J'admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s'est arrêtée, car ce sont ceux qui continuent d'avancer lorsque tout espoir est perdu - feat Lorena
So stand in the rain, Stand your ground
Stand up when it's all crashing down You stand through the pain You won't drown
And one day, whats lost can be found
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10.01.1986 ✔ METIER : Flic à la criminelle ✔ CUPIDON : Célibataire et pour elle... l'amour signifie catastrophe. Cela n'en a été que depuis sa naissance. ✔ HUMEUR : Lunatique ✔ SURNOMS : Loren, Rosy, Rose, Rosa, Lore, Lorena... un peu de tous mais Loren suffit. KITTY PATTES DE VELOURS... MIAOUUUUUUUUUUUUUU ✔ CHOSES A FAIRE : Manger un donuts ✔ CITATION : En fait tous les hommes sont des bêtes avant de trouver la femme parfaite au fond. Croquant alors à pleine dent la vie de célibataire en grognant de femmes en femmes… en dévorant certaines du regard pour en faire le diner dans une soupe chaude au lit pour ensuite les laisser rentrant et ne plus les revoir. Les hommes sont des bêtes et ensuite… ils rencontrent la belle… ils deviennent plus sérieux en ne grognant que sur une seule femme et ayant alors une soupe chaude dans leur lit toutes les nuits.
Sujet: J'admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s'est arrêtée, car ce sont ceux qui continuent d'avancer lorsque tout espoir est perdu - feat Lorena Ven 1 Nov - 9:22
Lorena-Rosa L. Sanchez
❝ Ne jamais dire jamais❞ featuring ▷ Sophia Bush
prénom ◗Lorena-Rosa mais on m’appelle Lorena car c’est plus simple, je n’y peux rien. Lullaby en deuxième prénom car ma grand-mère le portait. noms ◗Sanchez, le nom de ma famille que j’aime de tout mon cœur. née ◗ 10.01.1986 (27 ans)à ◗Madrid nationalité ◗Espagnole de pure sangsexualité ◗ hétérosexuellecupidon ◗ totalement mariée au pouvoir de la femme. Les féministes sont là. Mais en fait, je suis mariée mais chut.métier(s) ◗Flic à la criminelle. études(s) ◗Criminilogie en psycho et biologie avec le cursus pour être fliccaractère ◗ Lunatique • J’ai l’art de changer d’humeur en deux instants… rien qu’en la présence d’une personne ou même simplement à une parole ou un détail qui me chique. Parfois c’est en bien et d’autres en mal. Folle & Vivante • je suis une fille assez vivante, je ris et je souris toujours. Je suis imprévisible et peux dire ou faire des conneries en deux secondes. Je me lâche. Rancunière et impulsive • Attention car je peux aussi parfois rapidement… aller contre vous et surtout faire des bêtises. J’aime me venger. Curieuse et maladroite • Je suis dingue que ce soit physiquement ou moralement, je suis maladroite mais aussi curieuse car je ne peux m’empêcher de tout vouloir savoir. Je n’aime pas les mystères. Dans tout ça, j’obtiens aussi toujours ce que je veux, je peux aller par toutes les techniques surtout que je suis indépendante et je n’ai pas de factures à rendre. Je m’offre le privilège de toujours avoir ce que je désire et je me damnerais pour les personnes que j’aime. Je suis aussi cependant assez boudeuse, je peux rapidement vous en vouloir gentiment si je suis vexée. Je suis féministe, totalement, un peu trop même. Les hommes m’ont tellement prises pour une quiche que je ne suis clairement pas le genre de femmes qui se laisserait