prénom ◗ Alvin... J'ignore où mes parents avait la tête en me donnant ce prénom, mais par chance je sais que ce n'est pas à cause des chipmunks. Sinon je me serais dit qu'il me détestais vraiment... Mais faut croire que je suis fait pour avoir des prénoms tiré d'animation. Je vous le dis rien qu'à vous, mais je portes aussi les prénoms Tintin et Jiminy. En fait ils me détestaient vraiment ou c'est simplement la personne de l'orphelinat qui à choisit ça pour son plaisir personnel en ce disant que se serait marrant plus tard! noms ◗ Ça vraiment de mal en pire... Raven, je ne sais même pas de où sa sort ce nom, mais voilà je l'ai maintenant et depuis toujours! Raven... Corbeau... Un oiseau, un écureuil, un cricket et même un journaliste.. Je dois admettre que j'ai plusieurs cordes à mon arc.. née ◗ 05.05.1983 (30 ans) à ◗ Orlando nationalité ◗ Américain et Belge par adoption. sexualité ◗ Vous trouvez vraiment que j'ai une tête de gay? Eh bien non... Je suis 100% au femme, même si j'ai déjà tester avec un mec ce qui a fini plutôt mal! cupidon ◗ Célibataire, j'étais en couple jusqu'à tout ressemant. Une belle histoire d'amour qui fini en grosse boulette quand je l'ai surprit à coucher avec mon frère le soir de l'annonce de nos fiançailles. Et elle a prit la fuite avec ce dernier il y a environs un an. La belle affaire.. métier(s) ◗ Agent du FBI, anciennement infiltré comme garde du corps. Kidnappeur à temps partiel voilà qui risque d'être quelque chose.. études(s) ◗ Policière. caractère ◗ Simpliste - Attentionné - Altruiste - Intelligent - Colérique - Impatient - Charismatique - Charmeur- Jaloux - Travaillant - Semble idiot - Mythomane - Ingénieux - Perturbé - Possessif - Fidèle - Expressif - Fou de service - Souriant - Fiable - Casse couille - Rancunier - N'a pas peur du ridicule- Direct - Mystérieux - Romantique- Entregent - Impulsif - Cajoleur - Persuasif - Tendre - Extraverti - Envieux - Anxieux - Bavard - Cachottier - Obstiné - Versatile Comme beaucoup de personne j'ai de nombreux squelettes dans le placard. Tellement que tout résumé serait comme ce que l'on retrouve dans les films. Alors écourtons cela à « Je suis un mystère en soi. ». Il n'empêche qu'il y a bien des choses que l'on voit ou sait de moi facilement. Il suffit de voir comment je réagit en voyant une guêpe, je hurle tellement en battant des bras que l'on comprend très vite que j'en ai une peur bleu. Je dis souvent des choses sans le moindre son, non pas que je me parles à moi-même, mais j'aime susurrer des choses. Je me retrouve le plus clair de mon temps dans des positions quelques peu gênantes. Il vous est déjà arrivé de vous embarrer nu en dehors de chez vous? Eh bien moi ce n'est pas arrivé qu'une seule fois, j'ignore pourquoi on s'acharne sur moi, mais voilà! Je suis une véritable bibite à sucre, mon pécher mignon, tartine au beurre de cacahuète et confiture de fraise. Alors bas les pattes de mes pots de gâterie!!! Sinon je mords!! love ◗ Les cacahuètes, les t-shirt humoristique, les olives, les frites, la cuisine, l'amour, les histoires à l'eau de rose, costume noir, les extraterrestres, les film, Star Wars, chanter sous la douche, l'alcool, les fraises, les pêches, lire, travailler avec mes mains, les gros chiens, danser, draguer, mon gilet par balle. hate ◗ Les guêpes, les cafards, nager, les armes, devoir tuer, le chocolat, la duperie, l’infidélité, les GPS, gaffer, les pamplemousses, le karaoké, les rapports à écrire, le tabac, les femmes plastiques, les ascenseurs, les avions.

