Thaleia C. Papadopoulos
LES INFOS MAMAMIA ✔ CITATION : © CRÉDITS : // ★ AVATAR : ALEXIS BLEDEL ♥ ✔ PSEUDO : // € EUROS : 20195 ✔ MESSAGES : 8 ✔ INSCRIPTION : 22/11/2013 AND MORE | Sujet: + papapapaoutai - une grecque en espagne Ven 22 Nov - 18:52 | |
| thaleia c. papadopoulos ❝ Ohh le pauvre bébé !❞
featuring ▷ Alexis Bledel prénom ◗ Thaléia noms ◗ Papadopoulos née ◗ 24.12.1986 (27 ans) à ◗ Santorin nationalité ◗ Grecque sexualité ◗ Hétéroment vierge cupidon ◗ son fiancé est genre dead... Ziuck ! métier(s) ◗ ici écrivaine de libre pour enfants ◗ ici caractère ◗ âme fragile - amusante - excentrique - réservée - séductrice - douceb- joviale - têtue - aimante - froide à ses heures - trop gentille - mystérieuse - bavarde ou silencieuse - timide - francheb- généreuse - romantique - indépendante - jalouse - envieuse - sentimentale - émotionnelle - sensibleb- intelligente - casse-cou - attentionnée - lunatique - manipulatrice à ses heures - sérieuse - rêveuse - naïve - souriante - gourmande. Je ne suis pas vraiment une femme que l’on comprend facilement. Je suis un puits de mystère. Les gens me voient toujours comme une fille super gentille, trop qui se renferme sur elle-même mais ceci n’est qu’une image car parfois je peux bouillonner sans rien montrer. Je suis diabète depuis toujours, j’ai besoin de mon traitement. J’ai pour habitude d’être très froide et méfiante aux premiers abords mais je n’ai jamais eue une vie que l’on pourrait dire : jolie, jolie. J'ai besoin de mes 8 heures de sommeil par jour sinon je peux être assez chiante. Je bois beaucoup de café, surement trop mais je ne touche jamais à l'alcool. Je ne tiens pas l'alcool en fait et je trouve l'odeur horrible. Je suis une vierge en fait, je me suis promise d'attendre le mariage ou le bon. Ce n'est pas un pacte avec dieu ou quoique se soit mais une sorte de promesse que je me suis faite au lycée. J'obtiens toujours ce que je veux car je sais comment l'obtenir. Je n'ai pas été habituée à ce qu'on me dise : non mais c'est une chose qui me déplait. J'aime le chocolat et j'en mange quand je ne vais pas bien. J'aime en avoir sur moi même si ce n'est pas bon pourtant. J'aime danser, je me dandine pour tout ou rien cela me détend en général puis cela éloigne grandement l'ennuie. J'ai horreur de me tourner les pouces. Rester sans rien faire ou même devant un film cela me donne envie de me gifler sauf si je suis dans les bras d'un homme. J'ai peur de l'eau, totalement et littéralement. J'en ai une peur bleue suite à un mauvais souvenir. ♥ love ◗ la liberté, les animaux, les livres, la peinture, le chant, le son de la mer, tremper mes pieds dans le sable, nager seule, la cuisine, la paella, les jus de pamplemousse rose, les pommes au four, le champagne, l’eau, les bons bains chauds avec de la musique, danser, les robes, mes cheveux, la gentillesse, la patience, la propreté, la sécurité, l’anonymat ☠ hate ◗ les armes à feu, la soupe au poulet, les tartes à la rhubarbe, le sang qui me fait tourner de l’œil, les rongeurs, les araignées, rester sans rien faire, le pieu mensonge, la trahison, la mort, la surprotection, les rêves, signer des autographes, les dragueurs séducteurs qui vous briserons le cœur, les casses-couilles, les bananes trop molles. ▷ qu'aimes-tu faire chez toi ◗ Normalement enfin quand un crétin ne m’a pas kidnappé, je suis une simple fille qui aime écrire, dessiner, peintre enfin tout ça, je suis une artiste tout simplement et j’ai un besoin d’exprimer ça. Avec les bons plats grecs que je cuisine c’est ce que je fais en général. Je m’éclate, quoi. Je passe mon temps aux fourneaux ou