mener par le bout du nez. Intelligente et futée ce qui pourrait me faire passer pour une intello mais j’aime avoir le nez dans mes bouquins. Lire de tout et de rien juste pour m’informer. ♥ love ◗le chocolat • les roses blanches • les films à l’eau de rose • le respect • manger après minuit • un bon repas sain • de la malbouffe parfois • les oranges pressées • les bananes pas mûres • la paella • le jus de citron • la liqueur de bananes • le café • les pizzas mozzarellas avec supplémentes d’ailes et huiles piquantes • un bon lasagne • le jus de fruit • la sauce au poivre • cuisiner • le soja • les salades mixtes • les fraises au chocolat • la glace • travailler • mes amis.☠ hate ◗le café noir • les impatients • les films d’horreurs • les souris • les haricots verts • les araignées • être triste • les gens qui pleurent • les pommes • l’avoine • le jus de pomme • les régimes • le café noir • le canard • le pain de mie • les pistaches • les mensonges • nager • la soupe • le vide • les gâteaux au pomme • les sacs à patates • mon boulot • mes ennemis
▷ qu'aimes-tu faire chez toi ◗ Ici, ta réponse en 5 lignes et si tu les dépasses c'est encore mieux. Courage, elles ne sont pas vraiment difficile. Elles nous permettent de mieux connaitre ton personnage en restant dans la thématique du contexte. Si tu prends des exemples de son passé ou n'importe et bien cela va assez rapidement. Les réponses peuvent comporter des "souvenirs", des sauts de lignes, enfin si tu veux faire complet. ▷ toi et la colocation ◗ Ici, ta réponse en 5 lignes. Si ton personnage n'est pas en colocation... la question se base sur la vis commune, normal. ▷ aimes-tu tes voisins en général ◗ Ici, ta réponse en 5 lignes. ▷ es-tu le voisin idéal ◗ Ici, ta réponse en 5 lignes. ▷ que penses-tu de l'absence d'ascenseur ⊱ Ici, ta réponse en 3 lignes. ▷ tu vis ici depuis combien de temps ◗ Ici, ta réponse en 5 lignes.
pseudo sur le net ◗ ici prénom ◗ ici parles un peu de toi ◗ ici tu viens d’où ◗ ici ton âge ◗ ici comment tu nous as trouvés ◗ ici groupe ◗ Ici le groupe de ton personnage tu es flood, jeux ou cb ◗ ici ta fourchette rp ◗ tu fais à peu prés combien de mots/lignes. aimes-tu les fous ◗ ici que penses-tu des bananes ◗ ici ton pêché mignon ◗ ici si je te dis pika, tu dis ? ◗ ici
Dernière édition par Lorena-Rosa S. Sanchez le Dim 3 Nov - 17:25, édité 5 fois
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10.01.1986 ✔ METIER : Flic à la criminelle ✔ CUPIDON : Célibataire et pour elle... l'amour signifie catastrophe. Cela n'en a été que depuis sa naissance. ✔ HUMEUR : Lunatique ✔ SURNOMS : Loren, Rosy, Rose, Rosa, Lore, Lorena... un peu de tous mais Loren suffit. KITTY PATTES DE VELOURS... MIAOUUUUUUUUUUUUUU ✔ CHOSES A FAIRE : Manger un donuts ✔ CITATION : En fait tous les hommes sont des bêtes avant de trouver la femme parfaite au fond. Croquant alors à pleine dent la vie de célibataire en grognant de femmes en femmes… en dévorant certaines du regard pour en faire le diner dans une soupe chaude au lit pour ensuite les laisser rentrant et ne plus les revoir. Les hommes sont des bêtes et ensuite… ils rencontrent la belle… ils deviennent plus sérieux en ne grognant que sur une seule femme et ayant alors une soupe chaude dans leur lit toutes les nuits.
