[b]When your secret heart
Cannot speak so easily Come here baby, from a whisper start To have a little faith in me When the road gets dark
And you can no longer see Let my love throw a spark
[/b]
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé ✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés.
Sujet: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Dim 6 Oct - 17:00
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
5 jours et 10 heures étaient passés depuis mon réveil. Le lendemain de ce fameux bal. Je n’avais pas baissée les bras. Pas du tout même si mon emploi du temps ne me permettait pas vraiment d’être en sa présence. Nous nous voyons en coup de vent mais lors de ces coups de vents, j’étais moi-même. La séductrice. Je n’avais pas hésité à me balader en lingerie fine dans le salon hier par exemple. J’avais aussi déplacée le baiser de sa joue au coin de ses lèvres parfois. A d’autres moments, je remplaçais toujours mon sourire par ce petit regard séducteur. Pour moi, j’allais pile dans un mur. C’était peine perdue car je n’allais pas y arriver. Je partais presque perdante dans mon esprit pourtant cela ne m’arrêtait pas car dans le fond, je n’abandonnerais pas tant qu’il ne me le demanderait pas. Bien sûr, ce soir, j’avais ma soirée. Il fallait avouer que j’avais passée aussi la journée à la prévoir. Je m’étais levée assez tôt pour aller faire du shopping matinal. Il me fallait une belle robe mais rien ne m’avait réellement plu. En automne, ce n’est pas simple. J’avais optée pour un nouveau slim moulant et un chemisier assez décolleté même transparent. C’était parfait avec un soutien à gorge noir. Ensuite, j’étais passée par chez le coiffeur, quelques petites retouches. Rien de trop, juste assez que pour me donner un nouveau souffle. Rien que ça suffit à mettre de bonne humeur. Une petite manucure aussi pour bien faire l’ensemble. Ensuite, j’étais allée faire les courses. Il me fallait les ingrédients pour ce fameux diner parfait que j’avais prévue. Son plat favoris car je ne fais jamais rien à moitié. Une fois que j’avais tout dans les bras, chargés, j’étais allée mettre tout dans le frigo. Toutes les courses bien sûr et pas les fringues. Soyons intelligents, voyons. Une fois tout dans le frigo, j’avais vu ce bac à linge que j’avais oublié hier. Il fallait faire la lessive et je devais avouer ne pas réellement avoir le temps en ce moment. Enfin, on s’en fiche. Je lançais alors tranquillement le repas avant d’aller amener ce bac à la laverie. Je lançais une machine en revenant à l’appartement tout simplement pour continuer le repas. J’étais allée me reposer devant la télévision, aussi. Encore dans ma tenue de journée cependant. J’étais allée vider la machine propre pour mettre le tout au séchoir. Un à un. Par étonnement, je tombais sur un short rouge en dentelle. Très joli bien que ce n’était pas ma taille. Mince. Ce n’était pas la mien. Sur le coup, j’avais comme un léger pincement. Un tout petit mais assez que pour me zapper légèrement le moral. J’inspirais doucement en regardant alors vers le reste de la machine. Je mettais le tout au sèche-linge car pas le choix. Je devais avancer dans mon idée et ne pas baisser les bras. J’inspirais doucement en rentrant alors pour m’apprêter pendant que la machine séchait. J’étais allée surveiller la cuisson qui devait mijoter un peu. J’avais l’impression que le monde allait simplement s’évanouir autour de moi. Oui, sur le coup et pendant un coup instant, je me demandais à quoi tout cela servait mais pourtant je ne voulais pas arrêter. C’était tellement étrange mais mon cœur me poussait à continuer mais à arrêter également car j’avais peur que plus je continue, plus il pourrait en souffrir. Lui, ce petit organe. Je ne voulais pas prendre le risque mais bon. Je me maquillais avant d’aller rechercher la machine séchée. Je la pliais sagement. La journée avait donc totalement défilée sous mes yeux. Totalement et il fallut un bon moment avant que je ne me rende compte qu’il n’était pas encore rentré alors qu’il le devait d’après son emploi du temps. J’avais tout prévue, je lui avais proposé justement ce diner. Peut-être pas dans la même optique mais il était un peu en retard même si on n’avait pas réellement une heure précise. Je m’en fichais. Je mettais simplement la table en l’attendant. Tout simplement. Zen. Mais comment faire ? J’avais réellement du mal à garder les pieds sur terre et reste calme. Ce boxer dans la bouche de mon slim ne pouvait que me rappeler que je pouvais être bien idiote en ce moment. Un peu trop même. C’est alors que la porte s’ouvrit que je me forçais à faire ce grand sourire, toujours séducteur en me retournant vers lui. « Tu es en retard, encore un peu et je ne t’attendais plus ! », hum hum… ou pas. Dans quel monde ? Je l’aurais attendu mais il fallait bien que je le taquine un peu, nan ?
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Lun 7 Oct - 2:53
C'était à prévoir le lendemain du gala au Casino j'avais eu une gueule de bois horrible, le lendemain avait été rude et puis la routine avait ensuite repris le dessus. Presque une semaine déjà et j'avais l'impression qu'avec Pearl nous nous rations sans cesse, nous n'avions pas passé trop de temps ensemble depuis cette soirée et malgré tout je pense qu'elle le faisait un peu exprès. J'avais continué à faire comme d'habitude bien que je m'en voulais un peu d'avoir pu faire un peu le con avec les effets de l'alcool, mais c'était fait et ma meilleure amie n'avait pas abordé le sujet de nouveau. A vrai dire elle semblait même bien, plutôt de bonne humeur avec un petit quelque chose de libéré... Enfin ça c'est mon interprétation. Pourquoi je pensais ça ? Et bien son attitude tout simplement qui me mettait sur cette voie, notamment le fait de l'avoir vu se balader en lingerie dans notre salon. Le spectacle si je peux appeler ça comme ça n'était pas déplaisant loin de là mais c'était tout de même un peu étrange pour moi. Nos emplois du temps ayant des difficultés à s'accorder, Pearl m'avait proposer un dîner ce soir pour que nous puissions passer un peu de temps ensemble. J'appréciais cette attention de sa part, ça prouvait qu'elle ne voulait pas que l'on s'éloigne malgré tout, même si tout n'était pas simple depuis qu'elle m'avait avoué ses sentiments. Donc j'avais accepté avec plaisir la proposition de se retrouver pour manger tous les deux, discuter, rire, enfin tout ce que l'on fait quand nous sommes tous les deux.
Si les jours suivant la soirée au Casino avaient été plus tranquilles en comparaison à ceux qui l'avaient précédé, le rythme était de nouveau plus soutenu. L'arrière saison attirait bon nombre de touristes retraités qui profitaient bien de cette période plus creuse que les mois d'été. Beaucoup de gros clients mais aussi pas mal de tricheurs en tout genre venant là pour essayer d'arnaquer ces vacanciers d'un autre genre. Nous avions pas mal de pain sur la planche à la sécurité et je finissais souvent assez tard. Pour ce soir je voulais faire un effort mais c'est toujours quand on prévoit de partir un peu plus tôt qu'un événement vous retient... Je voyais l'heure tourner mais je ne pouvais pas partir comme ça en laissant mon équipe se débrouiller. Donc je faisais mon boulot au plus vite avant de quitter le Casino en laissant à une personne de confiance le soin de veiller à ce que tout se passe au mieux. J'étais en retard par rapport à l'horaire que nous avions plus ou moins convenu mais Pearl savait ce que c'était que de bosser à la sécurité.
Enfin arrivé, j'entrais dans l'appartement accueillit pas une odeur super agréable à laquelle je devinais tout de suite ce qu'elle avait préparé : mon plat favoris ! Aussitôt la porte refermée, Pearl me fit remarquer que j'avais du retard « Je sais, galère de dernière minute au boulot. » je lui adressais un large sourire « T'as préparé ce à quoi je pense ? Sérieusement ? » je me mettais à rire « J'ai la meilleure colocataire et meilleure amie qui existe je crois. » j'allais l'embrasser sur la joue « Merci Pearly. ». Je reculais pour la regarder plus attentivement « T'as fait chauffer ta carte bleue non ? » Bon elle a une tonne de fringue alors peut-être que je dis une connerie et qu'elle a cette tenue depuis un moment, par contre il y a un truc de changé en elle sauf que je n'arrive pas à dire quoi. Je prenais un des deux verres de vin sur la table « A cette soirée entre amis alors ! » je trinquais avec elle et buvais une gorgée « J'ai pas bu une goutte d'alcool depuis la soirée du gala... Je serais soft ce soir, le boulot a suffit à me fatiguer. ».
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Lun 7 Oct - 3:48
Pearl ♥ William
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Etre organisée, une chose dont je montrais la qualité bien nombre de fois. Après son anniversaire planifié, je pense que l’on ne pouvait carrément plus oublier que j’étais une vraie maniaque de l’organisation. Et pas seulement dans ce domaine mais ça, c’est un autre sujet. J’avais passé une journée à me préparer pour le prouver pourtant par moment, je pouvais être clairement désorganisée. N’allez pas voir mes papiers car eux, c’est le fouillis. Il n’y a cependant que moi qui m’y retrouve mais chut. Personne ne le sait. Là était encore une de ces soirées que j’avais montée du pied à la tête. Le repas et même prévue quelques dvds pour l’après. Rien de bien compliqué en fait mais cela demandait quand même du doigté pour choisir un film qui nous conviendrait à tous les deux. Le repas mijotait et lui, il arrivait. Un peu beaucoup au retard. Bon, il sait que je suis rancunière mais quand même, là, je ne l’étais pas. Je tentais tout de même de jouer le jeu de la fausse rancune. Ce boxer m’y était un peu, non ? Il me disait : hais-le mais je ne voulais pas le haïr. J’avais beau essayer et bah non. « Humm… ouais, j’accepte l’excuse alors mais bien par ce que ton sourire est attendrissant ! », oui enfin attendrissant n’était pas réellement le mot mais rien qu’à voir son sourire, je voulais en faire mon diner et le rôtir dans mon lit. Oui, à ce point. Mince quoi, je suis une humaine. J’ai mes envies et mes pulsions surtout. Sa question me fit sourire, il ne me pensait pas capable de lui faire plaisir à ce point ? Mais là, paf. Prends ça dans ta tête… au meilleure amie et colocataire. Mince, c’était gravé. Sur ma tombe, cela finirait aussi en gros caractère. Pour dire que je passe encore plus pour imbécile, quoi. Oui, je me demandais si je n’avais pas tout de même ce boxer qui me restait coincé entre les dents. J’avais l’impression de l’aimer mais aussi de cacher le fait que je lui en veuille un peu mais pourtant je savais qu’il n’y était pour rien. Nous ne partagions pas les mêmes sentiments donc. Je lui souriais tout de même car en le voyant, mince, je ne pouvais pas faire autrement. Autant dire que je me sentais comme toutes les femmes ridicules qui aiment et se montre… naïve même si ce n’est certainement pas le bon mot ou le seul dans mon cas. Je savais qu’il fallait que je me reprenne en caractère, j’allais le faire mais le fait que cela ne soit pas réciproque me rendait plus faible. Bizarre ? Surement ou une excuse mais je n’avais jamais été pareille avec les hommes sauf que c’est William… c’est mon meilleur ami et aussi que je n’ai jamais aimée un homme comme j’ai l’impression de l’aimer. Il fallait cependant que je ne montre pas ce qu’il venait de dire… des simples mots qui me ramenaient à la réalité. Je ne suis que ça. Même si c’est déjà beaucoup et plus que je ne pourrais l’espérer. « De rien ! », soufflais-je simplement. « C’est bien ce que tu penses… heureux ? », demandais-je en lui souriant. Cette question dont pourtant la réponse était assez évidente pour s’en trouve stupide même si les questions stupides n’existent pas réellement sauf quand elles sont inutiles. Je mettais l’essuie que j’avais en main sur le plan de travail alors qu’il me regardait et remarquait même que j’avais changée de garde de robe. Sur le coup, je ne savais pas quoi dire. Il ne me regardait pas réellement mais remarquait mes nouvelles tenues ? Je buguais légèrement mais me reprenant assez rapidement en secouant doucement la tête. « Oui ! Ça te plait ? », demandais-je comme une abrutie car oui, mince, cette question était partie toute seule. Un peu comme sortie de mes pensées. « Je vous faire ressortir la femme en moi, un peu plus sexy ! », rajoutais-je pour peut-être contourner sa réponse ? Pourquoi ? Bêtement par ce que je ne voulais pas être déçue. J’avais cette crainte. C’est quand il me tendit un verre que je réalisais que la vie continuait à cette question et qu’il fallait avancer. Oui, oui. Je prenais le verre en souriant. « Merci ! », lui disais-je donc en rajoutant ce petit regard séducteur en l’entendant revenir sur le sujet du gala. « Mince, j’aimais bien quand tu étais bourré… tu m’embrassais ! Dommage… je voulais justement te saouler mais zut ! », oui, c’était peut-être de l’humour plus que de la séduction quand je disais ça car la forme qu’il avait utilisé m’avait surtout blessée sans réellement me blesser. Oui, cherchez le souci dans mon cerveau, vous ne le trouverez jamais. « Blague à part ! », je souriais en prenant une gorgée de mon verre alors que nous avions trinqués. « C’est mon tour ! », oui, mon tour de faire la pochtronne. Je m’approchais alors en déposant un baiser sur sa joue avant d’aller chuchoter à son oreille. « Tu devrais aller te changer car le costume m’a toujours fait de l’effet ! », lâchais-je alors d’un murmure à l’oreille de mon meilleur ami en déposant hop… un baiser au creux de son cou. Bon, il était peut-être de trop mais là, mon intention était juste de lui dire : mon pote, t’es canon comme ça mais j’avais trouvé une façon plus classe de le faire comprendre. Je souriais, me mordillant des lèvres avec ce petit air que je gardais. Ce petit regard séducteur, oui. « Tu as passé une bonne journée à part la journée crevante ? », demandais-je alors à celui-ci tandis que je finissais mon verre d’une vitesse fulgurante. J’en avais besoin pour oublier que si je mettais la main dans ma poche, elle se baladait dans un boxer propre.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Lun 7 Oct - 10:54
« Ouais ! Heureux ! » répondais-je avec entrain, Pearl ne pouvait pas mieux tomber pour me faire plaisir que d'avoir préparé mon plat favoris surtout qu'en cette fin de journée j'avais faim. Me connaissant autant qu'elle pouvait me connaître ça n'était pas difficile de me faire plaisir mais l'attention me touchait vraiment. Je remarquais aussi qu'elle avait fait une petite séance de shopping, j'ai l’œil pour un mec, hein ? Bon j'ai pas trop de mérite, je sais que son temps libre se passe souvent dans les boutiques quand le ménage est terminé bien entendu... Elle confirmait que c'était une nouvelle tenue et me demandait si ça me plaisait, question piège ? J'allais répondre mais elle ajoutait que c'était pour affirmer la femme qu'elle est et être plus sexy, je hochais la tête « Ça te va bien. » autant être honnête même si je sentais la séduction derrière sa remarque et que c'était toujours un peu bizarre pour moi. Je m'autorisais un peu de vin malgré mon écart au champagne d'il y a peu de temps mais je prévenais d'entrée de jeu que je n'abuserais pas. La réaction ne se fit pas attendre de la part de ma meilleure amie qui déclarait spontanément que c'était dommage car alcoolisé je l'embrassais. C'était un détail de la soirée que j'avais préféré ne pas aborder, inutile d'en faire un plat j'avais bu et je fais des trucs stupides quand je bois. Je lui adressais un petit sourire gêné « Ouais... Me faire boire. Bah mon foie m'en voudrait je pense. » autant le prendre à la plaisanterie même si j'aurais vraiment voulu qu'on ne parle pas de ça, comme si rien ne c'était passé en fait.
