✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 23.05.1989 ✔ METIER : Chef de Marque ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : A toi de voir ✔ SURNOMS : Aucun ✔ CHOSES A FAIRE : Signaler au voisin qu'il me gonfle
Ne surtout pas tomber amoureuse de lui
Me faire de nouveaux amis
Ect ✔ CITATION : L'amour c'est comme une cigarette... c'est pas si bon et ça empeste. Mais on ne peut pas s'empêcher de courir après.
Sujet: Re: pretty girls make graves (sarah&manuel) Mar 15 Oct - 6:41
Comme elle lui demande de prendre garde à ne pas faire tomber la ravissante petite fille, son voisin lui fait remarquer que, compte tenu de la position Alejandra ne risque rien. C'est vrai qu'il semble bien la tenir mais la jeune femme ne peut s'empêcher de nourrir quelques inquiétudes d'autant plus que le bébé est encore assez chétif. Ce qui doit probablement agacer Manuel car la cheffe de marque crois reconnaître, dans la voix de ce dernier, quelques notes de... d'amertume ou de reproche. Quelque chose qui y ressemble en tout cas. Et si cela la met un peu mal à l'aisé car elle comprend qu'elle s'intéresse un peu trop au bébé, l'australienne oubliera vite et ne changera guère de comportement. Parce que c'est toujours ainsi que les choses marchent pour elle.
"- Oui mais... Tiens-là bien quand même. Hein ?"
Sarah est pire qu'une mère poule en cet instant mais elle ne peut rien contre cet instinct maternel qui sommeille en elle. Bien sûr le père fait attention car c'est son enfant après tout, mais elle ne peut s'empêcher de jouer la carte de la surveillance rapprochée pour être sûre de la sécurité d'Alejandra. Ce qui est complètement ridicule, elle en a bien conscience. Et cela colore ses joués d'une belle couleur ecarlate. Elle rougit souvent ces derniers temps. Beaucoup trop souvent à son goût.
"- Pardon, c'est complètement stupide. Je me doute bien que tu ne va pas envoyer ta propre fille valdinguer contre ton plancher. Mais elle est si petite et si fragile... Et tellement mignonne aussi ! Franchement elle est magnifique. Elle ne te ressemble pas mais elle est magnifique."
Prenons ça comme un compliment dans le genre "Elle ne te ressemble pas mais elle est belle quand même" ce qui sous-entend que le papa est charmant. C'est quand même plutôt positif pour ce dernier : la voisine tant convoitée le trouve beau. Cela ne fait pas une relation mais c'est au moins un bon début, non négligeable. C'est toujours ça de pris comme on dit. Et l'homme semblant désireux de réparer ses tords, les choses pourraient bien s'arranger entre l'Australienne et lui. Au moins elle risque fort de ne plus avoir de lui la même vision qu'autrefois.
"- On va voir si tu saura t'y tenir hein ?" lance la demoiselle comme pour mettre son interlocuteur au défis. Il est vrai qu'elle ne le croit pas réellement capable de la laisser tranquille et de racheter ses fautes. Il ne tiendra pas une semaine à ne pas la suivre constamment quand elle vas à son balcon, à ne pas l'epier. Ce sera bien s'il tient deux jours, pour commencer. La blonde n'espère guère plus à vrai dire. Pourtant il semble décidé à faire oublier à la belle leur mauvais passé commun. Il est vrai qu'ils sont partis sur de mauvaises bases. Par la faute du jeune homme à vrai dire puisque, focalisé sur son envie de la séduire il n'a jamais cherché à essayer de vraiment connaître sa voisine dont il ignore d'ailleurs la profession. Preuve s'il en est besoin qu'il ne s'est jamais trop intéressé à la jeune femme et à sa vie. Et que par conséquent il n'y a que le physique fort gracieux de la blonde qui lui plait et l'intéresse. Autrement dit c'est un con. Un enfoiré superficiel, ni plus ni moins. Ce qui n'est pas pour séduire la belle.
"- Je suis cheffe de marque pour Yves Saint-Laurent. Et toi tu es pompier n'est-ce pas ?"
