✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 25.12.1993 ✔ METIER : A la recherche ✔ CUPIDON : Personne pour le moment. ✔ CITATION : Vie chaque jour, comme s'il serait ton dernier.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : Le 8 mars 1990 ✔ APPARTEMENT : 1b.2 ✔ METIER : Assistante directeur dans une chaine TV. ✔ CUPIDON : Si j'attrape ce petit bébé, je lui fais payer tous les sales coups qu'il m'a fait ! ✔ HUMEUR : Toujours souriante ! ✔ SURNOMS : Elie, Eliza, Elychou... ✔ CHOSES A FAIRE : ~ Travailler.
~ Devenir riche.
~ Trouver une idée géniale pour être célèbre.
~ Tomber amoureuse.
~ Faire les courses.
~ Etre heureuse et profité de la vie. ✔ CITATION : Et tout a cou tu te rends compte que tout et fini, pour de bon. Il n'y a pas de marche arrière tu le sens. Et puis tu essayes de te rappeler a qu'elle moment tout a commencer puis tu découvre que c'est plus vieux que se que tu pense, et c'est la seulement a se moment que tu réalise que les chose n'arrive qu'une fois. et quels que soient tes efforts tu ne ressentiras plus jamais la même chose tu n'auras plus jamais la sensation d'être a trois mètre au-dessus tu ciel.
J’avais passé une journée de repos divine. Et bien oui, j’étais contente. Pour la simple et bonne raison que je ne travaillais pas aujourd’hui, j’avais donc profiter la tranquillité de l’appart. Musique à fond, fenêtres ouvertes, je m’étais déhanchée dans mon short de star, balais à la main. Pour que j’apprécie faire le ménage, je devais l’avoir décidé. Ça ne me prenait pas tous les matins, mais quand j’étais seule et de bonne humeur, j’aimais nettoyer; comme si je pouvais balayer les petits soucis de ma vie, en essuyant la poussière des meubles et en lavant le sol. Bon, je mis un peu de temps à nettoyer le salon et la salle de bains à cause de mon dos qui me faisait encore souffrir à cause de ce bal foireux; mais fallait bien que quelqu’un le fasse. En début d’après-midi, j’étais partie chez le coiffeur pour couper un peu mes pointes. Ce qui m’avait mis encore plus de bonne humeur. Oui, les petits plaisirs de la vie; il m’en fallait peu, certes. Mais tout de même, c’était agréable de prendre soin de soi, et puis de se balader, flâner ensuite dans les magasins en marchant en direction de l’appartement. Je ne pouvais résister à entrer dans mon magasin de chaussures préférées. J’en avais jamais assez, et puis il faut dire qu’il fallait bien se chausser; en gros c’était plus un investissement nécessaire qu’un plaisir. Ou un mélange des deux. Je fus forte et ne m’achetai qu’une paire, au lieu des quatre sur lesquelles j’avais jeté mon dévolu. Un exploit quand on me connaissait ! Et voilà, j’étais rentrée et je profitais de ma fin de soirée devant la télévision, un magazine de mode posé sur les genoux. La belle vie quoi… C’est alors que j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. Puis se refermer en claquant. J’avais déjà remarqué qu’Eba était revenu en tombant sur ses affaires, mais pourquoi elle repartait en faisant autant de bruit ? Je me levais rapidement et la rattrapais une fois sur la plage. Haletante, je posais ma main sur son épaule : « Ça va ? » Je lui souris puis reculais un peu. « Qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi tu pars en courant comme ça ? »
Dernière édition par Elizabeth O. Connor le Sam 20 Juil - 8:23, édité 1 fois
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 25.12.1993 ✔ METIER : A la recherche ✔ CUPIDON : Personne pour le moment. ✔ CITATION : Vie chaque jour, comme s'il serait ton dernier.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : Le 8 mars 1990 ✔ APPARTEMENT : 1b.2 ✔ METIER : Assistante directeur dans une chaine TV. ✔ CUPIDON : Si j'attrape ce petit bébé, je lui fais payer tous les sales coups qu'il m'a fait ! ✔ HUMEUR : Toujours souriante ! ✔ SURNOMS : Elie, Eliza, Elychou... ✔ CHOSES A FAIRE : ~ Travailler.
~ Devenir riche.
~ Trouver une idée géniale pour être célèbre.