▷ qu'aimes-tu faire chez toi ◗ En ce moment rien, je surveille voilà tout. Mais en d'autre temps j'ai très certainement répondu que j'aime être tranquille. C'est endroit est mon antre et je désir y être paisible, ça me fait oublié ce qui m'entoure, la vie que je mène. Je m'occupe donc en regardant des films ou bien en lisant un livre trouver quelque part. Sinon j'aime bien prendre le temps de concocté des petits plats maison, j'aime y ajouté ma touche personnel ou créer de nouvelle recette. Mais je me sens un peu gêner en ce moment, alors je ne fais rien de bien potable comme repas...
▷ toi et la colocation ◗ Je l'ai toujours bien vécu. Vivant sous le toit où je travaillais, il était simple de vivre ainsi et même si j'allais quelque fois rendre visite à ma copine lors de mes jours de repos. Je ne suis pas difficile tant qu'on fait la part des choses pour bien vivre en communauté.
▷ aimes-tu tes voisins en général ◗ En général, oui, je suis quelqu'un à qui on s'attache tout de même assez vite. Mais en ce moment, je dois bien admettre que je ne connais pas ceux qui vivent près de moi, je suis sur la défensive. On ne sait jamais qui sont réellement nos voisins et je dois bien admettre que je me trouves sur la black list de mon ancien patron.
▷ es-tu le voisin idéal ◗ Idéal, non.. Loin de là, mais je ne suis pas chiant. Je suis simplement un fantôme. Je passe sans qu'on me voit réellement, je me montre discret voilà tout. Mais comme je peux me montré maladroit, il m'arrive de faire un de c'est boucan sans réellement le vouloir.
▷ que penses-tu de l'absence d'ascenseur ◗ J'en ai rien à faire. Il pourrait y en avoir une que je montrerais tout de même les marches. Je déteste c'est boîtes à chaussure. Je ne suis jamais très à l'aise dans ceux-ci. Alors c'est tant mieux s'il n'y en a pas!
▷ tu vis ici depuis combien de temps ◗ Quelques heures, je viens tout juste d'arrivé. Dans la ville comme dans cet appartement. Un endroit que je sais abandonné, mais qui est sous la protection du FBI depuis que le locataire à fugué. Je protège mes arrière voilà tout.

pseudo sur le net ◗ Dai-kun prénom ◗ Alice parles un peu de toi ◗ voici un perso que j'adore tu viens d’où ◗ Québec ton âge ◗ 23 ans comment tu nous as trouvés ◗ ici groupe ◗ Boulet tu es flood, jeux ou cb ◗ jeux/cb ta fourchette rp ◗ 500/ +1000 mots aimes-tu les fous ◗ bien sure   que penses-tu des bananes ◗ j'aime le jaune   ton pêché mignon ◗ des trucs salé si je te dis pika, tu dis ? ◗ Ash?

On dit souvent que nos vies ne sont pas palpitante, qu'elles sont banales et sans le sous. Que jamais elle ne sera aussi captivante que ce qu'on voit dans les films. Bien qu'on les regarde, on envie ses personnages qui vivent sans savoir ce qui les attend. Ils peuvent bien connaître un début tragique ou bien heureux, mais il y a toujours un élément déclencheur qui vient perturbé leur vie. Ils affrontent celui-ci et au final ils connaissent le plus beau des happy end! J'ai souvent dit cela de ma vie, mais je crois que finalement je vis bien plus un film d'action où le grand Henry Cavill aurait le premier rôle dans cette histoire qui semble tout droit sortie de l'imagination d'un scénariste célèbre. Mais si c'est le cas j'aimerais bien Steven Spielberg comme réalisateur, James Cameron comme producteur. Ça serait un film épic avec pour histoire celle qui suit.

❖ Prise 1. Action!
On a tous un passer, une intro, un début de vie que l'on dit ou préfère garder pour soi. Pour ma part, je garde ce terrible secret enfoui en moi depuis bien trop longtemps pour tout dire. Je suis né à Orlando, d'un père alcoolique et d'une mère bien trop amoureuse pour décidé de le quitter. De tout mes souvenirs c'est la femme la plus douce et aimante que j'ai connu, un peu naïve, mais ça faisait partie de son charme. Je me souviens encore de son sourire lorsqu'elle me fredonnait une berceuse ou me racontait une histoire de pirate voleur de pièce en chocolat avant d'aller dormir. Mais tout cela remonte à loin maintenant, je n'avais que six mois lorsqu'elle fuit la maison familiale avec moi et très peu d'argent pour vivre. Elle aimait toujours mon père, mais le fait qu'il me touche, ça elle ne le supportait pas. Il pouvait la battre comme bon lui semble, mais jamais au grand jamais il ne devait lever sa main sur moi. Et c'est ce qu'il fit une nuit d'automne, il me porta un coup violent parce que je pleurais cette nuit là. Elle le quitta, allant vivre chez sa soeur non loin de notre maison. Seulement elle ne pouvait pas rester, car il la trouverait et nous tuerais tout les deux. Et cela sans scrupule. Alors pendant mes cinq première année de vie, je changeais d'endroit assez souvent. J'ai vécu en Louisiane, au Texas, en Oregon, Miami, Seattle, New Jersey, enfin des endroit tout aussi varié les un des autres. Elle s'arrangeait pour ce faire des copains qui pourraient l'aider à survivre. Elle trouvait de petit boulot pour gagner assez d'argent pour partir après. Et moi je la suivais où qu'elle aille, elle ne me laissait jamais seul et encore moins en compagnie de ses amants. J'étais son trésor, sa pièce en chocolat!

Nous étions arrivés à Denver dans le Colorado depuis environs une semaine, lorsque quelqu'un toqua à la porte de notre minuscule appartement. Nous vivions chez un homme que ma mère avait suivit après sa rencontre avec celui-ci dans le Dakota du Sud. Seulement, lorsqu'on toqua l'homme n'était pas là. Nous venions de rentré de faire l'épicerie et ma mère venait à peine de déposer les sacs sur la table d'entré. Elle se dirigea vers le judas et je la vis perdre toute ses couleurs, d'un ton rose clair, elle devint livide et fade. Elle se précipita sur moi et me dis de faire comme lorsqu'on jouait à la chasse au trésor et qu'elle devait me trouver. L'une des rares choses que l'on amenait toujours avec nous c'était un coffre de jouet où si on devait s'en départir, ma mère en achetait un nouveau à chaque arrivé. Je partis donc en courant et j'allais ouvrir le coffre pour m'y glisser. J'en tendis des cris et des hurlements, elle parlait avec un homme qui criait tout autant puis ce qui semblait être un coup de feu qui résonna trois fois. Des bruits de pas et je me cachais mes oreilles en fermant mes yeux avec force. Il approchait. J'eus tellement peur, que je sentis mon caleçon s'imbibé d'eau. J'avais peur, peur qu'il me trouve comme ma mère m'avait si souvent trouvé. Cette fois, ce ne serait pas un visage rayonnant qui me sourirait, mais plutôt un homme qui m'était inconnu qui finirait par me faire du mal. Je l'entendis crier mon nom, et cela malgré mes mains qui essayait de réduire les sons. Quelque pas, cris et hurlements, avant qu'une porte se claque et puis plus rien. J'attendis un instant, elle allait me trouver elle me l'avait toujours promis. Rien. J'ouvris donc le couvercle en bois d'érable et je sortais en silence. Prudemment, j'avais vérifié toute les pièces, avant de la trouver là étendu sur le sol entouré d'une marre de sang. Elle avait un visage terrifier comme je l'avais souvent vu le faire au moment de fuir une ville. L'homme qui nous logeait me retrouva étendu à coté d'elle, blottit contre son flan à pleuré tout en implorant qu'elle se réveille. Il fit tout pour qu'elle soit enterrée dignement et me protégea de la justice et d'un procès en disant que j'étais avec lui au moment du meurtre. Puis il me déposa dans un orphelinat, très loin de Denver.

