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 WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you

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Pearl B. Angeles-Hartley
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LES INFOS WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you  Tumblr_mu4ldagykl1qmsc0lo5_250

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Cannot speak so easily
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❑ passer à la salle de sport
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★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode.
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MessageSujet: WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you    WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you  I_icon_minitimeMar 25 Mar - 5:35

Tic tac, tic tac, il est bientôt 15 heures. Je peux voir l’horloge du chocothé faire ton petit bruit qui me stressait. Je m’inquiétais. Je me posais des questions. Comment ça se passait ? Comment allait-il ? Je me demandais s’il gérait cette rencontre. Je me faisais du mauvais sang en gros. Moi-même ayant passée une journée avec Morgana… assez catastrophique deux jours après notre retour de Paris. Je savais qu’une simple rencontre pourrait se passer mal. J’étais là à frotter le comptoir en me demandant quand je pourrais partir mais vite. Je ne tenais plus en place. Dans le fond, je devais fermer le café à 18 heures mais je voulais être là quand il allait rentrer car je m’inquiétais sur la situation. Que pensait-il d’elle ? Allait-il être déçu ? Qu’allait-il savoir de sa mère ? Je me sentais tellement stupide aussi car c’était un grand garçon mais j’étais incapable de me contrôler. Depuis notre retour, il n’y a même pas une semaine, j’avais tentée de rester proche sans l’être de trop. Ne pas le tenter mais franchissant quand même des barrières. Celle de ses lèvres par exemple. J’en avais assez profitée comme une adolescente tout en n’en profitant pas de trop. Disons que je le laissais bien souvent surtout venir à moi. Je ne voulais pas toujours faire le premier pas. Je trouvais ça assez angoissant de le faire quand c’était le cas. JE m’efforçais de ne rien brusquer et lui laisser le temps. Bien sûr, je ne m’arrêtais pas à ça pour les fringues. Toujours des shorts, des décolletés, des talons et rien de bien nouveau. J’avais ressortie peu à peu les nuisettes car bien entendu, le mouton était revenu pour quelques nuits mais il était bien au placard depuis deux jours. Je faisais sacrement attention à mes gestes ou autres. Pour ma part ? Je devais avouer gérer plus mal que je ne le pensais. Je me retenais réellement par moment mais c’était normal, non ? Les quelques jours étaient comme une échelle. J’apprenais à la grimper alors que je pensais déjà être au-dessus. Si vous ne comprenez pas la métaphore… rassurez-vous car je ne la comprends pas non plus, ahah. Je soupirais doucement en regardant le monde autour de moi et à nouveau l’horloge. Je n’en pouvais plus. Attrapant mon portable, je regardais si je n’avais pas un message mais rien. J’inspirais doucement. Je voulais rentrer, oui. Je voulais être là « au cas où » et pas seulement par ce que notre relation évoluait mais par ce que j’avais toujours été là quand il en avait besoin et je ne voulais pas manquer à mon devoir. « Il y a une fille super jolie qui est venue me voir au café et elle se demande comment tu vas, apparemment elle a l’air intéressée… une brune avec des yeux chocolats et un pantalon très moulant ! », écrivais-je dans un sms pour dire de me faire passer pour la meilleure amie qui a rencontré la fille… qui est moi aussi mais dont j’ignore qui elle est pour lui enfin c’était un petit jeu que je lançais pour paraitre moins stupide en lui demandant comment ça se passait. Hésitante à l’envoie, je me lançais en me disant que s’il ne comprenait pas que c’était moi mais que c’était une autre, j’aurais bien l’air fine. Non ? Je soupirais doucement, laissant mon téléphone sur le comptoir et regardant l’employé. « Dis, ça te dérange si je te laisse fermer ? », demandais-je alors qu’elle me souriait en secouant la tête. Soulagée mais je détestais ça. Elle était nouvelle en plus mais bon. J’inspirais en lui expliquant tout avant de retirer mon tablier pour sortir et grimper les escaliers. Je voulais rentrer et aller dans mon appartement, ma maison et faire quoi ? Attendre ? Une fois que j’y étais, je savais que ma patience serait rude donc je me mettais au fourneau, remettant aussitôt un tablier et préparer des spaghettis. Oui, cool et rapide. Vive l’Italie. Aah, petit clin d’œil à Gianni, un pote italien, tiens ! (xD je n’ai pas pue m’en empêcher, tiens). Je tentais de me concentrer en me trouvant stupide. Je devrais sûrement être plus nerveuse que lui. Pitoyable.
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William A. Brighton
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Une journée frère et sœur, ça c'était une grande nouveauté pour moi. Angela était arrivée dans ma vie comme ça sans prévenir et j'avais été choqué d'apprendre son existence. Une demi-sœur, résultat de la nouvelle vie de ma mère qui m'avais lâchement abandonné. Entre colère et curiosité j'avais finalement choisi la deuxième option pour apprendre un peu à connaître cette jeune femme que je n'aurais jamais cru rencontrer. Car oui j'avais pensé souvent que ma génitrice avait refait sa vie et donc peut-être eu d'autres enfants, je m'étais posé la question de savoir s'ils avaient été aussi malheureux que moi, abandonnés eux aussi. Des questions bien sûr sans réponse, mais j'avais là une chance d'en savoir un peu plus sur ce qu'avait vécu cette jolie blonde avec qui je partageais les mêmes yeux d'un bleu profond, les mêmes que notre mère.
Pearl n'était pas pour rien dans mon choix de passer cette journée avec Angela, elle avait su trouver les mots pour me convaincre que ne pas le faire pourrait amener des regrets. Depuis Paris les choses changeaient inévitablement entre nous, elle restait ma meilleure amie mais je me surprenais à avoir des élans plus tendres qu'auparavant avec elle. Je ne m'autorisais pas encore de m'engager dans quoi que ce soit qui puisse sembler officiel mais je ne luttais plus vraiment contre mes envies de rapprochement. Ça n'était pas tout le temps, pas tous les jours, mais parfois avec spontanéité j'avais simplement envie que nos lèvres se rencontrent ou que nos mains se rejoignent. Plus en revanche c'était toujours une barrière, parfois c'était réellement difficile de ne pas céder à l'envie mais je savais que le bon moment n'était pas encore arrivé que j'étais encore un peu trop le séducteur qui ne connaît pas la fidélité pour mériter une fille comme elle.

Un peu tendu ce matin en quittant l'appartement, je m'étais rapidement mis à l'aise et ma demi-sœur pleine de bonne humeur y avait bien contribué. En fait ça n'était pas si compliqué de se parler, il n'y avait pas de malaise même si pour le moment certains sujets restaient des terrains à aborder avec prudence. J'étais plus flatté par sa démarche que je ne voulais bien l'avouer. Une année de sa vie entre parenthèse pour me retrouver et essayer de créer un lien entre nous, je trouvais cette jeune femme pleine de courage et de détermination... Quelque chose que j'avais déjà vu quelque part d'ailleurs !
Je ne voyais pas vraiment le temps passer, la journée s'était déroulée à une vitesse folle et nous allions bientôt rentrer chacun chez soi. Angela avait décroché un petit boulot de serveuse dans un restaurant et son service commencerait bientôt, quand à moi et bien j'avais des choses à partager avec ma meilleure amie. Je savais qu'elle devait un peu s'inquiéter du bon déroulement de ce premier vrai contact avec ma cadette, d'ailleurs j'avais justement un message d'elle qui venait confirmer ce que je savais déjà. Je la connais par cœur. Je souriais en lisant son texto, c'était marrant ce petit jeu qu'elle jouait parfois d'être deux personnes distinctes, heureusement que je savais qu'elle n'était pas schizophrène. Amusé je lui répondais « Dis lui de ne pas s'inquiéter, tout va bien. » j'allais de toute façon bientôt rentrer et elle aurait tout le loisir de voir que je me portais à merveille.

