Prénom ◗ Salena Noms ◗ Eggers Née ◗ 20.12.1987 (26 ans) A ◗ Séville en Espagne Nationalité ◗   Espagnole   Sexualité ◗   Hétéro   Cupidon ◗   Célibataire
Métier(s) ◗ Photographe de mode Etudes(s) ◗ J’ai suivi un cursus dit typique d’études scientifiques mais ma passion ayant toujours été l’art, je me suis alors dirigée dès mon entrée à l’université en arts plastiques. J’ai ensuite choisi la photographie, branche qui est très sélective.
Caractère ◗ Timide, rêveuse, amoureuse, sociable, généreuse, travailleuse, philanthrope, idéaliste, secrète, souriante, amusante, passionnée, +/- séductrice sont des qualités qui me correspondent bien, mais si vous me poussez un peu vous me trouverez un brin déjantée mais pour ça il faut que je sois en confiance et surtout… que  je vous connaisse un tant soit peu.
Armée de patience, de persévérance et d'auto-contrôle, je sais freiner mes élans ou mes passions de tous genres. Je me révèle donc parfois rusée et astucieuse tout en étant très consciencieuse et diplomate. Je manque de confiance en moi aussi.
Je pense donc ne pas m’avancer en vous disant que je pense être une personne digne de confiance. Cependant de nature sceptique et morale, je ne m'en tiens généralement qu'aux choses concrètes d'où, quelquefois, mon manque d'imagination. Bien plus encore me caractérise, mais je vous laisse découvrir le reste. Après tout on ne connaît réellement une personne qu’en la côtoyant.
Autres détails ◗ Je sais très bien chanter, mais ne m’en vante pas d’ailleurs je n’ai jamais chanté devant personne, je dois aussi ajouter que je joue un peu de guitare dont j’ai appris seule à apprivoiser…
♥ Love ◗ Ce que j’aime… comme le sujet est vaste ! J’aime la photographie, ma passion depuis toute petite ! Je vous ennuie ? Collez moi un objectif dans les mains et vous ne me verrez plus de la journée ! J’aime la mode, d’accord ce n’est pas une nouveauté, j’aime voyager dans les différents pays et assister aux défilés que je peux (ceci étant parfois dans le cadre de mon travail). J’aime également écouter de la musique, lire ou regarder des films. J’aime observer les expressions des gens qui m’entourent. J’aime les félins notamment les chats, d’ailleurs j’en possède un, un Chaton Persan bleu golden d’un blanc immaculé qui me suis partout et qui est pour moi comme un confident.
D’un sens depuis peu j’aime les soirées. Généralement je n’y vais que pour faire acte de présence, silencieuse dans mon coin je me contente d’observer et tente de capter le regard de la personne qui m’intéresse. Je gagne à chaque fois, je joue surtout à ce petit jeu pour me rassurer de mon pouvoir de séduction… J’essaie comme je peux d’avancer.
Par conséquent pour ces soirées j’aime prendre soin de moi, me coiffer, me maquiller… mais pas dans l’excès. J’apprécie aussi faire les boutiques pour parfaire ma collection de nouveaux vêtements. Mais il y a quelque chose d’autre que j’aime énormément… c’est la musique. Après ce que je peux vous dire c’est que j’aime bien d’autres choses mais comment s’arrêter à une liste…
☠ Hate ◗ Par contre je déteste les gens qui se moquent des autres, juste par rapport à un style de fringues ou pire par rapport au physique. Et d’ailleurs dans ces occasions je n’hésiterai pas à mettre mon petit grain de sel. Cependant, ça ne m’empêche pas de penser qu’il faut avancer par soi-même et donc apprendre à répliquer. Je ne supporte pas être harcelée parce que je ne sais pas quoi répliquer pour avoir un peu de tranquillité. Les réponses ne me viennent souvent qu’après coup… Les insectes m’insupportent surtout les araignées et les guêpes, abeilles ou autre volatiles du genre. Je dois dire qu’ils me terrifient même, ils peuvent même arriver à me faire pleurer… Je n’aime pas avouer ce que je n’aime pas… après tout ça ne fait pas bon genre mais je suppose qu’il y a plusieurs choses qui me dérangent encore…