Sujet: Re: J'admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s'est arrêtée, car ce sont ceux qui continuent d'avancer lorsque tout espoir est perdu - feat Lorena Ven 1 Nov - 9:23
◗ la vie est belle quand on danse en tutu ∝ Dans la vie, il a y le blanc et le noir. Je me suis toujours retrouvée dans le gris à mon grand désespoir. J’étais pourtant née sous une bonne étoile d’après ce qu’on pourrait penser. J’avais une sœur jumelle, oui, paf, on me mettait une sœur à la naissance. Pas de quoi s’ennuyer, c’était certain. Il fallait avouer que j’avais des parents hors du commun. Maman était le genre de femme riche mariée à un homme qui bossait énormément pour maintenir cette fortune. Papa lui était toujours au travail, dans des endroits par ici et par là. On ne savait jamais réellement ce qu’il faisait car il n’en parlait pas énormément. Le peu de temps qu’il passait, il nous l’accordait quand nous étions petites. C’est quelques années après que naquit Rafael, notre petit frère. Nous avions toujours une cuillère en or dans la bouche et des poupées par millier, il ne changeait rien mais j’étais tellement cet enfant solitaire qui n’était pas réellement proche de sa maman, pas vraiment proche de sa sœur jumelle. Pas comme le dirait tous les stéréotypes. Nous étions proches, nous nous comprenions, nous portions les mêmes vêtements mais pourtant je n’étais pas toujours avec elle, je cherchais sans cesse mon indépendance, loin de maman surtout car nous n’étions pas vraiment proche. Ma mère était souvent avec Larisa et Rafael. J’étais bien loin de ce qu’elle vouait d’un enfant. J’étais rebelle, je ne voulais jamais me tenir droite à table mais le pire c’était juste par ce que ça m’amusait de la voir s’énerver. Je n’étais pas vraiment une sale gosse, pas du tout mais je n’aimais pas la vision que ma mère voulait donner de notre famille. J’avais quelques années que nous devions être parfaits. Tous, ses trois enfants. C’est alors qu’arriva ma petite sœur. Jazz. Ce petit bout qui rapidement devint mon coup de cœur. Cette enfant fragile qui arrivait dans ce monde de fou. Elle ressemblait à une cacahuète dans sa barboteuse. Je n’avais dieu que pour son teint de bébé et sa petite touffe de cheveux sur le haut de sa tête. Je ne voulais pas lâcher ma petite sœur dès que j’avais vu son beau sourire. Peut-être que je dois paraitre totalement folle mais pourtant de tous les membres de ma famille, elle fut celle qui me sortait de ma solitude et ainsi de mes longues conversations avec Jerny, mon ourson et Cali, mon chaton. Pleine de magie et perlimpinpin, je croyais au prince charmant et ses châteaux. J’avais tendance à rêver au cheval blanc. Une enfant qui voyait le monde comme une géante pomme qu’elle voulait croquer mais aussi l’amour comme un bonbon acidulé que l’on ne peut jamais refuser. Cette chose que l’on voyait dans les dessins animés ou blanche-neige sortait de son cercueil pour atterrir dans les bras de son prince ou le baiser bien magique du prince Philippe à Aurore. J’ne rêvais. Je rêvais de mon prince qui me demanderait de dérouler mes longs cheveux. J’avais besoin d’amour dans cette maison que j’osais appeler : asile quand les cris stridents de Rafael et Larisa m’arrachaient les oreilles alors qu’ils ne faisaient que s’amuser mais surtout les larmes de maman pleurant l’homme qu’elle avait épousée qui n’était jamais là. Mais pourtant je me disais tellement que c’était de sa faute. La sienne car la perfection était tellement à fuir. J’étais une enfant futée, je ne voulais pas lire que Robin des bois mais je lisais des millions de livres parfois même alors qu’ils ne sont pas pour les enfants de mon âge. Je m’en fichais. Je voyageais à travers les bouquins. Je ne voulais pas être comme ces enfants baltringues qui ne connaissent rien à la vie. Qui