Pearl affirmait que c'était son tour en buvant une gorgée de vin et j'arquais un sourcil « Tu compte finir dans le même état que moi l'autre soir ? » saoule elle était infernale... J'admets que toute personne bourrée est un peu chiante, mais Pearl à la palme de la pire ! Je voulais en profiter pour la taquiner un peu là dessus mais elle s'approchait pour me chuchoter quelques chose à l'oreille alors que nous étions seulement tous les deux, un prétexte pour installer une certaine proximité, je connais bien le truc. Donc elle m'indiquait que le costume lui faisait de l'effet et qu'il vaudrait mieux que j'aille me changer, sinon quoi ? Elle comptait me sauter dessus ? J'eus un petit rire qui se stoppait net quand je sentis ses lèvres dans mon cou, je fis un petit mouvement de recul mais elle s'éloignait déjà avec un air qui habituellement ne m'étais pas réservé. Elle jouait à quoi au juste ? Me sortir le grand jeu ? Ma meilleure amie me drague et je ne vais pas dire que je n'aime pas ça parce que ça serait mentir mais il n'y a jamais eu de ça entre nous ! Perturbé par cette nouvelle attitude adopté par Pearl j'étais conforté dans l'idée que ce soir ça serait un verre de vin et pas plus, qui sait ce qu'elle pourrait faire et surtout qu'est-ce que moi je pourrais faire. Je ne devais pas perdre le contrôle car ça ruinerait notre amitié et lui briserait le cœur par la même occasion, d'une pierre deux coups que je ne voulais pas nous infliger.
Je haussais les épaules à sa question, ma journée avait été longue et animée mais pas trop galère « Oui ça va. Longue et fatigante, pas trop chiante cependant. » moitié moitié dirons nous, elle aurait pu être pire mais elle aurait pu aussi être mieux. J'avalais une gorgée de vin « Et toi ? » je savais déjà qu'elle avait cuisiné et fait du shopping, c'est déjà pas mal mais elle avait très bien pu faire autre chose que je ne savais pas. Je posais mon verre sur la table « Bon je vais me changer. Je voudrais pas que tes hormones bouillent de trop. » je lui fis un clin d'oeil et partait dans ma chambre enlever mon costume, je gardais la chemise et mettais un jean à la place de mon pantalon. Une tenue bien plus décontractée qui je l'espérais ne lui donnerait pas trop d'idées. Je revenais pour me mettre à table et m'installais « Ça me fait vraiment plaisir que tu ai pensé à cuisiner mon plat favoris pour ce soir. » je sais pourquoi elle fait ça et je la comprends, mais au delà de la raison des sentiments je sais que c'est une fille en or, bien pour cela qu'elle se trompe de gars avec moi mais elle finira par ouvrir les yeux.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Lun 7 Oct - 21:06
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Mêler séduction et taquinerie n’était pas toujours un bon mélange. Il fallait avouer que cela pouvait rapidement tuer l’amour même enfin sauf qu’amour il n’y a pas dans ce cas mais on s’en fiche, je me trompe ? Je sentais tout de même qu’il avait une réaction presque… enfin je ne peux pas trouver un mot mais dans ses mots, dans ses phrases donc ce qu’il me disait, je sentais une sorte de détachement. C’était un peu comme s’il fuyait et le pire, je pouvais le comprendre mais comment le mettre plus à l’aise ? Le remède miracle n’existe pas en fait. Pas du tout même. Comment pourrait-il exister si ce n’est par la magie du saint esprit ? Je n’en savais rien. Je savais pertinemment que ça prendrait du temps. Ce n’est pas d’un claquement de doigt que paf, il allait me voir autrement. Je n’étais pas au bout de mes peines et je n’étais même pas impatiente car le bon vin se bonifie avec le temps. Je me contentais de sourire alors que j’avais parlée de ce fameux soir ou même de ma tenue qu’il pourrait apprécier ou non. Que faire d’autres à part sortir les dents ? Et pas pour le manger. Je sais que je suis affamée mais quand même. Et là, sa question à propos du vin me fit rire légèrement. « Nop ! », soufflais-je naturellement en haussant les épaules sans rien ajouter. Ce n’était pas au programme, pas du tout même cependant j’avais besoin de ce léger petit verre pour tenter d’oublier ce petit boxer. Sisi, il est dans ma tête, il m’obsède. Je ne sentais même pas sa tentative de recul alors que je déposais un baiser au creux de son cou. Pas du tout même. Je m’en fichais un peu car il fallait réellement que je m’y fasse. La séduction n’est jamais chose facile avec William dans ce cas. Un autre serait déjà passé dans mon lit mais le souci étant que je n’en voulais pas d’autres. Naïve jusqu’au bout des ongles et oui. Et là, questions banales, sa journée. Oui, aussi banale que ça avant de finir mon verre. J’écoutais sa réponse attentivement en souriant. Bon, c’était déjà bien si elle n’était pas chiante mais là, mon tour. Je riais en le regardant. « Parfaite pour la détente… Courses, shopping, ménage et… enfin voilà ! », oui en fait, j’avais un temps d’arrêt puisque qu’effectivement, j’avais dans l’idée de ne pas parler de la lessive de suite, l’on ne sait jamais. Je ne voulais pas encore en venir au fait. Je devais conserver cette soirée à sa base initiale. Le but était de la gâter comme un prince. Il n’est roi que le jour de son anniversaire. Hein, voyons. Et là, il allait se changer, je riais en l’entendant et puis ce clin d’œil, merde. Bon dieu mais il le faisait exprès ou pas ? Je ne savais pas pourquoi mais je préférais ignorer ça pourtant je n’y arrivais pas. « Ils bouillent tout le temps, William ! », soufflais-je sans être certaine d’avoir eue le temps de le dire avant qu’il ne soit allé se changer mais on s’en fiche car c’était dit. S’il l’entendait ou non cela serait à redire. Je n’avais pas peur qu’il ne le sache pas. Sûre de moi, oui, un peu. Enfin le plus que possible car sûre de l’effet sur lui ? Pas du tout. Je m’occupais alors à regardant rapidement comment se passait la cuisson du coq au vin ou du couscous ou de la moussaka (ahah) en allant surveiller la température. Quand j’entendis sa voix, je me retournais vers lui en le regardant attentivement. Je ne savais que dire car oui, soucis. Il était toujours aussi sexy. Je buguais sur le coup en penchant doucement la tête alors que j’avais une belle vue sur ses fesses là. Je me mordais doucement les lèvres en riant. « Tu le fais exprès ? », lui demandais-je alors avec mon petit air coquin sur le coup. « Caliente le derrière ! », soufflais-je en haussant les épaules. Oui, bon, d’accord que là, je le taquine mais quand même… je dis la vérité car son popotin est tout simplement à croquer dans ce jeans. Je pourrais le mettre au four pour le dessert, je vous jure. J’approchais alors en lui souriant. « Ce n’est qu’un plat, William et puis ça me fait plaisir ! Ce n'est pas comme si je ne l'avais pas fais dans le passé enfin la seule différence c'est que cette fois, je sais que c'est avec amour. », disais-je avant de passer une main sur la mèche de ses cheveux qui était trop sur son front à mon gout mais me faisait de l’œil. Et hop, encore un petit geste attentionné envers lui. Pas le temps de me retenir à ne pas en faire. « Mais je suis un amour, je n’ai pas sortie les chandelles… ou pas encore en fait ! », je lui souriais, un grand sourire. Un peu charmeur bien que grand. Une petite moue toute mignonne alors que je pivotais sur moi-même. « Et c’est prêt, je pense. Tu goutes ? », je retournais à nouveau vers la cuisson en prenant une cuillère en argent et retirant le couvercle avant de prendre une cuillère de la sauce et lui tendre en gardant ce petit air charmeur. Il ne décollait plus depuis ce sourire. C’est comme les perles, une fois qu’elles sont accrochées, elles ne décrochent plus.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Mar 8 Oct - 1:25
Rien de bien surprenant au programme de Pearl, j'avais déjà tout deviné. Trop fort je l'ai dit ! Changer de ville n'avait pas changé ses habitudes, du moins pas totalement et c'était bien comme ça. Pearl sans sa maniaquerie ou son goût pour les heures de shopping ça ne serait pas totalement elle. Ce qui avait changé en revanche c'était sa façon de me regarder et son attitude à mon égard, j'avais déjà remarqué à la soirée au Casino mais j'avais pensé que c'était l'ambiance globale et visiblement ce n'était pas le cas... J'allais m'y faire ou peut-être pas. A peine revenu de m'être changé sous les recommandations de ma meilleure amie, elle me demandait si je le faisais exprès. J'arquais un sourcil ne comprenant pas vraiment la question et elle en rajoutait, complimentant mes fesses ce qui était flatteur. « Merci. » répondais-je en lui adressant un petit sourire en coin.
En approchant comme ça Pearl avait presque des allures de prédatrice et j'avoue qu'être la proie ça me changeait. Je l'avais à nouveau remercier pour son idée de dîner, elle argumentait que ce n'était rien qu'elle n'ai déjà fait sauf pour l'amour avec lequel elle avait fait cela. Petite précision qui eu le don de me mettre un peu mal à l'aise et en plus de ça qu'est-ce qu'elle faisait ? C'était quoi ce truc de remettre une mèche de mes cheveux en place ? Surpris je ne bougeais pas mais j'avais failli lui prendre le poignet pour qu'elle arrête. La laisser faire n'était pas vraiment bien de ma part je le savais. « Évite les chandelles... » lâchais-je tout de suite après sa remarque « T'es maladroite, tu pourrais mettre le feu à la nappe. » ajoutais-je avec un air taquin, c'était ma meilleure arme pour lutter contre ses assauts dont je ne savais pas vraiment quoi faire. Docilement je gouttais le plat et hochais la tête « Ouais c'est bon. » disais-je en allant m'asseoir à table pour déguster ce dîner et apaiser ma faim par la même occasion. Faisant abstraction de ce jeu de séduction de la part de Pearl je mangeais tranquillement et assez silencieusement, enfin je savourais tout simplement et ça se passait de mot. La soirée se passait bien mais j'avais la drôle d'impression que j'allais me faire prendre dans un piège, qu'une fois le dessert manger ma meilleure amie passerait peut-être à la vitesse supérieure et j'appréhendais parce que ça signifierait que je devrais la repousser donc lui faire du mal malgré moi. Je le sais depuis ce soir où elle m'a tout avoué, c'est une impasse et notre amitié est vouée à se terminer à un moment où un autre. Elle est prisonnière de ses sentiments et j'en suis en quelque sorte l'otage aussi, un beau bordel en prévision.