Pour rallonger un peu notre temps de discussion j'avais accompagné Angela jusqu'à son lieu de travail avant de rentrer. C'était la fin d'après midi et en arrivant prêt de la porte d'entrée de l'appartement je sentais déjà les effluves d'un repas en cours d'être préparé. Ça c'était du Pearl stressée tout craché ! Riant déjà d'avance de la trouver dans la cuisine en train de s'occuper pour ne pas faire les cents pas dans l'entrée en m'attendant, j'ouvrais la porte et entrais. Je posais mes affaires dans l'entrée et m'avançais ensuite vers le coin cuisine « Tu sais qu'il n'est pas encore l'heure de manger ? » demandais-je en souriant « Miss Hartley était tendue peut-être ? » je m'approchais d'elle pour la pincer gentiment « J'ai passé une bonne journée, c'était cool. » mon sourire s'élargissait « Tu as bien fait de m'encourager à aller passer du temps avec Angela, c'est une fille sympa. ». Pour l'instant nous n'avions pas trop parlé de notre mère, plutôt de nous deux, notre vécu et nos expériences le reste ça viendra avec le temps.
Posant mon regard sur ce qu'elle était en train de préparer j'arquais ensuite un sourcil « C'est fou ce truc de cuisiner pour ne pas stresser. » mes yeux s'attardaient alors sur ma meilleure amie « Mais ça ne se voit pas sur ta ligne en tout cas. » je la détaillais sans gêne et prenais un air malicieux « Et ce pantalon est définitivement vraiment moulant. » ce qui lui allait très bien.
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Cette situation était plus que stressante pour moi, j’avais rencontré ma sœur jumelle et j’avais affrontée le monde en ce moment. Entre mon père et j’en passe. J’avais fait en sorte de garder une sorte de stabilité, laisser les gens rester dans ma vie sans trop m’en faire. Savoir que William était dans la même situation m’effrayait. Nous n’étions pas pareils dans notre situation familiale. Nous avions tous les deux des familles différentes. La sienne n’avait jamais été simple pour lui. Le connaissant, je savais qu’il faisait un effort de fous même si cette fille que je ne connaissais pas était peut-être à mes yeux une porte faire le bonheur pour lui enfin disons… que c’était flou dans mon esprit. Je voulais qu’il puisse avoir une personne de sa famille sur qui compter. Le contraire aurait été tellement égoïste de ma part. Je ne voulais pas être l’unique personne proche de lui car je savais que c’était un danger. Alors que cette nervosité avait fini par me faire quitter le café, je recevais la réponse à ce message, rassurée ? Un peu mais disons que j’étais vraiment inquiète car même à la dernière minute, on ne savait jamais comment ça allait terminer. Un instant suffit parfois, nan ? Morgana pouvait rapidement me retourner le cerveau en une minute et me blesser en une autre seconde donc je savais que les risques étaient encore là. Je n’en étais donc pas totalement rassurée. Enfin c’était le micmac dans ma tête. Déjà qu’elle ne tourne pas très rond en général. C’est alors que je cuisinais un bon petit plat sans chichi pour me calmer que je sursautais à la porte qui se refermait. Oui, stressée et donc facilement amenée à sursauter comme une peureuse mais dans le fond, ne le suis-je pas secrètement ? J’étais effrayée par tellement de choses en passant du noir, des lapins et d’Elvis Presley donc bon. Je ne m’étonnais plus de rien de ma part. Je souriais en l’entendant, finissant par me tortiller à son pincement et hochant la tête. « Mais euhhhhh, arrêtes, vilain ! Je ne stresse pas du tout. Non, non… », disais-je en l’écoutant alors parler d’Angela et sa journée, souriant à nouveau et posant la cuillère en bois sur le plan de travail tout en me tournant vers lui. « Tant qu’elle est sympa avec toi, je l’adore ! », disais-je en riant légèrement. Oui, il fallait avouer que pour moi, il suffisait qu’elle se comporte simplement bien avec lui pour me combler. C’était nul et tellement niais dis comme ça dans le fond mais je n’avais rien à lui reproché. Elle n’était pas ma demi-sœur. Je me retournais alors, sentant son regard sur moi mais devant surveiller la cuisson tout de même et riant en l’entendant me dire que c’était fou que je cuisine tellement pour ne pas stresser. Il n’avait pas tort et ça me rendait dingue après quand il fallait tout manger car je n’aimais pas toujours être gourmande surtout stresser. C’est en l’entendant me parler de mon pantalon que je riais à nouveau tournant le regard vers lui et voyant cet air malicieux, le regardant de la même façon en penchant la tête, me retournant en me posant contre le plan de travail et croisant les bras. « Le plus fou surtout c’est de manger peu quand je suis stressée ! », disais-je enfin en fronçant le nez. « Puis dis-donc, t’arrêtes de me regarder ainsi ? », disais-je faussement offensée en allant vers le frigo et prenant une bouteille d’eau et lui en prenant une aussi en fronçant le nez. Approchant et la posant sur la table, pas loin de sa main. « De l’eau, voilà mon secret magique pour ma ligne ! », disais-je en arquant un sourcil. « Et du sport, pas en chambre mais du sport quand même ! », rajoutais-je d’un ton taquin en allant à nouveau surveiller la cuisson, prenant alors les herbes de Provence pour les ajouter aussitôt.  « Lui as-tu parlé de ta meilleure amie qui serait réellement ravie de la rencontrer pour la sermonner et lui rappeler que si elle agit mal avec toi, elle se retrouverait au fond d’un ravin ou mangée par les requins ? », demandais-je aussitôt en me retournant et lui offrant un clin d’œil. « D’ailleurs, je suis sûre qu’elle a aimé ton pantalon aussi… cette fille du café ! », disais-je en riant légèrement.  « Elle n’est pas très loin, je peux la rappeler si tu veux ! », lui proposais-je.
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Pearl pas stressée ? Elle croyait me faire gober ça, sérieusement ? Je crois qu'elle oubliait un petit peu à quel point je la connais par cœur... Mais ça m'amusait cette tentative de ne rien laisser paraître alors qu'au fond elle sait très bien que je n'en crois pas un mot. Alors je lui expliquais rapidement que la journée c'était bien déroulée et que si ça avait eu lieu c'était un peu grâce à elle et que donc je l'en remerciais. De nous deux ma meilleure amie était sans aucun doute celle qui avait le plus besoin d'être protégée mais c'était dans sa nature de s'inquiéter pour son entourage et donc pour moi. Encore plus depuis qu'elle m'avait avoué ses sentiments, que les choses entre nous changeaient doucement pour aller vers un lien peut-être plus fort encore. Moi c'était ça qui me stressait, cette perspective de compter encore plus et donc d'inévitablement risquer de la blesser plus facilement. En fait c'était même déjà fait avec nos désaccord et nos disputes, j'avais soufflé le chaud et le froid en cherchant à comprendre ce qui se tramait. Et plus encore je cherchais à me comprendre moi-même. « Je pense que vous allez bien vous entendre, vraiment. » lui disais-je avec sincérité, car plus que de l'espérer j'en étais convaincu.
Je taquinais gentiment Pearl sur cette manie de cuisiner pour évacuer son stress et me servais de cela pour dériver sur elle plus particulièrement. Sa silhouette était loin d'être celle de quelqu'un qui se laisse aller, pour mon plus grand plaisir d'ailleurs. Certes pour l'instant je m'imposais toujours certaines barrières, nous n'étions pas allés plus loin que quelques baisers échangés avec une certaine passion. Mais cela ne m'empêchais pas du tout de la regarder, bien au contraire et à cet instant je ne me gênais absolument pas. Me permettant en prime une petite remarque sur sa tenue je riais lorsqu'elle me demandait d'arrêter de la regarder comme ça « Sinon quoi ? » demandais-je en conservant mon air malicieux. Mais Pearl se détournait pour sortir deux bouteilles d'eau du frigo, son secret pour une ligne parfaite ajoutait-elle en m'offrant cette boisson. Lui souriant largement je prenais la bouteille pour aller la remettre au frais et choisir une bière à la place « Je suis bien moins raisonnable. » moi aussi je faisais du sport, en chambre et ailleurs quoi que pour les parties de jambes en l'air j'avais pas mal ralenti ces derniers temps.

Décapsulant ma bière j'en buvais une gorgée, moment que choisi ma meilleure amie pour m'expliquer quel traitement elle réservait à ma demi-sœur si elle venait à mal se comporter avec moi. Je failli recracher ma gorgée mais me contentais de m'étouffais légèrement. Après une petite quinte de toux je la regardais avec un air attendri « T'es pas croyable, tu le sais ça ? » je levais les yeux « J'ai pas besoin d'une garde du corps Miss Hartley et il n'y a aucune raison pour qu'Angela me plante un couteau dans le dos. » elle n'avait pas l'air d'une fille à problème, elle était joviale et pleine de vie, un petit rayon de soleil en fait. J'allais continuer à argumenter pour la rassurer mais elle enchaînait sur autre chose revenant sur ce truc de fille du café... Elle en fait. Amusé je me mettais à rire « Ah ouais tu crois ? » je faisais mine de m'observer, tentant de regarder mes fesses en tournant la tête au maximum « Quoi j'ai un si beau cul que ça ? ».
Mon attention revenait sur ma meilleure amie quand elle proposait de rappeler cette fille qui se trouvait être pas loin du tout... En face de moi en fait. « Oh et bien tu sais que je suis toujours d'accord pour ce qui est de rencontrer des jolies filles. » un large sourire étirait mes lèvres « Les jolies brunes aux yeux marrons, j'aime bien. » je haussais les épaules tout en poursuivant « Et quand elle porte un pantalon moulant c'est encore mieux. » je la regardais dans les yeux gardant un petit sourire aux lèvres. Depuis notre retour de Paris c'était comme ça entre nous, un petit jeu qui s'installait un peu plus chaque jour et dont nous étions les deux seuls à connaître les règles. J'avançais ma main libre vers son bras, lui caressant du bout des doigts « L'avantage c'est que le dîner est prêt on a pas à s'en soucier. » j'allais chercher sa main, liait nos doigts ensemble et observant cette image en souriant toujours « Si j'ai pu de sœur, qu'elle disparaît de nouveau je sais que j'aurais toujours ma meilleure amie. » je relevais mon regard vers celui de Pearl « Je te remercie pour ça. ».
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Sinon quoi ? Une question tellement hypothétique dans le fond en ce moment quand cela nous concernait, une retenue de fous pour moi et sûrement plus pour lui enfin j’en avais l’impression et c’était dans un sens amusant tout de même. Si j’étais sadique, je ferais même exprès de le chercher mais pourtant j’étais restée sage et patiente car c’était ainsi que j’avais envie de faire les choses. Sans le forcer, sans le pousser. Suis-je folle ? Non mais ce n’était pas mon but. Je pouvais jouer les tentatrices mais j’avais opté de jouer la patiente. Oui, c’était mieux ainsi. A cette question, je me contentais de lui lancer un regard séducteur et un demi-sourire alors que j’allais vers le frigo. « Tu sais bien quoi ! », murmurais-je alors sans savoir s’il l’entendrait mais je ne voulais pas vraiment qu’il ne l’entende pas mais qu’il ne l’entende pas à la fois. Moi ? Compliquée ? Mais pas du tout, voyons. Il n’y avait pas moins compliquée que moi sur ce coup. Enfin, si, un peu mais chut. Ça reste entre moi et moi. Je souriais en l’entendant alors qu’il changeait l’eau contre une bière. Raisonnable, oui, il l’était moins mais je l’étais moins aussi sur certaines autres choses. Je riais légèrement. « L’haleine bière, le repousse Pearl ! », disais-je d’un ton taquin mais c’était faux enfin pas totalement. Ce n’était pas ce que je trouvais de plus agréable mais je m’en fichais pas mal en général. J’aimais bien l’alcool mais la bière, j’avais plus de mal en général, sûrement par ce que j’étais plus habituée aux champagnes et aux vins que pour apprécier les boissons plus… je ne saurais dire. Barbare ? Pas vraiment enfin bon, passons. La bière m’échappait alors que je me mettais à parler de sa sœur, un traitement bien difficile pour survivre et je l’entendais me dire que je n’étais pas croyable, souriant alors à cet air qu’il avait tandis que j’haussais simplement les épaules. « Un ange gardien ? », disais-je pour rectifier le garde du corps car on en a tous besoin mais dans le fond, il avait plus souvent été mon sauveur que je n’étais le sien et ce n’était clairement pas nouveau tout ça. Bien sûr, la conversation allait et venait de sujets à d’autres pour que je revienne aussitôt à cette fille du café qui était moi. Il fallait vraiment que je fasse soigner mon souci de dédoublement de personnalité avant que quelqu’un ne nous entende divaguer et se pose des questions. Heureusement que cela n’arrivait toujours que quand on est deux et que c’était simplement du pur délire enfin aussi un peu une façon de faire la séparation de la meilleure amie et de la… je ne sais pas quoi. Dans le fond, rien du tout. Je souriais doucement en hochant la tête quand il me disait si je croyais avant qu’il ne regarde ses fesses et me fasse rire. « Eh oui, et il n’y a pas que le cul ! », disais-je en penchant la tête et le regardant à nouveau, lui proposant même de rappeler la fille mais non, j’étais folle. Je souriais doucement en l’entendant et fronçant les sourcils. « Charmeur ! », disais-je à ses mots qui n’était pas moins sans effet sur moi, si mais chut bien qu’il ne s’en doute sûrement. Je souriais légèrement, timidement. « Elle porte mieux sous le pantalon ! », disais-je en souriant, voulant même rire mais le faire qu’il ne me regarde dans les yeux m’empêchait simplement d’en rire car c’était ainsi, je m’y plongeais en nageant dans ce bleu qui me terrifiait dans un sens. Magique Willy. Un sourire, des yeux, un cul si beau et bim, tu tombes dans le panneau. Je sentais alors ses doigts sur mon bras, frissonnant tout aussitôt sans attendre une seconde alors que je n’avais même pas fait attention à son bras qui avançant. Je souriais timidement en l’entendant et haussant les épaules. « Il doit mijoter un peu ! », soufflais-je en sentant sa main se liant à la mienne et son regard partir vers celle-ci, je restais juste de marbre comme les statues que l’on trouve dans ces musées. Oui, des states de cire ou de bétons, je m’en fichais mais j’étais telle une statue. Je souriais en l’entendant et penchant la tête alors que mon autre main allait à sa taille tandis que je me rapprochais en laissant ma main glisser dans la poche arrière de son jeans et lui souriant. « Toujours, je m’accrocherais à toi pour ne pas te laisser tomber ! », disais-je en fronçant le nez. « Mais de rien, aussi ! », murmurais-je alors que j’allais à son oreille. « Mais je crois que ce n’est plus la meilleure amie, là, elle reviendra plus tard ! », disais-je en murmurant à son oreille comme un secret que je ne voulais pas que l’on entende mais qui ? Il n’y avait que nous bien que les murs ont des oreilles et on le répète bien trop souvent. Je riais légèrement en reculant alors, retirant même cette main dans sa poche mais lentement en déposant un baiser sur sa joue et secouant doucement la tête. « Quoique non, je vais être raisonnable ! », soufflais-je aussitôt d’un air joueur et reculant en gardant tout de même le lien de nos main et les regardant même en souriant. « Le meilleur ami à l’air d’avoir envie d’un câlin ! », disais-je d’un sourire tendre et prenant une profonde inspiration. « Qu’est-ce que je ne ferais pas pour lui ! », rajoutais-je aussitôt d’un ton plaisantin et tournant rapidement le regard vers la marmite qui mijotait mais je priais pour que ça ne colle pas, je me baissais doucement le feu en mettant le couvercle sur la marmite et me retournant à nouveau vers lui.
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MessageSujet: Re: WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you    WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you  I_icon_minitimeJeu 1 Mai - 10:37