~ Tomber amoureuse.
~ Faire les courses.
~ Etre heureuse et profité de la vie. ✔ CITATION : Et tout a cou tu te rends compte que tout et fini, pour de bon. Il n'y a pas de marche arrière tu le sens. Et puis tu essayes de te rappeler a qu'elle moment tout a commencer puis tu découvre que c'est plus vieux que se que tu pense, et c'est la seulement a se moment que tu réalise que les chose n'arrive qu'une fois. et quels que soient tes efforts tu ne ressentiras plus jamais la même chose tu n'auras plus jamais la sensation d'être a trois mètre au-dessus tu ciel.
Pourquoi je la suivais ? Très bonne question… Parce que ça ne ressemblait pas à ma colocataire de s’enfuir en courant dès qu’elle découvrait que j’étais dans l’appartement. Jamais Eba ne s’était conduite comme ça avec moi. Je la suivais peut-être aussi parce que j’avais besoin d’explications. Je voulais savoir pour elle était parti du jour au lendemain et ne m’avait pas donné de nouvelle de toute son absence. Un petit coup de fil, ce n’était pas la mer à boire non plus ! Enfin, je la rattrapais et posais ma main sur son épaule en essayant de reprendre mon souffle. En tout cas, elle avait le mérite de courir vite. Je lui demandais si ça allait, question complètement idiote puisque ça se voyait sur son visage que ça n’allait pas. Elle me répondit non et je souris, elle ne prenait même pas la peine d’essayer de me mentir, c’était bien. « Moi ça va. » Enfin… Depuis qu’elle était parti il s’était passé pas mal de chose qui faisait que je n’allais pas. Comme la découvert de ma maladie, comme mon petit copain qui me largue à cause de ça, ou encore ce bal foireux duquel j’étais ressorti en ambulance des tessons de verre enfoncé dans le dos. Mais je n’allais pas lui parler de ça maintenant, elle n’allait pas bien, je voulais qu’elle m’explique. Là, je lui demande ce qu’il lui prend de partir en courant comme ça. J’avais conscience que j’étais un peu brusque dans mes questions mais à vrai dire je m’en fichais, je voulais comprendre point. Elle me dit qu’elle n’arrivait pas à m’expliquer et ne savait pas par où commencer. Je pris ça main et l’emmenais un peu plus verre la mer. Je m’assis juste avant que nos pieds ne soient mouillés et me tournais vers elle. « Assis-toi, calme-toi, et parle-moi si tu en as envie. » Oui, je n’allais quand même pas la forcer à me révéler tout ce que je voulais savoir. Si elle n’en avait pas envie, et bien, tant pis. Je remarquais alors qu’une larme coulait sur sa joue, je m’empressais de l’essuyer avec mon doigt. « Ne pleure pas, ce n’est pas beau de pleurer. » Je me retiens de rire, je lui faisais la moral avec que même moi je fondais en larmes tous les soirs dans mon lit. Tout à coup, notre stupide boule de poil de chien me sauta sur le dos. « Mince ! J’ai pas fermé l’appart’ ! » Je pris le petit toutou dans mes bras. « C’est pas grave, du moment qu’il nous a suivie. »
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 25.12.1993 ✔ METIER : A la recherche ✔ CUPIDON : Personne pour le moment. ✔ CITATION : Vie chaque jour, comme s'il serait ton dernier.
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~ Devenir riche.
~ Trouver une idée géniale pour être célèbre.
~ Tomber amoureuse.
~ Faire les courses.
~ Etre heureuse et profité de la vie. ✔ CITATION : Et tout a cou tu te rends compte que tout et fini, pour de bon. Il n'y a pas de marche arrière tu le sens. Et puis tu essayes de te rappeler a qu'elle moment tout a commencer puis tu découvre que c'est plus vieux que se que tu pense, et c'est la seulement a se moment que tu réalise que les chose n'arrive qu'une fois. et quels que soient tes efforts tu ne ressentiras plus jamais la même chose tu n'auras plus jamais la sensation d'être a trois mètre au-dessus tu ciel.