Terminant mon assiette, enfin la deuxième plus exactement je finissais mon verre de vin également et regardais Pearl « Je crois que j'ai un peu trop mangé. » la faim n'était plus qu'un souvenir « Fais pas trop de soirée de ce genre parce que je vais grossir à vu d’œil. ». Je soupirais et me mettais ensuite à rire, un peu nerveusement « Et arrêtes de me regarder comme ça, je suis pas le dessert... » je n'étais pas totalement indifférent à tout ça, je reste un homme et Pearl est jolie mais justement ça n'aidait pas du tout à ce que je ne sois pas tenté de jouer. Ou alors être le pire des connards lui ferait comprendre une bonne fois pour toute que ce qu'elle espère de ma part est impossible ? Non, non et non c'était exclu.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Mer 9 Oct - 11:26
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
La chandelle, cette chose que l’on peut voir en 36 fois quand nous sommes un peu sonnées. Etre un peu sonnée ? Je l’étais parfois grâce à ma maladresse qui ne pointait le bout de son nez que quand j’étais dans un élément de vie. Non, pas à Las Vegas alors que je course les crétins. Quelle poise car là, ça pourrait être drôle mais non, je rate les marches, je me prends les armoires ou même les fenêtres, je me casse la gueule dans les tapis et j’en passe. Etre une femme maladroite peut craindre surtout quand on a la peau qui marque assez vite. Par malchance, je l’avais même si cela partait rapidement. Il m’avait tout de même retiré un rire alors qu’il me pensait pouvoir mettre le feu. Je souriais doucement en secouant la tête, quel petit comique. « Hin hin ! », me contentais-je de souffler alors que je lui faisais gouter pour ensuite passer au repas. Tout semblait bon même si à mes yeux, il manquait de sel, peut-être de poivre un peu mais c’était dans le fond une appréciation personnelle car je haïssais gouter aussi mes propres plats. Je les faisais toujours gouter mais jamais je ne les goutais. Etrange ? Oui mais je suis ainsi. Cette fille loufoque. Je ne pouvais pas arrêter de penser à ce boxer qui se trouvait non loin, collé contre mon jeans qui le séparait de la dentelle de mon string. Oui, c’est la vie. Ils étaient en instance de divorce car j’avais remarquée pendant le repas qu’il voulait s’échapper le mignon et sortir de ma poche. Coquin. Bien sûr le repas avançait. Je n’avais pas encore parlée du dessert qui attendait dans le frigo sagement enfin dans le frigo et dans le congèle. J’arrivais au bout de mon assiette, naturellement. Comme d’habitude quand ce n’est pas mon fort d’être « sans pensée », je me forçais pour aller au bout. Le boxer touchait énormément ma faim. Plus que je ne le voudrais en fait. Et le manque d’assaisonnement que je sentais était aussi coupable. Mince. Je ne suis qu’une cinglée mais je l’assume. Je le regardais toujours avec un léger air séducteur, plus tempéré quand même que plus tôt. Il fallait avouer que j’avais du mal à trouver un juste milieu. Je souriais doucement en l’entendant dire qu’il avait trop mangé. « Morfale ! », soufflais-je donc rapidement en guise de taquinerie mais en fait, j’étais happy qu’il trouve ça bon. C’était le genre de trop qui même sans qu’il le dise me faisait même légèrement rougir. Je suis une femme, au secours. Je riais aussitôt en l’entendant et haussant les épaules avant de l’entendre me réprimander sur le regard. J’attrapais alors la serviette qui était à côté de ma main en le regardant toujours mais lui balançant celle-ci qui était propre bien entendu, sur la tête. « Hey ho, je te regarde comme je veux et tu es le dessert pour mes yeux cependant le vrai dessert arrive dans une demi-heure ! », je souriais doucement en me levant et approchant de sa chaise avant de me pencher à son oreille. « Et puis je ne te regarde pas comme si tu étais le dessert mais comme si j’avais envie d’aller te rôtir dans le canapé… », soufflais-je avant de me redresser avec cette voix tellement charmante, pleine de tentation mais aussi sensuelle et calme mais je n’étais pas calme. Non, pas du tout mais je semblais bien m’en sortir pour jouer le jeu de la fille sans stress. Non ? Souriante, je le regardais en reculant vers la cuisine. Je reprenais une bouteille d’eau alors que nous avions vidés celle qui était sur la table pendant le repas. Je la ramenais en me remplissant alors un verre. Je le regardais en souriant. « T’en veux ? Si je veux te rôtir, faut bien t’hydrater ! », lui disais-je alors en présentant la bouteille devant lui. C’était de l’humour, tellement sur le coup et une façon pour moi de m’exiler cette idée qu’un boxer trainait dans ma poche. Si c’était le mien, cela serait tellement plus simple.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Jeu 10 Oct - 2:46
Un morfale ? Je ne voyais pas du tout de ce dont Pearl voulait parler. En même temps elle avait préparé mon plat favoris, alors je n'allais pas bouder mon assiette c'est logique, non ? Certes je m'étais resservi et du coup j'avais un peu trop mangé mais de là à me traiter de morfale ! Je haussais les épaules et répliquais avec le sourire « Juste un mec qui a apprécié le dîner. ». Niveau nourriture tout allait donc pour le mieux, par contre pour son attitude à elle j'avais du mal à faire abstraction de ce regard qu'elle posait sur moi. Je lui en faisais alors la remarque en prenant le ton de la plaisanterie et j'eus comme première réponse une serviette qu'elle me lançait au visage, sympa hein ? Le dessert pour ses yeux... Je dois prendre ça comme un compliment mais je trouvais surtout ça drôle. J'arquais un sourcil, surpris par le temps d'attente entre le plat que nous avions terminés et le dessert « Euh il est pas prêt le dessert ? » demandais-je simplement. Pearl se levait et je pensais qu'elle allait dans la cuisine chercher ce fameux dessert plus tôt que prévu finalement mais c'était sans compter sur sa ligne de conduite de la soirée qui consistait à jouer carte sur table. Elle chuchotait à mon oreille et je faillis éclater de rire. Venait-elle vraiment de me dire ça ? Aller me rôtir sur le canapé ? Elle reculait en gardant ce petit air de séductrice et moi je me mettais finalement à rire parce que je ne pouvais pas me retenir d'avantage.
Le pire c'est que Pearl restait sur son idée et en rajoutait une couche en me proposant de l'eau pour bien m'hydrater avant de me rôtir. Je dû me mordre les lèvres pour arrêter de pouffer de rire et la regardait avec un air amusé « Est-ce que tu dis ce genre de trucs parce que c'est moi ou c'est ta vraie technique de drague ? » disais-je en plaisantant. Soyons honnête, une femme autre que ma meilleure amie me dirait ça je croirais à une grosse blague... En fait s'en est sans doute une même s'il y a un fond de sérieux là dedans. Je fis une moue « Ça va que je te connais, mais si une nana comptait là dessus pour me mettre dans son lit je pense que je partirais en courant. Je sais que tu blague, c'est trop gros... Pour que tu sois sérieuse. » j'avais quand même un léger doute et la fixais droit dans les yeux « C'est pas une vraie technique de drague, n'est-ce pas ? ». C'était drôle mais sûrement pas efficace. Un mec disant ce genre de truc passerait sans aucun doute pour un boulet aux yeux de celle qu'il tente de séduire. Je connais ma meilleure amie, elle me fait juste une bonne plaisanterie histoire d'enfoncer le clou et de me mettre mal à l'aise simplement pour le plaisir. Elle veut une petite réussite j'imagine ou quelque chose comme ça. Je me levais pour débarrasser la table de ce dont nous n'avions plus besoin « Et sinon oui je veux bien de l'eau s'il te plaît. » avec tout ça je n'avais pas répondu à la question essentielle à mon hydratation, mais c'était désormais chose faite. Je posais les assiettes et le plat vide sur le plan de travail « C'est que le dessert d'ailleurs ? Il est dans le frigo ? » demandais-je pour pouvoir le ramener à table.
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily Come here baby, from a whisper start To have a little faith in me When the road gets dark
And you can no longer see Let my love throw a spark
[/b]
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé ✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Jeu 10 Oct - 3:53
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
Il rigole en plus, le coquinou. Tout ce qu’il arrive à faire, c’est rire mais il y avait de quoi. Et au moins, j’avais une réaction moins évasive que pour les précédentes. Je plaisantais, je taquinais. Je faisais de l’humour. Une chose qui m’arrivait assez souvent. Même si je comptais bien le séduire, je me lâchais en même temps à dérailler légèrement. Il y avait de l’humour, beaucoup mais aussi un moyen de ne pas être trop tact. Je n’arrivais pas à lui dire : oui, je veux que tu sois mon dessert. Surtout pas ce soir alors que ce boxer apprenait à filer entre mes « poches » ! Pourtant je pourrais car j’avais cette petite voix dans ma tête qui me disait de simplement baver mais non, chaque chose en son temps et je ne voulais pas juste devenir son sex toy. Enfin peut-être ? Enfin je n’en sais rien car j’étais réellement perdue. Je le regardais rire et même se retenir de rire alors que je revenais avec une bouteille d’eau plate. J’avais soif. Là, je lui souriais à sa question. Oui, je souriais. Bon d’accord, il se fout de ma poire et de ma technique mais je savais que je taquinais surtout. Peut-être pas en début de soirée mais là, si. Je lui souriais doucement, toujours, oui sans répondre. Je lui laissais surtout la parole. Il parlait plus que moi je ne pourrais le faire pour l’instant donc l’écouter était des plus rassurants. Je ne voulais pas perdre ce sourire, cette touche de bonne humeur. Je ne disais rien à ce qu’il venait de dire. Je me contentais de lui servir le verre d’eau en le regardant aller s’occuper des assiettes et même si je ne voulais pas dans le fond qu’il le fasse mais je n’avais pas réagie à temps. Là, paf, le dessert. Je riais. « C’est moi le dessert ! », soufflais-je sur le ton de la plaisanterie en le regardant et lui offrant un beau sourire. « Non, je déconne… tu peux le sortir et même en manger mais je préfère attendre pour m’y atteler ! », je n’avais pas encore l’appétit rouvert enfin pas assez pour l’instant. Il n’y avait pas de chocolat dans celui-ci. Ce n’était qu’une tarte à la framboise. J’approchais en lui tendant son verre d’eau et prenant une gorgée du mien. Je le regarde attentivement. « Non, ce n’est pas ma technique de drague ! », soufflais-je finalement ouverte à la discussion à propos de sa légère moquerie. « Enfin en début de soirée, si mais là, ce n’était que de l’humour ! », je souriais doucement. « Je n’ai pas envie de coucher avec toi ce soir. Enfin envie est un grand mot, bien sûr que c’est tentant et que je pourrais en avoir envie et que j’en ai envie mais non. Je ne veux pas le faire ce soir même si envie et vouloir n’est pas réellement une chose différente mais je ne coucherais de toute manière pas avec toi si tu ne le veux pas, je ne me jetterais pas non plus sur toi sauf si tu m’en montres l’envie enfin je rêve éveillée, je sais mais je m’ne fiche car au moins, je rêve. », je riais nerveusement en le regardant attentivement. « Mais même si cela devait arriver ce soir, je ne le veux pas ! », je soupirais doucement en le regardant attentivement et sortant le boxer de ma poche en le regardant attentivement et le brandissant devant ses yeux. « Par ce que j’ai l’impression d’être ta bonne ! », soufflais-je doucement en lui lançant la lingerie d’un petit geste léger pour qu’il puisse la réceptionner. « La prochaine fois que tu ramènes une fille ou même ton Olivia et pourquoi pas son gosse… je ferais la baby sitter. », je souriais. « Évites de laisser leur sous-vêtement dans mon collimateur. », j’haussais les épaules en le regardant. « Il est propre au passage et il sent bon. Dis-lui de me remercier comme il se le doit ! », oui, piquante dans mon propos un peu mais je retenais tellement ça depuis que j’avais découvert celui-ci dans le bas à linge que je n’arrivais pas à retenir cette légère triste, haine et même jalousie. Enfin tout ce que vous voulez mais ce n’était pas agréable. Cela ramenait à la réalité que toutes les femmes sauf moi auraient la chance de voir leurs sous-vêtements sortir de sa chambre. « Donc non, ce soir, je n’ai pas envie de coucher avec toi, cette soirée était programmée avant et je n’aime pas ruiner mon programme mais là, j’avais surtout envie de te rendre ce… truc tellement mignon et coquin qui tu as surement retiré avec les dents ! », je souriais doucement, un sourire forcé. Le sarcasme de mes mots était bien lisible. Je n’étais pas en colère contre lui, c’est le pire. Comment pourrais-je ? Surtout que je n’avais pas le droit de lui reprocher de ne pas partager mes sentiments. « J’espère que la tarte sera à la hauteur de tes attentes ! », soufflais-je avant de finir mon verre d’eau et d’ouvrir le lave-vaisselle dans l’idée de simplement le remplir. J’aurais pu faire la vaisselle à la main mais pas trop envie de suite.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Jeu 10 Oct - 8:46
Le silence de Pearl face à mes remarques sur sa technique de drague pas très réussie me laissait penser pendant un moment que j'avais été un peu trop franc. Mais pour moi elle ne pouvait pas être sérieuse... Pas elle pas cette fille que j'avais vu faire tourner la tête de pleins de mecs à Las Vegas ! Une technique de séduction pareille ne pouvait pas fonctionner ou alors juste sur les boulets qui sont sensibles à ça. L'humour est un bon atout et faire preuve de dérision aussi, je misais plus sur cet aspect de la personnalité de ma meilleure amie. Elle me laissait un peu mariner, histoire que je m'enfonce si j'en rajoutais en tentant d'argumenter mais je ne tombais pas dans ce panneau. La question du dessert revenait alors sur le devant de la scène et Pearl ne manquait pas de continuer à jouer en m'affirmant qu'elle était le dessert. Je riais aussi de cette réplique en sachant très bien qu'elle blaguait c'était la preuve que tout ça n'était que de la plaisanterie et ça me soulageait. J'avais le droit de manger le dessert mais elle préférait attendre, je trouvais ça étrange mais elle fait bien ce qu'elle veut après tout. J'allais ouvrir le frigo quand elle me tendait mon verre d'eau « Merci. », j'en buvais deux grosses gorgées tout en me sentant observé et pour cause son regard était fixé sur moi. J'avais un truc sur le front ou quoi ? Ah non en fait elle voulait juste mettre au clair son attitude et confirmait que ce n'était pas sa technique de drague. Ouf ! Enfin pour elle surtout parce que j'aurais eu du mal à lui donner des cours et ça aurait été très bizarre que je la conseille pour me draguer moi même. Pearl ne faisait que confirmer mes impressions, un début sérieux et puis le reste qui avait tourné à l'exagération un peu pour m'embêter, ça elle ne le disait pas mais ça se sentait.