Le dîner était prêt, on n'avait plus qu'à mettre les pieds sous la table quand nos estomacs nous le demanderaient. Mais là c'était en quelques sortes moi qui me retrouvais sur le menu, de part cette petite question qui semblait innocente mais ne l'était pas tant que ça. Les petites provocations comme celle-ci se multipliaient entre nous, depuis le retour de la capitale françaises. Et j'avais entendu son petit murmure qui me fit d'ailleurs sourire, ainsi quand elle ajoutait que l'haleine à la bière la repoussait j'avais directement un bon argument pour ma défense « Bah justement c'est une mesure de sécurité. » disais-je sur un ton amusé. J'avais plus ou moins dépassé ça, j'essayais de faire attention à ne pas envoyer de mauvais signaux à Pearl mais globalement je me montrais juste naturel et spontané. Parce que comme elle le disait, oui elle était un peu mon ange gardien. Si j'avais pu à un moment m'éloigner de ma meilleure amie, après l'attaque au casino je savais désormais que c'était impossible pour moi de ne plus jamais la revoir, qu'elle ne fasse pas partie de ma vie. Dans quelle mesure et à quelle place ça c'était d'autres questions auxquelles je peinais à répondre, mais une absence totale me serait insupportable. « En quelque sorte ouais. » lâchais-je après avoir bu une nouvelle gorgée de bière « C'est que parfois tu es un véritable démon... Un peu paradoxale comme situation. » c'était dit sur le ton de la plaisanterie mais dans les faits à sa manière de me tenter parfois elle était démoniaque. Une attitude qu'elle avait calmer par respect pour cet engagement que j'avais prit à ne rien bousculer pour que tout soit plus ou moins clair dans ma tête et ne pas risquer de tout faire foirer.
Mais pour me séduire Pearl ne manquait jamais de stratagème, une drague légère et tout en finesse qui ne me laissait pas indifférent. Et là où je n'avais rien vu auparavant je percevais chaque sous-entendus, comment j'avais pu passer à côté de tout ça jusque là ? Je crois tout simplement que je n'avais rien voulu voir, m'interdisant de penser que cette jeune femme merveilleuse avait jeté son dévolu sur moi alors qu'elle mérite tellement mieux qu'un connard coureur de jupons et flippé des sentiments. Un vrai cas ! Et pourtant elle y croit, elle s'accroche et il y a en cela une belle preuve de sa sincérité et de la force de ses sentiments. Je tiens tant à elle qu'il serait vraiment irrespectueux de ma part de ne pas tenir compte de cela, on s'est toujours soutenu depuis vingt années d'amitié ça n'était pas le moment de lui tourner le dos. Et puis étant loin d'être gay mais plutôt intéressé par la beauté des femmes j'étais trop longtemps passé à côté de celle de ma meilleure amie. Jusque là je m'étais toujours interdit de porter ce genre de regard sur elle, mais désormais je ne me gênais plus et la complimentait. Ce jeu de séduction nous amusait, l'un et autre sachions très bien vers quoi cela mènerait et pour une fois j'étais celui qui voulait faire preuve de patience. Définitivement elle pouvait se vanter d'avoir sur moi un effet qu'aucune autre femme ne peut prétendre avoir eu.

Notre lien déjà fort le devenait encore d'avantage, il changeait mais gagnait en puissance. Sans pouvoir expliquer pourquoi je le sentais, tout simplement. Et à regarder nos mains liées je savais que c'était une image que je voulais voir et revoir encore longtemps. Alors quoi c'était ça prendre conscience de ses sentiments ? Le mot m'effrayait c'est vrai... Ma meilleure amie toujours à mes côtés et elle confirmait que cela n'était pas prêt de changer. Sauf que ça ne serait pas juste elle, mais aussi une femme amoureuse et Pearl n'avait plus peur de le dire, depuis longtemps déjà, cependant si avant j'étais quelque peu frileux de l'entendre l'avouer, le clamer, désormais j'y trouvais une certaine force. L'avoir si proche, son souffle contre mon oreille ça suffisait à éveiller le désir. Preuve que j'étais bien loin de l'indifférence à son égard mais surtout cela allait crescendo depuis quelques temps. Un dernier frein restait serré, me retenant sans que je ne sache vraiment pourquoi. Une crainte me paralysait encore partiellement et chaque pas en avant ce voyait accompagner un peu plus tard d'un petit pas en arrière ou au mieux d'un arrêt de la machine.
Le rapprochement fût de courte durée puisque Pearl décidait d'être raisonnable, ce que j'accueillais avec une légère moue « Toi ? C'est une blague ? » la taquinais-je gentiment avant de hausse les épaules à sa remarque « Je sais pas... » est-ce que j'avais envie d'un câlin ? Je n'étais pas contre, pas du tout même mais j'attendais qu'elle me l'offre d'elle même. Ce qu'elle n'avait pas l'air de vouloir faire malgré ce qu'elle disait. J'arquais un sourcil en la regardant avec perplexité « Bah même si il en voulait un t'as pas l'air décidé à lui donner. » je me mettais à rire aussitôt, lâchant sa main et finissant ma bière avant d'aller mettre la bouteille à la poubelle « Tant pis, c'est dommage. » je feignais une certaine déception alors qu'il n'en était rien. Croisant les bras alors que je m'appuyais à nouveau contre le plan de travail en regardant ce qui était en train de bouillir dans les casseroles « C'est donc ça qui te demande plus d'attention que ton meilleur ami qui vient de vivre une journée pleine d'émotion en passant du temps avec sa sœur dont il vient de découvrir l'existence ? » si je disais ça ce n'était pas du reproche, juste un peu de plaisanterie histoire qu'elle s'intéresse à moi plutôt qu'à ses casseroles. « Bon bah j'ai peut-être un match un match a regarder, qui sait ? » levant les yeux, un petit sourire en coin sur les lèvres je m'engageais lentement pour contourner le comptoir de la cuisine afin d'aller dans le salon.
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Pearl B. Angeles-Hartley
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[b]When your secret heart
Cannot speak so easily
Come here baby, from a whisper start
To have a little faith in me
When the road gets dark
And you can no longer see
Let my love throw a spark
[/b]