J'avais cinq ans lorsque je suis arrivé à Los Angeles dans un milieu inconnu entouré d'enfants tout aussi inconnus. Ce fût un jeune couple qui m'adopta, moi le petit garçon qui avait vu sa mère morte. Comme elle ne pensait pas pouvoir avoir d'enfant, la femme qui devint ma seconde mère avait tout fait pour sauvé une vie en adoptant un petit américain. Ce fut la mienne qui fut sauvé. C'est ainsi que je parti pour la Belgique. Pour une fois je connaissais le bonheur, on m'aimait, autant mon nouveau père que ma nouvelle mère. Cependant, quelque mois après mon adoption, elle découvrit être enceinte. J'en fus heureux, un frère ou une soeur pour moi.. Qu'est-ce qui pouvait bien m'arriver de mieux ou bien de pire?

❖ Coupez on la refait et cette fois je veux plus de sentiment! Prise 34. Action!
Aaaaaaaaaaaaaaaah l'amour, voilà une autre chose qu'on ne peut évité dans les films américains. Que ce soit un film d'horreur, d'action ou bien drame, il y a toujours un peu d'amour. Celui d'un frère ou d'une soeur, de deux amis inséparables, mais le plus connu de tous l'amour d'un homme et d'une femme. Et comme bien des personnes je n'y ai pas échapper, eh non! J'ai souvent connu des demoiselles qui ont fait partie de ma vie. Mais une seule à connu le droit d'être assez longtemps avec moi pour que je la demande en mariage. Je feelais le parfait amour, tout allais pour le mieux dans mon histoire. Je l'avais rencontrer à l'hôpital après y avoir amener un ami et collègue qui avait été tiré par balle. Elle avait jouer les infirmières. Qui ne rêve pas d'une femme sublime et blonde qui prend soin de vous au moindre petit soucis? Je lui avais offert quelque cafés, puis comme toute belle histoire nous commencions à nous fréquenter.  

En fait, voilà on aime, on oubli et on fini sa vie seul. C'est ce que l'on croit lorsqu'on est petit, combien de fois on m'a dit « Alvin, dans la vie on est toujours seul. » ? J'ai donc souvent garder ça en tête jusqu'à ce que je la rencontre. Je pensais vivre l'amour idéal. Nos horaires ne concordaient pas toujours quelque fois je travaillais de nuit et elle de jour. Parfois c'était le contraire ou même qu'il arrivait que je partes quelque jours pour une affaire. Avoir su, je lui aurais rendu sa liberté bien avant... Pour moi c'était un amour sans faille, mais j'étais loin de me douter que durant six ans elle batifolait à droite et à gauche. Qu'elle ne rentrait pas le soir non pas parce qu'elle travaillait, mais plutôt parce qu'elle allait voir un de ses multiples amants. Lorsqu'on apprend cela je vous le dit notre coeur se déchire. Pourquoi je n'étais pas assez bien? Peut-être que je travaillais trop? Elle ne me voyait peut-être pas assez? Elle devait manquer d'affection de ma part.. Toute ses réflexions et ses questionnements me firent douter. Après tout lorsque nous allions annoncer nos fiançailles officiellement, elle s'amusait une fois de plus. Comment est-ce qu'on réagit lorsqu'on découvre que celui qu'on prend pour notre frère baise notre futur femme? Je l'ai plutôt bien prit, en fait j'étais tellement en état de choc que je n'ai rien fait. Je venais enfin de découvrir la vérité. C'est peut-être cela qui me conduisit à cette folie que je vis en ce moment...

❖ Prise 5. Action! -bang bang- COUPEZ! T'es con où quoi c'est pas tout de suite les coups de fusil! On recommence! Prise 6. Action!
J'ai toujours cru que je serais au service de la loi, après tout avec ce que j'ai vécu je me dis que je serais peut-être mieux de faire autre chose. Mais non, tout au contraire, je veux faire le justicier de New-York. Devenir le nouveau Batman des temps moderne avec un tout nouveau Gotham City. Rien à voir avec le héro de Californication, Hank Moody, dont plusieurs collègues semblaient ressembler. Parce que je me dis que peut-être que tout aurait été plus facile avec le sexe, l'alcool ou bien la drogue. J'aurais vécu une tout autre vie, totalement différente, mais surtout moins glorieuse. Non Batman est cent fois mieux que Hank. Je tentais donc après le lycée mon entré dans la police en quittant mon petit coin de la Belgique pour revenir au État-Unis étudier, beaucoup rirent de moi par mon physique peu musclé, mes grandes jambes trop longues pour mon corps. Et pourtant je peux leur rire maintenant au visage j'ai passer haut la main les examens écrient et physiques, comme quoi un grand idiot quelque peu geek peut vraiment tout faire. Seulement, on me reconnu pour mon talent avec l'informatique et ma façon de tiré qui ne ratait jamais sa cible. J'ai parfois l'air d'un idiot avec un arme dans la main, mais va savoir pourquoi je réussis toujours mon tire et ma cible est toujours toucher à l'endroit voulu. Un don? Ou simplement une sorte d'effet qui ce passe rarement entre deux choses. Comme la conjonction entre la lune et le soleil. Voilà que je dérailles. Mais bon vous comprenez, je suis lier à cet arme comme le fil rouge de la vie. Mais y faut pas s'en faire je ne l'utilise que très rarement. Enfin bref, à peine mon diplôme de policier en main, que je me suis fait abordé par une agente du FBI. ❝ Monsieur Raven, je suis l'agent Spears. ❞ Je me souviens encore de son visage sévère. ❝ Vous ressembler drôlement à Madonna, vous! ❞ Voici la pensée d'un jeune adulte de vingt ans qui veut faire son fier, mais au regard qu'elle me lança je n'osais lui demander si elle était dans la parenté de Britney Spears. Je passais donc mon tour. ❝ Vous nous avez impressionné avec les résultats de vos examens. ❞ ❝ Rien de plus simple. ❞ Elle me lança un nouveau regard, elle devait pas aimé mon franc parler. ❝ Nous aimerions vous avoir au sein du FBI comme agent. ❞ Je crois que mon étonnement ne se cacha pas sur mon visage.

J'entrais donc au FBI quelque jours plus tard et on me dit d'aller rejoindre mon collègue chez lui. L'horreur. La cochonceté de son appartement me fit penser à l'un des films de Police Academy. Je pensais pas que ce type serait mon coéquipier. De quoi faire peur, surtout lorsqu'il me dit de m'asseoir sur son sofa et je dois bien admettre que je ne savais pas où poser mes fesses entre la tête que Clark Kent ou bien le visage souriant de Pizzaiolo dégoulinant de gras et de pepperoni mélanger au fromage. Je faisais tâche avec mon complet bleu marin dans ce décor grotesque. Mais au finalement il ne faisait pas aussi mal propre bien mis et dans un costume soigné. Je crois que j'ai vécu toute sorte d'horreur dans cette appartement. Mais il m'apprit tout ce que je devais savoir. Jusqu'au jour où il s'était arrêter pour manger des donuts, je le regardais engloutir ses beignes sans retenu. Moi mangeant une vulgaire pêche, trop sucré et juteuse. On reçu un appel, chose plutôt rare. Mais on arriva sur les lieux d'une prise d'otages. Je me souviens encore de ce moment, ma veste anti-balle était trop serrer, la mascotte pedobear qui s'amusait à donner des ballons aux enfants dans la rue sans se soucier de ce qui les entouraient. Même si je me souviens de tout, ces événements se passèrent tellement vite. On avait à peine mis les pieds dans l'immeuble que mon coéquipier dit un mot de trop, un seul et la balle fusa. Couvrant les murs d'un apprêt rouge sang. À quoi sert un gilet par balle si on nous tire à la tête? J'avais finalement tiré tuant le kidnappeur. Ironique, non quand on y pense? Par la suite je fus muté à l'étranger. J'étais un jeune agent plein d'espoir. On me donna comme mission de m'infiltré chez un haut dirigeant du trafique d'arme et de drogue en Grèce. Si ce n'est pas pour dire de la mafia. Je ne découvris que bien plus tard la véritable raison de mon transfert, lorsque je mis une balle entre les deux yeux d'un homme qui selon mon "patron" ne valait pas grand chose.

