Elle me répond, après, que je me suis présentée. Elle a sûrement cru, qu'on l'avait déjà fait. Mais cette fois, moi-même, j'avais oublié de le faire. Sa arrive de temps en temps. Mais heureusement, je me suis encore rappelé à temps. Imaginez-vous, que à la fin, vous vous auriez dit au-revoir. Et tout à coup, la question aurait vu le jour, comment votre nom, il est. Sa serait trop étrange.... Non? A mon avis, sa ne se fait pas.... en tout cas ne pas de cette façon.

La jeune femme en face de moi, doit être une personne, qui adore sourire. Même si je trouve sa étrange, une personne ne peut pas sourire autant de temps, dans sa vie.

„Enchantée. Je suis désolé, que j'ai oublié de le faire avant.“

Quoi? Je m'excuse quand même. Je suis bien élevée. Même, si en Europe, on ne le fait peut-être pas toujours.

« Oui, tu as raison. C'est même très beau ici. » Oui, c'est vraie, c'est même très beau.

„C'est le temps idéal, pour faire une promenade, tu ne trouve pas?“

Je lui demandais en la regardant dans les yeux. Aussi quelque chose, que j'ai appris au Japon.

„Le Portugal? Sa doit être beau là-bas. Et sa ne doit vraiment pas être très différent d'ici. Vue que se sont plutôt des pays, qui sont familiarisé. Non? Il se peut aussi, que je me trompe à se sujet...“ Oh oui, c'est tellement beau. Ce pays me manque tellement. Je me sentait tellement alèse, tellement chez moi... Et à quel point c'est différents.... Je ne sais pas trop, comment te l'expliquer.... je suis entrain de chercher les mots.

„Comment l'expliquer? Tu as raison, les deux pays devraient être proche, mais les deux ne le sont pas vraiment. Mais, je ne sais pas trop, comment et l'expliquer...quelque chose n'est pas comme il le faut entre les deux.“

Comme toujours, je ne trouve pas les mots, pour décrire, se que je veux dire. Je ne trouve pas comment expliquer le problème entre les deux pays....

„Enchantée. Je suis désolé, que j'ai oublié de le faire avant.“

„Ce n'est pas grave, sa m'arrive aussi régulièrement, que j'oublie de le faire. Je suis une vraie catastrophe.“

Je lui réponds en souriant. Je suis une vraie catastrophe dans ce sujet. Faut m'excuser de temps en temps. Je suis parfois très lente. Désolé encore une fois. Pourtant, on ne m'a pas elevée de cette façon... bon sur ce niveau, mieux n'en vaut pas parler de l'éducation, que j'ai eu à la maison.

„C'est le temps idéal, pour faire une promenade, tu ne trouve pas?“ Je jette doucement un regard vers le ciel. Le ciel est très beau et bleu. J'adore ce genre de ciel. C'est un ciel, qu'on voyait souvent au Portugal. Je me rends compte sur le coup, que le Portugal me manque beaucoup. Un soupire s'échappe de mes lèvres.

Après quelques temps, qu'on était entrain de parler, je me rendais compte, que j'avais besoin de boire quelque chose, ainsi, je sortais de mon sac à main, une, petite, bouteille de jus de mangue. C'est un jus, que j'adore boire, surtout que sa me rend plus énergétique après quelque temps. Bon, il ne faut pas me comprendre. Doucement, je jetais un regard, calme, envers Laura. Et d'un air calme et doux, je lui demandais, si elle veut un gorgée.

„Tu veux aussi une gorgée de mon jus?“

Je ne suis pas du genre, à boire, sans demander les gens, qui sont en face de moi, si ils veulent aussi quelque chose. Je suis quand même bien éduquée, même si on ne le pense pas souvent.

„Comment l'expliquer? Tu as raison, les deux pays devraient être proche, mais les deux ne le sont pas vraiment. Mais, je ne sais pas trop, comment et l'expliquer...quelque chose n'est pas comme il le faut entre les deux.“ Je crois, que je comprends, se qu'elle veut me dire. Même, si je ne sais aussi pas, comment elle pourrait l'expliquer. C'est dur... C'est peut-être le tempérament des deux, différentes, personnalités? Peut-être c'est la raison, pourquoi, les deux ne sont pas aussi proche, que tout le monde le  crois.

„Peut-être c'est la mentalité?“

Je le dit d'une voix assez calme. Au cas ou, je pourrais la fâcher, avec se que je dis. Je ne peut pas, en être sur, comment Laura va réagir, sur mon avis. Si elle le prend bien, ou si elle le prend mal.

