ICI, NOUS SOMMES POUR LA RELAXATION... 10 LIGNES EXIGÉES SEULEMENT ET OUI, C'EST CADEAU ! I LOVE YOU ON VOUS AIME C’ÉTAIT LE BISOUNOURS TIMES NOUS SOMMES EN ESPAGNE ET EUROPÉENS. TENEZ EN COMPTE POUR VOS ORIGINES, MOINS D’AMÉRICAIN ! |
|
| (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL | |
| Auteur | Message |
---|
Pearl B. Angeles-Hartley
LES INFOS
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily
Come here baby, from a whisper start
To have a little faith in me
When the road gets dark
And you can no longer see
Let my love throw a spark
[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24415 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL Dim 28 Avr - 0:23 | |
| Et paf. Le café avait donc fait son œuvre sur la chemise de mon meilleur ami ou du moins ce qui reste de notre amitié. J’avais tellement l’impression qu’un truc s’était brisé depuis mon départ et j’en avais l’impression de culpabilité. Dans le fond, je ne pouvais en vouloir qu’à moi-même. Il était certain que la vie n’était qu’une moitié de la vérité. La vérité n’était pas simple à avaler à mes yeux. Je préférais l’enfuir au creux de ma tête voir même de mon cœur pour ne pas la faire revenir à la surface. La vérité est un mensonge dangereux. Et si nous revenions au moment actuel, celui qui fait que nous sommes dans la même voiture, un taxi et en route de mon appartement. Oui, il n’irait pas travailler avec une chemise tâchée. Je le connaissais assez pour savoir ça. Cela me fit rire d’ailleurs tandis que je le regardais attentivement en haussant les épaules. « Oui, heureusement ! », me contentais-je de souffler en lui offrant un petit sourire avant que nous ne sortions du taxi. Et là, je proposais de m’occuper de sa chemise. Le voir torse nu n’était pas vraiment nouveau mais différent et pourquoi ? Je ne pourrais pas vous l’expliquer. Je souriais alors qu’il affirmerait qu’il me prêterait sa chemise et hochait la tête. A ses risques et périls, non mais oh. Nous allions dans l’appartement et vers l’ascenseur. Une fois dedans, je demandais le 5 iéme étage tout en l’écoutant. Je riais, amusée en tournant mon regard vers lui alors qu’il plaisantait que le bricolage. Je levais le regard vers le plafond de l’ascenseur et le regardant aussitôt. « Ça sonne surtout sacrement macho, c’est bien toi ! », disais-je en lui tirant a langue. « Les femmes en dessous et les hommes au-dessus… les hommes dominent… les femmes cuisinent et s’occupe des enfants ou de la vaisselle et les hommes se grattent les couilles devant un match de foot en buvant une bière ! », mon regard taquin se passait sur lui tandis que l’étage arrivait et que les portes s’ouvraient. Je sortais de l’ascenseur en sortant mes clés de mon sac et haussant les épaules. « Je te ferais bien une blague du style : fais pas gaffe, j’ai oubliée de faire le ménage ! », mais en fait, je suis maniaque et ça, il l sait. C’était mon petit truc encore lié au traumatisme du passé. Une simple auréole de café sur une table du chocothé pouvait m’empêcher de fermer les yeux la nuit.
Une fois la porte ouverte, nous entrions dans l’appartement tandis que je posais les clés sur la table dans l’entrée. Un petit pot décoré de coquillage dans lequel je les mettais à chaque fois avec un couvercle et pourquoi ? Une paranoïa dans un sens. Je ne voulais pas un portique pour les clés subtiles mais un moyen que l’on ne voit pas qu’elle s’y trouve pour les visiteurs de mauvaise foi. Enfin bref, j’étais folle. Je fermais même le verrou une fois qu’il était rentré. Vivre seul me faisait cet effet-là, effectivement. « Comme tu vois, c’est le bordel ! », disais-je tout de même, sérieuse mais faussement. J’allais alors vers le canapé en retirant mes chaussures qui étaient étrangement humides suite à la pluie peu commune présentement mouillante pour mes pauvres chaussures. Je levais le regard avant de me laisser tomber sur le canapé en remontant le plaid sur moi. Toute cette pluie n’avait été que refroidissant. Je n’avais pas l’habitude d’avoir froid et j’étais bien frileuse aussi. Je le regardais attentivement en souriant. « Retires ta chemise, William. Déshabilles-toi pour moi ! », disais-je avec un air faussement intéressés et ce regard séducteur qui était un peu ma spécialité. Je penchais la tête en voyant la tête sur son pantalon et grimaçant doucement. « Je veux aussi ton pantalon… STRIPTEASE ! », disais-je en lui souriant. « Mais gardes le boxer, tu seras gentil ! », ce n’était rien de grave à mes yeux. Je l’avais souvent vu en boxer. |
| | | William A. Brighton
LES INFOS I've got the power !