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666 était loin d’être mon chiffre favoris mais il fallait avouer que je pouvais parfois être un petit démon sur patte. Le faisais-je exprès ? Pas toujours mais parfois j’assumais le chercher volontairement. Bon mais chut… il ne faut pas le dire à tout le monde. Genre à mon père. Il doit me penser tellement chaste. Ou pas.  Alors que tout changeait au fil des jours, je ne savais pas du tout ou nous allions en ce moment. Peut-être nous nous dirigions droit vers un mur car il ne serait jamais capable de devenir plus qu’un ami ? Peut-être ou peut-être pas. Comment pouvais-je le savoir. Dans le fond, on disait toujours : qui ne tente rien, n’a rien. Je ne voulais pas risquer de ne rien avoir car je n’étais pas spécialement de ces filles qui abandonnaient trop facilement, ça, il le savait. J’étais une battante sinon j’aurais abandonné la vie depuis… oula, des années et des siècles peut-être. Si j’aurais sue, je ne serais même pas venue au monde mais j’aurais ratée notre rencontre, notre histoire et ça ? Je ne voulais pas que ça arrive même si parfois je laissais penser que ça serait tellement plus simple, comment imaginer la vie sans lui ? No way. Cette situation m’était loin d’être tremblante, mêlant la meilleure amie à là je ne sais pas trop quoi d’une façon des plus facile, j’avais peur de finir avec deux personnalités mais je m’en fichais. Je voulais tout faire pour le rendre à l’aise mais aussi jouer… pouvoir peut-être le séduire de la sortir par la taquinerie de la situation. Je me laissais aller, me rapprochant et allant même à la séduction mais tentant surtout petit à petit de voir comment il réagirait, je ne voulais pas le faire fuir, je voulais y aller doucement. C’était ce qu’il m’avait demandé et je voulais respecter son envie, son besoin. Ne rien brusquer tel des adolescents et je souriais alors qu’il réagissait au fait que je dise vouloir être raisonnable. « Eh oui ! », disais-je d’un ton taquin en le regardant, lui disant qu’il avait sûrement besoin d’un câlin. Je ne le fis pas de suite, regardant le repas. Je ne voulais pas que cela crame le temps d’un câlin affectueux tout ce qu’il y avait de plus câlin en fait. Et je riais à sa réaction, le regardant en arquant un sourcil. Et si je jouais le jeu ? Alors qu’il semblait être en compétition avec une marmite ? Amusée, je fronçais le nez doucement, le regardant même croiser les bras et s’appuyer à nouveau. Il semblait déçu mais l’était-il réellement ? Jouait-il ? Je le connaissais tellement mais parfois, je n’arrivais pas toujours à discerner la vrai déception de la fausse. Dans le fond, si je discernais tout, je ne pourrais plus être surprise. Je le regardais, allant vers le frigo tandis qu’il finissait de dire que je cherchais plus d’attention au repas qu’à lui. « Et oui, je suis une meilleure amie tellement ignoble, tu sais. Oh mon dieu, je ne suis pas loyale, tellement pas. », je prenais alors la bouteille de sirop de chocolat en souriant alors qu’il allait faire le salon, disant préférer le match. « Ah bon ? Qui contre qui ? », demandais-je tout naturellement, à l'aise comme si c'était normal que je me mette à parler sport. Je m'approchais en le rattrapant sur la route, le coinçant même un peu contre le comptoir qu'il contournait. Non mais je n’allais pas le laisser s’en tirer ainsi. « J’ai le remède miracle contre le manque d’attention ! », disais-je en le regardant dans les yeux et penchant la tête, levant la bouteille de sirop face à lui. J’en mettais alors un peu sur mon doigt et feignant de l’approcher de ses lèvres pour aussitôt le mettre dans ma bouche d’un sourire taquin, un peu mesquin. « Eh non ! Les dames d’abord ! », soufflais-je en recommençant alors et mettant à nouveau du sirop sur mon doigt. « C’est le sirop de la paix… oui, comme le drapeau blanc, tu vois ? L’acte de paix pour signer que je promets de ne plus préférer la cuisine que mon meilleur ami ! », disais-je en l’approchant de ses lèvres, caressant même celle-ci avec le sirop de chocolat et faisant réellement attention à ne rien laisser couler même s’il n’y en avait pas tant que cela sur mon doigt. Je refermais la bouteille tant bien que mal de mon autre main, tellement mal qu’elle tombait au sol mais rien à foudre tant que cela ne giclait pas partout. Enfin bon, notons que je n’ai pas réellement fais attention à ce détail, ne me souciant pas à savoir si la cuisine allait ressembler à une pièce parsemée de sirop de chocolat. « Oups ! », disais-je en approchant alors, passant un bras autour de sa taille et me blottissant contre lui pour ce câlin ! Et oui, ce câlin tant attendu, je remontais aussitôt à son oreille en souriant. « Toujours intéressé par ton match de foot ? », demandais-je alors par curiosité mais surtout d’une voix légèrement sensuelle. Ce n’était même pas volontaire car j’étais réellement prête d’être raisonnable, me disant qu’il avait eu assez d’émotion et même si je jouais tout de même… un peu beaucoup.
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Cette histoire de match c’était juste un moyen de renforcer le cliché du mec délaissé parce que la femme de la maison cuisine, et donc qui n’a plus qu’à aller regarder un match à la télé pour s’occuper. Je ne savais même pas si un match était programmé, mais souvent sur la chaine sportive il était assez facile de trouver quelque chose à regarder. Comme si ça l’intéressait Pearl me demandait qui étaient les équipes, je haussais les épaules puisque je n’en avais pas la moindre idée et j’allais répliquer que de toute façon elle n’y connaissait rien quand elle m’interceptait en me bloquant contre le comptoir. J’arquais un sourcil, curieux de savoir ce qu’elle avait en tête alors que je regardais son petit sourire malicieux qui la rend vraiment craquante. « Le manque d’attention ? Quelqu’un manque d’attention ici ? » plaisantais-je en riant légèrement. Vrai que j’avais fait ma tronche de mal aimé quand elle avait préféré sa cocotte minute à moi mais c’était un simple jeu d’acteur. Quoi que.
Du sirop de chocolat… Ou de quoi faire dégénérer la situation assez facilement. J’élargissais mon sourire « Tu sors les armes lourdes. » disais-je en m’apprêtant à récupérer le chocolat sur le doigt qu’elle me tendait. J’aurais dû anticiper qu’elle le retirerait au dernier moment, c’est du Pearl tout cracher ! Moue contrariée à l’appuie je répliquais « La galanterie c’est vraiment toujours quand ça vous arrange. » même si j’étais le premier à laisser l’honneur aux dames. Je laissais ma meilleure amie enduire mes lèvres de chocolat, en fait c’était plutôt agréable de la laisser caresser mes lèvres et terriblement sensuel aussi. Je me focalisais sur cette sensation mais fût bien vite sorti de mes pensées par le bruit de la bouteille de sirop qui tombait au sol « Éternelle maladroite. » lâchais-je avec un haussement d’épaules. De toute façon si catastrophe il y avait c’était Pearl la maniaque qui nettoierait.

Mes bras se refermaient sur elle, un geste que j’avais fait des milliers de fois et pourtant ces derniers temps c’était différent. Je sentais sa poitrine contre mon torse, j’avais envie de caresser son dos à même sa peau, la serrer encore plus contre moi… Des envies jusque là interdites, refoulées par mon rôle de meilleur ami mais qui finissaient par devenir bien trop fortes pour que je les ignore d’avantage. Je récupérais le chocolat sur mes lèvres, et c’est le moment que choisis Pearl pour chuchoter à mon oreille comme elle sait si bien le faire pour me troubler. « Je ne sais même pas s’il y en a vraiment un. »  autant être sincère je me foutais pas mal de ce match puisque ça n’était qu’un prétexte histoire de faire autre chose que la regarder cuisiner. Ma main glissait sous son haut, je caressais une de ses hanches « Par contre j’ai la vague impression que tes casseroles t’intéressent moins maintenant. ». Le jeu pouvait nous emmener sur ce terrain que l’on évitait depuis quelques temps maintenant, enfin surtout moi parce que je crois que de son côté Pearl n’aurait pas nécessairement choisi d’attendre quand ce soir là à Paris j’avais dérapé.
L’envie devenait chaque jour plus difficile à contenir parce que vivre avec elle, si jolie et désirable, ça tenait de l’épreuve pour moi. Mais à la fois j’étais fier de tenir le coup, d’arriver à attendre pour mettre toutes les chances de mon côté et ne pas foirer comme je sais si bien le faire. On devait avoir l’air bête, enlacé dans la cuisine sauf que je me foutais pas mal d’avoir l’air con à cet instant. Je sentais sa peau douce sous mes doigts et je me demandais si cette fois j’allais résister, nous nous cherchions sans cesse dans une tension que tous deux tentions de ne pas laisser prendre le dessus. Je savais combien ma meilleure amie luttait, patiente et bienveillante comme à son habitude mais plus le temps passait et plus je me sentais le moment où j’allais craquer. « Si tu restes coller contre moi comme ça, ça risque de finir en bêtise. » enfin bêtise… Nous sommes deux adultes consentants et a priori responsable de nos actes, alors ça ne serait une bêtise qu’en cas de regrets, ce que je voulais éviter à tout prix.