au tableau ou au clavier. Chez mon père, je suis un peu cloitrée entre 4 murs donc je m’occupe mais ici en fait, c’est pareil comme un crétin m’a sous son toit même si j’ai tendance à connaitre les tours pour lui passer sous le nez. ▷ toi et la colocation ◗ Quand tu partages une maison avec des gardes du corps, des hommes de mains, presque 24 heures sur 24… c’est assez simple pour toi d’être en colocation. Pour moi, c’est ça donc personnellement vivre entouré, c’est mon lot quotidien. J’aime pourtant rester au calme et parfois sans trop d’interférences sonores. Cela m’énerve par moment que l’on me déconcentre. Par contre, j’aime que la colocation soit partagée que si quelqu’un finisse le lait, qu’il en remettre au frigo. Les employés de mon père n’avaient pas toujours cette bonne habitude. ▷ aimes-tu tes voisins en général ◗ Personnellement, je suis très sociable, je me fais rapidement des amis en général mais je n’en ai pas encore eue l’occasion pour l’instant sachant que je ne suis pas « libre » de mes gestes. Il faut dire que les barreaux, voilà quoi même s’ils sont invisibles pourtant je suis nulle en otage, je me fais souvent la mal, j’ai déjà repérée quelques personnes qui me semble sympathique. Je suis loin d’être chiante dans le fond, je suis un amour. ▷ es-tu le voisin idéal ◗ Aucunes idées et sincèrement, je m’en fiche de le savoir. Je suis moi, c’est tout. Pour l’instant, je ne connais personne et je ne pense pas pouvoir connaitre quelqu’un de si peu enfin réellement connaitre. Comment dire comment je suis avec les autres ? Je suis discrète. La voisine qui se cache derrière ses lunettes. La pas bavarde qui n’est jamais seule et toujours accompagnée. Celle qui est toujours dans son coin et n’ose pas faire un bruit. ▷ que penses-tu de l'absence d'ascenseur ⊱ Je m’en fiche. On n’a pas tout ça sur ma petite île. On marche et on monte à dos d’ânes donc voilà. Avec ou sans, ma vie n’est pas réellement différente, pas du tout même. Elle est égale à elle-même. La vie est tellement dingue par moment, tellement folle que monter en ascenseur alors que l’on pourrait en rater une seconde, c’est nul. ▷ tu vis ici depuis combien de temps ◗ Ici, ta réponse en 5 lignes. La vie est comme une tablette de chocolat. Tout d'abord tu l'ouvres et tu te rends compte que ce n'est pas comme l'image. Tu t'attends toujours comme dans les films... à rencontrer l'amour, avoir un boulot que tu aimes, des parents qui t'aiment toujours à la fin du film, à mourir dans de bonnes circonstances, à avoir de quoi vivre même si au début... tu cries famine mais aussi à ce que les bons soient récompensés et les méchants soient punis. Alors qu'au final ce n'est pas toujours aussi succulent quand on l'ouvre. On a des bords pas aussi propre, parfois, on ne voit pas bien les reliefs à cause des petites fondus et d'autres fois, c'est avec des tâches farinés en qui ont blanchies. C'est loin d'être agréable pour la vue, croyez-moi. Ensuite comme on risque d'en être frustré et de rester devant comme un idiot, on la mange car on doit tous vivre, non ? ⊱ UN CHOCOLAT !Je suis née comme ce morceau de chocolat fond dans ma gorge, le premier… au gout unique, le jour où l’on respire pour la première fois et que l’on goute à la vie. On goute au sourire de nos parents qui nous éblouis dès le réveil. On quitte à cette charmant vue qui nous montres que des trucs flous et comme toutes enfances… on la fait trainer pour en profiter dans l’insouciance et surtout pouvoir gouter à toutes les sensations. Les premiers rires, les premiers pleurs, les premiers jouets, les sapins de noëls et aussi les