✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 23.05.1989 ✔ METIER : Chef de Marque ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : A toi de voir ✔ SURNOMS : Aucun ✔ CHOSES A FAIRE : Signaler au voisin qu'il me gonfle
Ne surtout pas tomber amoureuse de lui
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Sujet: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Lun 25 Nov - 11:08
Le bruit des rues, le bourdonnement incessant de la populace, des véhicules. La pollution sonore dans toute sa splendeur. Et une seule envie : celle de tourner les talons, d’ouvrir sa porte, de rentrer chez soit, de jeter sa veste sur le divan, de balancer son sac à main sur la table basse de l’entrée, de monter quatre à quatre les escaliers pour accéder à la chambre et, enfin, se glisser sous la couette douillette, bien au chaud, pour se laisser de nouveau emporter par le beau Morphée. Mais non. Au lieu de cela, les bruits de la ville, la grisaille du ciel hivernal de Barcelone, le travail, l’abondance de projet, les fêtes qui se rapprochent, des objectifs qui ne sont pas tout à fait atteint… Un programme qui est, avouez-le, beaucoup moins attrayant, n’est ce pas ? Et pourtant, c’est le triste sort qui attend Sarah Taylor en cette journée. La blondinette, en prime, s’était levé plus tôt qu’elle n’aurait pût, songeant passer au bureau avant de se rendre au point de rendez-vous où elle devait retrouver ses collègues pour une réunion dans un restaurant chic, où ils prendraient le petit déjeuner tout en procédant à leur travail. En somme, tout ce dont raffolait la pauvre Sarah, qui aurait préféré pourvoir ne rien faire, pour une fois. Si seulement. Programme de merde qui l’agace au plus haut point, d’autant qu’elle va devoir supporter quelques embarrassantes personnes. Que demander de plus ? Que pouvait-il bien lui arriver de plus désagréable aujourd’hui ? En fait… un tas de choses.
Un chantier. Sarah plisse les yeux en soufflant. Les rues de Barcelone sont infernales en ce mardi. Enfin… comme d’habitude, en sommes, ça ne change jamais. On pourrait croire qu’une grande ville, c’est chaque jour l’inconnu, mais ce n’est pas le cas. La blondinette est prête à parier qu’en tournant dans la prochaine rue, elle tombera encore sur ceux qu’elle a gentiment surnommé Maxime et Philipe, à la terrasse d’un café. Comme tout les matins. Et comme chaque matin, elle leur dira bonjour, ils lui répondront et la regarderont s’éloigner en matant son popotin. Pathétique.
Pourtant, les imprévus arrivent aussi dans Barcelone. Ainsi que les accidents. Une ambulance manque de renverser la jeune femme alors que celle-ci s’apprête à traverser la rue. Sympa. L’urgence pourrait faire un peu plus attention, non ? Ce n’est pas avec un accident fâcheux que les ambulanciers arriveraient à l’heure à leur destination. Et puis, ils auraient put penser à mettre la sirène. Ou ne l’a-t-elle tout simplement pas entendu ? Sarah ne sait pas, ne sait plus. Après tout, qu’importe ? Ce qui compte maintenant, c’est de faire attention à arriver entière au bureau. Plus difficile qu’il n’y paraît, hein ?
L’hôpital se dresse au loin et la jeune femme peut voir quelques médecins dehors, à prendre une pause. La demoiselle songe qu’ils ont bien du mérite, de faire d’aussi longues gardes, avec tant de pression. Son job à elle, à côté, c’est de la franche rigolade. Enfin, n’exagérons rien non plus. Mais c’est clairement moins dur que d’être chirurgien. Et l’australienne sait parfaitement qu’elle ne pourrait pas pratiquer une telle profession. Elle n’aurait jamais les nerfs.
Arrivant non loin de l’hôpital et des chirurgiens qui grignotent ou, pour certains, fument une clope, la demoiselle se sent faiblir et vaciller. Le noir l’envahie et la demoiselle rencontre bientôt le sol. A-t-elle déjeuné ce matin ? Non. Manquant de sucre, la belle s’est tout simplement effondrée. Elle repose, inconsciente et inanimée sur le bitume, alors qu’on se presse à ses côtés. Une voix de femme lui parvient, comme sortant du fond des âges.