Oui bon. La jeune femme n'a jamais cherché à se renseigner sur le compte du jeune homme mais elle n'a guère attendu avant d'en apprendre davantage grâce aux bruits de couloir.
Dernière édition par Sarah Taylor le Mer 16 Oct - 4:16, édité 1 fois
Sujet: Re: pretty girls make graves (sarah&manuel) Mar 15 Oct - 16:00
pretty girls make graves
banalities bring no worries.
Malgré le fait que j’ai en quelque sorte fait le point sur la sécurité de l’enfant, la jolie demoiselle ne peut s’empêcher de me demander d’être tout de même prudent. Je me retiens pour ne pas rouler les yeux. Si elle croit que je la prends pour une pièce de viande, pour ma part je pense qu’elle me prend pour le dernier des incompétents. Heureusement, elle rectifie rapidement ses mots. C’est son tour maintenant de se justifier. Au moins je ne suis pas seul. Je souris et la regarde amusé alors qu’elle m’explique qu’elle est inquiète vu la taille du bébé, et encense l’enfant de compliments, mentionnant qu’Alejandra est magnifique au passage. « Même si elle ne me ressemble pas. » Je ris légèrement, sans vraiment me moquer, et regarde ma voisine dans les yeux, un vague sourire aux lèvres. « Je lui passerai le message quand elle va se réveiller. Et tu es pas mal non plus, au passage. » Est-ce que je fais allusion au « compliment » glissé plus tôt dans ses mots? Elle peut l’interpréter comme elle le veut bien, c’est son affaire. Le sérieux revient au galop alors que je lui explique ce que je voulais dire plutôt par « me rattraper » et je tente de lire au travers de son regard ce qu’elle peut bien penser de ce que je lui étale, mais sa simple réponse m’éclaire avant même que je n’aie pu tenter de l’analyser un peu. Elle ne me croit pas capable de réussir cette énorme prouesse. Un peu normal, puisqu’elle se dit encore que je ne suis même pas apte à tenir ma fille convenablement. « Je suis plutôt tenace, ne me mets pas au défi. » Je lui souris, histoire de lui montrer que je suis prêt à lui prouver que je suis capable de faire comme je lui ai dit.
Changement de sujet, maintenant la discussion devient un peu plus « normale ». Enfin, dans la mesure où une discussion entre Sarah peut être normale, admettons-le. Elle répond à ma question sur son emploi, et ça explique pas mal de choses déjà. Cheffe de marque pour Yves Saint-Laurent. Ouah. Inutile de se demander après ça pourquoi elle est si sérieuse dans la vie. Elle doit avoir de la pression et tout ça. Je serais dingue avec un emploi comme ça. Il faut dire qu’il y a aussi de quoi devenir fou à être toujours dans un bureau. J’imagine qu’elle est pas mal toujours dans un bureau, justement. Je ne connais pas trop ce genre de boulot, ça ne m’a jamais vraiment intéressé. Et il faut dire que les quelques « relations » que j’ai eu avec des filles…Celles-ci n’avaient pas tout à fait des emplois impressionnants. « Oui, pompier, c’est ça. Au moins les ragots ne se trompent pas sur tout. » Je souris légèrement. Je ne pense pas lui avoir dit un jour que j’étais pompier. Après tout, je n’ai jamais discuté de ça avec elle. Sinon j’aurais certainement su son emploi, ce qui n’est pas le cas. Je passe ma main libre dans mes cheveux, regarde le bébé puis regarde à nouveau Sarah. J’ai toujours envie d’aller border la petite, qui serait plus confortable dans son lit. « Je vais aller la mettre au lit. Elle sera plus confortable là-bas. » Je me lève du fauteuil et part en direction de la chambre, la petite contre moi. Je la change et la mets en pyjama, tentant de faire ça rapidement pour ne pas trop faire attendre Sarah, puis borde la petite dans son lit. La porte est entrouverte pour que je puisse l’entendre si elle se réveille.
Je retourne au salon pour retrouver la belle blonde, et je passe une main dans mes cheveux. Je reste debout et la regarde gentiment, croisant les bras et prenant la parole. J’essaie de prendre un ton détaché. « Je vois que tu n’as pas fini ton jus, mais est-ce que tu veux quelque chose à boire? » Je prends une légère pause et continue à parler, un sourire légèrement provocateur aux lèvres. « Je pensais peut-être ouvrir une bouteille de vin blanc, mais comme tu n’aimes pas l’alcool, je ne vais pas la boire seul. » Je plante mon regard bleu perçant dans le sien, et après quelques secondes je me retourne et me dirige vers la cuisine pour préparer le verre d’eau auquel je pense depuis un moment. C’est vrai que j’aimerais bien ouvrir la bouteille de vin, mais je ne veux pas boire seul. Pas du vin en tout cas. C’est déprimant selon moi. « Alors, tu veux quelque chose? » Je ne parle pas vraiment fort de toute façon le salon est tout près. Je l’imagine déjà me demander un coca, ou un truc du genre. Sinon rien du tout. J’attends seulement sa réponse pour retourner dans le salon.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 23.05.1989 ✔ METIER : Chef de Marque ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : A toi de voir ✔ SURNOMS : Aucun ✔ CHOSES A FAIRE : Signaler au voisin qu'il me gonfle
Ne surtout pas tomber amoureuse de lui
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Ect ✔ CITATION : L'amour c'est comme une cigarette... c'est pas si bon et ça empeste. Mais on ne peut pas s'empêcher de courir après.
Sujet: Re: pretty girls make graves (sarah&manuel) Mer 16 Oct - 4:54
«- C’est pourtant exactement ce que je suis en train de faire vois-tu ? Parce que je dois reconnaître que… je ne te pense pas du tout capable de ne pas me surveiller, de ne pas rappliquer sur ton balcon dès que je sors sur le mien… Oui voilà, je te crois parfaitement incapable de me montrer que tu sais te comporter en adulte. En fait, je pense même que tu ne sais pas agir avec les filles autrement qu’en jeune adolescent désireux de connaître de nouvelles demoiselles, d’améliorer ton tableau de chasse. Toutefois, si tu pense que tu peux réussit à chasser ces idées que je me fais de toi alors ne te prive pas, je te laisse tenter de rectifier ton image. Car oui, même si je ne devrai pas tant écouter les ragots, je pense toutefois que dans tout potin il y a forcément, au départ, un fond de vérité. J’imagine que tu es du genre homme à femme voire briseur de cœur. Et on ne peut pas dire que tu ai cherché à me montrer le contraire vu que… depuis le temps que nous sommes voisins, tu ne t’intéresse à mon emploie que ce soir. Ce qui veut bien dire qu’avant cela tu n’en avais rien à faire et que seul mon corps avait de l’intérêt pour toi. Je me trompe ?»
La jeune femme pose une question mais se doute déjà de la réponse. Non elle ne se trompe pas. Ou alors elle ne se trompe pas en plein. Il n’a jamais cherché à la connaître réellement avant ce jour, ce qui veut bien dire que cela ne l’a jamais intéressé autrefois. D’ailleurs, elle ne comprend guère pourquoi tout à coup il réagit ainsi. Il a surement comprit à quel point son comportement était insupportable et donnait à sa jolie voisine l’impression d’être constamment sous surveillance, de manquer d’air et de liberté. Peut-être s’est-il demandé comment il réagirait si les rôles étaient inversés, peut-être que c’est cela qui lui fait ainsi changer de direction, pour adopter un comportement un tantinet plus adulte vis-à-vis d’elle. Ce qui n’est pas pour déplaire à la jolie australienne : elle préfère largement ce « nouveau » Manuel à celui qu’elle a connu autrefois – bien que cela ne soit pas si lointain que ça – qui l’exaspérait, la déroutait tant et lui donner absolument tout, sauf l’envie de le connaître davantage.
«- Alors ça va, ça veut dire que mes sources ne sont pas si mauvaises que ça. Oui vas-y.»