C’était plus fort que moi, j’allais faire glisser mes lèvres dans son cou et y déposais quelques baisers avec une lenteur calculée. Pendant longtemps je n’avais pas vu Pearl comme étant une femme que je n'étais pas en droit de désirer, mais à présent je la désirais plus que n’importe quelle autre. C’était différent avec elle, parce que notre histoire rendait notre lien plus fort qu’aucun autre que j’ai connu. Est-ce que c’était une bonne idée je n’en savais rien mais d’un geste spontané je soulevais Pearl pour l’asseoir sur le plan de travail. Mes mains la débarrassait rapidement de son haut et je reculais légèrement pour profiter de cette vue qui s’offrait à moi « J’aurais dû porter des lunettes pendant tout ce temps en fait… » ouais je devais être aveugle pour ne jamais avoir prêté attention à ça. Je souriais et me rapprochais à nouveau, malgré le désir qui me mordait les entrailles je restais bien plus doux avec ma meilleure amie que je ne l’ai jamais été avec aucune autre femme. Non pas que je fus brutal d’habitude mais plus passionné, plus instinctif et bestial. Sauf qu’à son contact je changeais, peut-être aurait-elle voulu que je sois plus intense mais avec elle j’avais envie de douceur parce que c’était une chose qui manquait à ma vie et qu’elle seule savait m’offrir.
« T’as baissé le feu sous tes casseroles ? Parce que je te préviens je risque de te kidnapper un moment là. » peut-être n’allions nous pas coucher ensemble, pas encore mais j’avais pourtant besoin de sentir sa peau contre la mienne, de l’explorer avec mes lèvres. Elle était en quelque sorte mon sirop au chocolat, son parfum m’enivrait, m’apaisait et je me rendais compte que finalement là à cet instant j’allais bien. J’approchais ma bouche de la sienne, mes iris bleutées s’accrochant à ses yeux plus sombres « T’aurais pas fait du vaudou sur moi par hasard ? » demandais-je en plaisantant, sans pour autant la laisser répondre alors que je joignais mes lèvres aux siennes. Parti comme ça j’allais sans doute avoir du mal à m’arrêter mais je ne devais pas y penser pour l’instant. Profiter de l’instant me paraissait être la meilleure chose à faire pour le moment.


Dernière édition par William A. Brighton le Dim 27 Juil - 4:29, édité 1 fois
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Cette situation était nouvelle enfin pas vraiment mais quelques détails faisaient que c’était réellement nouveau. Des petites détails sans vraiment d’importance tout en ayant de l’importance, oui cherchez ma logique mais le fait que cela soit sans la crainte d’être repoussée était un changement puis sans craintes du tout. Je me laissais aller au jeu pour lui montrer que je lui portais attention sans retenues. Je souriais à ce qu’il disait tandis que je jouais avec le chocolat sur ses lèvres. Alors que la bouteille tombait, je souriais à ce qu’il disait. Oui, c’était vrai. J’étais une éternelle maladroite. C’était loin d’être nouveau. Je ne contrôlais pas toujours mes mains et encore moins mes pieds et parfois même ma tête. Si je devais compter le nombre de fois où elle se prenait des portes de placards. Je ne vous dis pas les neurones en moins et pourtant parfois je pouvais être tellement adroite. A Vegas surtout. Et alors que je sentais ses bras se serrer autour de moi, son parfum aussi, chuchotant à son oreille d’une façon sensuelle et je ne pouvais pas le cacher. Je souriais en l’entendant parler de ce match, je m’étais fait avoir ? Oh mince mais je m’en fichais, cela ne m’arrêtait guère, j’aimais bien ce jeu en fait. Match ou pas, je me sentais bien à jouer avec la séduction aussi subtile soit-elle ou même aussi subtile ne soit-elle pas du tout. Je la voulais subtile mais l’était-elle ? Je m’en fichais pas mal. Surprise alors que je sentais sa main voyager sous le haut et ses caresses, je souriais doucement en penchant légèrement la tête. Oubliais-je mes casseroles ? Peut-être ou peut-être pas. Je n’y pensais pas en fait. Je m’étais mise à cuisiner pour contrôler ma nervosité mais là, je ne me sentais plus vraiment nerveuse. « Tu crois ? », disais-je simplement avec une pointe de mystère. Pourquoi ? Je n’en savais rien, je continuais ce jeu de l’attention. Laissant le suspens au fait que je pourrais aller revoir comment ça se passait. Je restais ainsi, sans bouger. Son parfum me donnait un gout d’envie, un gout d’envie de lui. La sensation montait de plus en plus alors que les doux frissons de sa main contre ma peau ne se retenaient simplement plus. Avant, ils se cachaient tellement, ils me donnaient parfois presque honte. Comment pouvais-je à l’époque le désirer ? Je m’étais tellement dis qu’il était William, le meilleur ami et cela avait changé. Il était devenu celui que je désirais. Là, je ne pensais plus pareil, je n’avais plus peur. Je ne retenais plus d’angoisse. Je lâchais tout, je me sentais en sécurité. Oui, je me sentais bien. L’entendre me dire que le risque de faire des bêtises était présent, je souriais doucement. Serait-ce vraiment une bêtise ? Je ne le pensais pas et pourtant je l’avais parfois pensée mais plus maintenant. « Oh… », soufflais-je tout simplement, m’apprêtant à dire qu’il faudrait peut-être que je me décolle mais pour plaisanter, je n’avais pas le temps que je sentais le bout de ses lèvres sur ma peau et hop, un frisson. Oh, cela allait finir par être électrique. Totalement envoutée, je me laissais titiller de ses baisers en me languissant du suivant. Je ne me rendais même pas compte que j’étais soulevée, c’était naturellement que je me laissais poser, pas surprise. Je me rendrais sûrement compte que je suis assise quand je ne le saurais plus. Je ne me rendais tout simplement plus compte de rien. C’était comme être droguée sans la drogue enfin si mais une drogue qui ne faisait pas de mal, pas du tout. Alors qu’il reculait, là, je m’en rendais compte en posant priant pour ne pas être assise sur un tas de farine… enfin non en vrai, je m’en fichais, il aurait même pu me poser sur une boule de pâte à pizza, je m’en serais fichue car je voulais juste qu’il se rapproche et recommence ses baisers si envoutant. Je souriais doucement l’entendant et attendant qu’il ne se rapproche. « Oh oui ! », disais-je en souriant, entourant mes bras autour de sa taille, voulant simplement de lui, le voulant. Je le désirais. Peut-être pas au point de passer à la casserole mais simplement son contact. Et en parlant de casserole, je laissais un léger sourire s’esquisser au coin de mes lèvres alors qu’il me posait cette question, j’hochais la tête, silencieuse alors que ses iris se plantaient dans les miennes. Je le regardais juste dans les yeux, trouvant les secondes en sentant ses lèvres se rapprocher, sentant même son souffle contre les miennes. Je ne pouvais pas m’empêcher de rire légèrement en l’entendant, taisant ce rire aussitôt au contact de ses lèvres, laissant mon sourire se dessiner en prolongeant ce baiser, ne le coupant pas. Laissant ce désir grimper au fil du contact de nos lèvres. Instinctivement mes jambes s’enroulaient autour de sa taille, s’y accrochant peut-être pour être sûre qu’il ne s’éloigne pas. Refusant de rompre ce contact même si je voulais lui en laisser la liberté. Je laissais ce baiser se prolonger, assouvissant cette envie avant de le rompre légèrement, mordillant ses lèvres. « Ce sont mes artilleries lourdes, elles sont irrésistibles. », murmurais-je donc contre ses lèvres en me laissant captiver par ses iris en jouant légèrement avec ses lèvres. Les miennes caressant adroitement les siennes et s’éloignant par moment avec calcul. Je voulais peut-être chercher à ce qu’il s’en languisse ? Je n’en savais rien, je jouais un peu. Je laissais alors mes mains descendre aux bas de son t-shirt. Certains pourraient dire que c’est un réflex mais c’était plus l’appel de la peau. Ma peau appelait la sienne, mes mains caressant son torse sous celui-ci et montant progressivement tout en continuant à jouer avec ses lèvres. « Mais qui sait, je suis peut-être une sorte de sorcière. Ou une sirène ! », disais-je en laissant se dessiner ce sourire un peu taquin, un peu coquin. Mes mains remontant encore plus sous son t-shirt, l’invitant même d’une certains façons à le retirer. Mes caresses se dirigeant même dans son dos, du bout des doigts. J’avais un atour, oui, un grand atout. Je savais y faire avec les hommes même si je ne savais point encore comment y faire avec William, j’apprenais de chaque toucher comment déclencher ses frissons qu’il arrivait tellement rapidement à m’extirper.
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Sorcière ou sirène peu importe car finalement le résultat était le même, j’étais irrémédiablement attiré par ma meilleure amie. Incité par ses mains malicieusement glissé sous mon t-shirt je venais de m’en débarrasser, prenant plaisir à ce que ma peau entre d’avantage en contact avec la sienne. Pearl jouait avec mes lèvres un bon moyen de faire monter encore d’avantage mon excitation, tout comme ses mains sur moi. Chaque caresse, chaque petit accroc de ses ongles sur mon épiderme me donnait un peu plus envie d’elle. Un jeu dangereux que je n’étais plus vraiment sûr de pouvoir mettre sur pause ou de faire machine arrière. La volonté s’amenuisait à mesure que le désir augmentait au rythme de ces nouveaux baisers que je déposais dans son cou. « Tu penses quoi de délaisser définitivement tes casseroles ? » disais-je en allant délicatement mordre le lobe de son oreille. La cuisine était certes un bon endroit pour freiner mes pulsions mais le problème était que je n’étais plus franchement sûr d’avoir envie de les freiner. « C’est l’artillerie lourde… Ta faute quoi… » lâchais-je en riant légèrement avant de redescendre mes lèvres vers son cou sans m’y attarder et préférant me rendre directement vers son décolleté.
Des questions j’en avais encore des tonnes qui s’invitaient dans mon esprit mais je ne voulais plus les écouter, j’étais déterminé à simplement profiter de ce moment agréable. Mes doigts ne se lassaient pas de caresser la peau douce de ma meilleure amie et je sentais que ses propres gestes m’arrachaient quelques frissons. J’étais bien obligé de me rendre à l’évidence, j’avais simplement envie de Pearl et sur le point de ne plus pouvoir faire machine arrière. Mais rien que le fait d’avoir été patient, d’attendre pour qu’elle ne soit pas une conquête parmi d’autre prouvait que tout ça allait bien au delà d’une simple envie d’ordre sexuelle. L’attirance était forte, bien réelle et je voyais désormais en ma meilleure amie une femme magnifique, mais elle était aussi bien plus que cela. Si ça m’était apparu presque clairement après la prise d’otage, je prenais conscience au fil des minutes qu’il allait m’être de plus en plus difficile de me passer d’elle, de ce contact, de cette proximité. Son parfum, le goût de ses lèvres, de sa peau, sa douceur, tout en elle me plaisait et m’apaisait.