Je m’appelle Salana Eggers et je suis née le 20 décembre lors d’une nuit fraiche dans le merveilleux pays où le soleil est souvent roi. Précisons tout de même que j’ai vu le jour en Espagne, plus précisément à  Séville. Je serais incapable de vous sortir d’autres précisions, je trouve que c’est déjà pas si mal que je connaisse la ville, n’est-ce pas ? Je pense pouvoir tout de même ajouter que j’ai poussé mes premiers cris dans un hôpital ?!

Il parait que peu de temps après l’accouchement de ma mère, alors que j’étais dans mon berceau, j’attrapais déjà le doigt de mon père avec mes petites mains. Dès lors que j’y pense ça me fait sourire, je trouve ça charmant, je ne savais pas qu’on pouvait être tactile même en étant un petit bout de chou.

Durant ma petite enfance, je n’ai pas été une enfant qui pleurait pour un rien, en fait les seuls « rares » occasions où les larmes coulaient le long de mes joues de poupon, c’est parce qu’on ne me prêtait pas attention. Mon père rappliquait donc aussitôt, j’étais sa petite princesse… ce qui faisait bien rire ma mère.

On m’a racontait que pendant mes plus jeunes années je ne parlais pas beaucoup mais qu’à contrario je riais à plein poumon comme le prouve les photos que ma mère prenait. Je n’utilisais qu’en de rare occasion les jouets de mon âge préférant essayer d’attraper l’appareil photo de ma mère


Cependant cela a semble-t-il inquiétait mes parents, on m’a dit qu’ils s’étaient posés beaucoup des questions, on leur a alors parlé d’autisme, mes parents ont vraiment tendance à trop s’inquiéter… C’est pourquoi, ils ont décidés à ce moment de déménager à Londres, histoire de voir plus de spécialistes. Ma mère ayant été photographe, ça ne la gênait pas ce déménagement, mon père un peu plus. Mais ça je ne le su que bien plus tard. Afin d’essayer de me faire parler ma mère s’est même prise au jeu de prendre en photo tout ce qui aurait pu m’intéresser. Je n’avais pas besoin de m’exprimer verbalement tout me paraissant si clair... Je suivais toujours de très près ma mère, la collait même, on faisait même de belles ballades. J’ai donc prononcé mes premiers mots tardivement et ils furent « câlin bébé ». A partir de ce moment je ne m’adressais à mes parents que s’ils me posaient une question.

Mais vint un moment que je n’attendais pas… l’entrée à l’école. Cela semblait être tout un événement et lors du matin fatidique, j’avais attrapé un petit sac qu’on avait préparé la veille, puis nous avons pris la route tous ensemble. Quel ne fut pas ma désillusion, lorsqu’ils me laissèrent toute seule ! Je ne pensais pas que c’était comme ça l’école moi !

J’ai mis plus de deux mois à m’adapter et en attendant la fin de ce que je croyais être un calvaire, j’ai commencé à poser mon attention sur ce qui m’entourait, notamment sur les plantes. Je les ai prise en photo sous toutes les coutures, ce qui plaisait beaucoup à ma mère mais beaucoup moins à mes professeurs. J’aillais même jusqu’à trainer dans le jardin des voisins, chose qui était pour moi tout à fait normal… je ne connaissais pas le sens de « propriété ». Cependant lorsque ma mère m’a surprise, elle m’a fait rentrer illico presto puis m’a expliqué que toutes les petites filles tout comme les petits garçons ne devaient pas entrer chez les gens comme cela. C’est à ce moment que j’ai pris conscience de la vie en société. J’ai passé le reste de mon temps entre les livres, j’ai réussi à faire lire tous les livres de la maison à mes parents.

Lors des grandes vacances avant mon entrée à l’école nous sommes partis en vacances à la campagne. J’étais la plus heureuse je pouvais voire toute une variété de plantes dans un jardin botanique. Je n’ai pas tardé à fausser compagnie à ma famille du haut de mes 4 ans.