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Sujet: Re: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Jeu 28 Nov - 8:11
Surprise
Eh un jour de congé et de un ! Et ce jour ci, je compte bien en profiter un maximum et pour cela c’est aux aurores que je me suis levée. Enfin, c’est que je pensais avant que mon regard ne se pose sur le maudit réveil. De ce fait je m’aperçois sans mal qu’il est déjà presque 10h… Il ne m’en faut pas plus pour me lever d’un coup sec, ce qui a pour effet de me faire chanceler. Ma tête est lourde et comme les secondes s’écoulent mes souvenirs reviennent petit à petit eux. C’est vrai que je suis rentrée tard après avoir passé la soirée en compagnie un jeune homme dont je n’ai pas jugé bon de demander le nom. Et comme à mon habitude je me suis éclipsée tel un félin dans la nuit.
C’est sous l’eau chaud de ma douche que mon sourire s’ést agrandi, j’ai loupé le lever du soleil, ce n’est pas bien grave je profiterai donc du coucher. Après ce jet d’eau revigorant, je choisi d’enfiler un pantalon slim noir en cuir ainsi qu’un tee shirt blanc à l’effigie de Will Smith. Le tout accompagné d’une veste de cuir et ma paire de converse noir aux lacets jaunes. J’attrape mon chapeau décoré de notes de musique que je pose sur mes cheveux détachés, une dernière attention à mon appareil photo et me voilà dehors. L’air frais me fait le plus grand bien, et déjà les rayons de soleil viennent me saluer en se posant sur mon visage. Parfois je me dis qu’on ne profite pas assez des moments les plus simples. Pourtant la sirène d’une ambulance lointaine gâche un peu ce moment. Cela veut encore dire que quelqu’un ne va pas bien… c’est moche…
D’ailleurs déjà mes yeux sont attirés par un vendeur vendant des boissons de couleurs étranges… bleu… rouge… jaune. Comme quoi l’attention peut vite tourner. Mon estomac ne fait qu’un tour et je me contente de lui commander un soda vendu dans un grand gobelet, celui-ci étant accompagné d’une paille. A peine le temps de porter cette même paille à mes lèvres, après avoir payé que me voilà déjà de nouveau en marche. Les regards de certains passants me font rire, c’est vrai que je marche vite, petite habitude que j’ai depuis toujours quand je ne sais pas au je vais. Parce qu’il faut le dire tel quel, je veux prendre des photos aujourd’hui… mais … je ne sais pas où. J’attends juste le déclic…
Pourtant ce n’est pas sur un paysage ou bien une personne qui m’interrompe dans ma marche non non, mais bel et bien un petit attroupement qui se forme devant l’hôpital. Vilaine curiosité humaine qui me pousse à aller dans ce même petit groupe mais étant plus petite que certaines personnes je me mets à sautiller sur place sans bien plus de succès. Je m’arrête alors un instant et soupire. Quelques pas en arrière me font remarquer qu’une personne s’éloigne en courant avec un sac à main sous le bras. Etrange… Il me faut plusieurs secondes pour percuter et telle une enfant je m’accroupi pour voir ce qui se passe, c’est là que je m’aperçois qu’une jeune femme semble allongée sur le sol. Jouant des coudes, j’arrive à me faufiler jusqu’à la dites personne. Il ne m’en faut pas plus pour comprendre que c’est son sac que j’ai vu s’éloigner en une compagnie étrangère. Etonnamment ce sont des médecins qui s’occupent déjà de la jeune femme mais il ne s’occupe que de regarder sa respiration et de tâter son pouls. Je soupire devant tant de déshumainement.
N’écoutant que mon cœur, je m’accroupie et attrape la main non sollicitée de la jeune femme, la pauvre je ne vais pas la laisser seule, c’est le pire endroit pour s’évanouir ; et les vautours non pas l’air de vouloir s’en aller alors qu’un des médecins dit que tout va bien. Que ça n’a l’air que vagale. Je jurerai presque en avoir vu un sortir un portable et d’essayer de prendre une photo. Il n’essaie pas de prendre une photo dans l’espoir d’avoir peut être quelque chose à vendre comme même ? Non mais vraiment les gens. Pourquoi je les nomme vautour ? Tout simplement parce qu’ils sont là sans rien faire juste scruter comme s’il était devant leur poste de télévision à regarder de la télé réalité.
