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| + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL | |
| Auteur | Message |
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Pearl B. Angeles-Hartley
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[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Lun 13 Mai - 11:04 | |
| Il était une fois, une jeune femme dénommée Pearl qui se préparait pour une soirée des plus royale. Un gala au bar. Oui avec la bière, les alcooliques, les bagarres. Un monde de petits elfes. Enfin non, j’étais simplement en train de m’apprêter pour aller au bar avec William. Genre il me tient la main et tout pour surveiller que je ne traverse pas la route ? Non, plus sérieusement, trêve de bêtises. J’étais bêtement seule dans ma chambre, j’enfilais une robe. Je me coiffais rapidement, les cheveux à la sauvage. J’avais envie de retrouver mes habitudes vestimentaires d’avant. Un style de… chef de la sécurité qui avait besoin de courir donc mettait des robes courtes ou échancrée. Des talons aiguilles et un maquillage assez nude. A quoi bon se peinturer, sérieusement ? Avec un teint aussi joli que la mien. Il ne fallait pas plus d’une demi-heure pour que je sois prête. M’évadant parfois à d’autres occupations. Je n’avais jamais été la fille qui s’occupait à se maquiller pendant des décennies devant sa glace. Heureusement. Je sortis alors de l’appartement, seule. Dévalant les escaliers. Je ne connais pas les ascenseurs, non. Une technologie qui dépasse les elfes maléfiques. Je n’ai rien fumée, je suis juste de bonne humeur depuis ce matin. J’avais pris une bonne résolution : arrêter de penser. Penser cela tue réellement et j’avais tendance à penser trop depuis le bal masqué qui avait bêtement viré au cauchemar. Oui, totalement viré au cauchemar. J’inspirais en sortant de l’immeuble. La brise frappant sur moi et relevant même ma robe, crotte. C’était le grand inconvénient. (Et j’ai l’impression de raconter des conneries, merci Ben et le Redbull qui excite mes neurones.) Je m’avançais dans la rue, me dirigeant vers le bar que l’on avait sélectionné parmi tant d’autres. Je m’étais montrée assez pointilleuse sur l’endroit. Il arrive que je sois capricieuse. Oui, c’est rare. Ou pas mais chut. Une fois devant la façade, je poussais la porte, accueillie par un flot de fumer d’un homme qui sortait au même endroit en recrachant sa fumée de cigarette. Erk. Sérieusement. Je lui lançais un regard quelques peu meurtrier. DUDE, il pouvait faire attention au lieu de tuer mes poumons. Mais du calme, Pearl, du calme. J’entrais alors et me dirigeant vers le bar pour m’assoir aussitôt sur un tabouret. Le barman me regardait avec son petit air séducteur. Quel loseur, il avait l’air d’un geek qui servait juste pour se payer son nouveau clavier super cool. Je soupirais doucement. « Une vodka redbull, s’il vous plait ! », et le bonsoir alors ? Tu l’oublies ? Non mais sérieusement. Quelle politesse, mademoiselle. « Et bonsoir ! », ah bah là, c’est mieux. Je souriais doucement mais retenant une pointe de séduction dans ce sourire. Il ne faudrait pas qu’il soit charmé. Pauvre chou. J’attendais sagement mon verre en regardant en direction de la porte. