prénom ◗ Elizabeth - Olivia noms ◗ Connor née ◗ 08-08-90 (23ans) à ◗ Los Angeles nationalité ◗ Américaine - Espagnole sexualité ◗ Hétérosexuel cupidon ◗ Handicapée sentimentalement, célibataire métier(s) ◗ Assistante dans une chaine TV études(s) ◗ Commerce caractère ◗ Bavarde, voilà ce qui est marqué sur tous mes bulletins de note depuis que je suis toute petite. Même maintenant alors que je viens de fêter mes 23 ans je parle toujours autant. Parfois pour ne rien dire, et parfois si. Alors… Durant mon enfance j’ai toujours été une petite fille assez pourri gâtée. Être raisonnable ? Avant d’emménager à Barcelone je ne savais même pas ce que ça voulait dire, mais depuis, j’évite les excès. Seulement, je reste tout de même une grande enfant, je prends souvent tout à la rigolade, cachant la plupart du temps ce que je récents vraiment.  Je n’aime pas me prendre la tête pour rien, sauf qu’en fait… Je le fais tout le temps. Je suis toujours entrain d’analyser, de réfléchir sur telle ou telle chose que j’en attrape souvent des maux de crâne énormes. Beaucoup de gens diront de moi que je suis une jeune femme charmante et souriante, qui profite de la vie, mais ce n’est qu’en parti vrai. Même si j’adore cacher mon jeu, je suis une grosse flemmarde, un peu déprimée sur les bords qui adore rester coucher sous sa couette. Malgré ça, j’adore faire la fête, traîner dans les bars, boire… Il faut juste que j’arrive à faire le premier pas et après je suis lancé et tout avance comme sur des roulettes. En théorie. Quand je suis vraiment très contrariée ou triste, j’adore aller faire les boutiques. C’est comme ça, j’aime les fringues et les folies dépensières me prennent parfois. Du moins, si mon portefeuille veut bien me suivre. Ce qui n’est pas toujours le cas. À côté de ça, ce qu’il a de plus sacré pour moi, c’est la famille et les amis. Ou de moins, mon frère et mes amies. Je ferais tout pour eux.  Ce qui est drôle aussi c’est que je parle maintenant très bien l’Espagnol, mais qu’il m’arrive de me mettre à sortir des phrases en anglais  quand je suis particulièrement énervée ( et ça arrive souvent ) et bien sûr, personnes ne comprend plus rien et  je suis encore plus furieuse. En gros voilà… J’ai un sale caractère, mais je reste adorable. love ◗ Ce que j’aime ? Les bonbons ! J’adore les bonbons, j’en mangerais tout le temps. Plus particulièrement lors des coups de mous de mon morale… Ce qui arrive plutôt souvent… Il y a la musique aussi. Aucun jour ne se passe sans que je n’en écoute. J’écoute de tous les genres, passant de Blanche Neige à Metallica. En plus de ça, je suis une fane des films Disney. Plus particulièrement du Roi Lion. Je rêve encore de trouver mon Hakuna Matata pour pouvoir chanter la chanson mangeant des noix de cocos…Bref, étant un poil geek, je suis accroc aux nouvelles technologies, plus particulièrement à la marque Apple et mon ordinateur ne me quitte que très rarement. Hum… Je lis beaucoup aussi. J’ai même dévoré tous les tomes en trois jours, par contre j’ai horreur des films. Kristen me donne envi de vomir. Les séries télés font aussi partie de mon principal centre d’intérêt. Sinon… J’aime les hommes, ça il n’y a pas de doute, j’ai un petit faible pour le côté bad boy, mais je ne me contente pas de tout ce qui est superficiel. hate ◗ Ce que je déteste... Laissez moi commencer par mon père! Je le hais de toutes mes forces! Je hais les hommes violents, grossiers ou qui utilisent les femmes comme de vulgaires objets, sans aucun respect. Je n'aime pas non plus les filles qui pensent être le nombril du monde et qui passent leurs temps à se recoiffer dès qu'elles voient leurs reflets. Je n'aime pas les gens qui pensent que l'argent fait le bonheur, ou que la grosseur du compte en banque attire l'amour des gens. Je n'aime pas l'odeur du pamplemousse. Je n'aime pas les gens qui se plaignent à longueur de temps pour des choses totalement stupides comme un vernis à ongle qui s'écaille. Je déteste les gens qui bousculent dans les transports en commun. Je n'aime pas les gens qui maltraitent les animaux, ou ceux qui s'en servent comme des soufres douleurs. Je n'aime pas plus les gens qui écoutent du rap sans prendre la peine de mettre des écouteurs justes pour se faire remarquer, ou ceux qui nous soufflent leur fumée de cigarettes directement dans le visage. Je déteste aussi les poireaux… C’est vert c’est moche et ce n’est pas bon.

pseudo sur le net ◗ Choco prénom ◗ Stéphanie parles un peu de toi ◗ Hahaha... Mystère... (Et boule de gomme :p ) tu viens d’où ◗ D'un trou paumé au sud de la France, là où internet ne marche qu'une fois sur deux : l'Ardèche ! ton âge ◗ 14 ans   comment tu nous as trouvés ◗ Ça fait tellement longtemps... M'en souviens plus ! groupe ◗ Fétards tu es flood, jeux ou cb ◗ Je suis partout moi ! ta fourchette rp ◗ Dans les 700/800 mots, parfois plus et parfois moins. aimes-tu les fous ◗ Encore heureux, puisque j'en suis une   que penses-tu des bananes ◗ Les bananes, c'est cool ton pêché mignon ◗ La guimauve (Non, je ne suis pas gourmande) si je te dis pika, tu dis ? ◗ Chuuu !

Sur cette terre, tout le monde a une histoire, mais avant tout, tout ce monde vient de quelque part, issue d'un fruit d'amour entre deux personnes que la vie a décidé de réunir... Généreuse soit-elle, la vie fit rencontrer Peter Connor à sa belle dulcinée Maria Angelo pour que s’ensuivent les événements d’un bel avenir.    « Ce sera une petite fille j’en suis sûre ! » Dit-elle d’un ton joyeux alors que son époux la fixait avec inquiétude. Ils s’aimaient depuis leur rencontre quelques années plutôt et jamais ils ne se sépareraient, du moins jusqu’à ce que la mort les sépare et c’est bien ce qui faisait peur à Peter. Il aimait plus que tout son épouse, mis à part son fils âgé de trois ans, mais son cancer et sa grossesse étaient difficiles à gérer à la fois. Elle avait choisi d’arrêter son traitement pour donner vie à son deuxième enfant. Elle avait choisi la naissance de sa fille contre sa vie malgré l’amour qu’elle portait déjà pour son fils qui s’amusait à colorier des voitures dans un coin de la pièce. Ce dernier ne comprenait pas vraiment ce qu’il se passait, mais songeait déjà à comment sera sa petite sœur. Il l’imaginait avec les longs cheveux blonds de sa mère… « Tu sais nous pourrions avoir d’autres enfants Maria et puis nous avons déjà Logan … » Elle s’énerva alors, posant une main délicate sur son ventre et les larmes aux yeux, elle lui répondit : « Non, je veux cet enfant, je le désire et JAMAIS tu ne me ferais changer d’avis. » Sur ces paroles, elle se leva et s’en alla, comme toujours Peter soupira et resta seul avec son fils dans la chambre de leur futur enfant … Les journées passèrent et la jeune femme s'affaiblissait mais, elle croyait en ses chances de survivre après sa grossesse malheureusement elles étaient moindres à chaque nouvelle journée qui passait. Son mari le voyait bien, mais il ne pouvait que subir la situation en prenant soin de son petit garçon, puisqu’elle ne daignait pas prendre son avis en compte, elle voulait cette petite fille qu’elle aimait déjà et rien n’y personne ne l’a ferait changer d’avis. Elle avait déjà trouvé un prénom pour sa petite merveille : Elizabeth. Cela lui semblait être le plus beau prénom du monde et enjouée elle s’en alla voir son époux pour lui dire :« Ce sera Elizabeth, qu’en penses-tu ? Je trouve ce prénom magnifique ! » Lui répondant par un sourire, de plus en plus inquiet, il ne pouvait qu’acquiescer sans le moindre mot. C’est ce que sa femme désirait et elle aurait