premières tombées de neiges enfin non pas vraiment pour la neige. Je suis née à Athènes pour gouter mon premier morceau de chocolat et ceci dans une famille peu commune. Papa ? Il n’était pas réellement celui dont on pouvait rêver, pas du tout en fait. Je n’en ai jamais réellement connue un moment où il n’était pas surprotecteur à l’affut de toutes les menaces sur moi. Oui, j’ignorais que je n’étais pas née dans un monde rose comme dans tous les contes de fées. Maman quant à elle était une femme belle, tellement belle et tellement classe. Elle portait toujours des robes magnifiques avec des volants. Elle était tellement sublime. Elle s’occupait bien de moi et se montrait tellement parfaite. Ensemble, nous préparions souvent des tartes dans la cuisine. Mais cependant vous ai-je parlée de mon grand-frère ? Il a 5 ans de plus que moi mais c’est en quelques sortes l’homme de ma vie, il me protège tellement. En fait mon avance est simple. Une enfance de rêve comme tout le monde pourrait en vouloir. J’évolue rapidement, j’apprenais à marcher aussi rapidement que tous les enfants. J’étais attentive à tout et je mangeais même de tout. J'étais un peu bouffie quand j’étais bébé, un peu trop. Maman me faisait manger tout ce qu’elle faisait et elle cuisinait en me parlant alors que je ne pouvais pas lui répondre. Mes grands-parents étaient aussi assez proche de moi, toujours présents. Bon, ils avaient toujours un balai dans le cul mais que voulez-vous. Les vieux sont tous un peu comme ça. Ils ne pensaient qu’à l’éthique. Tiens-toi droite. Ceci et cela. Et mince, maman devenait folle par moment mais vivre cette vie était d'un plaisir fou. Je ne pouvais pas en rêver une autre. Malheureusement, l'on ne peut jamais prévoir les malheurs. Même si le carré de chocolat semble bon... il y a toujours un truc pour tout gâcher. Il suffit d'un rien parfois. Un bruit car vous n’étiez pas encore prêt à bien en profiter ou un arrière-gout de la dernière chose que vous aviez mangé. Un coup de la malchance. Un cancer avait été décelé à maman. Un cancer du sein. Elle n'était pas jeune, pas du tout même. Elle avait déjà plus de 35 ans ce qui était vieux pour moi. Je ne savais pas vraiment comment vivre cette situation. Je n'avais que 5 ans à l'époque et je savais à peine lacer mes chaussures. Autant dire que c'était bien compliqué pour moi. Mais nous gérions bien. Très bien même. Heureusement que maman était riche. ⊱ DEUX CHOCOLATS !Mon enfance c’était tout de même bien déroulée malgré maman allait de pire en pire mais que pouvons-nous y faire quand nous faisons juste quelques pommes ? Sérieusement ? Tout ce que nous pouvons faire ? Sourire et continuer à vivre, juste ça ? Je profitais alors de celle-ci en terminant mon premier chocolat tellement traite car ce n’était qu’une simple tablette. Pas la meilleure au monde mais la plus riche en sensation. Je passerais alors au deuxième morceau. Quand celui-ci caressait ma bouche, il m’offrait de nouvelles sensations, des caresses dans ma gorge et sur ma langue nouvelle, j’entrais dans l’adolescence. Ce carré de chocolat bien plus délicieux alors que le gout est déjà là, masquant les anciens. Alors que le silence est dans la pièce et que vous retrouvez une sorte de stabilité. Maman allait mal mais je commençais à bien gérer mes émotions ce qui était bien compliquée pour moi. Quand ça n’allait pas ? Je pensais au chocolat et je tentais de trouver le bien-être qui me va si bien au teint. Il était venu l’âge du lycée, des premiers amours de jeune fille et diverses relations amicales qui remplissaient mon quotidien d’un sourire. Il