L’homme s’éloigne avec sa fille encore paisiblement endormie, que la demoiselle suit du regard. Cette petite fille qui ne sait pas encore ce que le monde adulte lui réserve, qui ne sait rien des perversions de l’âme humaine… Cette petite chipie au sourire jovial, aux petites mains potelées, aux grands yeux qui dévisagent et donnent l’air de vouloir lire en vous… Sarah est folle de la petite Alejandra, complètement. Elle l’apprécie plus qu’elle n’apprécie le père de l’enfant à vrai dire. En tout cas, pour l’instant. Car elle se surprend à avoir hâte de voir si son voisin sera capable de gagner le défi qu’il s’est finalement lancé lui-même.
Comme il revient la jeune femme dirige vers lui son regard et remarque qu’en effet elle n’a pas terminé de boire son jus de fruit, trop préoccupée par le fait de donner à manger au bébé. Oh c’était plus agréable que de boire égoïstement un coup. Pour autant, Sarah allonge le bras et attrape le verre qu’elle porte à ses lèvres pour le vider sans vraiment se presser. Elle ne va pas non-plus passer pour une espèce de gloutonne simplement pour ne pas faire attendre son voisin planté dans le sol qui parle de vin et du fait qu’elle n’aime pas l’alcool. Ce qui n’est pas la vérité. L’australienne n’a rien contre l’alcool en lui-même. Ce qui la chagrine c’est l’abus de ce genre de boissons. Mais elle n’empêche personne d’en boire… et ne s’en prive pas non plus, même si elle fait attention, aussi.
«- Qui t’as dis que je n’aime pas l’alcool ? Tes sources sont, contrairement aux miennes, très, très mauvaises. Je ne refuse pas un petit verre de vin. La seule chose que je reproche aux spiritueux, c’est le fait d’en abuser. Pour autant je ne me prive pas d’en boire un peu en soirée ou une fois de temps en temps. Aussi je veux bien un verre.» corrige la jeune femme en adressant un grand sourire à son interlocuteur, comme pour mieux le décider à aller chercher la bouteille qu’il a apparemment tant envie de déboucher pour elle. Sarah ne va pas lui refuser ce petit plaisir et puis, si c’est un vin vraiment bon, d’un bon crû, la demoiselle ne va pas s’en plaindre n’est-ce pas ?
Sujet: Re: pretty girls make graves (sarah&manuel) Dim 27 Oct - 6:25
pretty girls make graves
bottle speech.
Je la regarde parler et fronce les sourcils alors qu'elle amorce son discours. Cette jeune et belle demoiselle devant moi est, elle aussi, plutôt tenace. Surtout pour ce qui peut avoir un lien avec mes nombreuses frasques et mes horribles défauts qu'elle déteste tant. Tout ce qu'elle me déballe, elle me l'a déjà dit, et plus d’une fois même. Elle se répète et puis moi je soupire. Je sais bien qu'elle me croit incapable de cesser de la harceler, et elle m'a aussi parlé déjà de ce fameux tableau de chasse déjà, la dernière fois. Au moins elle me laisse le bénéfice du doute, c'est déjà ça. La chance de lui prouver que je ne suis pas si terrible que j'en ai l'air. Sauf qu'il y a un léger souci. Elle a déjà une opinion qui semble plutôt fermée, vu son intérêt envers ces fichus potins qui mènent la vie dure aux gens comme moi. On ne peut décidément plus vivre en paix sans se faire juger sans cesse par la faute de ces rumeurs débiles. Les gens n’ont vraiment plus rien à foutre pour espionner ainsi la vie des gens, je trouve. Son accusation me laisse perplexe. Sous prétexte que je ne l'ai pas interrogé sur son emploi avant ce soir, je ne serais rien de plus qu'un « homme à femmes » qui ne s'intéresse qu'à son corps. Je suis plutôt vexé, mais je ne le montre pas. Elle ne me connait pas non plus et n’a posé aucune question, donc elle n'a aucune idée de ce qui se passe dans ma tête depuis qu'elle a emménagé à côté. Si ce n'était seulement que son corps, j'aurais fait mon deuil en vitesse et aurait cessé mon manège depuis longtemps. Ce n'est pas mon style de courir après une fille pendant des jours pour coucher avec elle, alors des mois, je ne me vois pas du tout perdre mon temps comme ça. « Si je te dis le contraire, tu ne me croiras pas de toute façon. » Je soupire et