Je pensais que la soirée allait reprendre son cours, je me voyais déjà manger mon dessert tout en plaisantant avec ma meilleure amie. Mais apparemment nous n'avions pas du tout le même programme en tête et je sentais le vent tourner dans un sens défavorable à peine les premiers mots de son discours prononcés. Elle n'avait pas envie de coucher avec moi ce soir, j'étais censé répondre quoi à ça ? Je n'étais pas au bout de mes surprises et de mes interrogations... Ou plutôt Pearl n'en avait pas fini de me transmettre un message que je n'étais pas bien sûr de bien comprendre. C'était elle qui jouait les séductrices, qui essayait de me faire déraper. J'écoutais sans un mot et sans vraiment tout comprendre, tout ça devenait trop flou. Est-ce qu'elle était en train de me remettre à ma place alors que je n'en avais pas bouger ? Que j'étais là à rester impassible en redoutant le moment où j'allais devoir la repousser. J'avais l'impression désagréable qu'on me faisait la leçon. Mais la suite fût encore plus déroutante et contrariante. Je regardais le boxer en dentelle rouge que je venais de rattraper et arquais un sourcil « C'est gentil mais c'est pas ma taille. » disais-je avec détachement alors que Pearl affirmait d'avoir l'impression d'être ma bonne. Alors ça c'était la meilleure ! Je ne répondais pas pour lui laisser continuer ses explications et ce que j'entendais me laissais perplexe. J'encaissais ces petites piques et je la trouvais vache de me balancer ça à la tronche alors que j'avais respecter le fait de ne plus ramener personne à l'appartement.
C'était étrange mais je me sentais manipulé, elle avait tout prévu... La soirée d'abord et puis ce plan aussi, cette mise en scène et j'étais vexé par son attitude. J'hésitais à simplement m'en aller et la laisser là avec sa jalousie et ses sentiments qui étaient en train de nous pourrir la vie. Mais me taire et aller ronger mon frein, prendre la fuite comme elle aimait le dire ce n'était pas pour ce soir. La tarte serait pour plus tard ou pour jamais même, tant pis mais je m'approchais et mettais le sous-vêtement sous les yeux de Pearl « Ça... Juste ça. » je me mettais à rire « T'es sérieuse là ? Tu crois quoi ? Que je le fais exprès ? Je savais même pas qu'il y avait ce truc dans l'appart ! J'ai fais du rangement dans ma chambre, il y avait des fringues qui traînaient j'ai pris le tout sans regarder et j'ai tout mis au sale en notant qu'il fallait que j'aille à la laverie. Et puis même si je l'avais vu j'aurais pensé que c'était à toi ! ». Je jetais le boxer à la poubelle, j'étais en colère, déçu par ma meilleure amie. Non pas à cause de sa jalousie mais pour sa façon de m'écraser le nez dans ce tissu de reproche alors que je n'y étais pour rien. « Tu comptais faire quoi ? M'allumer, me pousser à bout jusqu'à ce que le meilleur ami disparaisse et que ça dérape ? T'aurais fait comme avec tous ces gars que t'as chauffé parfois à Vegas ou même ici à mon avis, puis que t'as laissé en plan après ? » je levais les yeux puis la fixais avec déception « Arrête de faire comme si ça touchait que toi. Tu crois que c'est facile pour moi de gérer ça ? Que je vois qu'on pourra plus jamais être amis comme avant malgré ce que tu peux dire. Que j'ai toujours peur de te blesser, de dire ou faire un truc qui va faire que ça ira pas et même quand je fais rien tu trouve quelque chose comme ce soir. » j'avais besoin de prendre l'air je le sentais de plus en plus « Tu comprends pas que j'ai trop de respect pour toi ? Je peux pas faire avec toi ce que je fais avec d'autres femmes, tu mérite bien mieux qu'une nuit de baise et un au revoir le lendemain matin. Sauf que le mieux, moi je peux pas te l'offrir c'est pas possible. » secouant la tête je reculais pour m'éloigner d'avantage « Réserve moi le même traitement qu'à ces autres types si tu veux, mais désolé j'ai pas envie que les choses se passent comme ça entre nous. Je peux pas casser notre amitié de cette manière. ».
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Jeu 10 Oct - 10:38
Pearl ♥ William
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Pas sa taille, clairement pas sa taille. Je l’avais remarquée mais sa petite remarque qui aurait pu m’amuser et même qu’elle m’amusait mais je n’étais pas prête à en rire alors que je venais de l’entendre. Mais non, je continuais à parler, peut-être même que je lui en mettais un peu trop sur le dos. Beaucoup même mais j’étais mal et ça, je ne pouvais pas le cacher. Je ne savais pas comment je devais réagir ou même si je devais réagir mais c’était pourtant tellement plus fort que moi comme une second nature. C’était incontrôlable car je m’en voulais de lui dire ça ou même de l’accuser qu’il me prenne pour sa bonne car je savais que ce n’était pas ça mais j’étais mal et une femme quand ça va mal, ça va mal surtout une Hartley ou une Angeles. Je n’étais pas gâtée des deux côtés. J’inspirais doucement en le voyant approcher et brandir le boxer devant moi. Voulait-il en rajouter à cette impression que j’avais ? Ça ? Juste Ça ? Mais c’était assez pour moi-même si dans le fond, c’était une bête blessure à mon petit cœur. Rien de grave. Et il riait, il me parlait et j’inspirais doucement car même, je soupirais alors qu’il allait aussi jeter le boxer dans la poubelle. Pauvre fille qui doit l’avoir payée car il est de bonne qualité mais logique, il ne doit surement pas se souvenir d’elle. Il ne lui rendrait jamais. L’éboueur surement. Ça se trouve, elle était même éboueur… en voilà une idée. « Mon boxer dans ta chambre ? », demandais-je alors sans vraiment m’attendre à une réponse mais il fallait avouer que ça aurait été étrange à mes yeux. Impossible même sachant que je n’avais jamais eue l’occasion de retirer mon boxer dans sa chambre à mon grand regret. Je ne serais pas cette pâtisserie qu’il pourrait déguster et celle du frigo semblait ne pas l’attendre non plus. Et là, il reprenait la parole. Je le laissais parler, prenant sur moi alors que je savais pertinemment ce que je pensais et lui, il me faisait de la peine car je ne voulais pas le mettre à mal. J’avais tellement horreur de tout lui mettre sur le dos car c’était moi, ces fichus sentiments. C’était eux. Je soupirais doucement en l’écoutant et évitant même son regard par moment. Je détournais le visage en le sentant reculer au rythme de ses mots. Je le laissais terminer, réellement incapable de parler sur le coup, le regard baissé par ce qu’il se passait tellement de choses dans ma tête. Et à ces derniers mots, je sentais que j’allais pouvoir parler. « William… », soufflais-je doucement avant de le regarder en soupirant. « Dis-moi tout ce que tu veux, que je suis horrible, moche, ou tout ce que tu veux mais ne me dis pas que tu n’as jamais pensé à traiter une femme autrement que d’habitude car tu étais prêt à le faire pour elle avant de découvrir que tu le ferais pour deux. Tu étais prêt à tenter d’aller plus loin et la rappeler… », je soupirais doucement en le regardant. « Tu me l’as dit avant même de connaitre mes sentiments, tu as même revu cette femme… mais le pire est que je m’en fous. Je te demande rien, je te demande pas de m’épouser, je te demande pas la lune mais peut-être essayer quand même… par ce que essayer ou voir ce que ça donne ne te rendrait pas irrespectueux, au contraire. », je soupirais doucement. « Tu comprends pas que tu n’es pas comme tous ces types ? Non, tu es CE type… », J’avais bien insisté sur le ce en le regardant. « Tu es le seul sur lequel je n’ai pas envie de sauter comme une chienne en chaleur juste pour lui montrer que la femme est le sexe fort comme j’ai pu le faire. Mon idée n’était pas de faire ça avec toi car le diner cuisait avant même que je ne trouve ce boxer… je ne voulais juste pas gâcher ça… Je suis désolée de te mettre tout sur le dos et dieu sait que je déteste agir comme ça car je sais que tu n’y es pour rien. Tu continues ta vie. », je soupirais doucement en passant une main dans mes cheveux et le regardant attentivement, dans les yeux. J’avais l’impression d’être comme un concombre flétri. Un légume qui est un peu le vilain canard. Tout le monde le regarde mais personne ne le veut. J’inspirais doucement. « Je sais que ce n’est pas simple pour toi aussi… mais… », je soupirais doucement en haussant les épaules. « … de toute façon t’allumer ? T’es aussi froid qu’un réfrigérateur avec moi, comment tu veux que je t’allume ? Ne fait pas l’effarouché, je ne t’allume pas. Tu ne me feras pas avaler ça, non pas du tout. Donc je perds quoi à essayer sauf me ridiculiser ? Je ne fais que ça. Me montrer stupide à espérer alors que pourtant je sais que c’est peine perdue. Je ne serais toujours que cette fille qui ne te plait qu’en meilleure amie et qui n’est pas à ton gout. Ça ne change rien que j’essaye de t’allumer, c’était comme si Popeye faisait peur à Chuck Norris. De la blague. Je ne peux pas t’allumer… et tellement pas que si je l’avais voulu, les mecs, ces types dont tu parles, ils seraient déjà dans mon lit donc ne m’accuses pas de t’allumer car ça ne marche pas… », disais-je alors en le regardant, calme. « Je vois pas le problème, alors ! », le problème était que j’étais réellement persuadée de ne pas lui faire d’effet et rien ne m’avait vraiment prouvé le contraire. « La seule fois où j’en ai eue l’impression c’était la nuit avant que je ne quitte Vegas mais on sait comment ça s’est terminé ! », lâchais-je en inspirant doucement. J'avais tellement l'impression de m'embrouiller les pinceaux, j'aurais pue verser une larme même mais j'en étais incapable. Même pas une goutte de gouache pour en rajouter aux conneries que je sortais.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Ven 11 Oct - 2:22
Était-ce vraiment utile que je sois encore là dans l'appartement ? Avais-je envie d'entendre ce qu'elle avait à dire ? Nos dernières discussions avaient toujours été assez similaires et je ne voyais pas ce que Pearl pouvait avoir à me répéter encore. C'était le bordel un point c'est tout... Qu'est-ce qu'on y pouvait ? Je me sentais oppressé par ces reproches alors que je m'était efforcer de faire les choses bien, du moins je le pensais. Mais il fallait que nous ouvrions les yeux autant moi qu'elle, impossible de faire comme si de rien était un petit grain de sable viendrait toujours enrailler la machine. Notre amitié était grippée par les sentiments que Pearl avait développé à mon égard. Je lui répondais avec franchise, disant ce que j'avais sur le cœur et surtout la prévenant que ce qu'elle attendait de moi était impossible. Sauf que je m'étais foutu une épine dans le pied tout seul en lui avouant que j'avais rappeler Olivia et que au final c'était qu'elle ai un enfant qui me dérangeait. Cependant il y avait une grosse différence entre s'engager dans une histoire et le simple fait de rappeler la jeune femme. Bon je ne pouvais pas donner tort à ma meilleure amie sur ce coup là, du moins pas totalement parce que c'était ce que j'avais dit. Qu'elle s'en foute ça par contre je n'en croyais pas un mot, sinon ce boxer en dentelle n'aurait pas provoquer cette discussion que je détestais déjà. Je me sentais con en l'entendant parce que son raisonnement se tenait mais les choses étaient totalement différentes entre nous et qu'elle se mette au même niveau qu'une femme rencontré dans un bar m'agaçait « Vaut mieux entendre ça que des conneries ! Si tu veux pas comprendre que t'es différente et au dessus de ça, bah reste avec ton idée. ».
J'avais apparemment tout faux également sur ses intentions, elle n'avait pas voulu que ça se passe comme ça et que la soirée soit gâchée. Pourtant c'était exactement ce qui était entrain d'arriver « C'est raté » lâchais-je en soupirant. J'étais perdu pour son discours, ses explications que j'avais l'impression d'avoir déjà entendu, un plaidoyer pour me contre dire. Peut-être que Pearl ne voulait pas que j'ai cette impression d'être comme ces autres gars et au fond je ne l'étais pas totalement, mais ce soir pour moi elle avait voulu agir comme elle le fait parfois alors que de mon côté je faisais des tonnes d'efforts. Je voulais m'en aller et je m'apprêtais à le faire en lui souhaitant une bonne fin de soirée mais elle ne me lâchait pas des yeux et je savais qu'elle avait encore des choses à dire. Avouant ses impression sur l'effet qu'elle pouvait avoir sur moi, ce qu'elle pensait de mon avis la concernant. Je savais désormais que mes efforts pour paraître insensible marchaient on ne peut mieux. Mais elle avait raison, je ne voulais d'elle que comme ma meilleure amie non pas parce que je ne l'estimais pas assez bien pour en vouloir plus, mais justement parce qu'elle valait trop... Avais-je encore envie de repartir dans une argumentation ? J'hésitais vraiment à simplement partir et prendre la fuite comme je peux très bien le faire sauf que je ne pouvais pas la laisser dans cet état d'esprit. « Le problème... » répétais-je en levant les yeux, je cherchais le meilleur moyen de m'exprimer en étant clair, éviter de nouvelles incompréhensions me semblait essentielle pour sauver les meubles. « Ce n'est pas parce que je fais comme si je ne voyais rien que je suis aveugle. » je secouais la tête en la regardant attentivement « Tu sais très bien que t'es une jolie femme Pearl, t'as pas besoin de moi pour le savoir. Et tu semble toujours avoir tant confiance en toi que je pensais pas que jouer l'indifférent te blesserait à ce point. » je haussais les épaules en reculant encore, j'avais toujours dans l'idée de sortir une fois la discussion terminée ou pas d'ailleurs « Mais je peux pas jouer à ça avec toi, j'ai pas le droit. Tu voudrais que je te vois comme ces autres femmes sauf que je peux pas. T'es plus que ça, et il faut que tu trouve quelqu'un qui pourra te voir à ta juste valeur, sauf que c'est pas moi j'en suis désolé. Je suis un incapable avec les sentiments, les seuls que je maîtrise se sont ceux qui sont plutôt négatifs. C'est pour ça que j'ai même pas envie d'essayer avec toi, parce que j'vais te briser et je me pardonnerais pas de l'avoir fait. » je lui adressais un petit sourire « Retire toi de la tête que c'est une question de physique parce que tu as tout faux. ». Je reprenais mon portable sur le meuble de l'entrée, j'avais encore un nouveau message mais je le lirais plus tard. J'enfilais ma veste puis saisissant mes clés je les mettais dans ma poche « Et je pensais même pas que tu te souvenais de ce truc à Vegas. On était bourré, c'était le jeu qui nous montait à la tête c'est tout. ».