Finalement je décidais que définitivement la cuisine n’était pas le lieu adéquat pour ce que j’avais en tête. A nouveau comme si Pearl n’était qu’une plume je la soulevais sans difficulté, d’autant plus que ses jambes entourées autour de ma taille me facilitaient grandement la tache. J’avais également retrouver ses lèvres pour un baiser plus passionné que je prolongeais avec envie, maintenant je savais que reculer n’était plus vraiment ce que j’envisageais. Reculant légèrement j’arrivais malgré mon souffle quelque peu saccadé à interroger Pearl « Ta chambre ou la mienne ? » habitant ensemble ça n’était une variante du chez toi ou chez moi dont j’étais amusé. Aussi bête pouvait paraître cette question j’aimais cette idée de lui laisser ce choix parce que la suite des évènements dépendaient également d’elle et que je voulais suivre son envie autant que la mienne.
J’entrais dans la pièce et trouvais le lit sans difficulté pour y déposer ma meilleure amie. Restant au dessus d’elle j’entreprenais de découvrir son corps de manière bien plus minutieuse, parcourant sa peau de ma bouche, explorant chaque centimètre carré d’épiderme de sa poitrine que j’avais débarrasser de l’accessoire de lingerie qui m’en bloquait l’accès jusque là. J’appréciais de la sentir frissonner, son envie était trahie par tout son être et le mien n’était guère plus discret ce qui n’avait sans doute pas échappé à Pearl. La découvrir ainsi m’animait, je me sentais bien, parfaitement à ma place et n’ayant cette fois plus aucun doute sur ce que je voulais. Elle, tout simplement.
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Une marmite, une cuisson faisait-elle le poids contre cette cuisson ? J’allais techniquement passer à la casserole et je m’en fichais bien d’une sauce spaghetti en ce moment-même car elle n’était pas une sauce à la William. Ce n’était qu’une simple sauce tomate comme une autre mais lui ? Il n’était point une sauce tomate. Il était William. Il était mon meilleur ami mais pas seulement car sinon cela serait bien trop simple et ne nous aurais jamais posés autant de problèmes. Dans le fond, je m’étais même montrée stupides les mois précédents. Comment pouvait-il encore vouloir de moi ? Je n’en savais rien. Je ne cherchais pas vraiment à le savoir en ce moment en fait. Enfin disons que ça m’arrivait d’y penser mais là ? Je ne pensais plus vraiment alors qu’il mordillait même mon lobe d’oreille. Mais le coquin. Moi qui suis si chaste. Comment ose-t-il ? Non mais oh. Je souriais doucement, laissant ses lèvres parcourir ma peau non sans moindres frissons car ils étaient présents et me donnait cette douce sensation de légèreté alors que mon pouls s’accélérait même en laissant cette douce petite adrénaline s’installer petit à petit. Je ne savais pas où ça allait terminer mais je commençais peu à peu… à le comprendre à vrai dire. Enfin je suis une grande fille et j’avais finie par le comprendre mais disons que c’était de plus en plus évident alors que je me sentais soulevée comme… surtout pas une enclume lourde. Retrouvant ses lèvres pour profiter de ce baiser comme d’un oasis. Peut-être qu’il allait s’évaporer. Rêvais-je ? Je n’en savais rien mais dans un sens, tout avait changé depuis Paris. Tout. Notre vie était différente, nos relations, ses regards qui par moment avaient réussis à me faire rougir alors qu’auparavant, c’était mon regard sur lui qui me faisait rougir. Ce baiser auquel je ne laissais rien échapper, aucunes sensations. L’envie était là, cela pourrait même m’effrayer car je savais que ça allait changer tellement de choses. Je ne m’y attendais sûrement pas car dans le fond ? Ça avait longtemps était comme les étoiles. On les voit, on est fou et parfois on veut les attraper mais on sait qu’on ne pourra jamais car elles sont trop loin. Là, c’était une étoile qui se rapprochait d’une vitesse. Et cette étoile devait même se continuer d’un choix… quelle chambre ? Dans le fond, je n’y avais jamais pensée. Voudrais-je coucher avec lui ou faire l’amour dans la chambre ou de nombreuses autres filles étaient passées alors que personne n’était passé dans mon lit. Et pas personne, je ne désigne pas un prénom original mais simplement que personne, nada… c’était presque si on ne pouvait pas entendre les sables du far west abandonné voler. Pour lui, le choix n’était peut-être pas aussi compliqué mais pour moi, ça me donnait l’impression de devoir tranché entre la jalousie stupide que je pouvais ressentir ou le plaisir de dire : ouech moi aussi je suis passée dans ses bras. Il me fallut néanmoins quelques secondes pour donner la réponse surtout que je ne voulais pas montrer mon hésitation. « Euh… la… », oui car au moins j’étais sûre que ça commençait quand même par le même premier mot. « mienne… », disais-je au final tout naturellement et au pire, on pouvait faire une garde alternée par après, une heure dans chaque et dans l’autre. Bien sûr, je ne pensais pas à deux fois de suite, je pensais juste à la suite, pressée d’être posée et reprenant aussitôt ses lèvres en le laissant rentrer. Je ne me disais même pas : fais gaffe, s’il tombe, tu tombes. Je m’en fichais… je ne voulais juste pas quitter ses lèvres. Sa peau et… je ne voulais juste rien quitter. Une fois posée, tout allait rapidement, je ne réfléchissais même plus. Ses lèvres, ses mains… mes frissons, ses frissons et l’envie de l’un et l’autre. Cela ne passait pas inaperçu en tout cas chez lui. Quand j’avais 14 ans, j’aurais pu être choquée de ça… et non, je n’étais pas choquée du désir de mon meilleur ami à cet âge. Un progrès. Je suis une femme. Oh ouais. Trêve de plaisanterie. Je me laissais même déshabiller et je n’avais pas envie de me rhabiller. Oh non. Il profitait tellement du plaisir de me déballer comme un cadeau que je pourrais peut-être mais bon… Non quand même pas. Au même rythme, je laissais également mes mains parcourir sa peau. Elles se laissaient même aller à la déshabiller également. Je me laissais lente, désireuse mais je me faisais aussi désiré au rythme langoureux de mes mains. Dans le fond, je ne voulais rien gâcher, je ne voulais pas aller trop vite, profiter du moment. Tout simplement. Je laissais les minutes, s’écouter, en profitant justement. Tout ce que je désirais, c’était lui, je désirais sentir mon cœur battre à chamade aussi romantique et poétique soit-il. Je voulais sentir sa peau, cette sensation charnelle de ne faire qu’un avec lui mais m’aimait-il ? Je n’en savais rien. Dans le fond, tout vient à point à qui sait attendre mais je ne réfléchissais plus vraiment. Lui dire les mots tendres en ce moment ne serait sûrement pas une bonne idée, je ne dirais rien… Je laissais juste le désir et les soupirs parler à l’unisson. Il n’y avait pas besoin de moi dans le fond. C’était étrange, nouveaux, tendre. Je n’avais jamais réellement connu cette sensation. Qu’est-elle si ce n’est l’impression que le cœur parle tout autant que les frissons dans un acte désiré depuis un long moment ? La patience est une vertu mais l’on peut en être récompensé.

Le moment charnel accompli, le souffle coupé après de longs soupirs et une respiration saccadée et difficile entre les baisers aventureux. Je tentais simplement de récupérer suite au malin plaisir à me laisser enivrer d’un plaisir charnel. Dans le fond, comment étais-ce arrivé ? L’avais-je cherché ? M’avait-il cherché ? J’ignorais qui avait commencé. N’avions-nous pas tous les deux commencés ? Je laissais ce léger sourire se dessiner sur mes lèvres. Que dire après ça ? Parfois il n’y a guère de mot, je n’avais même pas de mots. Je pourrais dire… un wouah mais je trouvais que c’était un trop maigre mot pour ce que je ressentais. Laissant mon regard s’aventurer vers lui, cherchant le sien comme un appel. Je voulais juste voir s’il était toujours sur cette planète. Était-il encore comme moi… ? Dans un autre univers ? Je n’en savais rien mais j’avais du mal à en descendre. Je devais tout de même dire un truc. Mais quoi ? On dit quoi quand on vient de coucher avec son meilleur ami ? Oui, on dit quoi ? Je n’en savais rien car ce n’était pas comme si cela m’arrivait tous les jours ? Je réfléchissais quelques instants, le regard tendre encore sur mon regard mais l'angoisse grimpant légèrement... l'angoisse qu'il ne regrette. Je ne devais rien laisser voir, je ne devais rien montrer. Finissant par dessiner un sourire un peu taquin sur mes lèvres. Je me redressais alors en souriant. « Hop, merci monsieur, c’était merveilleux et encore... il n'y a aucunes mots pour décrire quoique se soit mais mon meilleur ami va arriver, vous feriez mieux de filer avant qu’il ne vous voit nu… », disais-je en arquant un sourcil. « S’il voit un homme dans mon lit, il va croire que j’ai perdu la tête ! », disais-je d’un ton taquin… J’étais une joueuse jusqu’au bout mais utilisais-je l’humour par peur qu’il ne le regrette ? Utilisant une sorte de bouclier ? Peut-être. Je souriais tout aussitôt, me rallongeant de gré ou de forces en retrouvant ce sourire tendre mais tout de même encore un peu anxieuse.
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LES INFOS WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you  Tumblr_m9j79t1Yca1qm6oc3o1_500
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MessageSujet: Re: WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you    WEARL - But these stories don't mean anything When you've got no one to tell them to It's true, I was made for you  I_icon_minitimeMer 20 Aoû - 3:47