C’est fou ce que dans ce genre de situation on se sent stupide mais bon le mieux pour elle serait qu’elle se réveille tout de même. Pourtant mes yeux ne peuvent que s’écarquiller lorsqu’ils fixent plus attentivement le visage de l’évanouie. Je jurerai qu’il s’agit de …
- Sarah Taylor…
Ma voix n’a certes était qu’un murmure mais je mettrai ma main à couper qu’il s’agit bien d’elle. Après tout elle connut, enfin pour les mordu de mode ; Je doute que monsieur et madame tout le monde ne se souvienne de son nom. Mais ce visage je le connais bien pour l’avoir croisé plus d’une fois… Mais déjà je vois ses sourcils se froncer légèrement, signe qu’elle va bientôt reprendre connaissance. Alors ma voix se fait un peu plus entendre.
- Sarah ? Vous m’entendez ? Ici la terre, je répète me recevez-vous ?
Rah qu’est-ce que je peux bien dire… Gênée je passe ma main libre dans mes cheveux, les médecins eux semble surpris que je l’appel par son prénom tout en la vouvoyant. Pas de ma faute je déteste utiliser les noms de famille…
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Sujet: Re: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Ven 29 Nov - 8:03
Quelle drôle de chose que l'inconscience, qui laisse comme mort celui qu'elle frappe quand, à l'intérieur tout bat encore. Sarah Taylor a beau vivre, elle est comme morte aux yeux de ceux qui la regardent, même s'ils remarquent évidemment que son coeur bat encore, que sa poitrine se lève légèrement pour respirer, même si cela est de manière assez désordonné. Mais dans son esprit rien ne se passe. Le noir complet. La demoiselle ne peut plus penser, alors même qu'elle entends tout ce qui se dit autour d'elle, l'agitation de ceux qui se pressent face à l'évènement. Comme au spectacle. Et personne pour réellement lui porter secours. La jolie Sarah voudrait les maudire tous. Mais elle ne le peut pas, son esprit ne le lui permet pas. Alors elle se contente de continuer à les entendre parler à son sujet, impuissante, privée de tout ses moyens pour se manifester, pour dire qu'elle vie. Elle se laisse examiner par les uns et par les autres sans pouvoir protester, sans pouvoir même s'effrayer ou rire de leurs hypothèses. L'inconscience c'est comme la mort. Et Sarah s'en rend plus où moins compte alors que son corps est prisonnier d'un cerveau en manque de carburant.
Une pression sur sa main. Dans son inconscience Sarah a l'impression d'entendre son nom et son prénom, quelqu'un qui l'appelle. Un inconnu, ou pluot une car la voix qui lui semble inconnue est féminine. Pas de mots qui consolent puis plus de mots du tout. Le désespoir est muet et Sarah ne peut rien y dire ni rien y faire malgré l'envie de crier que sa conscience qui revient peu à peu lui impose pourtant. Et la belle blonde ne s'éveille toujours pas, absorbée par son sommeil comme la belle princesse de Disney, blonde elle aussi, la belle Aurore.
Enfin pourtant la demoiselle papillone des paupières qui cachent son doux regard bleu, grâce à l'intervention d'un jeune boulanger qui, après être retourné à sa boutique en est ressortit avec une canette de boisson sucrée à la main pour la lui faire boire. Et aussitôt la demoiselle va bien mieux, alors que son coroses reçoit le carburant dont il a grand besoin. Sarah revient à elle et ouvre finalement les yeux sur ce monde amassé autour d'elle à attendre un signe de sa part. Et à ses cotés, la blondinette croit voir un visage qu'elle connait déjà, sans pouvoir mettre un nom dessus. Une fille habillé avec un certain goût étrange mais du pluz bel effet.