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily Come here baby, from a whisper start To have a little faith in me When the road gets dark
And you can no longer see Let my love throw a spark
[/b]
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé ✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés.
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Ven 11 Oct - 3:22
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
Le problème… le souci dans une solution c’est que chaque chose à un petit inconvénient. Ce problème, le mot tellement important dans toutes les situations. Parfois même tabou. Il vient frapper à vos oreilles à chaque fois que vous l’entendez. Cela présageait peut-être du bon de l’entendre et parfois du mauvais. Dans ce cas, qu’est-ce que cela présageait ? Je n’en avais clairement aucunes idées. Mais chaque problème à sa solution dans une logique parfois loufoque. Il y a toujours le petit truc qui va sauver tout mais avais-je réellement une solution qui pourrait s’offrir à moi ? Notre amitié ou ce qu’il en était n’était pas un calcul de mathématique. Nous n’allions pas faire de l’algèbre si ce n’est se diviser. Le cœur n’est pas peu important, le donner à quelques fractions ne pouvait que le briser. L’entendre me parler de ma confiance en moi me faisait un peu chiffonner la tête. N’avait-il jamais compris que la frontière entre sembler et être était assez fine quand nous parlions d’amour ? J’inspirais doucement en levant le regard vers lui alors qu’il disait ne pas pouvoir jouer avec moi. Le cas était que je n’espérais pas que cela arrive. Etais-je blessée ? Pas réellement car je m’étais tellement faite à l’idée que cela ne mènerait à rien avant même d’avoir essayée que je ne savais réellement pas comment je me sentais. Mais l’entendre me mettait intérieurement en colère, je sentais cette petite rage de rébellion qui me disait que je ne pourrais jamais décider pour moi. J’avais tellement l’impression d’entendre mon père qui me répète qu’il n’est pas pour moi et que je vaux mieux. Voulait-il aussi me présenter d’autres mecs ? Plus je l’écoutais et plus cela m’énervait. Je détournais le regard sur le coup pour ne pas qu’il puisse apercevoir la once de rage dans mon regard. J’inspirais doucement en retournant celui-ci sur lui tandis que je l’entendais me dire de retirer de l’idée qu’il n’était pas attiré à cause de mon physique. Je soupirais doucement en le regardant et ce sourire me donnait sur le coup envie de le gifler et c’était plus fort que moi-même car ça m’avait énervée de voir mon père et ses leçons protectrices en lui. Je le regardais gigoter du coin de l’œil. Il allait partir ? Non mais elle est bonne celle-là et sur un coup de tête. Comme ça ? Je soupirais doucement en approchant alors et l’écoutant parler de ce truc à Vegas. « Non, pas pour moi, ça m’a dévoilé les sentiments que j’avais pourquoi, merde ! Ce n’est pas rien pour moi. Ce n’est pas qu’un jeu. Je n’étais pas si alcoolisée que tu pouvais le croire. J’avais trop la trouille pour oser boire et me sentir moins en sécurité. J’avais bu mais pas assez pour jouer ainsi avec toi ! », je soupirais doucement en le regardant attentivement et approchant alors que je le bloquais même contre la porte. Non, rien à foutre, il n’allait pas partir comme ça sans que je n’ai pu dire ce que j’avais à dire. Je mettais la main sur la clef de la porte en la tournant à double tour avant de la prendre et la mettre au fond de ma poche en le regardant dans les yeux. « Qu’est-ce que vous avez tous à vouloir prendre des décisions pour moi ? Décider de vous-même ce dont j’ai besoin, ce que je vaux et j’en passe comme si j’étais un article de supermarché ? Oui, toi et mon père et même les autres qui depuis toujours voulez diriger ma vie et mes choix. J’en ai marre merde. », je soupirais en le regardant attentivement, toujours dans les yeux mais la peine mélangée à la rage dans le regard. Mon cœur comme un satellite dépendait tellement de ce qu’il disait ou pensait que cela me rendait encore plus… fragile à mes réactions à propos de lui. Je ne savais plus sur quel pied danser là. « J’en ai marre, William… C’est à moi et moi seule de décider ce que je vaux, qui me mérite ou même qui a le droit de partager quoique ce soit avec moi. J’ai le droit e décider qui j’ai décidée d’aimer et même… avec qui j’ai envie de tenter d’essayer. Non, je n’arrêterais pas car putain, c’est mon droit. », j’avais trop l’impression d’être cet enfant à qui on dictait une ligne de conduite. « Tu vas toi aussi t’amuser à me présenter des médecins riches qui me gâteront et me feront des bébés par milliers après m’avoir mariée ? Vous voulez une dote aussi ? », bon d’accord que là, il prenait aussi sur ma relation avec mon père mais sur le coup, je les mettais au même niveau. Réellement. « Je sais que tu n’es pas comme lui, tu ne l’as jamais été mais là, si, j’ai réellement l’impression que c’était lui qui me parlait… et je crois que... je déteste ça. T’as pas à décider totalement pour moi, on est deux. Moi, je m’en fiche. Je veux essayer et pourtant je sais que tu peux être un connard mais je te connais, j’ai confiance en toi. Je sais ce que tu peux aussi valoir. Tu n’es pas que cet abruti qui fait souffrir. Pas avec moi. J’ai foie en toi. Je m’en fiche de souffrir ou même d’être brisé car ça renforce. », j’inspirais doucement en le regardant toujours dans les yeux. « Je t’aime, et c’est mon droit. Tout ce que tu pourras dire ou faire ne m’empêchera pas de t’aimer et de te le montrer car je l’ai décidé. Moi, j’ai décidé que cela serait toi qui me mérite ! Par ce qu’à mes yeux, il n’y a personne d’autres qui ne me mérite autant ! », soufflais-je au final. « T’as pas le droit de décider pour moi avec qui j’ai le droit de vouloir être ou ce que je vaux. C’est mon choix. Je te vaux, tu me vaux ! Je te veux, c’est tout ce que j’ai besoin de savoir. Et c’est tout, je m’en fiche de savoir si je te mérite ou non car je t’aime, c’est tout ! », j’étais tellement en colère sur le coup que je ne m’étais même pas rendue compte de la rapidité de mes mots, de mes gestes et j’en passe. Mais là, je n'avais pas mal au cœur de lui dire tout cela car à mes yeux, il l'avait cherché. Et tout ça sans gifles.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Ven 11 Oct - 5:30
J'avais été trop vite en mettant sur le compte de l'alcool ce petit dérapage qu'il y avait eu à Vegas peu de temps avant que Pearl ne prenne la poudre d'escampette. Une soirée entre amis un peu trop alcoolisé, des jeux de défis et nous avions joué le jeu à fond quand le gage imposé fût de nous embrasser fougueusement. Après cela nous n'en avions pas reparlé et pour moi ça n'était pas la peine de le faire. Sauf qu'encore une fois j'avais tout faux, le contraire m'aurait étonné vu qu'en ce moment j'ai l'impression de tout comprendre de travers. C'était donc de là que c'était parti, qu'elle avait compris que l'amitié ne lui suffisait plus... Foutu whisky si j'avais su j'en aurais pas bu ! Je passais outre le fait que si elle n'avait pas jouer le jeu en tout cas elle s'était joué de moi en me laissant penser qu'elle avait trop bu. Je ne trouvais rien à répondre à cet aveux et haussais simplement les épaules tout en m'apprêtant à me retourner pour ouvrir la porte et sortir. Pearl m'en empêchait, me bloquant dos à la porte et la verrouillant à mon plus grand étonnement « Mais qu'est-ce que tu fais ? » demandais-je en la regardant comme si elle était possédée ou je ne sais quoi. Je crois qu'à ce moment si elle avait eu des flingues à la place des yeux elle m'aurait tiré dessus. Je voyais de la colère dans ses yeux et je craignais que tout ça se transforme en conflit...
Son débit de parole était impressionnant et son ton ne me laissant pas vraiment d'autre choix que d'écouter bien sagement. S'affirmant avec toute sa force de caractère, remettant les points sur les i et les barres sur les t, Pearl me passait une sorte de savon et j'avoue que je ne l'avais pas vu venir. Je m'étais attendu à des larmes et à la voir s'isoler dans sa chambre ou prendre l'éponge et récurer toute la cuisine de fond en comble. Mais ça, non je ne m'y attendais pas. Acculé, dos à la porte bien que j'aurais pu facilement repousser ma meilleure amie, elle avait pris les clés et j'étais donc contraint de rester là. J'encaissais difficilement d'être mis dans le même panier que son père, pire qu'elle me dise que j'agissais comme lui. C'était donc de ça que ça avait l'air ? Que je voulais décider pour elle ? Pourtant à m'entendre le dire je pensais l'avoir valorisé, même si ça n'était pas vraiment ce qu'elle voulait entendre. Je suivais son raisonnement, entendais son mécontentement et je me sentais soudainement assez con. Pourquoi ? Parce qu'au fond elle avait raison et que j'étais simplement égoïste de décider pour elle que je n'étais pas celui qu'il lui fallait. Cependant j'en étais convaincu et le seul fait qu'elle soit prête à souffrir ne me ferait pas changer d'avis. Le conflit se matérialisait sous nos yeux, elle me voulait et c'était son droit tout comme il était dans mon droit de ne pas vouloir prendre le risque de la faire souffrir. Je pouvais toujours brandir à nouveau la carte de l'amitié mais ça avait de moins en moins de sens puisque nous nous éloignions toujours un peu plus à chaque discussion comme celle-ci. Je voulais ma meilleure amie comme avant, comme je l'avais toujours connu mais tout comme j'étais incapable de l'aimer de la manière que je jugeais bonne pour elle, il était impossible que je la retrouve.
Je sentais soudain un poids imaginaire me tomber dessus, le poids de la vérité, de la réalité... Fini Pearl et Willy les meilleures amis, on pouvait continuer à faire semblant mais la bombe avait été lâché, je savais et faire comme si de rien était n'avait pas fonctionné. A cet instant j'aurais eu envie qu'elle garde son secret pour toujours mais c'était trop tard. J'étais perdu, un peu comme quand j'avais découvert qu'elle était parti en me laissant derrière elle. « T'as raison. » lâchais-je finalement en baissant les yeux « Je suis personne pour te dire ce que tu dois faire et pour qui tu dois avoir des sentiments. » malheureusement les choses étaient bien plus compliquées que ça. « Mais ça change rien au fait que j'ai mon avis. Maintenant tu sais pourquoi je veux pas essayer, et que tu trouve la raison stupide c'est ton droit. Mais j'ai mon droit aussi de pas avoir envie de te faire souffrir. ». Je tendais la main « Tu peux me donner les clés s'il te plaît ? ». Quelqu'un a dit un jour que l'amour est un champ de bataille, j'imagine que si Pearl m'aime autant qu'elle le dit elle saura se battre pour ça.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Ven 11 Oct - 9:22
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
Comment gérer cette haine parfois vorace envers mon père ? Comment avoir la sensation que tout va bien alors que tout va mal ? Lui mettre ça sur le dos n’était pas bien compliqué. Je savais voir quand il n’y était pour rien ou pas. Là, il était coupable. Faites entrer l’accusé, je me défoulais sur lui enfin contre lui aussi si l’on veut. Je ne m’attendais pourtant pas à autant de calme à sa réaction. Pas même un énervement. Je ne le voyais pas dans son regard au fil de mes mots. J’inspirais doucement en regardant celui-ci attentivement, qu’allait-il dire alors que j’avais fini ? Allait-il se révéler en colère ? Non, il disait que j’avais raison. Sur le coup, je riais nerveusement car c’était un soulagement que nous soyons sur la même longueur d’onde mais ça n’en était pas moins rassurant. Je m’attendais clairement à ce qu’il assume se comporter ainsi avec moi et veuille réellement faire comme mon père. Sur le coup, je ne savais pas réellement si je devais me calmer ou m’énerver encore plus. J’étais le cul entre deux chaises. J’inspirais doucement en l’entendant continuer et l’écoutant alors qu’il n’avait pas le droit de me le dire. Je souriais doucement en le laissant terminer mais je devais avouer que ça me désespérait même s’il avait raison. Lui aussi avait le droit et je lui laissais ce droit mais devais-je le pousser à l’abandonner ? Et là, il tendait la main pour récupérer la clé qui était dans le fond de ma poche. Je baissais doucement le regard en le relevant aussitôt vers lui. Je ne voulais pas lui donner. Que faire ? Je n’en savais rien mais je ne bougeais pas d’un poil, je baissais même la main qu’il me tendait car je me sentais incapable de lui laisser cette clé et le laissant partir. J’avais cette impression qui me disait que cela serait pour la vie. Je ne voulais pas qu’il parte. J’étais même incapable de m’imaginer sans lui. Je lui souriais, ce sourire un peu coquin, légèrement charmeur. « Si tu la veux, il faut venir la prendre ! », lui murmurais-je alors en penchant la tête avec ce petit regard séducteur. « Tu sais que j’irais au bout pour réussir à te séduire, William… même si je dois tricher ? », demandais-je alors légèrement sans même vraiment lui laisser le temps de réagir. « C’est toi et uniquement toi que je désire ! », rajoutais-je aussitôt. Je me mettais alors sur la pointe des pieds en approchant de ses lèvres, posant une main sur son torse par-dessus sa chemise et lui caressant légèrement en le regardant dans les yeux. « Si tu n’as pas envie de me faire souffrir, il suffit de ne pas le faire mais si c’est le risque à payer, je m’en fiche. », souffais-je contre ses lèvres en passant ma main sur les espaces entre ses boutons, en détachant un… et m’apprêtant aussi à en détacher un deuxième alors que je jouais légèrement avec ses lèvres avant de lui mordiller. Ouais, comme ça, je fais comme chez moi. Je m’installe sur ses petites lèvres comme si c’était un paillasson. Je souriais doucement contre ses lèvres avant de là, l’embrasser avec cette fougue donc j’étais capable et dont j’avais envie mais… allait-il réagir et répondre ? Je prenais un risque cependant je m’en fichais simplement. Je voulais être cette femme contre ses lèvres et tenter au risque de me faire repousser.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Ven 11 Oct - 10:01
Les choses n'allaient pas se simplifier je le sentais, mais peut importe car le cadre était posé. Elle revendiquait son droit et moi le mien, nous campions sur nos positions en toute connaissance de cause. J'espérais qu'elle allait me donner les clés pour que je puisse aller prendre l'air, l'espoir était maigre cependant car Pearl ne comptait sans doute pas me laisser m'en tirer comme ça alors qu'elle se trouvait en possession de ce que je voulais. Emmerdeuse jusqu'au bout quand elle le décide je m'attendais un peu à ce qui suivait, bien sûr il faudrait que je les prenne moi même si je les voulais. Comme un défi qu'elle me lançait avec ce sourire qu'elle me servait à toutes les sauces depuis quelques jours. Mais plus que ça, elle m'affirmait les yeux dans les yeux qu'elle ne comptait pas lâcher l'affaire et que son droit de vouloir me séduire elle l'utiliserait. Tricher ? Qu'entendait-elle par là ? Pour tricher il faut qu'il y ai des règles et nous n'en avions définis aucune, peut-être qu'il le faudrait d'ailleurs ! Je la fixais, curieux de savoir ce qu'elle avait derrière la tête même si j'avais une vague idée. Pearl s'approchait d'avantage mais je voulais voir jusqu'où elle voulait aller, qu'est-ce qu'elle pouvait oser faire. L'entendre me dire qu'elle me désirait ne me laissait pas de marbre, c'était un peu étrange venant de ma meilleure amie et je crois que ça marquait définitivement le point de rupture de ce que nous avions été jusque là.