roule les yeux puis peu de temps après, je vais coucher Alejandra qui mérite une rencontre avec son lit qu'elle semble visiblement bien apprécier. Alors que j'attends dans la cuisine, regardant la belle Sarah et sa requête, elle boit son verre de jus qui doit être un peu chaud après le temps passé sur la table. Je retiens une petite moue à cette réflexion. Puis elle dépose le verre. J'attends toujours sa réponse pour me servir moi aussi. Et surprise! Elle me corrige sur son intérêt pour le vin, un sourire aux lèvres qui me met bien au fond de moi dans tous mes états. Je ne sais pas comment elle fait, mais la belle australienne a ce je-ne-sais-quoi qui me rend complètement dingue. Je ne réponds pas tout de suite et me concentre pour trouver la carafe. La trouvant finalement, je passe à la salle à manger pour sortir le vin du cellier. Alors que je retourne vider la bouteille du précieux breuvage dans la carafe, je lève les yeux et regarde Sarah, un air moqueur imprimé sur mon visage. « Mes sources? J'ai seulement remarqué que tu ne buvais que du jus de fruits et des boissons chaudes, du moins en ma présence. Je t'ai même emmené deux bouteilles de vin, lorsque nous avons mangé chez toi. Un rouge et un blanc, deux très bons vins. » Je verse du vin dans les verres et je réalise que j'ai l'air de sortir d'un mauvais film. Je m’assois, et je souris gentiment en regardant le vin dans ma coupe, légèrement penseur. « C’est un français, 1999. Très bon, enfin j’espère, avec les commentaires que le vendeur n’a pas cessé de me faire au magasin. Dans tous les cas, j’espère ne pas t’empoisonner. » Je souris, et attends qu’elle boive en premier pour boire, forme de politesse peut-être? J’en sais rien, j’ai seulement l’impression que c’est une bonne chose. Je bois ensuite, puis regarde Sarah. « Pas trop mauvais? » Je regarde la belle australienne et me demande si en ce moment elle n’a pas juste envie de foutre le camp en courant. Peut-être qu’elle a peur et qu’elle me prend pour un monstre, encore, et qu’à la moindre petite erreur elle me jettera son vin au visage? Je prends une nouvelle gorgée, minuscule, ne la quittant pas des yeux. « Ça doit être beaucoup de pression, ton travail. Je me trompe? » J’essaie de faire la conversation, lui prouver que je m’intéresse à elle. Et peut-être comprendre pourquoi elle est toujours autant sur les nerfs. Ça expliquerait bien des choses, avec un métier comme le sien. Je serais complètement cinglé, à sa place.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 23.05.1989 ✔ METIER : Chef de Marque ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : A toi de voir ✔ SURNOMS : Aucun ✔ CHOSES A FAIRE : Signaler au voisin qu'il me gonfle
Ne surtout pas tomber amoureuse de lui
Me faire de nouveaux amis
Ect ✔ CITATION : L'amour c'est comme une cigarette... c'est pas si bon et ça empeste. Mais on ne peut pas s'empêcher de courir après.
Sujet: Re: pretty girls make graves (sarah&manuel) Dim 27 Oct - 12:57
«- Oui j’ai vu que tu as amené des bouteilles. Mais je ne sais plus pourquoi nous ne les avons pas but ce soir là. Enfin ce n’est pas grave peut-être une prochaine fois si tu arrive à me prouver que tu peux vraiment te comporter comme un adulte et arrêter de me suivre comme un toutou. Disons que si tu arrive à tenir le pari pendant trois semaines, on boit une première bouteille ensemble. Et si tu tiens trois semaines de plus, on se boira la seconde. Et si tu n’y arrive pas et bien je trouverais toujours une amie pour accepter de boire un coup avec moi !» le nargue la jeune femme en souriant, hésitant une seconde à lui tirer la langue pour renforcer ce petit effet sans y succomber au final. Il ne perd rien pour attendre, elle trouvera forcément quelque chose pour le faire un peu «rager» assez rapidement. Si elle ne lui tire pas la langue, elle le narguera d’une autre façon, qui sera plus correcte c’est tout. Mais il ne coupera pas à la perfidie de sa jolie voisine qui s’amuse de le taquiner ainsi, dans un état d’esprit quelque peu bon enfant.
