⊱ PREMIÈRE PARTITION
Je ne suis qu'une erreur qui devint un trésor avec le temps et les années. Ma mère ne désirait pas d'enfant et mon père encore moins. Je peux dire que l'histoire de ma vie est quelque peu compliqué. Ma mère était une Anglaise venu en Australie pour travailler dans une énorme entreprise de musique. Elle avait des idées innovatrices en ce qui concerne le marketing, niveau publicité c'était la meilleure, mais elle était tout aussi douée en chant. Seulement elle ne se voyait pas en faire carrière. Elle rencontra le grand patron, un Australien typique qui avait un charme hors du commun. Leur histoire resta secrète, jusqu'à mon arrivé. Il prit la fuite et elle, elle désirait avorté. Sa carrière était plus importante que le fait d'avoir un enfant, mais dans la clinique, elle fit demi-tour et partie avec l'idée de m'élever. Je l'en remercies pour ça, car sinon je n'aurais pas vu le jour. Mais tel un ouragan son passé fut effacer, lorsqu'il sut qu'elle gardait l'enfant, il lui paya tout les traitements possibles pour qu'elle se débarrasse de cet embryon qui bien plus tard serait moi. Il trouva même une famille d'accueil, il allait jusqu'à la menacer en disant qu'elle ne pourrait rester avec lui que si elle ne se débarrassait pas de moi. Elle nourrit alors une haine envers lui, il était marié avait déjà deux enfants et elle, elle n'avait pas le droit d'avoir un souvenir de lui. Je finis donc par naître et il parait que je ne l'ai vu qu'une seule fois à la pouponnière de l'hôpital. Car bien qu'il ne me voulait pas, il était tout de même curieux de voir son fils aux traits de son amante. Je suis resté jusqu'à l'âge de 2 ans en Australie, je n'ai pas beaucoup de souvenir de cet endroit, mais quelque brides me reviennent parfois. Comme son contrat avec cette entreprise avait prit fin, elle décida de retourner dans sa ville natale. Je connu donc ma famille maternel. Des personnes aimantes qui m'appréciais à ma juste valeur. Les années passèrent, je pensais que nous allions vivre que tout les deux, mais vers mes huit ans, elle fit la rencontre d'un homme. Ce n'était pas le premier, seulement c'était le seul qui semblait réellement l'aimer. J'aurais dût être content pour eux, mais à cet âge là ce n'est pas vraiment ce que l'on imagine en premier. Pour moi c'était une trahison de sa part, elle m'abandonnait. J'étais pourtant l'homme de la maison et je me sentais devenir le second et ça j'avais de la misère à le prendre. Je dois bien admettre que je ne lui ai pas facilité la vie à cet homme et sa fille. En fait même à ma famille je ne leur faisais pas de cadeaux, j'étais un enfant turbulent. Je ne retenais pas mes paroles, je me bagarrais pour un oui ou pour un non. Cela décourageait le plus souvent ma mère qui me grondait tout les soirs et moi trop borné je lui disait les plus grandes insanités qui me venais, même si je ne les pensais pas. Après tout elle avait sacrifié bien des choses pour moi, mais lorsqu'on est tout petit on ne voit pas les choses ainsi. Lorsqu'elle m'annonça qu'on allait déménager, j'ai littéralement fuis. J'ai quitté notre maison sans crier gare un soir. Je me suis cacher pendant trois jours, je suis revenu simplement parce que j'avais faim et que ce n'est pas facile d'être SDF à onze ans. Et je l'admet mon doudou me manquais, je ne l'avais pas prit avec moi trop furieux, j'avais laisser Virgile le Tyrex chez elle. Eh oui, je ne voyais plus notre maison comme mon chez moi. Deux ans qu'ils avaient emménagés avec nous, cet homme et ce que je devais appeler soeur maintenant. Tout avait changé, ses moments où je jouais une quelconque musique avec un petit tambourin que mon oncle m'avait offert, où quand je coursais les cochons chez ma grand-mère en campagne. Quand j'avais voulu laver la vaisselle pour la première fois dans la machine et qu'on avait retrouvé le lave-vaisselle sous une montagne de brou. Qu'est-ce qu'on avait ris en jouant dans ses bulles de savons qui volait dans la cuisine. Ou cette fois où je lui avait voler un string le mettant sur ma tête pour jouer le super héros, elle m'avait chicaner, mais au finale, elle m'avait fait mon propre costume. Assis sur un tabouret je l'avais écouter me parler, elle pleurait, je me souviens de cette larme que j'avais cueillit sur sa joue pendant qu'elle me disait avoir été inquiète. Que pendant tout ce temps elle avait eu une boule dans l'estomac en se demandant où je pouvait bien être. Elle m'avait donner mon nournour, notre façon à nous deux de s'offrir un câlin. En fait c'est ainsi que je disais quand j'étais trop jeune pour bien parler et je crois que je regardais un peu trop les carebears à cette époque. J'avais fini par accepter notre déménagement, nous quittions Bristol pour prendre la direction de l'Espagne. Je disais donc au revoir à l’hippocampe que j'avais peint sur le mur de la grange derrière chez nous. J'amenais avec moi mon slingshot donc l'élastique commençait à être éventé, de vieille bande dessiné signé Slim que j'utilisais pour griffonner discrètement des mots qui me venais en tête. Au revoir Bristol, bienvenue Séville.


