✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier ✔ METIER : Patronne d'une boutique de musique ✔ CUPIDON : Fiancée ! ✔ HUMEUR : Hormonée ! ✔ SURNOMS : Ella ! La ! ✔ CHOSES A FAIRE : Accoucher ? ✔ CITATION : ...
⊱ AIRPLANES ! La vie ne se compose pas toujours de soleil ou de pluie. Parfois elle peut être sombre comme éclairée. Parfois les deux aussi. Les gens ne se rendent jamais réellement compte de la différence entre les deux mondes. Ils ont tendances à vivre à côté de la plaque. Je ne savais pas réellement ou j’étais ou même enfin c’était bizarre mais ma grossesse ne m’aidait pas vraiment à trouver le nord et pas non plus le sud donc autant dire que j’étais sur une autre planète. J’aurais pu dire le centre de la terre mais même pas. Je me comportais parfois comme un alien. Au fond, je n’étais pas réellement différente de d’habitude. J’amenais ma fille à l’école, je la bordais, je m’occupais de mon fiancé, j’attendais patiemment mon rendait chez le gynéco et je me comportais comme une femme normale enfin presque. Comme toutes les femmes enceintes je présentais quelques signes que je rêvais pourtant de cacher alors qu’Aidrian était le seul à être maintenant au courant. J’avais ces envies étranges et ces menus tellement bizarres qui me rendaient folles. Rien de changeant de d’habitudes, j’avais toujours été un brin décalée bien que discrète. La preuve alors que je mangeais des bâtonnets de fromage trempés dans le nutella au milieu du magasin en mettant les nouveaux vinyles que l’on venait de recevoir dans les box. Là, je me contentais seulement de bosser, oui, bosse. C’était tellement naturel pour moi en ce moment et même si je préférais passer le plus de temps possible avec Juliette par peur de la perdre, je n’avais pas le choix de me mettre à l’œuvre. Les traitements ne sont pas donnés. Alors que mon téléphone sonnait, encore mon père ; J’ignorais comment il avait même eu mon numéro, je balançais mon portale dans la corbeille tout bonnement en riant. « Chut ! », lâchais-je alors à voix haute en reprenant un bâtonnet de fromage et le savourant en souriant. « Délicieux ! », ce doux mélange n’était pas des plus convenables. Il fallait l’avouer mais il était ce dont j’avais envie et c’était mieux qu’un thon à la confiture que je n’arrêtais pas de me préparer à la première grossesse. Je peux vous dire que je me demande comment j’avalais ça maintenant. Enfin bref, c’est alors que je me retournais que j’entendis la porte s’ouvrir, cette petite clochette qui faisait ding alors que j’apercevais une énorme boite… entrer enfin cette boite avait des jambes bien entendu et un jeans. Non cette boite n’était pas nue. Je pouvais cependant reconnaitre les chaussures de cette boite. Non pas que je sois une obsédée des souliers mais surtout par ce que je les côtoyais souvent. Je riais en le regardant. « Un souci, peut-être ? », demandais-je en posant alors mon pot de Nutella sur le comptoir et mes bâtonnets de fromages. J’allais alors l’aider en posant mes mains de part et d’autres du carton mais impossible. « Il est trop grand pour passer, zut. », j’haussais les épaules en riant. « Tant pis pour toi, tu vas devoir le vider dehors ! », disais-je d’un ton presque conquérant et moqueur. J’étais une vilaine mais tellement amusée à l’idée de le voir faire des allés et retour. Bah ouais, il en faut peu pour être heureuse. Mince.
✗ I really wanna love somebody, i really wanna dance the night away, i know we're only half way there, but you can take me all the way, you can take me all the way, i really wanna touch somebody, i think about you every single day, i know we're only half way there, but you can take me all the way, you can take me all the way
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 8 mai 1983 ✔ METIER : Employé dans la boutique d'Ella et travaille comme second concierge et ancien drummer d'un band connu de Barcelone ✔ CUPIDON : Fichu personnage mythologique de pacotille!!! Tu sers à rien !! ✔ HUMEUR : Perdu ✔ SURNOMS : ☆ Nat'
★ Sasha
☆ Bisounours
★ Skippy
☆ Tonton ✔ CHOSES A FAIRE : ☐ Faire le jardin et nettoyer la piscine.