Sa chambre ou la mienne qu’est-ce que ça changeait ? Pour moi, rien même si la proximité de celle de Pearl m’orientait d’abord vers celle-ci. Mais je suis un homme et je ne raisonne pas de la même manière que ma meilleure amie… Si j’ai posé la question c’est que d’instinct j’ai dû sentir qu’il y avait un choix à faire. J’ignorais ses critères de choix, peut-être juste le fait d’être dans son espace à elle et de m’y inviter, en tout cas ça me dépassait d’autant plus que mon cerveau descendait de plus en plus dans mon entrejambe à mesure que celui-ci grimpait sous l’effet du désir. Relation de cause à effet très simple, les hommes sont simples… Non je ne suis pas simple en fait sinon nous n’en serions pas sur le point de coucher ensemble pour la première fois alors qu’on se connaît depuis vingt ans et que Pearl m’a avouer être amoureuse de moi depuis plusieurs mois. Mais qui s’en soucis dans ce genre d’instant ? Où déposant ma meilleure amie sur son lit je me hâtais d’aller retrouver ses lèvres, puis sa peau que je goûtais avec gourmandise. Tant de temps que l’on se connaît pour finalement se découvrir sous un nouvel angle. Une belle découverte que j’appréciais de plus en plus à mesure que les minutes s’écoulaient et que seul le désir guidait mes gestes.
Ma tête était complètement sur off, enfin en tout cas tout ce qui étaient questions habituelles que je pouvais me poser au sujet de Pearl. Tout m’apparaissait désormais comme une évidence, j’avais envie d’elle je prenais plaisir à la sentir frissonner et soupirer sous l’effet de mes caresses, de mes baisers. Mais ça n’était rien finalement en comparaison à cette explosion de sensations qui me submergeait quand nous ne faisions plus qu’un. Je n’en étais pas à mes première heures de vol loin de là, sauf que j’avais l’impression de redécouvrir l’acte charnel… Aussi enivrant et déroutant que cela pouvait être, je me perdais dans l’intensité de l’instant et lâchait totalement prise. Nos soupirs s’unissaient dans notre quête du plaisir. Je crois que jamais auparavant je n’avais fait preuve d’autant de tendresse durant l’acte. Le William qu’avait connu ces femmes avec qui j’avait couché, baisait sans émotions si ce n’est le besoin de prendre son pied. Mais là je me sentais différent, plutôt que de prendre je donnais, je partageais avec Pearl ce moment. Je faisais l’amour à ma meilleure amie et ça me semblait être la chose la plus normale du monde.

Étourdi par l’apogée du moment mais aussi par ces émotions nouvelles je gardais les yeux clos alors que ma respiration peinait à reprendre un rythme normal. Plus apaisé que jamais, la solution de facilité aurait été de laisser le sommeil m’emporter sans lutter mais que penserait Pearl ? Non pas que je voulais entretenir une sorte de légende ou quoi que ce soit, mais il y avait mieux que de s’endormir directement après la première fois que nous ayons couché ensemble. Malgré mes paupières légèrement alourdies je rouvrais les yeux et trouvais le regard de Pearl. Pas besoin d’aller loin il m’avait suffit de légèrement tourner la tête. Inévitablement la situation avait ce petit quelque chose d’étrange auquel nous nous attendions, le changement a toujours des conséquences le tout est de les gérer. Un sourire s’invitait sur le visage de ma meilleure amie et je le lui rendais, cependant elle me surpris en se redressant comme si elle était sur le point de se lever. Pire ses remerciements et son analyse du moment renforçaient cette impression. Je ne pu m’empêcher de la regarder avec un air interrogateur avant de rire légèrement à cause de sa plaisanterie sur son meilleur ami, donc moi… Toujours ce jeu de dédoublement de la personnalité en quelque sorte.
Pas franchement emballé à l’idée qu’elle se lève déjà je m’approchais et l’encourageais à se rallonger en la surplombant « J’en fais mon affaire de ton meilleur ami. » disais-je ne souriant. Je fixais alors mon regard dans le sien, la connaissant par cœur je voyais bien qu’un truc clochait, elle n’était pas totalement détendue. A cause de moi ? D’elle ? De ce qui venait de se passer ? Était-elle déçue malgré ce qu’elle venait de dire ? « Est-ce qu’il y a un problème ? » me risquais-je à demander en sachant que suivant la réponse ça pouvait potentiellement gâcher le moment. Tirant sur le drap je le remontais jusqu’au dessus de nos tête, nous étions à présent juste dans notre bulle, à l’abris des regards même inexistants, juste nous. Un petit clin d’œil à ce que nous faisions quand nous étions petits en nous cachant dans des cabanes faites avec des couvertures, des endroits où nous partagions nos secrets. « Personne peut nous entendre ou nous voir. Tu peux tout me dire. » j’allais caresser sa joue et approchais mes lèvres des siennes pour l’embrasser de nouveau « Au fait tu avais raison, tu es encore mieux sans ce pantalon moulant… » plaisantais-je en toute franchise pour faire référence à ce qu’elle m’avait dit plus tôt quand nous étions dans la cuisine. Le regard malicieux je poursuivais sur un tout autre sujet « Et donc tu disais… Pas de mots pour décrire quoi que ce soit ? » je prenais un petit air fier et souriait d’avantage « J’ai le droit de prendre ça comme un compliment on est bien d’accord ? » il y avait sans doute beaucoup d’autres choses sur lesquelles nous devions nous mettre d’accord mais un peu de légèreté me paraissait nécessaire pour dissiper le stress de Pearl.
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Pearl B. Angeles-Hartley
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Etais-je rouillée ? Avais-je même été au top ? Avais-je été nulle ? Oui, toutes ses questions étaient dans ma tête et peut-être par ce que j’entretenais une sorte d’importance reliée à mes sentiments pour moi. Des sentiments assez forts que pour être effrayée à l’idée de n’être qu’un test, qu’un numéro pour voir si ça lui plairait. Je savais que non, j’avais confiance en lui aux nombreuses disputes qu’ont réveillée mes sentiments. Je savais que sans ça, nous ne serions pas là en ce moment… sans cette confiance. Je n’étais pas qu’un jouet ou qu’une fille sur sa liste mais qu’étais-je ? Cette question n’était pas venue directement dans ma tête… elle arriva à la légèreté du moment, me retrouver avec lui nue sous les draps ou presque car les draps n’étaient plus vraiment ou pas totalement par-dessus. Peut-être que l’humour était une sorte d’échappatoire ? Une façon de voir si la symbiose était sérieuse ou juste que le désir avait agi. Pourtant j’étais bien, posée bien que je savais que toutes ces questions devaient avoir des réponses. Je ne m’étais jamais sentie aussi bien. Peut-être était-ce toutes ses choses qui font que l’amour, c’est compliqué ? Je n’en savais pertinemment rien, je savais juste une chose : je l’aimais mais c’est le souci qui rendait tout ça tellement complexe. Pourtant cela vient simplement du fait que je sois une fille. Les filles sont tellement compliquées. Parfois, j’aimerais être un mec, je vous l’assure. La vie serait tellement plus simple ! Et alors que je me laissais faire pour me rallonger sans vraiment de difficultés sous son poids, je souriais doucement. Shit, il allait se faire son affaire ? Comment il allait faire ? Cela m’amusait légèrement sur l’expression tout en sachant que c’était lui-même car l’idée était assez tordue. Son regard dans le mien et ces yeux qui m’hypnotisait me firent sourire alors qu’il me posait cette question pourtant si simple et avec une réponse. Serais-je donc capable de gâcher ce moment en la posant ? C’était tellement complexe. Ce drap passant par-dessus nous me fit rire légèrement surtout à son commentaire. Je savais pertinemment qu’il parlait de cette habitude du passé que nous avions à l’âge de l’innocence ou je ne savais pas encore que dormir avec un garçon pouvait être tellement complexe. La tendresse à ma joue me donnait une sensation de nouveau. D’habitude, nous étions tendres en étant amis mais là, tout changeait. C’était différent. Un geste qui pouvaient être plus… disons enfin je n’aurais pas le mot mais plus profond ? Je l’espérais en quelques sortes. Ce baiser dont j’étais sûre de ne pas pouvoir me lasser qui dans un sens me réconfortait. J’en souriais en répondant à celui-ci sans même devoir me forcer, pas utile car dans un sens… j’en avais besoin. Et là, je l’écoutais, riant en penchant la tête. « Et oui, il m’arrive d’avoir raison ! », disais-je tandis qu’une de mes mains glissèrent le long de son bras, le caressant du bout des doigts en souriant à sa dernière question. Une fois ma main à la hauteur de son épaule, elle se laissait aller à faire des cercles sur celle-ci. La main dessinatrice et surement possédée mais chut. Je plongeais alors mes yeux dans le sien en fronçant le nez. « C’est un compliment, exactement ! Tu as le droit… », je souriais doucement. « Mais faisons gaffe à tes chevilles… Peut-être que tu pourrais faire mieux ? », disais-je juste pour le taquiner par rapport à ses chevilles et me dirigeant vers son oreille pour y chuchoter. « Mais un secret de toi à moi, je crois que ça va être très difficile ! », disais-je en reculant et penchant la tête. « Prends ça comme un défi ? », quelle technique sans faille pour tenter d’éviter la question du problème mais je savais qu’elle était encore là et qu’il devait vouloir une réponse. Je n’allais pas y échapper. Après, je n’y échappais jamais. Je ne lui cachais pas toujours ce que je pensais quand ça n’allait pas puis il était le seul à réussir à le voir réellement, le seul auquel je le montrais. « Tu veux un secret ? », demandais-je alors en le regardant dans les yeux. Je souriais doucement, un sourire un peu sournois. « Il y a un homme tout nu dans mon lit ! », disais-je en faisant un rictus aussitôt, faussement surprise et riant doucement. « Trêve de plaisanterie… », soufflais-je en retrouvant mon sérieux et ma tendresse dans le regard. « C'était... magique. Je m’inquiète juste car ça va changer tellement de choses et je me demande juste lesquels ! Puis j’espère aussi que je n'étais pas trop rouillée... », soufflais-je en laissant dessiner un sourire.
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William A. Brighton
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Vingt ans d’amitié, je ne le avais pas vraiment vu passer. Et là les choses allaient changées, franchir ce pas nous menait bien plus loin que les autres petits pas que nous avions pu déjà faire. Rien ne nous empêchait de rester amis, Pearl serait toujours ma meilleure amie et un passage dans ses draps ne me ferait pas oublier tout ce que nous avions vécu jusque là. Mais elle m’aimait, elle l’avait suffisamment dit pour que j’en prenne pleinement conscience et forcément ça changeait un peu la donne. Je ne regrettait pas ce qui venait de se passer, parce que ce moment que nous venions de partager ne ressemblait à aucun autre que j’avais déjà pu vivre. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Si j’ajoutais cela à la multitude d’autres paramètres que j’avais vu se modifier au fil du temps et surtout que j’avais accepté de voir changer. La conclusion m’apparaissait un peu plus clairement à chaque moment clé de notre relation qu’elle soit amicale ou plus que cela…
J’espérais trouver dans le regard de Pearl toute l’assurance que ce qui venait d’arriver était d’une logique implacable, car si durant l’acte j’avais occulté tout semblant de doute, il fallait bien avouer que j’avais craint un instant que viennent des regrets. De ma part, même si ça n’était vraisemblablement pas le cas ou pire de la sienne. Alors cet air inquiet m’alarmait parce que je connaissais cette jolie brune par cœur et qu’elle était incapable de me cacher quand un truc clochait. Dans l’euphorie du moment j’utilisais l’humour et m’appuyais également sur des petites choses qui n’appartenaient qu’à nous, à notre complicité vieille de deux décennies. Je me surprenais à avoir terriblement envie de rester proche de Pearl, j’adorais le contact de sa peau contre la mienne et je savais qu’une fois mon énergie retrouvée le désir reviendrait à la charge.

