[b]When your secret heart
Cannot speak so easily Come here baby, from a whisper start To have a little faith in me When the road gets dark
And you can no longer see Let my love throw a spark
[/b]
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé ✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés.
Sujet: Re: Little party never kill nobody ~ Wearl Dim 6 Oct - 16:55
Pearl ♥ William
❝ Little party never kill nobody ❞
Agir stupidement juste par ce qu’il le fallait à mes yeux. J’avais vue des gens s’endormir sous la douche, je m’y étais même déjà endormie aussi mais je n’en avais jamais vu se noyer et pourtant. Je ne voulais pas réellement paraitre cinglée en allant voir si tout allait bien mais quand même, je me disais que j’étais cinglée sur le coup. Je lui tendais donc une serviette avant de reculer et ne pas le regarder faire. Pas envie. Il me disait de ne pas vouloir essuyer. Il frappait dans le mille car j’aurais pu. J’inspirais doucement, toujours dans la salle de bain, je ne savais pas pourquoi j’y étais encore alors qu’il semblait réveillé. Il me demandait si je payais pour le spectacle. Je riais nerveusement en secouant la tête. « Non,… oublies ! », soufflais-je un peu mal à l’aise sur le coup mais j’évitais réellement de le matte avec les fesses à l’air. C’était tentant mais quand même. Je n’étais pas folle au point de me faire souffrir en reluquant son popotin bien charnu et ferme. Enfin bref, j’inspirais doucement en l’écoutant alors qu’il était habillé mais une question me perturbait. Qu’est-ce que je faisais encore là ? J’étais juste tétanisée à l’idée de sortir de cette pièce. Totalement. Mais pourquoi ? Cette question peut être tellement importante mais là, je m’en fichais d’un coup alors que je baillais quand il se brossait les dents. Je soupirais doucement en faisant demi-tour et allant hors de la salle de bain. Hésitante et là, je savais pourquoi par contre : je voulais passer la serpillère. Oui, hein, désolée mais c’est comme ça et pas autrement. Mais non, je ne pouvais pas car il l’avait dit et aussi stupide que je puisse l’être, je ne voulais pas désobéir même si ce n’était pas un ordre. Enfin, je me comprenais. Je restais dans le salon comme une quiche en passant la main dans mes longs cheveux et inspirant doucement avant de prendre mon élastique autour de mon poignet et les attacher. J’inspirais doucement en posant mon regard vers lui alors qu’il passait pour se changer. « Bonne nuit, William ! », soufflais-je doucement en le regardant passer jusqu’au moment où la porte se refermait. Une fois celle-ci fermée, j’inspirais doucement en allant le pied… lourd vers ma chambre. Une fois dedans, je me laissais aussitôt tomber sur mon lit, je remontais légèrement la couette sur moi et je regardais dans la vide la photo de maman et moi quand nous vivions ensemble. Je souriais doucement en haussant les épaules. « Je vais y arriver, maman ! Tu verras ! », soufflais-je comme une imbécile qui parle dans le vide mais ça m’arrivait parfois avant de m’endormir. Je parlais comme ça, paf, à une photo et voilà. Lui tape la discussion était totalement normal. J’inspirais légèrement en fermant les yeux pendant un instant alors que je commençais à sentir le sommeil arriver. Il était là depuis un moment. Depuis notre retour de la fête. Je l’avais sentie, même. Je m’endormi peu de temps après. Ainsi va la vie. On se couche, on se lève.