⊱ DEUXIÈME PARTITION
Ma vie à Séville ne dura pas si longtemps que cela, nous logions chez de la famille à mon beau-père avant de trouver une maison digne de se nom, non loin d'où il travaillait. Seulement, lorsqu'ils trouvèrent la perle rare, il eut une promotion qui l'envoya à Barcelone. Nous quittions donc une fois de plus cette région pour nous rendre dans cette nouvelle ville. J'arrivais à douze ans dans cette ville, mon espagnole était merdique, j'aurais rêver de l'accent de Sebastian le crabe dans Little Mermaid, bon son accent est Jamaïcain, mais quand on est jeune ça reviens tout au même, puisque j'étais loin d'avoir un accent du sud. Maintenant c'est différent, mais bon passons. Mon arrivé dans cette ville, fut comme l'orage avant la tempête, mon cas s'était empiré. Ma demi soeur était tel un igloo envers tout le monde et moi j'étais plutôt comme le diable de Tasmanie. Je ne faisais qu'une chose à l'école me battre jusqu'au sang, ma mère ne savait plus quoi faire de moi, j'étais un monstre à batterie qui cherchait la moindre petite ennuie. J'allais de pire en pire et ce fut une jeune fille qui ralentit mes ardeurs. J'étais dans une période où ma mère essayait de me faire aimer n'importe quoi. Je crois qu'au fond d'elle-même elle essayait de me rendre végétarien. J'en suis sure! La perche qu'elle me tendait était bien trop longue pour ne pas sauter aux yeux. Cette fois elle avait mis dans ma boîte à lunch décoré d'un pingouin, je vous dis pas à quel point je voulait brûler cette boîte, une salade de pâte d'algue avec tofu. Je me souviens encore de l'odeur, pas très appétissant. Ça me rappelait l'odeur de la morue. Une odeur qui me levait le coeur. Elle s'assit à coté de moi et sans un mot, elle me tendis une partie de son repas. C'est à partir de ce moment qu'une amitié se créa entre cette petite princesse de trois ans ma cadette et moi. Sans baiser, elle me réveilla tel la belle au bois dormant, gardant les flots de la Tamise de mon être calme et apaiser. Elle me donnait la pêche et un câlin suffisait pour changer mon attitude envers elle et les autres. Tout commençais a aller pour le mieux autant à l'école comme à la maison. J'acceptais enfin mon beau-père et sa fille. Puisque ma mère était heureuse, alors je ne tenais pas à lui gâcher son bonheur. Seulement tout ne semble pas être fait pour que je sois heureux... Je tombais sous le charme d'une magnifique poupée de porcelaine, je ne m'en rendais pas compte encore, mais mon attitude changeait envers elle. Puis je fus comme frapper par la foudre, une électrocution qui changea mon avenir. Je pensais que j'avais une certaines opinion, mais je me rendais compte assez vite que mon beau-père jouait de ses prérogatives. J'allais peu à peu basculer dans un monde obscure.