Pour l’instant j’étais redevenu le confident et même si c’était un peu étrange d’être à la fois le sujet et celui qui écoute, je n’avais pas peur d’écouter ce que ma meilleure amie avait à dire. Enfin en tout cas j’affichais une attitude sereine. J’essayais de l’encourager à me parler du problème qui la tracassait mais elle préférait se contenter de répondre à mes traits d’humour. Et lorsqu’il s’agissait de mes performances au lit je ne manquais jamais de répartie « Faire mieux ? » demandais-je avec un air malicieux « Je pense que je vais être très tenté de relever ce difficile défi. » c’est vrai que cette première fois avait placé la barre haute mais j’avais l’expérience nécessaire pour savoir qu’en connaissant d’avantage ce qui lui faisait de l’effet je pourrais encore améliorer mon score.
Mais malgré cette légèreté dans notre échange un truc planait au dessus de nous, toutes ces questions que l’ont voulait refouler. Et Pearl plaisantait sur ma présence et ma nudité, là dans son lit « Oh et tu voudrais qu’il se rhabille ? » la questionnais-je en arquant un sourcil avant de reprendre mon sérieux avant qu’elle même affirme que le temps de la plaisanterie était passé. Enfin j’allais en savoir plus sur ce que pensait Pearl et je ne pu que sourire qu’en enfin elle lâchait le morceaux. « Rouillée ? » répétais-je en fronçant les sourcils, surpris par cette crainte de sa part. « À mon tour de te dire un secret. » et qui dit secret dit chuchotement à l’oreille ce que je faisais « T’étais parfaite… » j’en profitais pour l’embrasser dans le cou avant de me redresser pour faire face à cette vraie question qui nous concernait tous deux.

« C’est sûr que… Maintenant qu’on s’est vu nu et qu’on a couché ensemble on a passé un certain cap dans l’intimité. » je plantais mon regard dans le sien, c’était toujours là que je trouvais le plus de force. J’étais loin d’être sûr de moi à cet instant, j’ignorais si j’allais être maladroit ou non mais ce que je savais c’est qu’il fallait que l’on parle sérieusement. Dans le cas contraire nous serions mal à l’aise et perdu face à la conduite à tenir l’un envers l’autre. Mais surtout en connaissant les sentiments de Pearl à mon égard je ne pouvais pas lui laisser croire que c’était comme avec les autres filles, parce que me voiler la face ne pouvait plus durer. « Je… Tu sais que je voulais pas que ça arrive dans la précipitation, sous l’impulsion du désir brut. Je voulais attendre alors que j’attends jamais pour ces choses là. » je la libérais de mon emprise en me rallongeant à ses côtés mais sans la quitter du regard pour autant « C’était pas juste comme ça Pearl. ».
C’était difficile pour moi d’être clair, et de m’exprimer ouvertement « T’en penses quoi toi ? » disais-je en souriant. Je voulais connaître ses pensées sur ce qui allaient changer, ce qu’elle attendait de ce changement… « Dis moi ce que tu veux vraiment. » c’était juste de ça dont j’avais besoin, des réponses et de la clarté quant à ses attentes. Il me fallait ça pour que je puisse être sûr de moi, de mes propres envies. Petit sourire en coin j’ajoutais avec humour « J’ai tenu de longues années à m’interdire de te regarder autrement que comme ma meilleure amie. On peut dire que j’étais plutôt déterminé parce que maintenant je serais incapable de résister. » le ton était celui de la plaisanterie mais j’étais sincère.
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Changer tout, un nouveau départ ou juste un chemin différent ? Tellement de pensées mais positives à la fois, incluant aussi des peurs. Dans le fond, nous n’avions jamais été en couple, sommes-nous un couple ? C’est tellement différent d’être meilleur ami ou d’être juste attiré l’un par l’autre. Les sentiments, les réactions et aussi peut-être les possessivités ? Comment ça allait se passer ? Tellement de questions dans ma tête et pas ça seulement. Etais-ce juste pour céder à nos tensions ? Je ne voulais pas y penser. Je voulais même éloigner mes peurs qui me chantaient que ce n’était qu’un rêve. Je me laissais aller à quelques taquineries avant d’étaler mes pensées. La magie, oui, c’était ma pensée. Étais-ce juste de la magie et allait-elle s’éteindre ? La magie rend encore plus jolie qu’un simple rêve. Taquine, je lui avais proposé de faire mieux surtout pour ne pas qu’il laisse gonfler ses chevilles mais pouvait-il faire mieux ? Je me posais la même question alors que je riais à sa réponse. « Aucuns défis ne sont impossibles pour toi ! », murmurais-je en m’occupant alors de ses chevilles du côté inverse. Le pauvre, elles allaient avoir un dérèglement… je pourrais dire hormonal mais pas vraiment. Je lui confiais aussitôt un secret. Non mais voyons, un homme nu, je riais à sa question et secouant simplement la tête. La plaisanterie se devait d’être remise au gout du jour. Mes peurs venaient alors sur le tapis aussi folle soit-elle mais punaise, je devais être rouillée tout de même ? Après tout, j’étais restée trop longtemps chaste. Je devais l’être, je le suis, non ? Paniquer pour rien, c’est vraiment moi. Une fille sans confiance alors qu’elle peut l’être, quand elle veut. J’hochais cette fois la tête quand il me répétait. Oui, oui, je pensais être rouillée et je riais alors qu’il venait murmurer à mon oreille un secret et rougissant même un peu. Chut, laissons mes joues en paix. Non, non, elles ne sont pas rouges. Enfin si mais bon, je frissonnais à son baiser dans le cou en même temps du coup je ne réalisais même pas mes joues. Je me contentais juste de l’écouter reprendre la parole. On sentait le côté plus sérieux d’un coup, même pour moi. Je me sentais plus sérieuse même si l’humour était mon échappatoire et qu’elle était tout ce que j’arrivais à faire quand je tentais de calmer mes craintes, mes petites voix dans ma tête. Et mon dieu, combien il y en a ? Je ne les compte plus. C’est un vrai village dans ma caboche. Je l’écoutais, le regardais dans les yeux, papillonnant par moment des cils au début, en fait, j’avais l’impression d’avoir une fichue poussière dans l’œil qui me gênait et pourtant je me contentais de le regarder et l’écouter. Il s’était rallongé et ensuite remis en place. Ses paroles me soulageaient réellement tout en me perdant aussi mais il fallait avouer que je me demandais juste ce que ça impliquait et alors qu’il voulait savoir ce que j’en pensais… je le regardais sans trop savoir quoi dire. Ce que je voulais vraiment ? C’est étrange car je sais ce que je veux au fond de moi et pourtant j’ai tellement peur de me réveiller et n’avoir seulement rêvée. Je le laissais terminer et regardant surtout son sourire en coin et ses lèvres qui me donnaient simplement envie d’aller chercher un baiser. Bah quoi, oui, je fais mes courses. Je veux acheter ses lèvres. « Si tu n’avais pas été déterminé, cela ne serait peut-être pas aussi bien ? », demandais-je alors sans vraiment le demander car c’était une question étrange tout de même. Je souriais doucement, un sourire tendrement et me rapprochant légèrement, le regardant dans les yeux. « J’en pense quoi ? », répétais-je alors en lui volant un baiser car oui, je le voulais et je l’ai pris. Je suis un peu… voleuse par moment mais je l’assume. Posant une main sur sa joue, j’haussais doucement une épaule. Ce moment était magique tout en étant sérieux et nous mettant dans cette conversation que je voulais éviter tout en sachant qu’il ne fallait pas l’éviter. Ce petit moment de confession sous les draps qui n’étaient plus vraiment une tente depuis qu’il s’était redressé. « Je… », Commençais-je un peu difficilement tout de même car j’ignorais comment bien trouver mes mots. Les siens étaient tellement parfaits et je ne voulais pas me faire trop d’espoir ou justement ne pas m’en faire assez. « Ce n’était pas juste comme ça pour moi aussi… », disais-je alors en lui souriant. « Je pense que je pourrais même recommencer… encore et encore, je pourrais même refuser de sortir de cette chambre pour que cela ne s’arrête jamais ! », disais-je en me redressant légèrement et souriant. Une fois posée sur mes coudes, je le regardais toujours et je finissant par simplement me tourner vers lui et me mettre sur le flan à moitié sur lui. « Mais je ne veux pas que ça s’arrête hors de cette chambre, c’est une idée folle, non ? », murmurais-je en souriant. « Et pas seulement pour tester toutes les pièces même si apparemment, je suis parfaite ! », disais-je en riant aussitôt alors que l’humour restait encore un peu là pour gérer le stress car stress… il y avait mais comment l’éteindre. C’était une conversation qui allait tout changer. Et c’était certain.
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