posent des millions de questions comme des imbéciles. Non, je cherchais toujours les réponses car je n’avais bien souvent pas d’adultes à qui le demander. Grandir est souvent la compilation de plusieurs choses qui nous échappes. Nous grandissons avec ce que nous apprenons. Dans le fond alors que je battais mes 10 bougies et les autres qui suivaient, je devenais une adolescente assez rapidement, trop peut-être ? Je n’avais jamais réellement été d’une âme d’enfant. Je n’étais pas toujours intéressées par les légos, les playmobiles et divers jouaient. Bien trop éveillée dans un sens. J’avais jouée à la poupée, beaucoup. Surement un peu trop mais il fallait avouer que c’était un peu le seul jeu d’enfant qui m’avait motivée. Dans le fond, jouer est rassurant. Cela nous rend simplement innocent. Je favorisais les occupations plus adultes. Je lisais, je dessinais… je me laissais aller à la vie. J’étais même danseuse. J’enfilais mes tutus sans hésiter quand je le pouvais pour faire quelques pirouettes. J’adorais ça et maman me disait toujours que j’avais le physique. Dans le fond, c’était l’un des rares compliments que je me rappelais avoir eue d’elle. Je souriais doucement en regardant autour de moi à chaque fois que je pouvais en avoir un. J’avais peur que quelqu’un loupe ce moment. Cela pourrait sembler stupide mais j’aimais avoir cette attention de ma mère par moment. C’est ainsi que je grandissais, différemment des autres enfants et sans profiter pleinement de mon innocence. Dans le fond, je n’avais jamais réellement aimée être futile et stupide comme les gamins du bac à sable que j’avais pu croiser par moment. J’étais devenue au fil des années une enfant assez franche, je ne mâchais jamais mes mots pour dire à une petite rousse qui se faisait maltraité par les autres enfants qu’elle était plus jolie qu’une carotte et puis que si elle était rousse, eux, ils étaient cons. Je ne voulais pas tourner autour du pot et laisser les plus forts attaquer les plus faibles. A quoi bon ? J’avais toujours ce petit air insolent. J’étais la petite fille qui n’hésitait pas du tout à donner un coup de poing aux crétins qui l’approchaient ou la cherchaient. Quand se portait l’occasion, je levais la main surtout sur les hommes car j’aimais bien ne pas avoir l’impression d’être faible. Beaucoup me demanderont ou était passée la jeune et innocente princesse qui croyait aux contes de fées mais elle était encore là sauf que j’étais une princesse qui n’avait pas peur de s’abîmer les fesses. Rapidement venait le temps du lycée, le temps des premières règles ou même la découverte de la féminité. J’étais assez jeune, 12 ans alors que ma poitrine avait commencée à apparaître. C’était gênant bien souvent car quand nous sommes l’une des seules à en avoir dans notre classe, nous avons le regard bien différent. Nous changeons de vêtements de look et nous attirons la jalousie ou le mépris des autres. Cette part de moi était assez difficile à gérer mais amusante à la fois avec le regard des hommes. Je m’éclatais assez à en jouer à chaque fois que j’étais en compagnie des garçons au lycée quand ils regardaient mon décolleté comme s’ils étaient au musée. Les hommes sont vraiment bon à vivre dans des cavernes même quand ils sont aussi haut que trois pommes. Je découvrais rapidement ce côté tellement repoussant de l’homme qui me tuait en quelques sortes. Cela m’agaçait réellement car je me rendais compte qu’ils étaient tellement stupides. Ils pensaient les femmes comme des jouets enfin les filles et encore nous sommes des enfants à 12 ans mais quand je les entendais. Ils étaient graves à penser déjà au sexe alors qu’ils venaient à peine de lâcher la petite voiture qu’ils faisaient rouler sur les murets pendant le temps de midi. Et encore certains le cachent mais continuent.