fallait avouer qu’être une jeune fille me faisait peur. J’étais amoureuse, tellement de ce gars. Kostas. Un homme tellement beau enfin un homme… il avait 18 ans et je n’en avais que 15. Il était tellement magnifique que j’en rêvais. Je dessinais son nom sur mes cahiers comme une admiratrice secrète. Je le regardais avec ce regard tellement… enfin c’était l’homme dont je rêvais mais il y avait un souci : pour lui, je n’étais qu’une petite fille. Cet homme marquait mon adolescence jusqu’au jour où je gagnais un sourire. Ensuite ? Un regard langoureux. Ensuite ? Un bonjour et au fil des mois ? Il connaissait même mon prénom. Je ne pouvais que m’en montrer tellement heureuse. Il avait cette manie de regarder mes cheveux avant de toujours mettre mes mèches derrière l’oreille en me disant que j’étais clairement plus jolie comme ça. Et plus les jours passaient et plus nous nous rapprochions. Il était magique avec moi. Il se comportait comme un… ange. C’était tellement irréel à mes yeux par moment. Ce n’était possible que dans les rêves, non ? Rencontrer l’homme qui vous fais chavirer mais qui se montre tellement parfait que cela peut faire peur ? Celui qui d’un claquement de doigts peu vous faire rougir et vous dévaster. Une bombe atomique. C’était son effet sur moi ! « Pourquoi tu es si gentil avec moi ? », lui demandais-je alors que nous étions contre un banc. Il était tellement plus mure, j’étais tellement jeune. « Par ce que je ne serais jamais comme ces hommes qui brisent les cœurs, je ne veux pas briser le tiens. », je souriais mais sans être convaincue. Disait-il vrai ? Je n’en savais rien. « Mes amies me disent que tu n’es qu’avec moi que pour sauter la pauvre petite vierge ! », disais-je, faussement amusée en riant légèrement. « Et tu les crois ? », alors que je riais, il était tellement sérieux et tentait de capter mon regard. Cela m’effrayait légèrement. C’était comme s’il tentait de savoir ce que je dirais à cette question piège. J’étais paniquée. Réellement. Je le regardais dans les yeux sans savoir quoi faire. Empreinte de doutes, j’haussais légèrement une épaule. « Je n’en sais rien, sincèrement ! », soufflais-je alors en détournant le regard. « On est bien ensemble, cela me convient, je t’épouserais même pour te le prouver ! », disait-il en souriant. « On est trop jeune pour se marier ! », lâchais-je en riant. « T’es cinglé ! », j’haussais les épaules en secouant la tête, amusée mais surtout légèrement gênée par ce qu’il venait de proposer. Nous n’en étions même pas à notre deuxième rendez-vous qu’il me proposait ça, il était fou ? Je souriais doucement et il me regardait toujours sérieux alors que je ne pensais pas qu’il le serait autant. « Je ne plaisante pas, Thaleia ! », me disait-il en me regardant dans les yeux. « T’es fou, si… je n’ai que 15 ans et tu vas aller à l’université enfin t’es malade… », J’étais perturbée, réellement. Je me redressais en détournant mon regard et me levant de ce banc alors qu’il attrapait ma main. « Après l’université… quand j’aurais terminé, tu auras fini le lycée. Pourquoi ne pas se marier ? », non mais il était fou. « Cela nous laisseras quelques années pour nous connaitre amplement et nous ne serons plus si jeune. », il était fou, je le regardais, paumée sans savoir quoi dire. Je ne connaissais rien dans la vie que j’avais l’impression qu’il me demandait d’être sa fiancée. Non mais c’était trop fou pour moi, c’était du n’importe quoi. « Je… Je… on a encore toute la vie pour se marier… Je… », je fus coupée. « On verra dans 3 ans… », lâchait-il en me regardant et se levant. « Oublies ça, j’étais fou ! », je souriais doucement sans savoir si c’était vrai, si je pouvais réellement l’oublier. Mon deuxième chocolat était donc savouré. Il avait des nouveautés surement grâce à cette petite noisette qui trainait et que je n'avais pas dans le premier. Une surprise mais tellement effrayante quand vous ne vous y attendez pas. Ces succulentes noisettes pourtant il avait un arrière-gout amer… quand je savais que je devrais migrer pour gouter à la troisième partie de ma tablette. ⊱ TROIS CHOCOLATS !C’était un retour vers un morceau sans noisette, un morceau qui me rappelait de trop le premier tandis que je découvrais à nouveau ma vie dans des yeux d’une adulte. J’avais 20 ans et ma mère venait de mourir. J’étais toujours en couple avec l’homme qui avait bercé mon adolescence. Nous n’avions toujours rien fais de plus, il tenait sa promesse et parfois je doutais de sa fidélité. Normal. Il avait beau me rassurer, il ne m’avait jamais plus parlé de notre mariage ou autres. Un soir, je sentais que c’était ce soir. Celui qui allait dessiner mon futur. Il m’avait invité dans un restaurant classe. J’avais mis ma belle robe enfin l’une des seules que j’avais. Il me l’avait offerte l’an dernier. Cela faisait 8 ans qu’il m’avait faite cette promesse. 5 ans qu’il m’attendait surtout à cause du cancer de maman. Il m’aidait beaucoup alors que je peinais même à gérer mes études. La littérature, maman me disait toujours que je deviendrais une grande écrivaine. Mais ce soir, je sentais un truc bizarre. Il était nerveux et surtout… il me regardait sans cesse comme si j’allais m’illuminer. Il m’effrayait mais je sentais ce qui allait arriver alors qu’il finissait par se mettre par terre au milieu du restaurant et un genou au sol. Il me regardait alors droit dans les yeux. « Thaleia, je sais que je te l’avais promis… pour tes 18 ans et je suis en retard. On parlait sur ce banc et je t’avais effrayé avec cette idée folle de demander ta main. Tu m’avais ris au nez mais maintenant… on est grand. On a besoin l’un de l’autre. Je t’aime et je veux t’épouser. Tu ne peux pas dire non, je te l’interdis… tu ne peux que dire oui ! », je souriais doucement en l’entendant et hochant la tête. Pourquoi dire que oui ? Il avait déjà dit que je ne pouvais pas dire non. J’acceptais aussitôt sans mot, je n’en trouvais pas et me voilà fiancée. Mais comme ce chocolat allait encore me décevoir. Trop facile peut-être pour être vrai ? Tout n’était pas beau pour être vrai enfin c’est peut-être pas la bonne expression mais j’en faisais ma version. 3 ans plus tard, la veille de notre mariage alors que j’avais une robe sublime prête, nous avions décidé de fêter ça en retournant dans ce restaurant à nouveau. J’avais 25 ans. Nous sortions du restaurant quand un voleur nous croisa dans la rue. Les choses dérapaient trop vite. Je n’avais pas le temps de réagir alors qu’il nous demandait notre argent. Je n’avais rien mais ma tenue et mon allure disait pourtant le contraire. Lui, il était dans ce costume qui vaut tellement et il en avait dans la poche. Je cachais ma bague, le seul bien que j’avais sur moi. Les choses déraillèrent. Totalement. Et paf. Un coup de feu et un deuxième avec des pas accélérés. Nous étions tous les deux touchés, j’étais allongée sur le sol, lui aussi. Le sang coulait. J’étais encore consciente, lui, non. Je le savais car même si je n’avais sa main dans la mienne et que je la serrais en l’appelant… il ne réagissait pas. Les ambulanciers arrivaient, ils nous amenaient rapidement à l’hôpital et pourtant je n’étais pas bien, je sentais un truc clochait. Ce truc qui clochait était qu’alors