⊱ TROISIÈME PARTITION
Quand le malheur s'acharne sur nous, il n'y va pas de main morte. Je n'avais que quinze ans lorsque ma mère tomba extrêmement malade. Une maladie incurable selon les médecins, moi j'espérais seulement qu'elle ne m'abandonne pas. Seulement, lorsqu'on est jeune on est souvent mal entouré et on a besoin de faire ses preuves. Je tombais donc facilement dans le monde de la drogue, alcool et le sexe. Plus personne n'avait de main mise sur moi, même Ella avec qui je passais la moitié de mon temps. Certes nous étions proches, mais dans cette période de ma vie, j'étais bien trop frustré pour lui porté autant d'attention qu'avant. Et puis à chaque fois que j'étais avec elle mon coeur battait la chamade, faisant presque une rétrospective de nos moments. Dans mes moments plus glorieux je m'amusais avec un vieux polaroid à la prendre en photo, gardant des souvenirs plus que farfelus et délurés ensemble. Je me souviens encore de ce jour où je rentrais de l'école avec un nouveau tatouage et un petit bonzai pour ma mère. Je trouvais que sa chambre semblait terne, mais puisque j'étais le seul à venir m'occuper du vers de terre qu'elle était devenue, je ne pouvait faire autrement. Mon beau-père voulait bien me garder avec lui jusqu'à mes dix-huit ans, mais tout changea cette soirée là. Je déposais le bonzai sur le la table de chevet près de son lit, mais à peine avais-je eus le temps de le déposer qu'elle sembla me parler. J'ignore si c'était le joins que j'avais prit ou bien c'était la réalité, mais elle mourut devant moi cette soirée là. Elle ressemblait à une photo prise par l'objectif de ma camera, figé dans le temps, mais cette fois il n'y avait plus une onze de vie en elle. Furieux j'envoyais valsé le petit arbre contre le mur. ❝ T'AS PAS LE DROIT DE ME FAIRE ÇA! ❞ Avais-je crier sur son corps sans vie. ❝ Tu m'avais promis de ne pas m'abandonner comme lui l'a fait pour nous! Je t'interdis de partir! ❞ J'avais secouer son corps comme un vulgaire vermicelle trop cuit. Aucune réponse. Rien. Les larmes ravageaient mon visage, je me renfermais sur moi-même et c'est Salena qui me retrouva entouré de terre, assit dans un coin de la pièce. Je venais de fêter mes seize ans une semaine avant de décès de ma mère. Ma vie prenait fin à cet instant, je savais qu'Ella aurait pu être là pour moi tout comme Salena, mais j'avais besoin d'être seul. Je quittais l'école, un pied devant l'autre tout comme la demeure qui n'était pu mienne. Je commençais alors une vie de débauché, vous pensiez que mes petits joins et l'alcool était quelque chose alors vous n'avez rien vu encore. J'étais une épave, je vendais mon corps au femme, nuit et jour j'étais sous l'effet de la drogue en tout genre, extasie, cocaïne, un véritable junkie en puissance. Chaque nuit je les passait avec une femme différente. J'ignorais tout d'elle, même leur nom. Quand on arrive dans ses ténèbres aussi sombres que la fin du monde, on ne s'attend pas à s'en sortir vivant. J'étais au bord du gouffre lorsqu'un petit ange fit son apparition, j'avais disparu depuis des mois, même des années, et cela sans donner signe de vie. Je me terrais dans des coin glauque de Barcelone connu de peu de personne. J'ignore comment elle me retrouva, mais en voyant son visage je me souviens de ce déjeuné qu'on avait partagé. Cette nuit là elle me sauva la vie. Je ne pensais pas être important au point tel que quelqu'un me cherche avec autant d'acharnement. Elle me sauva la vie et moi je compris qu'au plus profond de moi j'avais toujours aimé cette fille. Ma petite Ella. Je lui promis de me faire soigné, essayant d'arrêter toute sorte de drogue. Et je disparus cette fois pour changer ma vie.