„Ce n'est pas grave, sa m'arrive aussi régulièrement, que j'oublie de le faire. Je suis une vraie catastrophe.“ Heureusement, que je ne suis pas seule dans ce cas. Sa serait une vraie catastrophe. Imaginez-vous, que tout le monde pointe sur vous et dit, que vous être l'unique personne au monde, qui est de cette façon, sa serait l'horreur.

„Alors, je suis contente, de ne pas être la seule.“

Je te réponds en souriant un petit peu. Lorsque je te dis que c'est le temps idéal, pour faire une promenade, tu jette un regard vers le ciel. Je fais de même et je dois avouer, que le ciel est super beau ici. Beaucoup plus beau, que chez nous au Japon. Peut-être sa vient du fait, qu'on a beaucoup moins de voitures ici, que chez nous.

„J'adore le ciel bleu.“

Je dis sans m'en rendre compte au début.

Lorsque Eba sort sa boisson, je dois avouer, que je reçois aussi envie de boire quelque chose. Mais, j'ai oublié de me ramener quelque chose, je ne pensais pas, que sa allait faire aussi chaud. Et encore moins, je m'attendais à parler tellement avec quelqu'un. D'accord, je ne suis pas du genre, à ne pas parler du tout, mais la... je ne sais pas.

„Tu veux aussi une gorgée de mon jus?“ Étrange. Je ne suis pas du tout habitué, à qu'on me pense une tel question. Surtout, si on ne se connaît pas encore depuis bien longtemps.

„Ehm... non merci.“

Je réponds avec un sourire amicale sur mes lèvres. D'ailleurs, je n'aime pas trop boire du jus. Je suis plutôt, du genre à boire de l'eau ou encore des choses plutôt alcoolique. Ce qui ne se fait pas dans les rues. A part peut-être de temps en temps une bonne bière froide. Quoi? Je sais, que je me comporte de temps en temps, trop masculin. Mais, sa vient du faits, que j'ai grandi, entouré de garçons.

„Je ne suis pas trop fan des jus.“

Quoi? Je ne voie pas pourquoi, je devrais mentir. On n'arrive pas loin, si on ment trop souvent.

„Peut-être c'est la mentalité?“ Hm... peut-être, elle a raison. Les deux pays sont proches, mais si on prend les différentes régions, les gens sont trop étrange. Je veux dire par là, que il y a des parties, ou les gens sont beaucoup trop religieux par exemple. Chez nous, dans les villages, les gens vont tout les dimanches dans l'église. Par contre, si on prend une grande ville. Ce n'est pas du tout le cas. Peut-être c'est pareil entre les pays.

„Tu as peut-être raison, je ne me suis jamais vraiment posé la question.“

Je dois avouer...c'est étrange. C'est pourtant une question, qu'on peut se poser de temps en temps.

„Alors, je suis contente, de ne pas être la seule.“ Un sourire calmant, s'affiche sur mon visage.

„Pareil de mon côté.“

„J'adore le ciel bleu.“ Mon regard se lance doucement vers le ciel. C'est vraie, il est beau aujourd'hui. Je n'y voie aucun nuage.

„C'est beau, de ne pas voire des nuages de pluie, pour une fois.“

Même, si on en voie rarement ici. Mais, si on en a, sa te rend tout de suite triste. Et j'en ai marre d'être triste.

„Sinon, tu fais quoi dans ta vie?“

Une question, que d'habitude, je ne pose pas, mais dans ce cas ci, sa m'intéresse beaucoup.

Lorsque Laura me répond, je penses au début, qu'elle doit être une personne, qui se méfie trop des autres. Mais après avoir pensés, quelques moments, je me dis, que moi personnellement, je n'aurais aussi pas accepté. On ne peut jamais être sur, que la personne, qui nous propose quelque chose, n'est pas malade.




Mais, lorsque tu me dis, que c'est, parce que tu n'aime pas trop les jus, sa me rassure. Entre autre, on peut aussi dire, que sa me calme un peu.

„Ah! Je ne pensais pas, que sa existe, quelqu'un, qui n'aime pas le jus.“


Je te réponds avec un sourire calme sur mes lèvres. Quoi? Je suis quelqu'un, qui sourit assez souvent. On peut même dire, que c'est presque 24/24, 7/7. Etrange non?


„Sa ce peut biensur.“


Je te réponds en souriant.


„Tu es très réligieuse?“



Quoi? Je suis curieuse. Je veux savoir, avec qui j'ai à faire et si je dois faire attention, lorsque je dis quelque chose. Comme par exemple, si j'allais dire quelque chose, contre la réligion, mieux dit, ta réligion.