Bloqué contre la porte je ne pouvais reculer, bien sûr je pouvais la repousser avant même que ses lèvres ne touchent les miennes mais j'étais comme paralysé. Immobile je ne réalisais pas totalement ce qu'elle était en train de faire ou peut-être qu'au fond ça m'intriguait de savoir ce que je pourrais éprouver à la laisser m'embrasser. Pearl enfonçait une porte ouverte en disant que si je ne voulais pas la faire souffrir il suffisait de ne pas le faire, mais c'était beaucoup plus simple à dire qu'à faire et dans l'histoire elle avait le beau rôle en quelque sorte. Je sentais sa main caresser mon torse alors que ses lèvres s'approchaient dangereusement des miennes. Son souffle, quelques frôlements puis un mordillement... Elle se montrait entreprenante, plus séductrice qu'elle ne l'avait jamais été et moi j'étais comme un piquet : planté là. Un bouton de ma chemise venait d'être défait et le deuxième allait suivre quand Pearl redoublait d'intention en m'embrassant avec fougue. Je la laissais dévorer mes lèvres alors que ma mains venaient attraper sa main pour l'éloigner des boutons de ma chemise. Dans toute bataille la ruse a sa place, j'entamais une brève réponse à ce baiser bien moins intense de mon côté mais ça n'était qu'une diversion alors que mon autre main allait chercher les clés dans sa poche. Quand je sentis que je les avait je faisais reculer Pearl légèrement tout en me dégageant de ses lèvres, lui agitant les clés devant les yeux « Voilà... Je l'ai. » je faisais un petit sourire en coin « J'ai connu plus désagréable comme chasse au trésor. » me mettant à rire je refermais les deux boutons de ma chemise qui avaient été pris à parti par mon entreprenante colocataire « Je vais pas sortir à moitié déshabillé ça fait pas bon genre. ». Je haussais les épaules avec désinvolture, autant la jouer cool malgré tout ce bazar dans ma tête, « J'vais aller marcher un peu. Je te propose pas de venir parce que... » je chuchotais comme une confidence « … j'ai peur que t'essaye de me sauter dessus. » je plaisantais et ça se voyait bien, j'espérais que comme moi elle arriverait à en rire. Je n'allais pas céder malgré ses arguments, j'avais encore de la volonté pour résister.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Ven 11 Oct - 11:01
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
Que faisais-je ? Je n’en savais rien mais l’on dit souvent que la frontière entre la haine et l’amour est fine. Je n’avais réellement pas de facilité à lui en vouloir à cet instant même alors que j’étais en colère mais j’avais aussi terriblement envie de lui prouver que je pouvais gagner cette bataille mais n’étais-je pas un peu trop éprise de folie sur le coup ? Car j’étais certainement persuadée de ne pas en être capable dans mon état normal. Là, ce n’était pas mon état normal. Quittée par cette douce envie de le séduire. Je m’étais attelée à sa chemise et à ses lèvres. J’étais réellement surprise qu’il ne bougeait pas mais je ne laissais pas ce détail interférer dans mon idée car dans un sens, tant mieux. Je me contentais simplement de continuer, finissant même par l’embrasser alors que je détachais un deuxième bouton. Il ne réagissait pas plus et me laissant dévorer ses lèvres. Ce qui me surprenait était que j’en étais encore capable, il ne m’avait pas repoussé. Mais je n’étais pas dupe alors qu’il répondait à ce baiser avec moins de fougue, oui mais me surprenant aussi cependant je sentais bien sa main dans la poche de mon jeans car il était juste au corps et j’étais douée pour sentir les pickpockets. Je le laissais faire même si cela me décevait pendant une courte seconde qu’il se joue de mes pulsions pour avoir la clé. Il était balaise sur le coup. A ma grande surprise, il me fit reculer, je soupirais doucement en le regardant, l’idée que j’avais en tête ne me quittait pas pourtant. Je l’écoutais dire qu’il les avait et j’haussais les épaules. « Et alors ? », soufflais-je en voyant son sourire en coin. Il était fier mais il n’avait pas gagné. Il trouvait ça agréable mais n’étais-ce que ça pour lui ? Un moyen de récupérer ses clés ? Dans le fond, cela ne me surprendrait pas mais je ne voulais pas y penser, non. Il se rhabillait en prétextant ne pas vouloir sortir déshabiller. Bah mince, j’allais devoir recommencer que je n’avais pas réellement dit mon dernier mot. Je le regardais attentivement, il m’aurait invité, je n’y croyais pas même si sa raison pour ne pas le faire était possible. J’inspirais doucement en le regardant. Septique à ma façon. J’arquais un sourcil en lâchant un léger rire. « Je ne compte pas te laisser le temps de sortir ! », soufflais-je d’une fond presque inaudible enfin je le pensais et je le voulais pourtant c’était clairement audible. Je le regardais, le dévorant presque du regard, approchant à nouveau, je prenais sa main libre, celle qui ne contenait pas les clés et je le rapprochais à nouveau dos à la porte. Je n’allais pas abandonner. Il n’allait pas pouvoir me repousser seulement d’une pichenette. Non, non. Je ne comptais pas le laisser faire pourtant il le faudrait s’il insistait mais je ne voulais pas y penser. « Repousses-moi tant que tu veux ! », soufflais-je avant d’aller mettre ma tête en direction de son cou, le frôlant du bout de mes lèvres. Je jouais avec le feu car je savais qu’il allait finir par me repousser. Je le sentais de par l’habitude surement ou même à force de m’en persuader mais je m’en fichais. Autant jouer avec le feu que de ne rien tenter et le regarder vivre et respirer sans pouvoir l’aimer pleinement. On avait assez choisi pour moi, je voulais enfin être libre de mes choix et pas captive dans cette tour… d’enfin j’avais eue des tours pas du tout en argent ou même en or. Plus vite en crasse. Le frôlant dont du bout de mes lèvres au creux de son cou, je remontais légèrement à son oreille. « Je t’aime, William. Rentres-toi ça dans la tête, je t’aime au point de ne pas te laisser filer et j’ai peur que si tu passes cette porte, tu ne reviennes jamais. », dans le fond, je n’avais pas le droit de penser ça pour l’avoir fait mais je savais que c’était très facile de passer la porte et s’en aller mais c’était difficile de l’assumer et vivre loin de la personne. Tellement que j’en étais devenue malade. Mes lèvres retournèrent à son cou alors que je me mettais à l’y embrasser avec une certaine sensualité, laissant une main libre monter à sa nuque pour lui caresser. Et je comptais les minutes avant qu’il ne me repousse comme si elles allaient arriver, quand ? Je n’en savais rien.
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Sam 12 Oct - 2:42
J'avais énervé Pearl en lui disant que je n'étais pas fait pour elle, qu'il fallait qu'elle trouve quelqu'un de mieux. Et de cet énervement découlait une attitude qui me prenait au dépourvu, car si jusque là ses tentatives de rapprochement avaient été plutôt discrètes et plus ou moins sous-entendu, elle passait désormais à la vitesse supérieure. Clairement ça ne m'arrangeait pas et bien que j'arrivais à résister à ce premier assaut de sa part elle n'avait pas l'air de vouloir s'en arrêter là. Son « Et alors ? » me laissait perplexe et cassait un peu mon effet. Je continuais mon petit numéro, lui expliquant que je craignais qu'elle me saute dessus donc que je ne l'invitais pas à aller marcher avec moi, sauf qu'elle semblait se foutre pas mal de ce que je disais. Jouant celle qui ne comprenait pas elle m'affirmait alors que je n'aurais pas le temps de sortir, Pearl décidait de me séquestrer ou quoi ? M'attirant à elle tout en me coinçant de nouveau dos à la porte je lisais la détermination dans son regard. Je pouvais la repousser, elle n'allait pas abandonner facilement, sans doute qu'elle avait vu une faille... Peut-être que je l'avais laissé entrevoir moi-même en avouant que malgré les apparences je n'étais pas indifférent, pas totalement. Honnêtement quel mec hétéro normalement constitué pourrait lui être totalement insensible ?
Ses intentions étaient on ne peut plus claires et elle partait à l'assaut de mon cou, une zone particulièrement sensible pour moi mais ça elle l'ignorait. Elle frôlait ma peau avec ses lèvres et je lâchais un soupire en espérant contenir cet effet que ça produisait. Je devais la repousser, vraiment en ne lui laissant pas de doute possible sur mon refus de jouer à cela avec elle. Il le fallait mais je n'arrivais pas à faire le moindre geste, attendant la suite comme si je n'étais plus maître de mes décisions. Je l'entendais me chuchoter à quel point elle pouvait m'aimer et formuler sa crainte de me voir m'enfuir pour ne jamais revenir, qu'est-ce qui clochait chez moi ? Pour quoi je me sentais autant incapable de pouvoir essayer quelque chose avec elle ? Je ne voulais pas prendre de risques, rester dans ma zone de confort d'être le meilleur ami toujours présent. Je ne pouvais pas faire mieux et céder à ses avances ne ferait qu'enterrer définitivement tout cela. Je devais l'arrêter, la stopper, plus j'attendais pour le faire plus elle espérait l'impossible. Sauf que j'appréciais de sentir ses lèvres embrasser mon cou, parce que ce n'était plus Pearl ma meilleure amie qui était tout contre moi mais une jolie brune qui venait me provoquer, qui cherchait à éveiller le désir et qui n'était plus très loin d'y parvenir. Je perdais en lucidité à chaque seconde et c'était mal. « Arrête... » soufflais-je sans bouger pour autant. Sa main sur ma nuque, ses ongles frôlant mon épiderme, j'en avais des frissons le long du dos.
Mon rythme cardiaque accélérait il fallait que j'agisse, et ça n'était pas Pearl qui allait m'empêcher de bouger si je le voulais. L'attrapant par la taille je renversais la situation, la plaquant contre la porte, mon corps tout contre le sien. Prenant ses poignets pour les tenir fermement contre le bois et l'empêcher de me toucher, ce qui m’embrumait l'esprit. Je la fixais, collant mon front contre le sien « C'est ça que tu veux ? » je me penchais pour aller à mon tour dans le creux de son cou « Que je te désire, comme les autres femmes ? Durant toute la nuit, dans mes draps ou dans les tiens... » disais-je déglutissant difficilement. Je déserrais lentement ma prise sur ses poignets et faisait glisser mes mains le long de ses bras « Savoir ce que tu sentirais sous mes caresses. ». Je me redressais et la regardais dans les yeux posant mes mains sur ses joues je soupirais « Mais je peux pas. ». Pourquoi ? Elle le savait et je devais garder ça en tête malgré que tout ce qu'elle mettait en œuvre me faisait douter, que je n'étais pas loin de céder c'était mon rôle de ne pas profiter d'elle. « Je suis désolé. » disais-je en reculant, j'avais déjà l'impression d'avoir mal agis mais puisque prendre l'air provoquerait son angoisse je retirais ma veste « Je vais aller dormir.» il fallait que je m'éloigne d'elle et que je ne laisse pas les choses aller plus loin.
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily Come here baby, from a whisper start To have a little faith in me When the road gets dark
And you can no longer see Let my love throw a spark
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé ✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés.