☐ M'acheter le nouveau disque d'un groupe expérimentale.
☐ Lire la pile de roman qui se trouve près de mon lit.
☐ Faire l'épicerie.
☐ Allez chanter à l'église.
☐ Essayez d'oublier Ella. ✔ CITATION : Une note peut sembler si infime, mais une mélodie peut révélé toute les paroles du monde.
On oublie vite que l'argent ne pousse pas dans les arbres, qu'il n'existe aucune graine qui donne naissance à des billets verts. J'aimerais bien cela pourtant, comme bien des gens je crois. Si au moins j'étais percheur d'huître, leur perle pourrait me rapporter un petit montant bien gagné, mais pour l'instant je concentre ma cervelle sur mon boulot à la boutique. J'étais étendu dans mon lit lorsque mon portable sonna, je vous jure parfois ce bruit est le plus énervant du monde. Il doit être environs 8 heures. Je tend la main et effleure mon iPhone du bout des doigts, je le sens glissé et boom par terre. Ce n'est vraiment pas un talisman à mes yeux vu toute les souffrances que je lui infliges. Je me penche en bas de mon lit, mais bordel il est tomber où! Je sens le sang qui me monte à la tête. J'aurais pas du aller faire ce karaoké hier. J'ai mal à la tête et je me sens vraiment comme une pauvre crevette. Ma main touche finalement quelque chose, je le prend pensant que celui-ci n'est autre que mon portable. Les yeux fermés je parle avec une voix rouillé et endormi. ❝ Oui? ❞ Aucune réponse. J'ouvre un oeil et regarde mon portable. Oh! la télécommande du téléviseur, on la cherchait justement! Passons. Je me penche une nouvelle fois, relève les draps pour regarder en dessus du lit et je finis par trouver le fruit de mon réveil. Ce dernier m'indique qu'il n'est pas 8 heure, mais plutôt pas loin de 11 heure. Merdouille je vais être en retard au boulot. Je décroche finalement tout en me levant. ❝ Oui? ❞ Répétais-je, mais cette fois à la personne au bout du fil. Bien qu'il n'y a plus de fil après les nouveaux modèles de téléphone. ❝ Tu devais pas venir chercher un paquet pour la boutique ce matin? ❞ ❝ Ciboulette! ❞ ❝ Quoi? ❞ ❝ J'essai d'arrêter les gros mots... ❞ ❝ ... ❞ Son silence, me fit lever les yeux au ciel. Pendant, que Sophia me disait quand je pouvais passer prendre le colis à la poste, je m'habillais en vitesse. Un jeans troué un peu partout comme si les mites les avaient manger avec appétit, comme lorsque je meurs de faim et qu'une assiette avec une bavette de boeuf, chicorée avec une sauce au abricot ce trouve devant moi. Un paire de converse que je ne prit même pas la peine de lacer correctement, une camisole blanche où mes tatouages paraissait au travers, que je cachais d'une veste en tricot grise. Je ne prenais pas la peine de me raser la barbe et laissais mes cheveux en bataille.