„Euh... à vraie dire, je ne le suis pas du tout. Sa ne m'intéresse pas trop. Mais, je m'en doute, que toi tu l'es un peu plus que moi.“


Je te réponds en souriant. Je dois avouer, que je ne sais pas trop de choses sur les réligions. Mais, je dois le mettre sur ma liste. Je veux m'informer un peu plus sur les différents réligions, en cas ou, je tombe une fois sur quelqu'un de très réligieux.


„Mais, je crois, que sa devient doucement temps de rentrer. Si tu veux, on peut se revoire une fois, pour aller boire un café, ou quelque chose d'autre.“


Je te propose en souriant.

Pendant un long moment, je regarde le ciel. Le ciel qui est couvert de petites nuages, qui cachent de temps en temps le soleil. Je dois avouer, que sa me fait du bien, de voire disparaître le soleil par moment. Mes yeux ne sont plus tellement habitué à ce temps.

Lorsque je te dis, que je ne suis pas une très grande fan des jus, le regard que tu me lance,e me fait sourire. On dirait, que je viens de te donner un choc à vie. Pourtant, je connais beaucoup de personnes, qui ne sont pas fan des jus. Surtout le jus d'orange... d accord, je le bois, mais que, si il est pressé.

„Je t'es choquée?“

Je te demande avec un sourire calme sur mes lèvres. Un sourire qui fait craquer les hommes. Parce que j'ai l'air tellement innocente. Pourtant, je ne le suis pas du tout. Je suis un diable, avec l'apparence d'un ange.

Lorsque tu me demande, si je suis très religieuse, je dois avouer que je dois réfléchir. Lorsque j'étais encore un enfant, je l'étais bien sur, mais avec l'âge, sa a changé. Je pensais de moins en moins, que quelque chose comme un dieu existe. Ma famille, n'est pas du tout content, que je penses de cette façon, mais, ils ne m'ont rien à dire. Je penses , se que je veux et je fais ce que je veux et sa depuis des années. Je sais, que de temps en temps, j'aurais fait mieux d'écouter mes parents et de faire, ce qu'ils m'ont dit, mais bon... lorsqu'on est un adolescent, on ne veut pas faire se qu'on nous dit.

„Je penses, qu'on peut dire, que je ne le suis pas du tout et toi?“

Je lui réponds en souriant. A nouveau je jette un regard vers le ciel, qui commence à se couvrir. Peut-être Eba a raison et que sa devient temps de rentrer chez nous. Mais, j'aimerais bien la revoir. C'est une personne assez sympa, avec laquelle on peut bien discuter, sur tout et sur rien. On ne trouve pas souvent des personnes qui sont ainsi.

„Bien sur, que je serais contente, si on pourrait se revoir un jour, pour prendre un café. J'en suis sur, qu'on c'est encore beaucoup à dire. D’ailleurs ici mon numéro portable.“

Je te dis en souriant, lorsque je te donne mon numéro portable.

Lorsque tu me dis, que tu n'aimes pas boire des jus, je dois avouer, que sa me choque. Je n'ai encore jamais entendu quelque chose de pareil. Daccord, je viens aussi d'un autre pays, même si j'aime mon pays natale.

„Je dois avouer que oui....“

Quoi? Je me connais. Je sais très bien, que sa ce voie sur mon visage, que je suis choquée. Je ne sais pas comment faire en sorte, que sa ne ce voie plus autant. Mais bon, tan pis.

„Je ne pensais pas, qu'une tel personne existe.“

Je te réponds en souriant. Un sourire amicale et non, pour me moquer de toi.

Lorsque je te demande si tu es très religieuse, tu me réponds que non. Sa me calme beaucoup, car je ne le suis aussi pas du tout. Je vais même aussi loin, que de dire, que la religion c'est un pure mensonge. Mais, il ne faut pas le dire à ma mère. Elle va me tuer, si jamais j'ose dire quelque chose de pareille auprès d'elle.

En regardant sur ma montre, je me rends compte, que le temps est passé plus vite, que je le pensais. Quelque chose dont, je n'ai pas du tout l'habitude. Je ne parle jamais tellement longtemps avec une personne. J'en ai même peur. Je sais, que c'est quelque chose de bizarre... mais bon...

„Oh... je suis navrée, mais je dois y aller.“

Dans cet instant, tu me donne ton numéro portable et en même temps, je te donne le mien.

„Merci. On peut se contacter ainsi, pour se voire quelque part d'autre.“

Je te dis avec un sourire amicale sur mon visage. Tout les deux on se dit encore aurevoir et nos chemins ce séparent, du moins, pour l'instant. Mais, je suis sur, qu'on va bientôt ce revoire.