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Sam 12 Oct - 8:06
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
Pourquoi ne m’arrêtait-il pas ? Mais punaise. Et qu’est-ce que je foutais ? Me testais-je ? Le testais-je ? Surement un peu des deux. Je ne savais réellement pas ce qui me passait par la tête pour tricher à ce point alors que je ne voulais justement pas avoir la sensation de le pousser tellement à bout mais il ne bougeait pas. Était-il tellement fragile comme tous les hommes ? Enfin non pas fragile mais facile car il n’a rien d’un homme fragile. Facile… ? Avec les autres, oui. C’est une petite pute, ouais. Enfin peut-être pas mais c’est comique à dire. Et là, il me disait d’arrêter alors que j’allais m’apprêter à mener mon autre main vers les boutons dans l’optique de lui détaché à nouveau mais je n’avais pas eue le temps qu’il changeait alors la situation en se serrant contre moi. Ce simple geste suffisant à me faire sourire même si je me disais que non, ce n’était pas possible. Une sorte de rêve. J’allais me réveiller. Et même si cela était fait avec une certaine fougue, ces mots également, cela me surprenait, cela me stressait même car je ne savais pas ce qu’il allait faire ou même ce qu’il avait dans la tête. Son front contre le mien ensuite à mon coup, à quoi jouait-il ? Pas au même jeu que le mien même si ce n’était pas un jeu. Je le sentais comme si c’était aussi gros qu’un casino. Ses caresses toute simples sur mes bras suffisaient à m’arracher un frisson. Je ne le voulais pas, vraiment pas car je sentais que je pourrais rapidement le regretter. Cela n’allait pas arriver. Je n’étais pas idiote. Cela n’allait pas être aussi facile. Je voyais déjà la perte de la partie s’afficher gros comme ça même si je n’allais pas abandonner. Ses mains alors posée sur mes joues alors que mon regard le désirait rien qu’à cette simple sensation de ses mains ne contre ma peau. Ça y est, je suis cinglée et bonne à enfermer. Merci Jésus. Prier ne me rendrait surement pas plus sainte mais merde, il joue aussi, là. Il ne m’aide pas mais il me dit qu’il ne peut pas et pourtant je me disais qu’il pourrait mais s’efforçait de ne pas pouvoir. Il était désolé mais j’arquais un sourcil. Je le regardais reculer sa veste, soulagée, je ne le quittais pas du regard, tellement silencieuse mais tellement éprise de lui sans même qu’il n’y puisse rien. Je me retenais juste de réattaquer encore comme une lionne qui chasse sa proie. Têtue, la lionne mais j’en avais tellement envie cependant se faire repousser plusieurs fois de cette façon allait en couter plus à mes envies qu’aux siennes car il l’avait amplifié. S’en rendait-il compte ? Je me disais que non pour me rassurer mais dans le fond, comment pourrais-je le savoir ? Je connaissais tellement peu ça de lui tout comme lui ne connaissait pas cette partie de moi. Il allait aller dormir et semblait pourtant pas vraiment fatigué. Je restais toujours de marbre contre la porte. D’ailleurs la clinche commençait à me gêner dans le creux de mon dos. Je ne la sentais que maintenant. Je m’avançais vers lui, d’un pas vif par surprises en allant poser les mains sur ses joues et l’embrassant rapidement, juste assez que pour tenter de lui donner faim. Je reculais aussitôt de ses lèvres. « Si tu peux mais t’as pas les couilles d’oser. Ce n’est pas pareil. Je te pensais un homme… il est où ? », Demandais-je alors que je reculais en retirant ma chemise en laissant ce soutient à gorge en dentelle noir aux yeux de tous mais comme à part lui et le chaton, nous étions seuls… C’était à ses yeux seulement. « Vas dormir si tu le veux… ou je sais pas, cèdes, qui sait ? Peut-être que tu te plairais mieux sous la douche ? », demandais-je alors que je restais là, lui lançant alors ma blouse comme si c’était un ballon. Décidément, il s’en prenait des tissus dans la tête mais fini pour ce soir de lui sauter dessus. Je voulais juste voir s’il allait céder à mes avances. Surement un faux espoir. Je ne savais que faire, restant juste devant lui comme un piquet à moins d’un mètre en soutient à gorge. Le pauvre. Et là, pour dire d’en rajouter, je retirais mes chaussures avant de m’occuper plus lentement, avec une touche assez sensuelle du bas. Oh my god, j’y met la totale.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Sam 12 Oct - 9:06
Tout ça tournait au grand n'importe quoi à tel point que ça me semblait surréaliste, intemporel. Nous n'étions pas Pearl et moi passé à deux doigts de faire une connerie... Non elle ne venait pas par deux fois de m'allumer sérieusement. J'aurais bien aimé que ce ne soit qu'une création de mon esprit ou quelque chose comme ça, une caméra cachée peut-être ? Sauf qu'il n'y avait aucune caméra et que je voyais bien dans le regard de ma meilleure amie à quel point elle était sérieuse. Je me sentais dans une impasse, mais surtout je craignais de lever mes barrières et de profiter de la situation comme tous mecs l'auraient fait dès le premier assaut que Pearl avait mené. Je décidais néanmoins de ne pas sortir et pourtant j'en aurais vraiment eu besoin, mais malgré tout j'étais toujours son meilleur ami qui ne voulait pas lui infliger la peur de ne pas me voir revenir. Quoi que la solution était peut-être là... Non je devais me retirer ça de la tête, aussi compliquée que soit la situation je ne voulais pas en arriver là. Mais c'était sans compter sur la ténacité de Pearl qui ne me laissait même pas le temps de réagir et se retrouvait à nouveau posté devant moi pour m'embrasser rapidement, comme une piqûre de rappel ou un échantillon de ce qu'elle pouvait me donner. Je savais que je pouvais avoir plus encore, je pouvais tout avoir, l'avoir elle mais je luttais contre cette tentation.
Mais finalement c'était ces mots qui sur ce coup là étaient les plus provoquant. Alors maintenant elle comptait s'en prendre à mon égo ? Elle me pensait un homme et finalement je n'avais pas les couilles d'aller jusqu'au bout... C'était tellement facile de m'attaquer là dessus, et agaçant également. « T'en fais pas pour moi, je suis un homme j'ai pas besoin de le prouver. », je trouvais dommage qu'elle aille sur ce registre là. Prête à tout, voilà qu'elle se déshabillait en me proposant de céder et d'aller sous la douche. Affichant sa lingerie juste sous mon nez, mettant ses atouts en avant c'était comme se présenter sur un plateau et attendre que je croque dedans. J'étais presque tenter de claquer des doigts pour voir ce que ça ferait, mais finalement je me contentais simplement de la regarder en prenant vraiment sur moi. Par réflexe j'attrapais sa chemise, je ne la quittais pas des yeux et arquais un sourcil quand elle entreprenait de se débarrasser de son jean. Je me passais la main sur le visage, lassé de nager en plein délire. Je craignais demain et les jours à venir, j'avais soudainement peur du futur alors que jusque là Pearl avait été la seule capable d'être la présence rassurante dans chaque moment incertain de ma vie. Elle passait du statut de solution à tout mes maux à gros problème à gérer.
Il fallait que je réagisse, que je la coupe dans son élan et mette fin à tout ce cirque. Pour commencer je devais la regarder dans les yeux et pas au niveau de sa poitrine que je n'avais jamais vu sous ce jour là. La vue était plus qu'agréable mais c'était un fléau pour ma volonté de résister. « T'es chiante Pearl. » lui disais-je alors en la regardant avec un air contrarié. Et sans lui laisser le temps de comprendre ce qui lui arrivait je l'attrapais pour la mettre en sac à patate sur mon épaule « Terminé les conneries pour ce soir ! ». J'entrais dans la salle de bain, la posais dans la cabine de douche et attrapais la pomme « Douche froide pour Miss Hartley ! » j'allumais l'eau réglant le mitigeur au plus froid et l'aspergeais en mettant à rire au bout d'un moment. C'était mon dernier recours avant la fuite pour contrer la volonté tenace de Pearl de m'avoir ce soir... J'espérais qu'elle n'allait plus se comporter comme cela, la colocation allait devenir une vraie épreuve dans le cas contraire.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Sam 12 Oct - 9:59
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
Le jeu n’était-il qu’un jeu ou le reflet réel d’une séduction ? Jouais-je ou le défiais comme un torero défierait son taureau ? Je n’en savais trop rien, je suivais mon instinct. Dans le fond, je savais que cela pourrait être une mauvaise idée mais je cherchais ses limites. A quel moment pourrait-il craquer ? Je n’en savais rien. Le tenter avec cette façon de lui dire qu’il n’était pas un homme était simplement une bonne façon de dire que j’avais vu la faille. J’avais l’impression qu’il n’était pas si incapable que cela ou peut-être que je voulais le croire ce qui ne m’étonnerait pas non plus. Les femmes… parfois se font réellement des films. De vrais cinéastes parfois. Je me mettais à nue devant lui, lui proposant même une douche. Je savais que je prenais un risque de le voir s’éloigner surtout et ne pas me sauter dessus. Et dire que je lui avais dit ne pas coucher avec lui ce soir. Comme quoi… je n’avais réellement pas envie de m’arrêter de vivre pour un stupide boxer trouvé dans le bac à linge. Je m’en fichais carrément là. J’étais plus tôt obsédée par celui-ci mais maintenant, non. Je l’oubliais même. J’inspirais doucement en étant en train de retirer le pantalon et là, il me parlait en me regardant dans les yeux. Je ne savais pas s’il avait difficile ou non mais il s’en sortait bien. Enfin je trouvais. Mais j’étais chiante, cela me fit rire. J’arquais un sourcil alors qu’il approchait, je ne savais pas ce qu’il avait en tête mais lâchant un « Ahhh ! », alors qu’il me mettait sur son dos. Bien sûr, merci car j’avais une belle vue directe sur ses fesses. « Miam ! », soufflais-je doucement juste pour l’ennuyer encore plus. « J’adore la vue et ça, j’achète ! », ahah. Je souriais doucement en le laissant me poser sous la douche. Pas de surprises, c’est mon meilleur ami après tout, je savais ce qu’il me réservait et je devais avouer que ça m’amusait surtout. Je le laissais faire en riant, totalement morte de rire même. Mais alors là, c’était trop ça. Le fou rire mémorable de chez mémorable. J’étais morte de rire, totalement. Pas possible de faire pire que morte de rire sur ce coup. J’étais finie et en plus j’avais froid. Sur le coup, comme un enfant, je voulais même jouer. Sisi. Je prenais le pommeau de douche de ses mains et l’éclaboussant à son tour. « Je suis sûre que t’en as besoin aussi ! », plaisantais-je en l’arrosant comme s’il était une plante sur patte. J’étais totalement amusée. Finie l’envie, place à la fête et l’enfantillage. Je voulais juste l’arroser comme une gamine. Les enfants étaient lâchés mais peut-être étais-je la seule. « Petit con… c’est vrai en plus, j’ai les doigts gelés maintenant ! », j’éteignais l’eau avec une petite moue en posant le pommeau sur son socle et frottant mes mains en le regardant attentivement. « Tu me les réchauffes ? », je lui tendais comme l’on l’avait toujours fais dans le passer quand l’un des deux avait les doigts gelés. Retour à la normale ? Peut-être pas non mais une habitude tout simplement. J’avais réellement mal au doigt sur le coup. Frileuse ? Et oui. « Si tu veux pas, passes-moi une serviette ! », demandais-je en lâchant mon plus beau sourire pour le faire céder à mon petit caprice si l’on pouvait appeler ça. « A défaut de me faire l’amour comme un dieu, tu peux faire ça, non ? », demandais-je alors à celui-ci, mon meilleur ami avec un petit air taquin, presque plaisantin et moqueur. Je lui souriais toujours en sortant de la douche et m’essorant les cheveux.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Sam 12 Oct - 22:13
Je crois que je n'avais jamais vu Pearl comme ça, elle était déchaînée. J'avais eu l'occasion de la voir dans des états de folie passagère à des soirées un peu arrosée ou simplement quand comme tout le monde il lui arrivait de péter un petit câble, mais là elle avait carrément fondue un fusible ! Ma meilleure amie c'était transformer en femme fatale ne tolérant pas le refus de sa proie et j'étais vraiment perturbé par la découverte de cette facette de sa personnalité. Je la savais un peu allumeuse parfois histoire d'obtenir quelque chose qu'elle voulait, mais en venir à se déshabiller sous mes yeux pour m'avoir ça c'était nouveau. J'employais les grands moyens avec la technique de la douche froide et là ça n'était pas au sens figuré mais littéralement ce que je faisais. Je l'arrosais, amusé par la situation et surtout de l'entendre rire. Et c'est là qu'une petite seconde d'inattention me coûtait chère, elle avait réussi à me prendre la pomme de douche et m'arrosais aussi parce que soit disant j'en avais besoin également... C'était pas tout à fait faux mais ça elle ne le saurais pas. La méthode avait été efficace je crois, nous n'étions plus dans le registre de la séduction désormais mais dans le rire et les chamailleries. Pearl me traitait de petit con et à la limite je préférais ça. « C'est le principe de la douche froide ! » répondais-je avec un petit air supérieur. J'étais moins trempé qu'elle mais le froid n'allait sans doute pas m'épargner si je traînais à me changer, mais elle me tendait ses mains en me demandant de les réchauffer un truc habituel entre nous qui avait commencé un jour dans la cour de l'école alors qu'elle avait oublié ses gants. Je frottais mes mains l'une contre l'autre et riais à sa remarque « Ça va je peux faire ça. » posant mes deux mains autour des siennes et frottant un peu, je n'avais pas les mains très chaudes non plus mais ça suffirait sans doute. « Tu y vas un peu fort quand même... Comme un dieu c'est mettre la barre haute. Raison de plus pour que je ne tente pas de te prouver quoi que ce soit, pas envie que tu sois déçue. » elle m'avait tendu la perche pour un argument supplémentaire de ne pas coucher avec elle et cela sans le vouloir. Je ne doutais pas qu'elle allait trouver une réponse à ça mais au moins je prenais une très courte avance.