J'attendais derrière le bureau de poste qu'on m'amène le colis en question. Pourquoi payé un livreur quand Naite pouvait y aller?! Je lisais une bande dessiné où les illuminati faisait leur première apparition, je venais tout juste de trouver ce volume de Marvel derrière avec une affiche d'astéroïde. Je devrais vraiment faire le ménage de cette camionnette.. Par chance il n'y a pas de dessin sur la porte d'une guerrière avec des ours polaires. Là je crois que ça aurait été le comble. Mais au final je l'aime bien cette petite vanne, après tout c'est avec elle qu'on a fait toute nos démarches ou nos quelque concerts. La porte s'ouvrit sur une jeune femme à la chevelure blonde et au allure un peu masculine. Tomboy, en fait. Elle grimpa dans la camionnette et vint me saluer. ❝ Tu as encore veillé jusqu'au petit matin? D'habitude tu ne viens pas si tard! ❞ ❝ J'ai été sage pourtant.. ❞ Elle rigole et je soupire. ❝ Tu veux de l'aide? ❞ Elle sourit, même si ce doit pas être la seule fois qu'elle fait ça, je reste un homme et je me dois d'aider une fille. Je vais donc mettre le colis dans le coffre arrière et après un peu de blabla, je me met en route. Arrivant avec la camionnette devant la boutique, je débarquais l'énorme carton. Y faut pas dire, il était énorme! Je ne vois pas grand chose, seulement j'entend la clochette sonné dans un tintement qui rappel les mélodies de royauté qui fait flasher les diamants de la majesté la Reine. Je ne sais pas pourquoi j'avais mis mes écouteurs dans mes oreilles, mais j'ai l'impression de mieux travailler ainsi. Avoir sut. Je sens des mains effleurés les miennes. J'entend le mot banane dans une chanson et je dépose la boîte sur le sol, avant de retiré mes headphones. ❝ Tu m'as dit quelque chose? ❞ Je sens mon coeur battre la chamade, quel mascarade! J'en ai plein le cul de ce coeur qui s'emporte lorsqu'elle me touche. Je me sens comme la belette qui désir manger la petite souris qu'elle est. Eh oui, je ne me vois pas comme le grand méchant loup, après tout je ne suis pas si méchant que cela! Je suis seulement perturbé par elle. Lorsqu'elle me dit que je dois défaire le carton à l'extérieur, je fais une tête d'enterrement. Blasé. Mais quel corvée! ❝ La prochaine fois accepte la livraison jusqu'ici! ❞ Je souris et va chercher un cutter, avant d'ouvrir la boîte en question. J'ignorais ce que j'allais y trouver, mais bon j'allais pas faire mon froussard!
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier ✔ METIER : Patronne d'une boutique de musique ✔ CUPIDON : Fiancée ! ✔ HUMEUR : Hormonée ! ✔ SURNOMS : Ella ! La ! ✔ CHOSES A FAIRE : Accoucher ? ✔ CITATION : ...
⊱ AIRPLANES ! Travailler dans cet état de faim était l’horreur. Cela faisait presque une semaine que je dévorais tout ce que je trouvais et n’importe quoi enfin je surveillais quand même voyons. Bien sûr, là, je devais abandonner ma cochonnerie qui me dégouterait surement dans 6 mois pour aider le pauvre petit jeune homme qui était mon employé. Enfin pas seulement car je le connaissais bêtement depuis… punaise, j’avais l’impression que c’était depuis toujours mais pourtant, non. Il fallait avouer que l’on était souvent comme cul et chemise. Entre nous c’était une amitié solide qui ne périmerait surement jamais. Je ne voulais pas passer une journée sans savoir comment il va ou entendre ce qu’il se passe dans sa vie. Il faut dire que le mur qui nous séparait aidait surement. Mais là, il était bien occupé ou embêté. J’avais beau lui parler mais pas de réponses, il était sourd ? Je n’osais pas le demander tout de même. Ce genre de questions n’avait même pas besoin d’être posée entre nous, c’était la pratique de se connaitre par cœur. Je me doutais presque déjà qu’il avait les oreilles bouchées par son écouteur. J’allais donc l’aider, tentant tant bien que mal à lui filer un coup de main. Je riais doucement alors qu’il posait le carton et que je voyais sa tête et surtout ses écouteurs. Il me demandait si j’avais dit un truc, amusée, je souriais. « Si… je te demandais si tu étais sourd ! », soufflais-je alors doucement avant d’examiner la situation. C’était embêtant car le carton était tout juste pour passer et au risque d’abimer ce qu’il contenait. Je grimaçais doucement en le regardant attentivement et lui disant alors qu’il fallait donc l’ouvrir dehors. Motivée, je passais aussi la porte en posant mon pied sur le seuil et le regardant. J’avais l’impression de venir de lui annoncer que son chien était mort… tellement blasé. Je souriais. « Flemmard, hop, hop, hop ! », lâchais-je alors en riant nerveusement par ce que oui, j’étais nerveuse. Ce colis était une sorte de cadeau pour la personne qui allait l’ouvrir. Je n’avais pas pu mettre ce gros nœud mais on s’en fiche. Il désirait tellement son empli de qualité et son violon que j’avais utilisé une partie de l’argent de la boutique, les bénéfices pour lui payer et sans compter ce qu’il nous restait un peu du groupe que l’on avait gardé de côté. Le fait est que je n’avais pas pu lui avoir à l’époque de son anniversaire. J’étais un peu embêtée en mai avec le traitement de la douche Juliette donc incapable d’avoir les finances donc il avait eu un bête vinyle d’un vieux groupe. Rien de bien folichon et surtout pas dans mes habitudes. J’avais réellement souhaitée me rattraper et voile ce moment tant attendu. J’avais tout de même plus de finances que lui. Juliette allait mieux mais seule bémol… et oui, il y en avait une. J’étais bien coincée là. Pourquoi ? Je venais bêtement de me rendre compte que maintenant, j’étais enceinte et les finances allaient devenir plus serrées mais on s’en fiche, merde. C’était payé et j’avais encore plus de 6 mois pour fêter l’arrivée de ce bébé futur donc il ignorait encore l’existence. Je voulais tellement lui dire depuis qu’Aidrian le savait mais j’étais encore tellement paniquée que je ne voulais pas aller trop vite pourtant je commençais peu à peu… à devenir heureuse de cette grossesse. J’atteignais cette euphorie mais chut. Je reprenais mon nutella et mon fromage en me plaçant devant lui. Une fois qu’il eut ouvert, je souriais doucement. « C’est quoi d’ailleurs ce look débraillé ? », demandais-je en riant légèrement alors que j’attendais bêtement sa réaction à ce cadeau car je savais qu’il allait se douter que cela en serait un. Il m’en parlait tellement depuis un moment que je ne pouvais pas m’étonner s’il sautait de joie comme une fille. Enfin peut-être pas. Seulement dans mes rêves en fait. Surement les rêves les plus fous mais chut.
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 8 mai 1983 ✔ METIER : Employé dans la boutique d'Ella et travaille comme second concierge et ancien drummer d'un band connu de Barcelone ✔ CUPIDON : Fichu personnage mythologique de pacotille!!! Tu sers à rien !! ✔ HUMEUR : Perdu ✔ SURNOMS : ☆ Nat'
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☆ Tonton ✔ CHOSES A FAIRE : ☐ Faire le jardin et nettoyer la piscine.
☐ M'acheter le nouveau disque d'un groupe expérimentale.
☐ Lire la pile de roman qui se trouve près de mon lit.
☐ Faire l'épicerie.
☐ Allez chanter à l'église.
☐ Essayez d'oublier Ella. ✔ CITATION : Une note peut sembler si infime, mais une mélodie peut révélé toute les paroles du monde.
La lame du cutter traversa en silence l'adhésif qui servait de ruban d'emballage. Un ruban qui contient un véritable secret, un secret que j'ignore encore et qui la fait sourire. Le carton produit un bruit m'indiquant que le ruban la libéré de sa prison. Il respire et j'en profite pour lui ouvrir le corps pour y découvrir ce secret qu'Ella désir me faire découvrir. L'idée que je me fais de ce qui se trouve à l'intérieur est bien loin de celle que je me fais. Des disques, des nouveaux écouteurs, instruments, enfin tout sauf ce que je découvre en ouvrant la boîte. Un main sur le revers de la boîte, je la regarde et sourit. ❝ Y fallait bien que je vienne habillé, pas sure que tu aurais aimé me voir en boxer au travaille? Et puis c'est la première chose que j'ai prit en me levant quand Sophia m'a appeler. ❞ Je regarde mes vêtements, les troues qui montre