Tout le monde s’est inquiété et est parti à ma recherche. C’est un petit garçon du groupe qui m’a retrouvé accroupi devant des plants de tomates. Je me suis retournée vers lui après l’avoir entendu m’appeler et j’ai pu l’apercevoir tout essoufflé. Je n’ai pas tardé à lui offre mon plus beau sourire tout en pointant du doigt une petite boule rouge. De ma toute petite voix aiguë je lui ai demandé si je pouvais la manger vu qu’elle était bien rouge. Il s’est précipité vers moi et m’a prise dans ses bras. Je n’étais pas habitué à ce que quelqu’un d’autres que mes parents ne me porte alors je me suis mise à rire tout en prononçant le mot « câlin ». Je suis montée sur son dos  après qu’il ne me l’ait demandé en passant mes petits bras autour de son cou puis je me suis laissée raccompagner. Une fois de retour auprès de nos parents je me suis fait gronder mais je leur ai tendu deux tomates que j’avais cachées dans mon petit sac à dos en disant « cadeau »


C’est grâce à cet épisode que j’ai su m’ouvrir un peu plus au monde qui m’entourait. De ce fait on me remarqua un peu plus. A l’école on me posait beaucoup de questions mais je n’y répondais pas, je préférais rester silencieuse. Cependant je changeais du tout au tout lorsque j’étais en présence de mes amis. J’ai adopté une attitude froide pour éviter qu’on ne m’approche. Je me montrai même parfois agressive dans mes propos mais ce n’était pas vraiment de la méchanceté plutôt une attitude de défense. Les filles disaient que je me la jouai en jouant les filles inaccessibles tandis que les garçons me voyaient comme une fille trop sure d’elle avec un air hautain, un mot qu’ils avaient dû entendre de leur parents car trop sophistiquer pour des gens de notre âge. Cependant j’avais appris à ignorer tout ce que l’on pouvait dire de moi. Je me suis donc concentrée sur mes études. J’avais de très bons résultats mais ne montrai jamais ma satisfaction, comme la fois où j’avais eu un 19/20 en mathématiques. Mes parents disaient que j’étais humble.

Puis un jour où je rentrais de l’école, dans un groupe que les parents avaient monté, j’ai pris la photo que je pensais être celle de ma vie, des enfants un peu plus âgés que moi, une dizaine d’année environ, se tenait la main devant moi. Malicieusement je les ai pris en photo et voyant non loin de là, la porte de ma maison je suis partie en courant. J’entends encore le son des enfants derrière moi me disant au revoir. J’ai poussé la porte de l’entrée en criant tout en ayant hâte de lui faire voir MA photo. Pourtant si j’avais su ce qui m’attendait je ne serais très certainement pas partie à l’école ce matin-là. Lorsque je suis arrivée, c’est mon père que c’est vu, assis seul et dans le noir sur le sofa. Même haute comme trois pommes, je pouvais sans mal remarquer ses haussements d’épaules… il ne pouvait que pleurer. c’est à pas de loup que je me suis rapprocher et pourtant je l’ai vu s’essuyer les yeux avant qu’il ne se retourne vers moi avec un sourire. Ses yeux rouges m’ont frappé. Sa main est venue caresser ma joue puis dans un murmure il a ajouté . Je n’ai jamais cherché à comprendre le réel sens de ce mot… c’est peut être un tort mais je pense que je voulais avant tout me protéger.

J’aurais pensé aurait besoin de beaucoup de temps pour se remettre mais cela me parut que quelques mois à mon père pour se remettre puis petit à petit le cours de la vie repris… 1 an passa… et un jour mon grand et beau papa m’annonça avoir rencontré quelqu’un. Je lui adressai mon plus beau sourire innocent avant de demander son visage s’assombrit un petit peu avant qu’il n’ajoute Ce fut au tour de mes yeux de s’embrumer de larmes et je partie me cacher dans ma chambre. Mon petit cœur d’enfant était blessé… les jours qui suivirent je ne voulais aucunement sortir de mon petit lit. Donc me père venait me parler toujours un peu plus de cette femme que je n’appréciai pas. Mais lorsqu’il m’annonça qu’elle avait un petit garçon ma tête sortie de sous la couette. Mon père me regarda tendrement. ma petite tête fit un petit signe ‘oui’ et chaque soir j’apprenais un peu plus à connaître ce qui sera dans quelques semaines ma future famille.