Je lâchais ses mains et regardais l'heure « Minuit passé, je comprends mieux... » je la regardais avec un air malicieux « C'est pas la pleine lune pourtant. » je haussais les épaules « Donc tu n'es pas un loup garou mais un gremlins en fait. » je lui tendais sa serviette pour qu'elle puisse se sécher « Tu vas prendre froid à moitié à poils. » j'anticipais la réplique qu'elle pouvait faire en ajoutant aussitôt « Et non je ne vais pas te réchauffer. » je lui faisais un clin d’œil et sortait de la salle de bain, c'était ma chemise qui était trempée mais de toute façon elle devait aller au sale c'est d'ailleurs là que je l'emmenais avant d'aller vers ma chambre « Bonne nuit Pearl ! » disais-je assez fort pour qu'elle entende en ne sachant pas si elle était toujours dans la salle de bain ou dans sa chambre. Fermant ma porte je lâchais un long soupire et me prenais la tête entre les mains avant de marmonner pour moi-même « Bordel de merde... » je sais c'est vulgaire mais là c'était le fond de ma pensée !
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Sam 12 Oct - 23:26
Pearl ♥ William
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Petit con, oui, c’était tout ce qui m’était passé par la tête sur le coup mais c’était mignon, non ? Dit avec tellement d’amour. Zut. Il fallait avouer que j’étais refroidie mais pas dans le terme que l’on penserait mais réellement refroidie car je gelais. Je lui avais demandé de me réchauffer les mains ce qu’il fit en disant que ça, il le pouvait mais un petit truc en moi me disait qu’il pourrait plus. Le comparant à un dieu, je ne pus que rire à cet argument qu’il me sortait, levant les yeux en le regardant. « C’est une expression ! », lui disais-je simplement par ce que j’ignorais s’il était doué ou non mais dans le fond cela ne serait pas du tout cela qui m’arrêtait. Quand on aime, on s’en fiche et puis les filles que j’entendais jouir dans la pièce d’à côté n’était pas là pour me prouver le contraire. Ces garces. Mon dieu, je les hais. Je lui souriais alors qu’il lâchait mes mains. « Merci ! », soufflais-je en l’entendant parler de minuit et de la lune. Il fallait un peu moment et surtout quand il parlait de loup pour que je ne me rappelle de ce moment à son anniversaire ou il avait dit que j’étais une sorte de loup ce qui m’avait amusé mais ce soir-là, j’aurais également pu lui sauter dessus et surement sans le ménager, je souriais. « Le loup est plus dangereux que ce soir, crois-moi. Je t’aurais bouffé à ton anniversaire ! », Soufflais-je amusée en le regardant car oui, le gremlins était tout mignon comparé à ce qu’il m’avait provoqué ce soir-là sans même rien y faire. Non mais et en plus alors que je prenais la serviette, il me devançait en me disant qu’il n’allait ps me réchauffer. « Même pas drôle ! », non mais je peux plus l’ennuyer s’il me devance. Suis-je tellement sans surprise ? Zut, j’avais soudainement envie de lui montrer que je pouvais le surprendre mais je me retenais. Il le fallait car il allait m’enfermer dans un asile si je continuais à me jeter sur lui comme une chienne que l’on n’avait plus nourrie. Une lionne plus vite et oui, bon, il est vrai que l’on ne m’avait plus nourrie depuis un moment mais chut. Le savait-il ? Je ne pensais pas qu’il le sache enfin là de suite, je pensais que non mais dans le fond, c’est William. Il me connait bien mieux que moi enfin presque… Et son clin d’œil, mince mais il le faisait exprès pour en rajouter ou je rêve ? A chaque fois, il me donnait cette envie de le trouver tellement irrésistible car c’était ça. Il devait se douter que ce n’était pas sans effet sur moi. C’est un être humain tout comme moi. Je sortais de la salle de bain avec la serviette autour de la taille, le regardant retirer sa chemise. J’avais l’impression que c’était au ralenti comme dans les films. Je clignais des yeux pour dire de m’arracher cette image en secouant légèrement la tête. Non de dieu. « Bonne nuit, Dieu ! », soufflais-je alors en haussant les épaules alors que je m’avançais vers ma chambre en levant les yeux et faisant demi-tour en regardant la table de la cuisine et la gazinière pour vérifier qu’elle ne soit bien propre. Ouf mais il y avait de l’eau partout dans la salle de bain aussi. Mince. Je prenais alors la serpillière avant d’aller passer un petit coup. Oui, il ne m’y avait pas interdit cette fois, youpie. La folle que je suis pouvais s’éclater à faire un brin de ménage mais je me posais des questions. Cela me travaillait réellement cette soirée, je ne savais pas vraiment pourquoi mais j’avais peur de la suite. Pourquoi ça ? Je ne saurais le dire. Une petite angoisse qui me disait : tu as de quoi perdre cette fois car sur le coup, je me demandais s’il allait céder ou s’éloigner. Cela me crispait légèrement. Je finissais le nettoyage en allant ranger tout avant d’aller dans ma chambre. J’entrais en mettant ma main sur le poste d’ipod et mettant cette douce chanson assez basse pour ne pas gêner son sommeil à lui-même si les murs étaient solides. J’allais aussitôt vers ma penderie pour changer mes sous-vêtements tremper et enfiler un short en satin. C’était tout. J’allais alors vers mon lit en m’y allongeant sous les couettes et contemplant le plafond. Je levais la main pour allumer cette petite lampe de chevet avant de me guider vers l’interrupteur pour me retrouver seulement avec cette lueur légère de la lampe. J’inspirais doucement en contemplant cette étoile en surbrillance sur mon plafond avant de fermer les yeux. Le sommeil fut long à arriver. Une demi-heure au moins. Le sommeil fut quelques peu facile au début, 2 heures de dodo qui s’étaient bien déroulé mais tout changea alors que je faisais encore un de ses affreux cauchemars. Me débattant comme à mon habitude, en âge aussi. Terrorisée. La terreur qui pouvait se lire sur mon visage même endormie. Je me réveillais d’un sursaut en hurlant presque même si celui-ci était étouffé par un manque de respiration. Je reprenais mon souffle. J’inspirais, j’expirais. Je sentais une larme furtive s’échapper. Le souci avec le passé c’est qu’il vous hante. Vous pouvez tout faire pour le vaincre mais il sera toujours là. Il ne vous quittera jamais. Le mien avait du mal à lâcher prise mais cela ne serait jamais mon passé si je l’oubliais et qu’il s’en allait. Ce n’est pas comme un coup d’un soir. On n’a pas juste à zapper son prénom et son numéro. Sur le coup et sans même hésiter, je répétais le shema que j’avais toujours fais depuis quelques années. Je relevais la couette bien que plus vraiment sur moi après mes débats contre l’invisible. Elle en prenait des coups. Je marchais un peu comme une zombie dans ma chambre en direction de la porte qui bien sûr était fermée et je me la prenais en pleine tête. Merde, un cochon à venir. Je l’ouvris alors avec la main sur le front en allant en direction de la chambre de William. A pas de loups, j’ouvrais la porte sans faire trop de bruit et me dirigeant à l’aveuglette dans son lit. Je n’étais pas encore habituée à sa chambre mais ça va, mes pieds n’avaient rien croisés si ce n’est un t-shirt que je devais éloignée avant de m’allonger à ses côtés. Et en espérant ne pas me blottir contre une Olivia ou une meuf même si je savais qu’il était seul, je me blottissais contre lui comme un gros bébé. Les yeux ouverts, tétanisée.
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Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Dim 13 Oct - 1:43
La journée de boulot plus la soirée plutôt mouvementée, j'étais épuisé et content de me trouver enfin un peu seul dans ma chambre. En quelque sorte j'étais à l'abri de la tentation et des tentatives de séduction très poussées de Pearl. J'avais du mal à me dire que tout ça c'était vraiment passé... Et pourtant c'était la réalité, un tournant pris avec aucun retour arrière possible. Heureusement que ça n'était pas allé plus loin, trop loin. Je me changeais avant de m'étaler dans mon lit soupirant d'aise une fois confortablement installé. Malgré la fatigue j'avais pas mal de choses en tête qui retardèrent un peu la venue du sommeil, comment pouvait-il en être autrement après ce soir ? Je ne me sentais pas au mieux, pleins d'interrogations et craignant ce qui allait se passer après... Demain allait être compliqué. Mais finalement j'arrivais à rejoindre Morphée pour un poker, il va me plumer comme à chaque fois !
Je n'avais aucune idée de l'heure qu'il était, si je dormais depuis longtemps ou non quand en me tournant dans mon sommeil j'eus la sensation d'avoir quelqu'un contre moi. Je me réveillais en sursaut, et reculait vivement en réalisant que c'était Pearl. Encore sous le coup de ses tentatives de rapprochement j'avais simplement comme pris peur et je venais de me dégager avec tellement de vivacité que j'en tombais de mon lit. Heurtant le sol je marmonnais, mécontent d'être ainsi dérangé « Non... C'pas possible... ». Un soupir de mécontentement suivit alors que je regagnais mon lit, un peu en rampant « Qu'est-ce que tu fais là ? » demandais-je pas vraiment de bonne humeur en allumant ma lampe de chevet. La lumière me fit plisser les yeux et je les frottais un peu avant de la regarder, et c'était suffisant pour que je comprenne qu'elle avait fait un cauchemar. Réflexe habituel, Pearl était venu se réfugier dans ma chambre pour retrouver le sommeil. Je me remettais à ma place en bougonnant des trucs incompréhensible sur le fait que j'allais avoir du mal à me rendormir, que c'était malin et qu'en plus je m'étais fait mal en tombant. « Dors je suis là. » lâchais-je à l'intention de ma meilleure amie en me tournant à l'opposé d'elle, craignant qu'elle ne profite de la situation. Je sais c'est moche, elle est sans doute réellement mal mais c'est le prix à payer pour avoir jouer avec le feu, je ne suis sûr de rien et je ne suis plus vraiment d'humeur à jouer.
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily Come here baby, from a whisper start To have a little faith in me When the road gets dark
And you can no longer see Let my love throw a spark
[/b]
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé ✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés.
Sujet: Re: ◗ oh my god, pris la main dans le boxer - wearl Dim 13 Oct - 3:29
Pearl ♥ William
❝ Oh my god, pris la main dans le boxer ❞
On récolte ce que l’on sème. Voilà ce proverbe qui vient de je ne sais ou. Je ne savais pas vraiment ce à quoi je devais m’attendre ou même que cela pourrait le réveiller. Parfois je vis dans mon petit monde de bisounours ou je rêve de ne réveiller personne pourtant si. Et ça, c’est du réveil. Non, c’est possible apparemment mais je ne savais pas réellement comment réagir quand il me disait ça, j’étais encore très peu réveillée, mal aussi. Je ne calculais pas réellement ce qu’il se passait avant de le voir ramper tandis qu’il me demandait ce que je faisais là. J’haussais les épaules doucement en le regardant, ce regard de petite fille toute apeurée. « Hmm… », soufflais-je doucement sans réellement savoir si je devais décamper ou pas. « Je... Enfin… », Continuais-je d’un murmure mais à son regard, je me doutais bien vite qu’il avait compris cependant je ne savais que dire. Je regardais bêtement celui-ci avec les yeux plissés. J’inspirais doucement en le regardant ainsi me tourner le dos. A quoi m’attendais-je ? Je n’en savais rien mais je regrettais d’être là. Je l’entendais me dire qu’il était là mais je n’en avais pas la sensation. Je le méritais en quelques sortes, non ? Je soupirais doucement en me mettant sur le dos, regardant son plafond. Hésitante quant à savoir si je devais rester ou pas. J’avais la sensation de ne pas être la bienvenue mais je trouvais ça normal dans un sens et même si c’était sacrement douloureux sans même que je ne veuille me l’avouer. Il était celui avec qui j’allais dès que je faisais mon cauchemar depuis tellement longtemps que ça me semblait même parfois bêtement vitale mais c’était différent car d’habitude, je ne l’effrayais pas. Je voulais partir, j’en ressentais le besoin et ça me tuait. Car mon besoin était de rester aussi. C’était assez frustrant sur le coup. Bien loin du sexe ou n’importe. Non, c’était simplement que j’avais besoin d’un réconfort que je ne pouvais en quelques sortes plus avoir. Sans trop remuer le lit, je me redressais en inspirant légèrement. Le regardant ou du moins ses épaules alors que je l’avais bien entendu marmonné qu’il ne savait pas s’il allait se rendormir. Dormait-il déjà ? Je n’en savais rien. « T'es pas vraiment là mais c'est pas grave, je comprend ! », murmurais-je en tentant une sorte de sourire triste qu'il ne pouvait pas voir mais je n'étais pas stupide. C'était le résultat de mes conneries. Je me glissais légèrement à sa joue en y déposant simplement et bêtement un baiser. Un geste anodin. Loin de la séduction mas surtout en quelques sortes de la culpabilité. J’avais un vrai mélange de sentiments en ce moment qui se battaient pour me faire rester et partir à la fois mais je ressentais ce besoin de le laisse en paix. J’avais l’impression que c’était ce qu’il voulait. Les impressions sont parfois fausses. Je me redressais aussitôt. La voix encore un peu endormie, je tentais de trouver mes mots. « Désolée ! Je n’aurais pas dû ! Je t'ai fais peur en plus je te réveille, une catastrophe. J'aurais dû y penser. », soufflais-je légèrement en quittant le lit et soupirant alors que je retournais vers la porte. « Je le mérite en fait… Rendors-toi, je vais me débrouiller ! », C’était purement sincère même si je n’étais pas certaine de réellement me débrouiller mais ça, c’est une autre histoire. J’avais tellement été seule quand j’étais plus jeune et que je ne pouvais pas rejoindre son lit. Parfois c’était celui de Morgana et d’autres fois les bras de mon père qui m’entendait hurler mais quand j’étais seule, j’étais persuadée de ne jamais réussir à me rendormir comme fut le cas à Paris. Les nombreuses insomnies. Je m’en foutais car là, je sentais que c’était mieux ainsi pour lui. Mine de rien, il comptait plus à mes yeux que mon propre sommeil sur le coup. Je me sentais plus mal de l’avoir réveillé et effrayé que d’avoir fait ce cauchemar. Je ne suis pas normale en fait.