bien mon sentiment envers mes vêtements. J'aime lorsqu'ils sont usés, à ce moment ils sont bien plus confortable. Bon ça peut aussi me donner le look de drogué, mais j'ai laissé ma seringue à mon ancienne vie. C'est seulement un look un peu plus déglingué. Mais ça plait au fille, je ne sais pas si c'est la barbe de quelque jours, les cheveux en batailles ou bien les troues dans les jeans, mais je n'ai pas à me plaindre. Je retourne mon attention sur la boîte, m'attendant à sortir de l'inventaire que je devrais encore ranger par la suite. Ça me donnerait seulement encore plus de temps pour écouter ma musique, danser et chanter. Mais tel une étoile filante qu'un enfant regarde pour exaucé son souhait, je découvre finalement que le père noël existe. Dans la boîte je découvre quelque chose à laquelle je n'avais pas du tout penser. Je comprends un peu l'entorse lombaire que j'aurais pu me faire facilement. Dans cette boîte se trouve un ampli de guitare électro-acoustique, bien meilleur que celui que j'ai chez moi. Une pédale, qui ressemble à celle que j'ai pour ma guitare, mais qui commence aussi à dépérir. Et parmi tout cela un violon électrique, un Yamaha EV205 PR. Celui que je désirais depuis un moment, ni trop pro ni trop débutant. Bon ça fait un bon moment que je n'ai pas jouer, mais la musique c'est comme le vélo. Ça ne se perd pas aussi facilement qu'on pourrait le croire. Je me redresse un sourire suspendu à mes lèvres, je laisse le cadeau en plan et me dirige vers mon amie. L'idée de lui faire un câlin, la prendre et la faire tournoyer dans la air pour la remercier effleure mon esprit. Une sirène sonne dans ma tête en voyant ce qu'elle mange. Je m'arrête net à quelque pas devant elle. On dirait qu'elle mange des nuggets tremper dans un chocolat. Je ravale. Non ne me dite pas... ❝ Qu'est-ce que tu mange?T'es loin de pouvoir me critiquer niveau vestimentaire si quelqu'un voit ce que tu manges... Y risque plutôt de parler de toi. ❞ Je souris, puis comme un gamin je trempe mon doigt dans le pot de nutella avant de le lécher. La sirène hurle de plus en plus fort en moi. J'arrête mes mouvements et la regarde, le doigt encore dans la bouche. Mes sourcils se froncent ❝ T'é enseins? ❞ L'idée qu'elle a encore un polichinelle dans le four me dégoutte et cela même si j'adore Juliette et Lucy. J'aimerais lui crier mon amour, qu'elle ouvre les yeux. Qu'elle ne me voit plus comme le chien de service, le gentil toutou! J'aimerais l'embrasser là tout de suite, la faire vibrer comme toute ces filles sur qui je me suis pratiqué. Seulement, tout ce que j'ai en tête c'est ce moment où je voulais lui offrir ce bracelet stupide. Je retire finalement mon doigt de ma bouche et avale ce satané nutella. ❝ T'es enceintes? ❞ J'ignore si je dois sourire ou pleurer...
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⊱ AIRPLANES ! Au travail en boxer ? Ce qui était certain était que la clientèle aurait tellement adorée ça que j’aurais rempli un bon chiffre d’affaires pour mon mois, alléluia mais non. Je fronçais le nez doucement en secouant la tête en le laissant réagir à l’ouverture de son paquet alors que je regardais ses écouteurs pendre en disant que je kifferais tellement qu’il les coupe avec le cutter. Cela serait tellement jouissif. Je ne savais pas d’où me venait cette soudaine envie mais mettons ça sur le compte des hormones, ok ? C’était mieux ainsi en quelques sortes par ce que je n’avais aucune idées de ce qui me passait en tête que pour avoir envie qu’il commette un meurtre sur ses pauvres écouteurs et pourtant. Et là, il déballait son colis en mode envie qui regardait son cadeau sous le sapin pour un 25 décembre. J’avais beau ne pas connaitre réellement noël sauf dans mes voyages en France comme l’on ne le fête pas à Barcelone et pourtant… je connaissais ce regard. Merci le cinéma. J’inspirais doucement en lui souriant. Ce gamin qui regardait son cadeau mais merde, un peu déçue du spectacle quand même. Pas de cris de joie ou rien ? Non, il approchait en me coupant dans l’approche de