◗ cette jeune fille était intelligente avant de tomber amoureuse ∝ Il faut grandir pour ouvrir les yeux, cette phrase peut être enfantine mais cette princesse qui croyait que le prince existait ne savait pas encore que les hommes pouvaient être affreux même si ses yeux s’ouvraient progressivement. L’enfant que j’étais pensait réellement que l’homme de sa vie allait arriver du jour au lendemain pour lui faire découvrir ce que l’on appelle amour. Je n’avais jamais réellement été amoureuse bien qu’enfant, j’avais eu un baiser de gamin et un sourire tout mignon de plusieurs bambins mais à l’aube de mes 13 ans mon regard croisait le sien. Ce garçon que j’avais pourtant déjà croisé quand j’étais jeune. Fils de riche aussi. Il était le genre de personne que je ne pourrais jamais apprécier. Typique gamin riche qui ne voulait que des jouets par milliers. L’égoïste pure. C’était tout ce que je me disais et pourtant ce jour-là alors que nous fêtions notre anniversaire avec Larisa, mon opinion changeait. Aux yeux de maman, cela pourrait être tellement magique qu’il devienne l’homme de ma vie. Le plan de futur parfait pour l’une de ses filles dont elle ne savait réellement pas quoi faire. Une bonne à rien, je n’allais pas avoir un bon futur pour elle. Je n’étais pas capable d’être une femme de foyer disait-elle alors que je m’occupais mieux de ma petite sœur que ce qu’elle pouvait s’occuper de ses quatre enfants. Cette femme qui était ma mère voulait que j’aille avec cet adolescent qui me faisait craquer. Je ne voulais simplement pas lui faire ce plaisir. Bien au contraire, le simple fait qu’elle ne me pousse dans ses bras réveillait une sorte de rage que je voulais utiliser à ma guise contre elle. Le cœur avait pourtant raison de moi alors que les papillons se réveillaient dans mon estomac quand je le croisais à chaque fois. Je ne savais réellement pas comment allait se dessiner le futur et pourtant je tombais amoureuse. Une chose est sûre, je n’étais pas naïve. L’on ne trouve pas l’homme de notre vie à 14 ans. C’est impossible. Mais il avait le don de me donner des frissons étranges. Il était un peu plus âgé mais je m’en fichais bien en fait. Et puis je ne devais rien dire à ma mère, je ne voulais rien dire. De son côté, elle poussait toujours l’amour à naitre sans savoir qu’il avait pris son envol de lui-même. Je voulais en rajouter à ses peines. C’est alors que j’avais rencontrée Edwardo. Ce jeune homme de 17 ans d’une famille pauvre. Je ne l’aimais pas mais il avait dieu que pour moi. La poisse. Cela m’énervait réellement mais l’avantage était que cela énervait aussi maman. Il était rapidement mon alibi quand je voyais mon vrai petit copain. Celui qui acceptait d’être le type qui servait juste de chandelle pour que j’embrasse le vrai petit copain. Personne n’était au courant, c’était juste magique. Cela en rajoutait encore plus alors que je découvrais les nouveautés de la féminité. Plus âgé, plus expérimenté aussi alors que j’étais une pucelle de 15 ans. Lui, non. Aucuns des deux mêmes et pourtant ce moment arriva alors avec le seul qui comptait à mes yeux. L’unique. Ma première fois. Je ne savais pas réellement comment cela se passait ou même comment ça allait être mais le soucis étant que je n’avais clairement pas prise mes précautions. Une pilule ? Je savais tout ce qu’était ce monde, assez évoluée, je connaissais tout ça mais je n’y avais juste pas accès sans ma mère. Elle n’allait pas m’offrir un rendez-vous chez le gynéco en sachant qu’elle pensait que j’étais avec le pauvre Edwardo. Et paf. 1 mois après, je n’avais que du retard, un gros retard. Il fallait un moment pour que je m’en rende compte. J’avais donc tout fais pour me procurer un test de grossesse. Positif, et c’est là que votre enfance aussi fine soit-elle que vous aviez prend l’ancre pour s’envoler. Quand un test dit oui à une chose que vous n’attendiez pas du tout. Oh non, pas du tout. 15 ans ? A cet âge nous sommes encore