tout ce qu’elle voudrait dans les journées et les mois à venir. Au fond de lui il gardait l’espoir qu’elle resterait en vie mais, plus le temps passait plus il se rendait compte que son désir n’était qu’une illusion. Elle donna naissance à Elizabeth par une belle journée d’été, en plein mois d’août. Maria souffrait, l’accouchement dura plusieurs heures interminables quand enfin elle pointa le bout de son nez. Maria la fixa, heureuse, la sera tout contre elle et après avoir versé une larme, elle s’éteignit avec un immense sourire ornant ses lèvres. Ce jour était celui de ma naissance mais, aussi celui du décès de ma mère Maria.
Peter ne m’en voulait pas, au contraire, pour lui, une part de Maria vivait en moi et il décida donc de se dédier exclusivement aux deux amours de sa vie : mon frère et moi. Cependant il savait que nous allions vivre avec un éternel handicape, celui de ne pas avoir de mères. Je n’aurais jamais de discussion de femmes sur mes premières règles, elle ne  m’achètera jamais mes premiers sous-vêtements de jeune femme... Elle ne m’expliquera pas ce que c’est que d’aimer un garçon, nous n’aurons pas de séances de shopping entre mère et fille … Nous serons privés à jamais de tous ses instants que chaque enfant doit vivre et pourtant, nous grandirons pour être : plus forts et plus heureux que les autres parce que notre père aura tout fait pour. Un lien unique se créa entre mon frère et moi, Nous étions ensemble contre le monde. L’un était toujours près à faire n’importe quoi pour l’autre, malgré notre petite différence d’age. Le lien du sang était sacré pour nous, en quelque sorte, nous compensions notre manque de mère en se soutenant l’un l’autre. J’étais heureuse, je  ne manquerais de rien jusqu’au jour où je rencontrai celui que je croyais être l’amour de ma vie. C’était alors que j’étais au lycée. Et le premier regard me fis comprendre qu’il s’agissait de lui et non d’un autre. J’avais dix-huit ans quand nous commençâmes à nous fréquenter. J’étais folle amoureuse de lui et  je savais que cela était réciproque. Seulement, lui n’y croit qu’au début. Car au bout de deux ans ensemble, je le découvris dans mon propre lit avec une autre femme. Dévastée, je cherchais du réconfort auprès de mon frère, mais celui-ci ne m’était d’aucune aide car parti accompli son projet de toujours, faire le tour du monde. Seule, je me sentais terriblement seule, mon père ne me prenait pas du tout au sérieux et essaya de m’expliquer que ce n’était qu’un amour de jeunesse, mais ce qu’il ne comprenait pas c’est que pour moi, il était ma vie… Alors je pris une grande discussion. Pour moi  une chose était claire, je devais changer, tout recommencer depuis le début, prendre un nouveau départ. Pour cela, je fis mes  valises et quittais Los Angeles pour Barcelone. Je ne connaissais pas un mot d’espagnol, mais je tentais tout de même l’expérience. Malgré ce trou béant que je garde dans ma poitrine, je teins debout et je suis heureuse à nouveau. De cette tragique expérience, j’étais ressorti plus forte, mais était-ce seulement assez pour supporter toutes les choses qui me s’amusent encore à me tomber  dessus ?