❖ Scène final, prise 16. Action!
Vous vous demandez sûrement quel est l'élément déclencheur de cette histoire, après le meurtre de ma mère, ma fiancée qui me trompa ou bien mon arrivé dans le FBI. Ne vous en faite pas on y arrive. Je croyais avoir un semblant de vie banale, tout du moins c'est ce que je me faisais croire pour ne pas viré fou à la fin de cette histoire. Mais j'aurais du me douter de la tournure des événements. Qui s'attire les foudres de Monsieur Papadopoulos ne fait pas long feu très long temps. Il m'offrit un contrat que je n'avais pas le droit de refuser, assassiné le fiancé de sa chère fille. Les raisons, je n'avais pas à le savoir, mais j'avais ma petite idée. Seulement cette fois, je ne pus porté ce contrat à terme. Demandant une protection pour ce dernier, je le fis quitter la ville, mais à mon grand regret il n'arriva jamais au point de rendez-vous. Et c'est à partir de ce moment que tout changea, ma couverture fut griller sans même que je le sache. J'étais au bord du gouffre cette fois...

Je ne sais pas ce qui me passa par la tête, même aujourd'hui encore, je me demande pourquoi j'ai fait ça. Mais inutile de revenir en arrière. Tapis dans l'ombre, en silence je la regardais. Je l'avais vu plusieurs fois en sa compagnie. Ce devait être elle, non pas que je savais pas qui elle était, mais je ne portais pas vraiment mon regard sur elle. Tout ce passa tellement vite dans ma tête. Et c'est quelque jours plus tard que je déposais sur ses lèvres ce mouchoir couvert de chloroforme. Mais comme un idiot après l'avoir mis dans la voiture qui nous mènerait dans ce lieu que je gardais secret, je me mis ce même mouchoir sur le nez pour essuyer mes gouttes de sueur. À une vitesse folle je m'écroulais à coté de la voiture endormi. Mon sommeil ne dura pas longtemps et je me réveillais avant elle pour finalement lui redonner une dose en faisant gaffe cette fois. Mais il avait duré assez longtemps pour que je rêve de Flipper le dauphin, de cornet que glace avec des guimauves géantes qui mangeaient des bonhommes en pain d'épice. Puis je partis finalement en direction de Barcelone, où personne ne pourrait savoir où je me caches. En chemin mon regard dévia de la route pour regarder une affiche de Victoria Secret. Mettre ça sur l'autoroute quel idée! Mais ça me fit penser qu'elle n'avait pas de vêtement. À la penser de lui en acheter me fit déglutir surtout le fait d'acheter un soutien-gorge. Je regardais dans le rétroviseur son corps assoupit sur la banquette arrière de la voiture. Le soleil de Santorin se couchait derrière nous. C'est à ce demander quels sont les prochaines aventures qui m'attendent. Toutefois, je crois être prêt à les affronté et me faire un happy end bien à moi!