comme un gros bébé et nous comptons à peine deux par deux mais cela arrivait. J’étais maman ou presque. La panique s’installait assez rapidement, je ne savais que faire mais aussi comment gérer ? Il ne savait pas la situation avec Edwardo et à peine ma mère mise au courant, tout le monde le disait comme le père. Le vrai père de cet enfant n’a jamais été certain s’il l’était ou non, préférant se retirer de ma vie même si nous nous rencontrions encore sous les soirées typiques où nos familles étalaient les richesses. Cael, cet homme que j’avais aimé enfin « cet homme », il ne l’était pas encore totalement mais il allait être pére. Il l’ignorait mais j’ignorais aussi comment j’allais faire seule avec un enfant. Ma mère, persuadée qu’Edwardo était le père… paya le jeune homme pour qu’il s’éloigne de ma vie. Une aubaine pour lui, il n’était pas le père sauf qu’il était l’unique à pouvoir dire la vérité. Comment faire un monde en paix sans une personne pour justifier mes dires ? Comment me croire alors que j’avais cachée tellement de choses. Le plus compliqué avec le jeu c’est qu’on y brule vite nos ailes. Je brulais les miennes alors que j’étais si fragile, si perdue. Je ne savais pas à quel saint me vouer. Comment arranger ça ? Le pire étant que j’aimais cet enfant. Je rêvais de notre avenir, avec son père pourquoi pas ? Mais cela me semblait tellement impossible à l’ignorance à laquelle j’avais droit. Une erreur, on la paye. Je savais que j’aurais dû lui dire la vérité sur tout ce qui se tramait avec ma mère. Il ignorait que ça allait aussi loin. J’étais coupable. Perdue. Et je voulais une seule chose. Le bonheur de ce bébé. J’avais donc acceptée le marché de ma mère. Mon père ne saurait rien, rien du tout, elle payait Edwardo pour s’éloigner, chose que j’étais censée détester et elle payait ça. Elle me gardait sous son toit, elle payait les soins, les docteurs et tout ce qui allait être en besoin pendant les 9 mois de grossesse mais je devais cependant lâchement abandonner cet enfant à la naissance. Cela me traumatisait. J’étais totalement perdue et j’ignorais à qui me confier, je n’arrivais même pas à en parler pleinement avec Larisa même si elle était un bon appui mais j’allais mal. Très mal. J’étais une adolescente enceinte qui allait abandonner un enfant alors qu’elle savait pertinemment qu’elle était capable de lui donner l’amour même si cela ne suffisait pas. C’était ça ou vivre sous un pont avec elle. Au delà de mes 3 mois, personne ne savait ce qu’il était advenu de ma grossesse. L’on ne me voyait plus au lycée, plus aux soirées, plus dehors. Je passais ma vie entre la maison et le jardin sauf quand nous sortions pour les examens chez le gynécologue. Ma mère me traitait un peu comme une honte que l’on voulait cacher cependant avec la religion être enceinte et pas mariée, c’était une honte. Peut-être que parfois je rêvais d’un moment où j’aurais pu simplement tout claquer, dire la vérité. Claquer ma peur que l’on ne me croit pas mais aussi qu’il ne me rejette non pas en pensant que j’aurais pu lui être infidèle mais en sachant que c’était son enfant pas celui d’un pauvre fils de patronne de café et encore, ce n’était pas vraiment un café mais un boui boui de bas étage. Au terme des neufs premiers mois alors que j’allais accoucher, je sentais que ça allait être bientôt le commencement de mon pire cauchemar. Les infirmières m’avaient laissées tenir ce bébé une première et dernière fois en cachette de ma mère, je ne voulais plus le lâcher et pourtant, il le fallait. Ce moment avait été totalement affreux pour moi, vraiment. J’étais perdue, désemparée. Je n’avais aucune idée de ce qu’il fallait que je fasse. Je n’étais plus vraiment allumée, plutôt éteinte. J’étai comme une bougie sur laquelle nous avions retirées la flamme. Comme une ombre de moi-même, j’abandonnais cet enfant sans savoir qu’une infirmière avait falsifiée les papiers et m’avait laissée une lettre dans ma valise.