qu’on me sauvait ? On le guidait à la morgue. Ma vie qui me semblait tellement tracée semblait aller à l’échec. On dit souvent que le deuil est une chose horrible. Avant qu’on n’entre dans cette ruelle, il me disait encore que j’allais bientôt me marier et au plus vite. Il voulait que je porte son nom et le sien uniquement mais aussi que je devienne sa femme. Il rêvait tellement de ça. Il n’attendait même que ça depuis qu’il m’en avait parlé… 5 ans avant. J’avançais dans les années en gardant cette bague toujours avec moi pendu sur ma chaine en argent avec le pendentif de maman. Tous les gens que j’aimais mourraient. Mon frère allait-il mourir un jour aussi ? Je n’en savais rien. Il vivait aux États-Unis et moi ? Ici à Santorin, une petite île tellement à l’écart du monde mais magnifique. Papa était cool mais il me cloitrait de plus en plus au fil des années comme si j’étais en danger. Bien sûr, je savais que j’étais la fille d’un méchant, oui mais je ne m’en mêlais pas. A un moment, j’étais persuadé qu’il avait fait tuer mon fiancé. Il ne l’aimait pas. ⊱ QUATRES CHOCOLATS !Ce chocolat est bien plus savouré. J’ai bien la tête à un bon chocolat et le temps pour le savourer tandis que je tente de reprendre ma vie en main. Je ne voulais plus rester à Santorin ou du moins chez mon père alors que je venais d’écrire mon premier livre pour enfant. Les éditions se battaient pour lui. Je ne savais pas si l’idée était bonne, je savais seulement que je n’avais pas le choix d’avancer. Je ne voyais pas beaucoup mon frère en fait, il bossait énormément. Apparemment il était consultant en je ne sais quoi. C’était compliqué avec lui car ça changeait souvent et il voyageait souvent. Je ne cherchais pas vraiment à savoir non plus. Je ne rencontrais pas non plus beaucoup de ces amis, je faisais ma vie de mon côté en fait car nous vivions totalement sur des continents différents. Le plus étonnant était peut-être cette lettre que j’avais reçue des parents de mon fiancé défunt, ils me donnaient un chèque avec des millions de zéro. Ils savaient une chose, leur fils auraient eus envie qu’ils soient toujours là pour moi. Je ne savais pas quoi faire à ce moment-là, je l’avais même retournée deux ou trois fois pour le recevoir encore. Je ne voulais pas l’utiliser mais il était dans mon portefeuille pourtant. Ils étaient riches mais je ne voulais pas profiter d’eux car j’avais assez d’argent mais ils me disaient de fuir mon père ce que je trouvais bizarre. Mais alors que je commençais à me rapprocher d’un homme de main de mon père, tout se chamboula dans ma tête. J’étais toujours attachée à Kostas, tellement, peut-être de trop mais il me faisait oublier sans savoir ce sentiment. Je ne voulais pas me laisser avoir encore par les petits sourires d’un homme. Mais merde, je ne pensais qu’à lui. Sauf qu’avant-hier… tout déraillait alors que je sortais d’une ruelle… une personne arriva par surprise, me mettant du chloroforme sur la bouche. Je ne savais pas ce qu’il se passait alors que je partais au bout de mes rêves. Je me réveillais dans une voiture. Ce gars au volant et j’étais totalement effrayée. Bonjour Barcelone mais me voilà contre mon gré. pseudo sur le net ◗ ici prénom ◗ ici parles un peu de toi ◗ ici tu viens d’où ◗ ici ton âge ◗ ici comment tu nous as trouvés ◗ ici groupe ◗ Ici le groupe de ton personnage tu es flood, jeux ou cb ◗ ici ta fourchette rp ◗ tu fais à peu prés combien de mots/lignes. aimes-tu les fous ◗ ici que penses-tu des bananes ◗ ici ton pêché mignon ◗ ici si je te dis pika, tu dis ? ◗ ici |
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