Le jour où je les ai rencontrerai restera à jamais gravé dans mon esprit j’avais à la fois hâte de les voir tout en étant terrorisé. Et s’ils ne m’aiment pas ? Pour l’occasion j’avais pris mon appareil photo dans une main tout en tenant mon lapin qui faisait office de doudou par les oreilles. La première photo de Naite que je pris me fit tressaillir, ce fut également la dernière car mon père me confisqua mon appareil. Il était clair que mon demi-frère n’était pas plus ravie que ça d’avoir une nouvelle famille. Peut-être n’étais-je pas une sœur idéale ? Dans les premiers jours de notre nouvelle vie de famille j’ai essayé de me rapprocher de lui après tout c’était mon grand frère maintenant ! Fiasco ? Ca résume pas mal la situation. Et voilà que j’apprenais que nous partions pour Séville… direction chez mes grands-parents… Une fois là-bas… Je voyais les regards plein d’interrogation qu’on me lançait, surement du fait que je ne parlais jamais de ma mère mais je ne voulais qu’une chose, ne pas faire souffrir plus mon père qui semblait de nouveau sourire pour de vrai. Je n’eus même pas le temps de prendre mes repères que nous redéménagions pour Barcelone… Du coup ce fut de ma belle-mère que je rapprochai le plus, elle était plus devenue une confiante qu’une seconde mère. Oui en fait elle était mon amie. Je me contentais de regarder Naite de loin, le voyant vagabonder à droite à gauche. Je le sentais trop libre et moi trop enfermée… un peu comme deux électrons opposés.

Quand ma belle-mère tomba malade je fis de mon mieux pour apporter mon soutien à tout le monde, mon père qui se décomposait et devenait de plus en plus aigri, mon frère… lui semblait sombrer mais moi… j’étais jeune…. A cet âge-là je voulais être infirmière mais le seul soutien que j’ai réussi à apporter  à ma belle-mère, c’est de lui lire des livres… quel soutien stupide n’est-ce pas ? En tout cas dès que Naite était dans les parages je m’éclipsais bien vite. En tout cas mon vécu fit tout autre, infirmière n’était pas pour moi. Le décès de ma belle-mère m’a plus que marqué. Le désespoir de Naite encore plus, je ne me souviens même pas le temps où je suis restée à ses côtés sans décrocher le moindre mot. Après tout rien n’était à dire…

A contrario c’est lors de son départ que ma tristesse à moi a éclos, je voulais me montrer forte pour lui, pour mon père… Les mois qui suivirent, j’étais plongée entre les études et mes recherches pour retrouver Naite… Mon père… lui m’avait complétement oublié, sa petite princesse je pense qu’il l’avait oublié. Peut-être c’était-il dit que s’il me consacrait trop d’attention je finirai par disparaitre de sa vie ? Chaque week end j’attrapais mon sac à dos pour faire les endroits où Naite aurait pu trainer… après tout j’étais très curieuse alors lorsqu’il recevait du monde à la maison je ne pouvais m’empêcher d’épier discrètement les discutions. Pourtant un  dimanche matin, après une nuit blanche de recherches c’est désespérée que j’ai toqué à la porte d’Ezio, j’aurais tout donné pour retrouver mon demi-frère. Grâce à Ezio j’ai gardé un semblant d’équilibre. Il a été adorable, au fil des jours il est devenu pour moi un véritable ami sur qui je pouvais me reposer.