Quand le chien me sauta dessus par-derrière, je me retins de hurler. Mes blessures au dos me faisaient encore un peu mal alors en plus si on s’amusait à me sauter dessus… Mais je ne laissais rien paraître de ne voulant pas que ma colocataire se fasse du souci pour moi. D’ailleurs celle-ci me dit qu’elle ne me croyait pas, sans savoir pourquoi et ajouta que je pourrais lui parler quand je serais prête. À vrai dire, lui raconter une partie du pourquoi je n’étais pas bien ne me dérangeait pas du tout. Lui dire que j’avais assisté à un bal qui avait mal tourné, mais que là-bas j’avais rencontré un type qui ne me sortait presque jamais de la tête, ça je pouvais lui dire. Lui expliquer que mon ex petit ami m’avait largué en me voyant faire une crise et lui dire le pourquoi cette crise, ça non, je ne pouvais pas. Je n’avais encore jamais parlé de ma maladie à qui que ce soit pourtant les mots sortirent presque tous seuls de ma bouche : « Je suis malade. » J’avais lâché dans un souffle, sur un coup de tête. Mon dieu… Mais qu’est-ce qu’il me prenait ? Secrètement, j’espérais qu’elle ne m’avais pas entendu et je regrettais déjà ce que je venais de dire. Ne voulant pas lui en dire plus, je pris notre chien comme excuse, balançant que j’avais oublié de fermer l’appartement et que j’étais contente parce qu’il n’était pas allé se perdre dans les rues de Barcelone. Et oui, ce petit garnement m’avait déjà fait le coup pendant l’absence de ma colocataire. Le chien passa de mes bras à ceux d’Eba et je la regardais le caresser alors qu’elle me disait qu’il lui avait manqué.« Heureusement, tu es de retour. » Et le soulagement pouvait s’entendre dans ma voix, j’étais sincèrement contente qu’elle soit de retour. Je passais un bras autour de son épaule dans un câlin improvisé : « Tu aussi tu m’as manqué. » Oui, elle n’était pas seulement ma colocataire, Eba était une amie pour moi. Et c’était normal qu’une amie m’ai manqué pendant qu’elle était parti. « Alors ? Tu as fait quoi pendant tout ce temps ? » Demandais-je parce qu’il fallait bien que je dise quelque chose. Mon regard se perdit droit devant alors que j’attendais sa réponse, se posant sur le soleil qui disparaissait derrière la mer.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 25.12.1993 ✔ METIER : A la recherche ✔ CUPIDON : Personne pour le moment. ✔ CITATION : Vie chaque jour, comme s'il serait ton dernier.
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~ Devenir riche.
~ Trouver une idée géniale pour être célèbre.
~ Tomber amoureuse.
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Bon dieu, mais qu'est-ce qu'il m'avait pris ? Pour je venais de lui dire que j’étais malade ? Hien ? Je n'osais pas tourner la tête vers elle. Non,ne voulais pas... Je ne voulais pas voire de la pitiez dans ses yeux... Non je ne voulais pas voir ce regard que faisait toujours les gens quand ils vous savent condamnée. J'attendais sa réaction, anxieuse. Elle avait l'air... Choqué. Elle me demanda s'il s'agissait de quelque chose de grave. J'avais envie de lui mentir mais sa voie quand elle me dit être là pour moi m'en empêcha. « Oui... Mais ne t'inquiète pas ! » Non, je ne voulais pas qu'elle se fasse du mauvais sang pour moi. Mes larmes étaient déjà suffisantes pour pleurer mon pauvre sort. Je lui souris en hochant la tête alors qu'elle me proposait de lui parler, mais ne me forçait pas. C'était gentil de sa part et je faisais la même chose pour donc... Dans un sens, c'était normal. Puis, je ne pus m'empêcher de lui poser cette question. Oui, j'étais curieuse de savoir ce qu'elle avait pendant tout le temps où elle était parti. Elle me devait bien ça, non ? Comment ça elle ne savait pas ? Je levais un sourcil, septique. Puis elle continua. Elle voulait revenir ? Alors pourquoi ne l'avait-elle pas fait ? Je commençais à me pauser de sérieuse question sur ce qui se passait dans cette famille. Ça semblait tellement bizarre. Ou louche plutôt. « T'es sûr que ça va ? Eba si jamais il se passe des trucs grave chez toi, il faut que tu en parles. Je ne te force pas hien, mais... »
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 25.12.1993 ✔ METIER : A la recherche ✔ CUPIDON : Personne pour le moment. ✔ CITATION : Vie chaque jour, comme s'il serait ton dernier.