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22748 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL Sam 4 Mai - 7:23 | |
| Moi macho ? Pearl savait bien que je jouais un jeu, même si j'admets que parfois je pouvais l'être un peu mais quel homme ne l'ai jamais ? Ma meilleure amie prenait un malin plaisir à me sortir une petite tirade sur le ton de la taquinerie pendant le voyage en ascenseur qui nous menait jusqu'au cinquième étage, là où se trouvait l'appartement de Pearl où j'allais peut-être prochainement emménager. L'idée me plaisait assez, mon petit studio n'était pas mal mais j'étais habitué à mieux et même si je pouvais facilement louer un appartement pour moi tout seul dans cet immeuble, refaire une collocation avec mon amie d'enfance était un moyen de nous retrouver. « D'ailleurs c'est ce qui se passera si je deviens ton colocataire ! » répliquais-je avec un large sourire qui montrait bien que je plaisantais. La connaissant c'est sûr que Pearl n'avait pas besoin d'essayer de me faire croire qu'il y avait du désordre ou de la saleté chez elle, c'était raté d'avance car je savais très bien que c'était absolument impossible « Si c'est le cas je vais penser que ton séjour à Paris t'as métamorphosé ! » j'attendais toujours qu'elle m'en parle, j'avais réellement envie d'en savoir plus. J'entrais donc dans l'appartement et ne fût pas vraiment surpris que ma meilleure amie verrouille la porte derrière moi, je connaissais son histoire et les traumatismes s'y rattachant tout ça la poursuivait comme son ombre. J'observais l'endroit qui ressemblait beaucoup aux autres logements que j'avais visité ici, les achats de Pearl était d'autant plus justifiés que je ne trouvais rien qui puisse m'indiquer que c'était chez elle. « Je comprends pourquoi tu tiens à faire un peu de déco, ça ne te ressemble pas vraiment pour le moment. » Se sentir chez soi quelque part est vraiment primordial et quoi de mieux qu'un peu de déco pour se créer son petit univers ? Je haussais les épaules, amusé par sa remarque « Bah comme d'hab quoi. ».
Elle s'asseyait sur son canapé et je posais les sacs de ses emplettes « Tu rangeras, je te fais confiance là dessus. » j'arquais un sourcil en la voyant s'installer avec le plaid sur elle, je comprenais qu'elle ai froid mais il serait plus judicieux qu'elle aille se changer, un conseil que j'allais lui donner au moment où elle me demanda de retire ma chemise. Je me mis à rire « Mais c'est quoi cet ordre là ? » c'était plaisant de l'entendre blaguer et de enfin la voir se comporter avec moi comme avant. Alors certes c'était un tout petit pas mais cet air faussement séducteur qu'elle affichait me faisait plaisir. Elle surenchérit en me demandant aussi de retirer mon pantalon, je baissais la tête et regardait l'auréole de café qui s'étendait sur ma chemise jusque plus bas empiétant sur mon pantalon. Elle ajouta que je pouvais garder mon boxer je pris un air soulagé « Ouf j'ai cru que tu comptais me dépouiller totalement ! ». Malgré le ton qui était à la plaisanterie je retirais ma chemise et lui lançait dessus, improvisant une petite danse « C'est bien un strip-tease que tu voulais ? » dis-je en jouant de mon regard comme je pouvais le faire souvent. Jouant le jeu je défaisais ma ceinture puis déboutonnais mon pantalon avant d'éclater de rire « Je vais pas accroché un lustre presque à poils quand même ! » je regardais ma meilleure amie en souriant « Il nous faut pas grand chose pour retrouver nos conneries habituelles ! » notre amitié était plus forte nos maladresses et peut-être qu'au final cette séparation allait nous rapprocher encore d'avantage parce qu'à deux on est plus fort ! |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
LES INFOS
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily
Come here baby, from a whisper start
To have a little faith in me
When the road gets dark
And you can no longer see
Let my love throw a spark
[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24415 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL Dim 5 Mai - 15:12 | |