◗ les âmes sœurs sont vouées à se retrouver ∝ Il fallait avouer que la vie n’était plus réellement pareille depuis que j’avais abandonné mon bébé, je n’étais réellement plus moi-même. Plus qu’une ombre. Je suivais la fin de mon adolescence sans réellement en profiter. Je me plongeais surtout bien trop dans les études. Une fois le lycée terminé, j’entrais à l’école de police pour passer mon concours avec brio. J’étais heureuse, réellement. C’était ce que je voulais faire dès le départ. Je ne me voyais pas faire autre chose. Chasser les méchants. Je maniais l’arme comme une pro et j’en étais heureuse. Une fois l’année de stage terminée, j’étais diplômée mais je voulais pousser plus loin, suivant le cursus qu’il fallait pour entrer dans la criminelle. Je voulais enquête, je ne voulais pas simplement mettre des pv’s et c’était tout. Je ne voulais pas aider les vieilles dames à traverser la route mais élucider des crimes. Prenant un supplément d’études en psychologie et biologie afin d’être calée, je me montrais des plus assidue mais là, il se passait une chose alors qu’il se trouvait que ce type, celui qui était juste en face de moi. Un étudiant aussi, je le connaissais par cœur, c’était lui. Cet homme, oui, maintenant, il était un homme qui fut le premier et l’unique depuis que j’avais accouchée. Je n’avais pas rencontrée d’autres hommes depuis, je les évitais tout simplement. Il fallait avouer qu’être maman et avoir abandonné l’enfant coupait réellement tout envie de reconnaitre l’amour à nouveau. Pourtant nous nous apprêtions à devoir être collé ensemble alors que nous étions nommés binôme. Bah merde alors. Peu à peu, la parole coupée entre nous fut rétablie mais aussi cette légère flamme alors qu’il me redonnait gout à la vie sans même le savoir. Cette flamme de cette bougie qui était éteinte se rallumait à l’aide de bête farce enfantine. De la taquinerie bien futile qui me laissait rougir à nouveau par moment en sa présence. Alors que j’avais rayée totalement l’idée de tomber sous le charme d’un homme à nouveau, cela arrivait et encore le même. C’est dingue ça, il est l’homme de ma vie ou quoi ? Je n’en savais rien car j’avais peur. Plus nous nous rapprochions et plus cette peur s’agrandissait et pourtant ce fut long avant que le premier baiser revienne sur la carte du menu. Le pire étant que j’avais fuie aussitôt en le regardant comme s’il était un zombie et détalant comme si j’étais la cervelle qu’il devait manger. Son gibier. Les semaines passaient et cela ne fut pas le seul. D’un commun accord alors que l’un de nous deux était venu sur le sujet, nous avions décidés de laisser le passé derrière nous mais c’était réellement difficile pour moi de ne pas parler de ce qui me hantait. Je savais qu’en Espagne, il y avait ma fille, notre fille. Abandonnée, triste, heureuse ? Je n’en savais rien mais j’étais mal par moment en le quittant et me disant que j’étais là à profiter de mon bonheur mais elle ? Je ne pouvais rien faire pour elle. Ignorait-il être son père ? Pensait-il que j’avais avorté ? Tellement de choses qui me tournaient dans la tête. Je ne savais que faire. J’étais comment dire ? Coincée. Nous nous tournions encore autour comme des petites abeilles qui cherchent à butiner la fleur. C’était assez dingue cette attraction entre nous, cette tension sexuelle qui par moment éclatait d’une passion démentielle. C’était effrayant. Cela m’effrayait. Et je n’osais pas aller plus loin, retardant toujours l’échéance. J’avais peur, totalement. C’est après quelques mois que je cédais au final, mettant mes doutes dans une corbeille. Le lendemain, nous nous réveillions. Un petit déjeuner et c’était fini. Je ne l’avais plus vu depuis, je n’avais plus eue de nouvelles, je m’étais donc renfermée sur moi-même, je me sentais tellement idiote d’avoir cédée aux hommes, tellement. Je devais être nulle. Depuis son départ comme un voleur, je ne l’avais plus vu une seule fois, même pas croisée son regard. Telle une folle, j’étais devenue féministe, battante, végétarienne même du jour au lendemain. C’était assez fou mais oui, je ne voulais plus manger de viandes. Pourquoi ? C’était ainsi et pas autrement. C’était