Se redressant pour retrouver une position plus confortable, la demoiselle remarque un homme qui semble la prendre en photo avec son téléphone. Et bien que cela l'agace au plus haut point la jeune femme n'en dit rien alors qu'elle cherche son sac du regard. Mais il a disparu. Et elle a beau questionner les gens auprès d'elle, il lui faut un moment pour entendre distinctement qu'un voleur s'en est emparé. Fichue journée. Au bord de la crise de nerfs Sarah se félicite pourtant en songeant que heureusement, son portable est dans sa poche avec sa carte bleu. Sa seule perte se résume alors à un sac de marque et aux copies de ses dossiers. Heureusement. Heureusement qu'elle a toujours la presence d'esprit de se preserver de ce genre de situations. Degainant alors son téléphone elle appelle son supérieur pour l'informer de son retard et de ses raisons, le rassurant au passage sur le fait qu'ils n'ont pas perdu les dossiers.
Raccrochant son téléphone la demoiselle jette un regard à cette assemblée, comme si elle espérait voir le voleur au milieu de cette foule alors même que, ne l'ayant pas vu, elle ne pourrait pas le reconnaître. Mais soit. Se tournant finalement vers la brunette qui était près d'elle Sarah l'observe de longues minutes sans dire un mot, avant de finalement se décider à interroge cette inconnue.
"- Pardon mais... Je ne parviens pas à me souvenir et pourtant je... Vous... Nous serions nous déjà croisé quelque part dites-moi ?"
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Sujet: Re: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Sam 7 Déc - 12:31
BANG BANG
Nietzches ▽l'individu a toujours dû lutter pour ne pas se faire écraser par les membres de la tribu
Bon j’avoue que j’ai pas trop compris en voyant une mec arriver avec une cannette de soda et faire boire la jeune femme encore peu revenue sur terre. Faire boire quelqu’un d’un demi-inconscient, rien de tel pour faire faire une fausse route… Et rien que d’imaginer la scène, me fit trembler de tous mes membres. Normalement, le plus sécurisant est d’attendre que la personne reprenne connaissance ou bien mettre un sucre sous la langue est le laisser fondre. Enfin ça, c’est ce que m’a appris mes livres de premiers secours. Enfin s’ouate, je me passerai de commentaire, le principale étant bien sûr le fait qu’elle reprit connaissance. Et comme pour chaque reprise de connaissance, il semblerait bien qu’elle ait du mal à atterrir. Rien de plus normal. Pourtant son regard confirma bien mon hypothèse, ça ne pouvait être qu’elle.
Peu de temps après, la blondinette se redressa, s’inquiéta de son sac et ses dossiers puis dégaina son téléphone dans la foulée pour s’entretenir avec son patron ; Je dois bien l’admettre que pour une fois j’ai l’impression d’être dépassée par les événements. J’ai pourtant l’habitude de carburer tout en prenant mon temps à la fois. On aurait été dans une vidéo je suis sûre qu’on aurait vu passer au-dessus de la petite assemblée, le volatil qui laisse trois petit point noirs derrière lui…
Je sursautai presque lorsqu’elle se tourna vers moi, je vous jure j’en étais presque à mettre dit que j’observer un feuilleton à la télévision. Mais être fixé tout d’un coup dans les yeux est déstabilisant. Encore plus quand la dite personne semble vous observer un peu plus longuement. Certes je manque souvent de confiance en moi, elle à l’air bien sympathique mais elle n’en reste pas moins impressionnante. C’est qu’elle s’est comme même fait un nom si on pût dire.
"- Pardon mais... Je ne parviens pas à me souvenir et pourtant je... Vous... Nous serions nous déjà croisé quelque part dites-moi ?"
Je ne m’attendais tellement pas à ça que mon seul réflexe a été de me pointer du doigt tout en entre ouvrant la bouche sous la surprise. Comment j’aurais pu m’attendre à ce que mon visage puisse marquer ne serai ce que légèrement l’esprit d’une personne comme elle. Si bien que sans un premier temps je me mis à bégailler brièvement.
- Euh … bin… c'est-à-dire… oui et non
Ma main droite alla attraper une de mes mèches brunes, histoire de la torsader autour de mon index. J’avoue être gênée par cette situation et je n’ai souvent que ce geste pour me déstresser. Ah nan en fait y a aussi le chant mais comment dire je n’ai jamais chanté devant personne et ce n’est pour l’instant pas prêt d’être à l’ordre du jour.