L’homme commence à servir les verres et la demoiselle jette un coup d’œil appréciateur à la jolie couleur qu’affiche la boisson. Et elle se doute que c’est un très bon crût, bien avant que le jeune homme ne lui donne l’année, en jetant un simple regard à l’étiquette indiquant le domaine où a été vendangé le raisin. De ces bonnes bouteilles que l’on débouche lorsque l’on a à dîner des gens que l’on aime bien, ou que l’on souhaite impressionner et séduire par le goût du vin. Comme son patron par exemple pour obtenir une augmentation. Ou une jolie voisine dont l’ont voudrait bien obtenir les faveurs et qu’il serait plaisant de radoucir avec un bon vin. Est-ce là ce que le jeune homme cherche à faire ? Sarah ne pourrait le dire avec certitude mais c’est bien là l’idée qui lui traverse l’esprit un court instant alors qu’elle prend le verre pour le porter à ses lèvres. Comme une grande œnologue, la demoiselle agite le verre pour regarder si des bulles restent contre ce dernier – signe que la boisson est bien sucrée – lève le verre pour observer la couleur du contenu une fois mis à la lumière, puis elle se décide à plonger les lèvres dans le vin pour prendre une petite gorgée afin de gouter, avant de boire plus franchement : c’est une bouteille effectivement bonne. Sarah ne regrette pas le moins du monde que son hôte ait eut l’envie de l’ouvrir. Elle connaissait le domaine dont il était question mais n’avait jamais gouté une bouteille de 99 de cette appellation-là. C’était une découverte. Une délicieuse découverte. Et son palais se régale par avance de la deuxième gorgée du spiritueux que la jeune femme ne tarde pas à prendre avec une certaine gourmandise.
«- C’est vrai que c’est une bonne bouteille !» reconnait la demoiselle en s’adressant à son hôte, appréciative de l’alcool qu’il lui offre de boire, en lui adressant même un sourire alors qu’elle repose le verre sur la table. «Tu l’a acheté où ? Je n’en trouve pas là où je fais mes courses et dans les épiceries fines bonjour le prix ! Je préfère aider les plus démunis en leur donnant cent dollars que dépenser la moitié de cet argent pour boire un verre ! Quand à mon travail oui c’est vraiment beaucoup de pression mais je crois qu’en ce qui concerne le tiens c’est pareil non ? Il y a plusieurs métiers où il y a de la pression, je dirais.»
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : Le 8 mars 1990 ✔ APPARTEMENT : 1b.2 ✔ METIER : Assistante directeur dans une chaine TV. ✔ CUPIDON : Si j'attrape ce petit bébé, je lui fais payer tous les sales coups qu'il m'a fait ! ✔ HUMEUR : Toujours souriante ! ✔ SURNOMS : Elie, Eliza, Elychou... ✔ CHOSES A FAIRE : ~ Travailler.
~ Devenir riche.
~ Trouver une idée géniale pour être célèbre.
~ Tomber amoureuse.
~ Faire les courses.
~ Etre heureuse et profité de la vie. ✔ CITATION : Et tout a cou tu te rends compte que tout et fini, pour de bon. Il n'y a pas de marche arrière tu le sens. Et puis tu essayes de te rappeler a qu'elle moment tout a commencer puis tu découvre que c'est plus vieux que se que tu pense, et c'est la seulement a se moment que tu réalise que les chose n'arrive qu'une fois. et quels que soient tes efforts tu ne ressentiras plus jamais la même chose tu n'auras plus jamais la sensation d'être a trois mètre au-dessus tu ciel.