seulement un moyen de me cacher de mes douleurs. Ensuite vint la fin de mes études, mon cursus pour entrer dans la police criminelle. Je ne voulais cependant pas quitter Madrid. Ils étaient tous partis sauf Jazz qui était trop jeune. Je ne voulais pas la laisser avec ma mère et pourtant c’est en fouillant dans des vieux papiers que je tombais sur une lettre, cette lettre. Celle que m’avait écrite cette infirmière. Elle m’annonçait que mon enfant pouvait encore être trouvée. Elle était quelque part. Elle allait rester informée jusqu’au moment où j’aurais besoin de savoir où elle se trouve. C’est alors que je m’étais mise en guète de cette infirmière qu’elle m’annonçait que ma fille était à Barcelone et encore dans un orphelinat, quelque part, perdue, triste et seule. C’est ce jour-là que je quittais la ville pour Barcelone. Il y a deux ans maintenant, j’ai trouvé un job, un bon job. Le boulot parfait dont je rêvais dans le bon domaine. Une brigade magique qui fut celle de mes rêves. Je retrouvais ma fille, une vie. D’abord possiblement attirée par le fait d’enfin profiter de ma jeunesse et ensuite simplement intéressée par mon rôle de maman. Je voulais juste être parfaite, pas comme ma mère. Je voulais être moi. Mais je ne voulais plus me faire avoir par les mecs. Oh non, plus du tout. Ca, non. Je voulais juste être la femme libre et seule que j’avais toujours été. Dire que je n’avais plus connue d’hommes depuis cette deuxième nuit avec lui serait un mensonge car en fait, je dois dire m’en être même amusée pendant une longue période et avoir abusée de la gentillesse de tous les hommes qui passaient mais je me calmais. Je me devais d’être plus calme, plus stricte avec moi-même sauf qu’un homme est rentré dans ma vie. Un collègue. Il était là depuis peu de temps mais nous nous étions rapprochés, amicalement bien sûr bien qu’il soit clairement attiré et pas des moindres mais entre deux ou trois sourires, nous étions parfaitement amusés par les attitudes. Bien que par moment, je veuille lui arracher la tête, par moment, pas du tout. Sauf que cet homme a des soucis, il n’a pas le visa pour rester plus longtemps au pays. Il était là pour un switch temporaire entre deux commissariats sauf que voilà, ils le rappellent. Expiration. Le souci étant que la seule façon pour qu’il reste est qu’il soit marié pendant au moins 6 mois à Barcelone pour devenir pleinement dans le droit de vivre chez nous. Et stupide comme je suis, j’ai acceptée. La plus grande erreur de ma vie.
Dernière édition par Lorena-Rosa S. Sanchez le Dim 3 Nov - 17:14, édité 7 fois
✗ I really wanna love somebody, i really wanna dance the night away, i know we're only half way there, but you can take me all the way, you can take me all the way, i really wanna touch somebody, i think about you every single day, i know we're only half way there, but you can take me all the way, you can take me all the way
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 8 mai 1983 ✔ METIER : Employé dans la boutique d'Ella et travaille comme second concierge et ancien drummer d'un band connu de Barcelone ✔ CUPIDON : Fichu personnage mythologique de pacotille!!! Tu sers à rien !! ✔ HUMEUR : Perdu ✔ SURNOMS : ☆ Nat'
★ Sasha
☆ Bisounours
★ Skippy
☆ Tonton ✔ CHOSES A FAIRE : ☐ Faire le jardin et nettoyer la piscine.
☐ M'acheter le nouveau disque d'un groupe expérimentale.
☐ Lire la pile de roman qui se trouve près de mon lit.
☐ Faire l'épicerie.
☐ Allez chanter à l'église.
☐ Essayez d'oublier Ella. ✔ CITATION : Une note peut sembler si infime, mais une mélodie peut révélé toute les paroles du monde.
Sujet: Re: J'admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s'est arrêtée, car ce sont ceux qui continuent d'avancer lorsque tout espoir est perdu - feat Lorena Ven 1 Nov - 9:24
Sujet: Re: J'admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s'est arrêtée, car ce sont ceux qui continuent d'avancer lorsque tout espoir est perdu - feat Lorena
J'admire ceux qui continuent à danser même lorsque la musique s'est arrêtée, car ce sont ceux qui continuent d'avancer lorsque tout espoir est perdu - feat Lorena
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