- A vrai dire nous nous sommes croisés sur plusieurs défiler de mode et je dois avouer que je suis surprise que mon visage ne vous sois pas inconnu.
Ne sachant trop où regarder, c’est à ce moment que j’ai décidé de me redresser sur mes deux jambes comme les fiers bipèdes que nous sommes. Ce n’est pas tout ça mais, je commence sérieusement à avoir des fourmis qui me fourmillent sous la plante des pieds et qui commencent méchamment à attaquer mes mollets.
- Pardonnez-moi, je suis impolie. Je me présente, Salena Eggers, photographe de mode professionnel.
Mes sourcils se froncent tout d’un coup puis scrutèrent la foule toujours présente. Un brin énervée qu’il soit toujours là je me mis à leur agiter mon appareil photo sous le nez les menaçant gentiment d’une petite photo avec peut-être pour intitulé dans un futur journal « la société actuelle serait-elle à la recherche d’info choc dans les rues ? » Bon d’accord, je n’aurai jamais fait ça mais apparemment j’ai réussi à avoir l’effet escompté car tout le monde commença à partir chacun de son côté. Enfin un peu d’air, tournant les talons je me retrouvai maintenant de la jeune chef de marque.
- Je vous aide à vous relever ? Au passage… vous n’avez pas petit déjeuner ?
Sourire aux lèvres, je tends la main à la jeune blonde en face de moi.
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Sujet: Re: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Sam 7 Déc - 13:30
Même si le pauvre homme avait été maladroit dans le choix de la source de sucre qu’il était allé chercher, disons qu’il avait tout de même été d’un certain secours auprès de Sarah. Les médecins après tout avaient parlés de sucre et n’avaient pas précisé que les boissons étaient à éviter. Aux yeux de l’homme, de la nourriture aurait été bien trop compliqué à administrer. Le sucre liquide lui était donc apparu comme la meilleure solution à adopter. On ne pouvait en plus pas lui reprocher d’avoir agit, d’autant plus qu’il avait été le seul suffisamment rapide pour réaliser la requête des praticiens. Hormis lui, personne n’avait cherché à trouver de quoi permettre à Sarah de se remettre plus rapidement et plus facilement de son évanouissement.
Il semblait à la belle au bois dormant tout juste éveillé qu’une jeune femme près d’elle ne lui était pas totalement inconnue mais elle ne parvenait pas à mettre un nom dessus. Comme si sa mémoire lui faisait défaut. A moins qu’elles ne se connaissent tout simplement pas, ce qui conduit la blonde à interroger la demoiselle qui semble bien surprise d’être ainsi quelque peu prise à partie par une femme comme la cheffe de marque qui se dresse devant elle. Enfin dresse… plus ou moins évidemment, puisqu’en définitive Sarah est toujours installée sur le sol pavé du trottoir. Malgré ses bégaiements, elle parvient néanmoins à plus ou moins répondre à l’interrogation de Sarah, qui ne se sent pourtant pas plus avancée après cela. Oui et non, cela ne veux pas dire grand-chose au fond. Se connaissent-elles oui ou non ? Il ne peut pas y avoir deux réponses possibles à une question à ce point fermé. C’est soit l’un, soit l’autre. Mais sûrement pas les deux. Si bien que la blondinette dévisage certainement son interlocutrice, même si c’est assez légèrement pour ne pas mettre cette dernière mal à l’aise. Mais le fin mot de l’histoire, la vraie réponse à la question de la jeune femme, finit par se faire entendre. Ainsi donc, elles ne se connaissent pas vraiment, mais cette fille dit être photographe de mode. De ce fait, Sarah pense qu’elles se sont peut-être connue grâce à leurs métiers respectifs, que cette fille aurait eut à prendre des clichés sur un projet ou un autre, peu importe. Au moins, Sarah a une idée un peu plus précise du lieu où elle a pût croiser cette à moitié inconnue.