| Non sérieusement ? Se passer ainsi en colocation ? Heureusement qu’il n’était pas sérieux, réellement car sinon je l’aurais recalé dans la case des colocataires bien lourd et totalement cinglé. Non mais oh. Je riais en levant les yeux et alors que je plaisantais sur le ménage de mon appartement, il me fit rire. Etais-je capable de changer à ce point ? No way. Hors de questions. J’étais bien ainsi. Mais il revenait sur le sujet de Paris et j’avais tellement de mal à en parler avec lui sans me rappeler que j’y avais été sans lui, sans un mot. Les remords. Est-ce qu’il sentait ma gêne d’en parler ? Je n’en savais rien mais je me sentais mal à l’idée de pouvoir m’y être bien sentie une seule seconde sans lui. Les secondes ou j’étais bien à Paris, sans lui était rare. C’était juste pendant le tourisme. Comme si j’étais en vacances. J’avais cette impression qui me disait au fond de moi que c’était temporaire. Des vacances et là que je le retrouverais après. C’est lors de ses moments-là et uniquement à ces moments-là que j’osais m’évader à me sentir bien dans cette ville cependant après quelques semaines. Je n’y arrivais plus. Mon départ de Paris n’était qu’un bien pour un mal. Et une fois la porte verrouillée, je souriais alors qu’il disait ne pas retrouver mon identité dans cet appartement. « La peinture seulement et encore ! », je n’avais pas finie toutes les pièces en fait. Je plaisantais alors sur le ménage et souriant alors qu’il me disait que c’était comme d’habitude. Je me laissais alors aller dans le canapé et me réchauffant du plaid avant de rire en lui donnant cet ordre de retirer sa chemise. Pour la laver, il fallait la retirer, non ? Je m’amusais en jouant doucement de mon regard. « C’est… un ordre ! », lâchais-je alors, amusée en lui souriant. Cet air séducteur, faux mais tellement vrai dans un sens car e n’avais jamais vu son torse en horreur donc il n’y avait rien de mal de se rincer un peu l’œil sur notre meilleur ami, non ? Bien sûr c’était un petit détail que je me gardais bien de lui dire mais oui, il était plaisant à regarder. Non mais oh, je suis une femme. J’ai le droit aussi d’être une voyeuse. Ahah. Et lançant alors qu’il pouvait garder le boxer, je souriais en fronçant les sourcils tandis qu’il semblait soulager. Tout nu ? Quand même pas. J’aimais bien l’image de son torse mais il ne fallait pas abuser. Je riais. « J’y pensais ! », le dépouiller bien sûr cela serait une bonne façon de me venger du fait qu’il ne m’avait jamais rappelé. Non ? Puis non, pas encore de voir son siffler. Non mais oh, vous me prenez pour une perverse ou quoi. Tsss. Et alors voilà qu’il retirait sa chemise en dansant et je profitais faussement ou pas… du spectacle en éclatant de rire. « Oh ouais, j’adore ça. Non mais attends comment ne pas aimer. », soufflais-je en souriant. Et c’est alors qu’il continuait au pantalon que je devais avouer détourner le regard car son jeu de son petit regard sur moi, c’était un peu trop. Je ne savais pas gérer ça sur le coup car cela pourrait surement me faire rougir. Je suis une fille que voulez-vous et e peux me laisser charmer par moment même si ce n’était qu’un jeu et mon meilleure amie. Je souriais, amusée en l’entendant dire qu’il ne pourrait pas changer un lustre à poil. « Non, en boxer ! », reprenais-je alors ‘un grand sourire car oui, il ne serait pas vraiment à poil. Je me levais alors en souriant. « Il faut un striptease en fait, c’est notre truc. Je reviens. », j’allais alors vers ma chambre en souriant. Fermant la porte à moitié avant de me déshabiller simplement. Je retirais mes fringues pour enfiler simplement un short de pyjama et un débardeur. J’aimais bien être à l’aise quand j’étais dans mon appartement. C’était pareil à Las Vegas et en général, je n’étais pas vraiment pudique avec lui. Afficher mes jambes, mon décolleté ou même dormir en nuisette ou sous-vêtements avec lui ne m’avais jamais réellement dérangé. J’en sortais alors avec un kimono assez large mais rose fuchsia et lui tendant alors en souriant. « Tiens, faudrait pas que tu attrapes froid ! », lui soufflais-je délicatement en souriant alors que je lui tendais. « Tu ne voulais pas être à poil, non ? », je souriais en lui posant sur l’épaule avant d’aller vers le paquet de courses que j’avais et commençant comme il l’avait deviné à tout ranger au lieu de même m’occuper de sa présence car c’était plus fort que moi. Plus vite de voir un truc qui ne soit pas au bon endroit, il fallait que j’agisse avant. Je repliais même le plaid. |
| | | William A. Brighton
LES INFOS I've got the power !