mon bâtonnet de fromage en direction de ma bouche, il était tellement appétissant, trempé dans son Nutella. Triste vie. Mon bon petit et charmant bâton. Je faisais une moue en le regardant et l’écoutant alors me demander ce que me mangeait avant de remarquer ce regard qu’il posait dessus. Ouais, ça sentait le roussi. Je ne savais pas si je pouvais lui dire car nous n’en avions pas parlés avec Aidrian. Pouvions-nous le raconter à tout le monde ? Allait-il prévenir ses potes du commissariat ? Mais il avait raison cependant même si fuck, c’était trop bon mon menu. « Tu ve… », oui, j’allais lui proposer de gouter alors qu’il s’arrêtait en me demandant si j’étais en seins. Je baissais le regard vers ma poitrine en arquant un sourcil. « Je sais qu’elle a gonflée mais quand même ! », lâchais-je en murmurant un peu à moi-même car il fallait avouer que je n’étais pas réellement habituée à lui parler de ma poitrine enfin pour moi c’était comme si je lui parlais de mes règles. Ah erk. Pas à mon meilleur ami. Voyons. C’était d’un… ah erk. Enfin bref. Non merci. Je lui souriais doucement en mettant mon bâtonnet de fromage dans la bouche et le regardant alors poser le bon mot enfin là sur le coup en l’entendant, je le fusillais du regard en me tournant sur le coup et attrapant une feuille avec ma main libre et lui lançant sur la tête en soupirant. « Et Merde, Naite ! », lâchais-je alors d’un coup de nerf. Hormonée jusqu’au bout des doigts. « Pourquoi tu me connais autant pour savoir ça ? Et merde ? Je ne peux pas avoir de secrets ? », demandais-je alors en sachant qu’il fallait avouer que j’avais passée 2 mois et demi… à bien cacher ma grossesse enfin tant bien que mal. Je cachais les formes sous des vêtements larges donc une robe pour cette fois et je m’efforçais à garder mes hormones au calme. Ce qui n’était clairement pas facile. S’il y avait un brevet à passer pour pouvoir mieux gérer les hormones, je voulais bien le manuel. Tiens le manuel, comme le prénom d’un de nos voisins. Celui du dessus, je crois enfin je n’en savais rien mais je l’avais entendu de la bouche de sa voisine. Enfin bref disons que l’on s’en fiche car là, je n’avais même pas confirmé. Je voulais bêtement même prendre un picot et paf, placarder cette feuille sur mon front. « Oui, je suis enceinte ! », lâchais-je alors boudeuse en reprenant un bâtonnet sur le comptoir et le trempant à nouveau dans le chocolat. J’étais pire qu’une enfant là. Juliette, Lucy et Alma ne pouvait pas faire mieux à mon avis. Boudeuse à fond, j’allais vers le comptoir en me posant sur le tabouret avec une moue. « Ça va… ce n’est pas la fin du mode… j’ai l’impression qu’on vient de te couper tes deux pieds… t’es mort ? », soufflais-je alors un peu moqueuse sur le coup mais réellement amusée par la scène qui s’offrait à moi, même si je voulais bouder et puis quoi ? On ne se moque pas du choix de nourriture d’une femme enceinte. Il devait s’en souvenir de ma grossesse des jumelles. Oui, j’étais surement même pire cette fois car j’avais tellement peu pour le bébé que je ne voulais pas que le schéma passé se reproduise et qu’elles soient malades. Je posais une main sur mon ventre en posant mon pot de Nutella. « Tonton Naite, il est pas gentil avec nous, ah non ? Il se moque de notre choix alimentaire… et ouais ! », et tout ça dans ma petite bulle.
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 8 mai 1983 ✔ METIER : Employé dans la boutique d'Ella et travaille comme second concierge et ancien drummer d'un band connu de Barcelone ✔ CUPIDON : Fichu personnage mythologique de pacotille!!! Tu sers à rien !! ✔ HUMEUR : Perdu ✔ SURNOMS : ☆ Nat'
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☆ Tonton ✔ CHOSES A FAIRE : ☐ Faire le jardin et nettoyer la piscine.
☐ M'acheter le nouveau disque d'un groupe expérimentale.
☐ Lire la pile de roman qui se trouve près de mon lit.
☐ Faire l'épicerie.
☐ Allez chanter à l'église.
☐ Essayez d'oublier Ella. ✔ CITATION : Une note peut sembler si infime, mais une mélodie peut révélé toute les paroles du monde.