Après s’être relevée et avoir fait fuir une foule de badauds curieux de voir ce qu’il se passe, de voir la suite des évènements, la demoiselle se retourne en direction de l’australienne qui est toujours sur les pavés, pour lui proposer de l’aider à se relever. Acceptant, la blondinette se retrouve rapidement sur pieds et parcourt les environs du regard, comme si elle espérait apercevoir rapidement le voleur ayant pris son sac. Même si elle sait bien au plus profond d’elle qu’il n’est sûrement pas resté dans les parages, cela aurait été trop beau. Grommelant, elle répond donc à l’interrogation de son interlocutrice.
«- Non en effet je n’ai pas déjeuné car je devais absolument être à l’heure à une réunion et avant ça je devais passer au bureau mais, mon sac ayant disparu, j’ai perdu tout mes papiers donc là, ce n’est même pas la peine d’aller à la réunion. Et si je rentre chez moi pour les imprimer de nouveau, je ne serai jamais à l’heure et la réunion sera terminée lorsque j’arriverais… Donc ce n’est vraiment pas ma journée comme vous pouvez le remarquer.»
Cette journée est maudite, Sarah en est certaine. Il est impossible sans cela que les éléments se déchainent ainsi contre elle, avec une telle virulence. Bon sang si elle avait sût, la demoiselle aurait prit le temps d’un petit déjeuner. Ou, elle serait restée couché à profiter d’une bonne grasse matinée, au lieu de courir la ville pour rien au final. Au moins, elle ne se serait pas évanouie devant tout le monde et personne n’aurait eut l’idée saugrenue de lui dérober le sac contenant toutes les impressions qu’elle avait fait la veille jusqu’à une heure avancée de la nuit.
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Sujet: Re: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Dim 8 Déc - 12:33
BANG BANG
Michel Conte ▽ Au seuil de la vie adulte, il est important de croire que nous créons nous-mêmes notre propre destin.
Après avoir aidé la blondinette à se relever, j’écoutais avec attention ses propos. Ma tête hochait de bas en haut tel le hochet d’un bambin, je la comprends tout à fait ce n’est vraiment pas de bol. Ce n’était pas son jour comme on peut dire. Elle cumule et j’avoue ne pas souhaiter me retrouver dans une situation semblable à la sienne un jour. En plus, même si je veux l’aider avec le voleur je ne le peux pas tant que ça, je ne l’ai pas très bien vue. Au pire je peux témoigner comme quoi il porte un chapeau et un cape, space niveau look comme même, mais à part ajouter que je l’ai vu courir avec un sac féminin sous le bras je vois rien d’autre à dire. Je n’ai même pas vu son visage alors pour témoin y a plus fiable !
- Tout n’est peut-être pas perdu…
Peut-être était le terme exact puisque deux idées étaient possibles à appliquer selon moi. Bien qu’une des deux soit un peu plus longue dans le temps et donc peu adaptable à la situation ; celle-ci étant d’aller au commissariat, porter plainte puis attendre que les gentils messieurs portant le képi fassent leur travail. Mais retrouver un voleur puis aller à un bureau puis dans la foulée retourner à une réunion même pour superman ça doit prendre un peu de temps. Donc pour un être humain n’en parlons même pas.
- Ne serait-il pas possible de retourner chez vous et essayer de faire parvenir à votre bureau le dossier pour la réunion en leur faxant ou en leur envoyant par mail ? Au moins ils l’auront.
Je plaide coupable, cette technique je l’ai déjà utilisée. Nan pas que j’aime être en retard bien au contraire mais certains de mes contrats m’obligent à envoyer des projets sans que je n’ai vraiment besoin de me déplacer. Les versions papier sont également possible mais je ne sais pourquoi j’ai toujours une petite crainte que les clichés soient perdus.
- Sinon pour votre présence… je connais plusieurs cyber café. Peut être, l’un d’eux pourrait-il vous créer une liaison avec votre agence. De ce fait vous seriez présente d’une certaine manière à votre réunion.
Les doigts de ma main droite vinrent tapoter ma bouche tandis que mes neurones eux, se menaient une guerre acharnée pour savoir si j’avais vraiment une bonne idée. Après tous mes idées ne sont peut être perçu que comme étant farfelues... . Mais je ne sais pas pourquoi j’ai envie de l’aider. Ne ditons pas que quand le destin s’acharne, il suffit d’un petit coup de pouce pour essayer de remettre tout ça en ordre ?