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22748 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL Mer 8 Mai - 9:50 | |
| On avait déjà été colocataires Pearl et moi, alors est-ce qu'un changement de pays et de continent allait nous avoir fait changer ? Pour ma part je pensais que non, ce qui pouvait avoir un effet sur notre amitié c'était le fait qu'elle soit partie à Paris sans un mot. Mais j'étais doucement en train de passer au dessus de ça, du moins j'en avais l'impression c'est le temps qui dirait si j'avais raison ou non. Après tout ce qui ne nous tue pas nous rend plus fort et si l'on s'était retrouvé ça n'était peut-être pas pour rien. Notre plan de s'installer à Barcelone avait simplement été un peu différé et à présent nous pouvions le reprendre. Cependant je sentais une certaine retenue de la part de ma meilleure amie à propos de son voyage et je me demandais alors ce qui avait bien pu s'y passer. Mais le sujet dériva sur la déco ou plutôt son absence, je crois que tout les prétextes étaient bons pour ne pas parler de son excursion Parisienne... Soit tant pis, elle se décidera peut-être un jour. A la place d'un récit de voyage c'est un ordre de déshabillage que j'eus, je jouais le jeu parce que c'était comme ça entre Pearl et moi depuis bien longtemps. Elle m'avait vu de nombreuse fois torse nu ou même en boxer alors que je l'avais vu en sous-vêtement moi aussi. Rien d'extraordinaire donc à ce que je me déshabille devant elle pour lui donner ma chemise. Heureusement, elle n'allait pas me dépouiller totalement je crois que de toute façon si j'osais me mettre à poils devant elle, ce serait ma meilleure amie la plus gênée. D'ailleurs en poussant le jeu plus loin, sur le point de retirer mon pantalon je la vis détourner le regard et je trouvais ça drôle en plus.
Je ne sais pas si le strip-tease était notre truc mais en tout cas ça amenait un peu de légèreté là où l'ambiance avait parfois été presque pesante entre nous, ça par contre ça ne nous ressemblait pas. Pearl partie je ne sais où, dans sa chambre sûrement et moi je restais là dans le salon et à moitié à poils. J'attendais et elle ne fut pas bien longue pour revenir. Elle avait délaissé ses fringues mouillées, une bonne chose pour éviter la pneumonie ou plus simplement un rhume. Quand Pearl me tendit ce sublime (ou pas) kimono fuchsia je lui adressais un large sourire « Je passe mon tour... » dis-je amusé par son offre. Elle le posa sur mon épaule partant sortir ses emplettes des sacs, je laissais le kimono sur le canapé et revenais vers elle « Tu me donne de quoi accrocher ce fameux lampadaire ? » je me moquais gentiment de ma meilleure amie, une habitude chez moi. J'allais l'aider comme promis, c'était un moyen comme un autre de nous retrouver et nous allions pouvoir discuter de cette potentielle colocation. Mais honnêtement il n'y avait pas beaucoup de suspens, je comptais accepter sa proposition et je savais déjà que notre cohabitation se ferait sans problème. Le temps d'une machine, le temps d'un peu de bricolage, c'était ce qu'il nous fallait pour que les choses redeviennent ce qu'elles étaient. Je voulais vraiment y croire, parce que j'avais besoin de ma meilleure amie, ma confidente. |
| | | | Sujet: Re: (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL | |
| |
| | | | (suite) par ce qu'il faut avouer que le destin aime bien faire les choses - WEARL | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|