J'avais dix-neuf ans lorsque je voulu lui dire ce que j'éprouvais pour elle. Je me souviens encore de ce moment, car il fut aussi pire que la mort de ma mère. Nous étions dans un Mcdo, la seule chose que je pouvais me payer à ce moment. Je regardais mon hamburger, sans pour autant lui toucher. Je ne raffole pas de la junk food et même à cet époque ça me répugnais, mais bon je n'avais pas le choix je devais manger devant elle. Nous discutions musique, avant que je me lance. Seulement je n'eus pas le temps de dire quoi que ce soit, qu'elle m'avouais avoir rencontré quelqu'un. La claque que je sentis frapper mes joues. Moi qui pensait lui offrir le bracelet de ma mère et lui dire que je le l'aimais... C'était peine perdu. J'aurais pu me battre, mais voir son sourire illuminé notre conversation m'interdisais de lui dire. Je ne voulais pas la mettre mal à l'aise. Alors je me décidais à enfouir ce secret en moi. Garder cette amour à sens unique et faire tout mon possible pour la rendre heureuse et cela sans moi tout entier. À la fin de notre discussion, je m'apprêtais à jeter le bracelet que j'allais lui offrir à la poubelle, mais je me ravisa au dernier moment...


⊱ QUATRIÈME PARTITION
Une promesse reste une promesse, même si on peut s'attendre au pire. Depuis mon tout jeune âge ma mère me chantais des chansons, mes préférés les Beatles, classique, mais intemporel. Puis avec le temps j'avais développer une oreille à la musique, mes mains reproduisaient certains mouvements. Petit à petit, j'avais apprit à jouer de diverse instruments, je me débrouillais à merveille. J'étais né pour jouer de la musique. Mais dans ce vaste monde, je n'étais pas plus grand que Poucelina. Un musicien comme il en existe tant. C'est avec Ella que je me concentrais davantage sur la musique, on avait cette même passion qui nous unissait. En centre de désintoxication, j'avais recommencé à jouer, mais cette fois sur un piano délaissé. Mes doigts pianotèrent sur les touches blanches et noirs, créant une mélodie sans fin, seulement des notes enchaînés les unes après les autres. J'avais même commencer à chanter dans une chorale d'une église. Rien de bien méchant, mais je devais me changer les idées, je ne suis pas croyant, mais je savais qu'en haut ma mère était fière de moi. J'avais remonté la pente, escalader cette montagne de frigo.. Oups. Encore une hallucination. Eh oui, malgré ma désintoxe, je connu tout de même à fumer du pot. J'avais tout de même changer, au lieu de dormi chez des femme différente tout les soirs, j'allais une fois sur deux scouaté le canapé de Salena. Je ne touchais plus au drogue dure et Ella m'avait proposer de formé un groupe avec moi. Ceci étant juste un peu avant ce dévoilement de sentiment qui fini en courgette frappée. Je ne pouvais plus faire marche arrière, la décevoir était une chose que je ne pouvais me permettre. Et c'est ainsi que de fil en aiguille on forma un groupe appeler Azile. Ne vous en faite pas nos chansons n'étaient pas aussi folles que notre nom. Elles étaient seulement le fruits de nos délires, rien à voir avec Homer Simpsons qui chante Spider-pig. Non nos paroles avaient du vécus, des émotions. Un groupe de quatre adolescents qui désiraient faire découvrir leur monde à travers du rock. ❝ Comment ça vous ne pouvez pas me donner le numéro de ce label! ❞ Je ne sais pas pourquoi, mais avoir un emploi comme standardiste ne doit pas être très plaisant, tout le monde vous cri après, et à ce moment là j'en faisais partie. On t'entait de ce faire connaître, sortir de notre garage pour peut-être vivre de notre passion. Et c'est sans aide que nous percions, jouant dans des bars, des festivals ou bien des party. Nous eûmes notre moment de gloire qui s'étendit à Barcelone et ses environs. ❝ Pourquoi tu ne veux pas lui dire? ❞ Je l'avais regarder, elle qui partageais un secret avec moi. ❝ Parce que je préfère la voir me sourire que la voir me fuir. Et puis tu ne trouves pas qu'on s'amuse bien ensemble? ❞ ❝ Chenapan va! Naite t'es vraiment qu'un gamin lorsqu'il s'agit d'Ella! ❞ Je souris, je sais qu'elle a raison, mais pourquoi détruire une amitié? Entre lui dire et risque de tout perdre, j'aime mieux jouer le chevalier servant et gardé son amitié. Cependant, je ne vaut pas mieux qu'une vulgaire bestiole qu'on écrase avec la semelle de son soulier. Je me répugne, mais je suis prêt à faire ces sacrifices!