- Et au passage vous pourriez manger un petit quelque chose. Enfin je ne sais pas trop si ce que je vous dis peut être réalisable, mais moi je pense qu’on peut tenter non ?
Mon regard se porta sur la rue, celle-ci avait repris son petit train train même le bruit d’une sirène d’ambulance résonna de nouveau dans l’air comme si cela montrait que tout ceci était une boucle. Je me demandais si je ne pouvais pas être ce petit coup de pouce. Si y a bien une chose que ma mère m’a apprise c’est d’aider son prochain et si celui-ci ne veut pas l'être, tenter de l'aider est déjà très bien. Alors en lui proposant cette solution c’est déjà bien non ? Pourtant ça ne me satisfait pas vraiment si ça ne lui va pas.
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Sujet: Re: LIBRE ♣ Pourtant, maman a toujours dit de ne pas sauter le p'tit dej... Lun 9 Déc - 11:17
Sarah rouspétait. Ce n’était décidément pas de chance et toutes les poisses du monde lui tombaient sur le bout du nez le même jour. C’était un coup à se pendre ou à, en tout cas, rentrer chez soit pour se recoucher. Comme ça aucun autre problème ne s’abattrait sur elle. Mais la blondinette n’a pas vraiment le loisir de pouvoir retourner chez elle faire une grasse matinée puisque à cause de son corps et d’un stupide voleur des rues, elle doit rentrer pour bosser. Et si cet homme vendait les informations obtenues à la concurrence, la marque de la jeune femme était bonne pour changer de tactique commerciale car celle-ci serait contrée, ou copiée, par la marque à qui l’homme aurait revendu les papiers. Si bien que la cheffe de marque commence à envisager de devoir recommencer le travail de zéro pour trouver une autre tactique d’approche. Et dans des délais aussi courts que ceux qui sont les siens, soit la pauvre risque d’avoir un accident de santé avant d’avoir terminé soit, elle risque un problème psychologique. Car c’est un coup à vous rendre complètement taré. La brunette a déjà connu une situation similaire, avec toutefois un temps d’exécution un peu plus rapide pour se faire et cela n’avait pas été une partie de plaisir. Alors avec la moitié moins de temps c’était absolument impensable.
Alors que la jeune femme réfléchie, la fille a ses côtés parle et émet des hypothèses, qui ne sont pas des plus stupides. Si Sarah peut envoyer son projet rapidement et le défendre suffisamment vite alors la publicité peu être rapidement achevée et devancer l’éventuelle parade d’une concurrence déloyale. Mais rentrer chez elle prend du temps et la blondinette ne sait pas si elle en a beaucoup à sa disposition. Si bien qu’elle se tourne vers la fille à ses côtés, pour lui demander où sont les cyber café les plus proches. En effet, la jeune femme se souvient de s’être envoyé les documents par pièces jointes sur sa boite mail, ce qui lui offre la possibilité de tout envoyer, avant la réunion, à ses supérieurs. Le dossier n’était pas finit à ce moment là mais comme il ne manquait qu’une demi-heure de travail sur sa sauvegarde, la jeune femme avait le temps de faire quelque chose avant le début des débats.
Courant dans les rues de la ville à la suite de Salena, la jeune femme ne pense pas une seconde à manger et se précipite dans le premier cyber café qui croise sa route en remerciant la demoiselle. Sitôt la connexion payée, Sarah s’installe derrière un écran et se connecte à sa boite de messagerie pour achever le travail qu’elle envoie ensuite par mail à son supérieur hiérarchique. Un coup d’œil à l’horloge, déconnexion. La belle australienne a le temps d’être à l’heure et même celui de prendre un petit déjeuner. C’est donc tout naturellement qu’elle cherche Salena des yeux, qu’elle apperçoit un peu plus loin. Allant jusqu’à elle, Sarah lui propose alors d’aller prendre un café ensemble, si elle le souhaite. Après tout la cheffe de marque doit bien ça à cette fille qui lui a potentiellement permis de sauver quelques longues journées de travail.