Sujet: Re: ▷ AIRPLANES (feat naite) Sam 9 Nov - 13:46
un remerciment personnel
Je sens encore cette sensation de Nutella sur mon doigt que je viens de lécher. Quelque chose de tellement peu agréable comme sensation et pourtant c’est moins pénible que la nouvelle que je viens de découvrir. Comment je ne peux ne pas la connaître depuis toute ses années et surtout que je passe le plus clair de mon temps à la regarde. Les fois où elle sourit, comment elle rigole lors de moment inattendu ou tout simplement ce petit air boudeur, comme ce qu’elle fait en ce moment. Je ne suis pas tellement heureux d’avoir mis le doigt pile sure l’élément qui me crée un pincement au cœur. Une baffe. Voilà ce que je devrais me faire. Ou peut-être me plonger la tête dans un bac d’eau glacé. Oui voilà une idée et ça calmerait les ardeurs de mes pensées en bas de la ceinture. Mais à quoi je pense en ce moment moi...? Je pousse un soupire intérieurement, je dois me contrôler. Sinon tout va partir en vrille dans ma tête. Je me demande comment Aidrian a réagit en sachant qu’elle est encore enceinte. Le sait-il au moins? Et moi comment je réagirais si une fille m’annoncerait être enceinte de moi... Je suis fou de penser à ce genre de chose... Tout cela pour dire que je dois afficher un de ses airs. Même moi je ne pourrais le décrire en ce moment. Je suis beaucoup trop perdu, comme toujours en fait. Depuis quand je ne me pose pas mille et une questions sur elle et moi. Seulement d’y penser voilà que je me rends compte que je suis encore plus perdu que tout. Et au finale je risque de finir dans les bras de Gabriella. Suis-je si pathétique que cela? Je reviens de mon monde de rêverie lorsque je la vois entrain de parler à son ventre. Voilà que ce manège recommence et je ne sais pourquoi, mais je me surprends à sourire comme un gamin. Au final, je crois que c’est un plus beau cadeau encore que ce qu’elle m’a offert. La voir ainsi c’est tellement adorable que je me dis au diable mes désirs et puis si elle heureuse je dois me contenté de ça. Il me semble que je suis morose aujourd’hui et pourtant elle m’a offert deux surprises. ❝ Ne dis pas que je porte jugement me semble que c’est toi qui critique mes vêtements. ❞, dis-je avec un sourire en coin. ❝ Et puis tant que tu m’en fais pas manger ça me va. ❞ Un rire s’écoula de ma gorge, s’échappant de mes lèvres. Ce n’est pas bien méchant, et puis l’idée de me voir manger ce genre de truc me lève le cœur. Je crois que j’ai assez donné. Je ne sais même plus combien de fois j’ai mangé des trucs louches suite à des paris perdu et je crois que c’était pire que ce qu’elle mange en ce moment, mais ça serait la goutte qui fait débordé l’eau du verre. Bon je dois me changer les idées. Je retourne donc à mon cadeau et en sort le violon. Je ne peux pas m’en empêcher, c’est comme lorsque je me retrouve dans un karaoké devant un public, je me sens obligé de chanter. Et puis je dois oublier cette image de cette nouvelle. Mais je compte bien la remercier comme il se doit. Je laisse mes doigts courir sur les cordes, un duel entre mes doigts et les cordes. Mais comme je suis loin de faire le cliché du voyageur portant son chapeau de paille, une brindille entre les lèvres, un cocktail du Sud près de moi avec mon youkoulélé. Je me dis que je devrais peut-être sortir l’archet pour mieux jouer. J’hésite à jouer une chanson électrique ou acoustique, mais j’essai de faire un compromis qui se réduit à aller brancher ce dernier à un ampli. J’accorde les cordes, après tout un bon son c’est la meilleure chose et je ne demande pas la lune non plus. Je veux seulement lui faire plaisir. Mais qu’est-ce que je pourrais lui jouer... Poker Face? Non un peu trop pop à mon goût. Fermant mes yeux je pense à un moment rien qu’à nous. Les étoiles de nos souvenirs envahissent ma tête et mes mains flirts sur le violon produisant une mélodie que l’on connait tout les deux pour l’avoir créer ensemble, rien que tout les deux. Ma voix finie par s’échapper pour s’harmoniser avec la mélodie. Ma voix atteint un sommet que j’ai oublié depuis le temps.