⊱ SYMPHONIE
Le temps a passé, Azile n'est plus et moi dans toute cette histoire j'essai de survivre un peu plus chaque jour. Je suis un chemin perpendiculaire à ce que j'avais imaginé. Il n'a rien a voir avec l'image que j'avais de mon futur. J'ai laisser l'art à Picasso et maintenant j'essai de faire de ma vie quelque chose d'honnête. Je travaille depuis un moment déjà dans la boutique d'Ella, je continus de danser la farandole autour d'elle, mais elle ne me voit toujours pas. Alors je couche à droite et à gauche, je bois toujours autant et bien entendu la musique reste le centre de ma vie. Je ne fais plus tant de percutions qu'avant, mais j'essai d'aider les jeunes acheteurs d'instruments lorsqu'il y en a à la boutique. J'essai de montrer de moins en moins mes sentiments face à elle, surtout depuis sa première grossesse. J'ai été choqué d'apprendre qu'elle était enceinte, mais c'était inévitable, n'est-ce pas? J'essai de ne pas vrai trop d’enfantillage, surtout depuis que je suis parrain de cette petite fille adorable. J'ignore ce que l'avenir me réserve, mais tout ce dont je suis certain c'est que ma vie ressemble bien plus à une Paella qu'autre chose! Un immense ramassis de n'importe quoi! Dis-moi que tout va allez pour le mieux!

PS : Les filles ne vous gênez pas pour venir me voir faire le jardon ou m'occuper de la piscine!! J'aimes bien avec des spectatrices!

Tu viens juste d'arriver ? Tu es un peu perdu(e) ? Cela arrive à tout le monde... Suis-moi alors, je vais te donner quelques petits points de repères. On comprend bien sûr que tu ne sois pas totalement dans le moule du forum, c'est logique. C'est pour cela que je vais m'occuper de toi. Bienvenue dans notre grand famille... viens-là pour un câlin !

Commençons par les liens pouvant te servir avant ta validation car bien sûr, tu es un membre à part entière et tu as le droit de vivre sur le forum sans être validé. Voyons. N'oublies pas que tu peux aussi passer sur la chatbox à tout moment.

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Ensuite ? Après votre validation, je vais vous mener plus loin, dans les fins fonds du forum. Accrochez-vous, car le voyage sera rude et par étape pour mieux faire.

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Et voila, maintenant tu as tes repères pour le forum et ensuite... il ne suffira plus que de rp et attendre sagement ton scénario ou tes liens enfin comme tu veux. Je te conseille de rp sans ton scénario par ce que cela attirera plus les lecteurs si tu es déjà intégrée dans le rp. Tu peux envoyer des messages privés au staff sans problème et il répondra à tes questions rapidement. Et n'oublie pas que même les membres peuvent t'aider. Ils sont des amours. Sur ce... je te laisse finir ta fiche et visiter le forum en paix ainsi qu'avoir des millions et milliers de bienvenues.
Bonne chance.