J’aurais aimé le retrouver la première… mais ce fut Ella, au fond je lui suis très reconnaissante car ce fut un grand soulagement pour moi. Le principal était qu’il était en vie. La boule que j’avais au ventre se dissipa et j’ai essayé du mieux que je pu de l’aider… Mais cette période fut un bouleversement pour moi, ce que j’aurai du ressentir envers Naite s’intensifia jusqu’à m’en faire étouffer par moment. Ne sachant trop définir mes sentiments, je me retrouvais à sortir un peu plus avec les gens de mon âge juste pour essayer de trouver un sens à tout ça. Je crois que c’est lorsque j’ai entendu le semblant d’amies que j’avais parler d’amour que je compris ce qu’était toutes mes sensations inhabituelles… Moi ? Amoureuse de Naite ? Je n’ai pas pu dormir cette nuit-là… comment en étais je arrivée là ? Je savais plus que tout que ces sentiments ne mèneraient à rien, je n’étais que sa sœur… et lui a déjà quelqu’un d’autre dans la tête comme le cœur.

Je crois que c’est quelque chose que j’essaye tant bien que mal de refouler laissant apparaître une fille forte, joyeuse et pleine de vie alors qu’au fond de moi règne une part de solitude… Afin de ne pas repenser à cette faille, je me suis plongée corps et âme dans mes études. Un soir d’un stage de shooting j’ai trouvé la maison familiale vide, mon père ayant disparu sans laisser de trace… je me suis avancée vers la table à manger laissant tomber au sol mon sac, je n’ai trouvé qu’un bout de papier avec un mot . Je crois que cette nuit-là je suis restée assise sur le parquet toute la nuit sans comprendre comment tout cela pouvait m’arriver. Le lendemain j’ai fait mes bagages et me suis installée près de Naite… La jeune adolescente introvertie à fait place à une jeune femme dynamique et sociable. Je voulais dans un premier temps faire des photos d’art et faire des expositions dans des galeries, comme l’avait fait ma mère, mais me voilà en train de me pavaner à donner des ordres à divers mannequins afin d’avoir THE pose qui mette en valeur les tenues. Pourquoi la mode ? Tout simplement parce que j’aime les belles tenues et puis comme toutes femmes qui se respectent, j’aime le shoping ! Quoi de mieux qu’une nouvelle tenue pour oublier ce qui nous ennuie ? D’un sens je ne regrette rien, ce métier me passionne mais je n’arrêterai pour rien au monde de prendre en photo un paysage qui m’interpelle.

En tout cas ici, j’ai déjà trouvé un petit rayon de soleil, Alma, cette gamine est tout ce qu’il y a de plus mignon au monde. Je la considère presque comme ma fille et ferait tout pour ma nièce. Alors quand Naite me demande de la garder, d’une je ne peux rien lui refuser et de deux j’accepte avec joie. Car passer du temps avec cette gamine est un vrai plaisir. Chaque jour je prie le ciel qu’on ne vienne pas nous l’enlever et surtout pour qu’il n’y ait jamais de retombées.


Depuis quelques temps j’ai reçu une lettre anonyme, à sa lecture j’ai cru comprendre qu’il s’agissait d’un admirateur. Pour tout vous dire je suis même rentrée dans un lampadaire à la lecture de cette lettre. Je n’y peux rien… moi recevoir une lettre d’un admirateur je ne m’y attendais pas ! En me massant le front j’ai cherché qui aurait pu me faire une blague mais sans réponse je suis retournée chez moi en rangeant cette lettre au fond de mon sac croyant à un événement isolé. Sauf que peu de temps après j’ai reçu des petits cadeaux… et la surprise à laisser place au scepticisme. De qui peut bien venir tout ceci ? Mon cœur n’avait qu’une envie qu’il s’agisse de Naite mais je savais mes espoirs vains ce qui fait que malgré moi je m’inquiète. Je n’aurai tout de même pas à faire à un pervers ?! Si seulement je pouvais demander conseil…  


Est-ce que je ne pourrais pas simplement avoir un avenir épanouissant ? Qui sait vous serez peut être la prochaine personne que je photographierai dans mon entourage ! Qu’en dites-vous ?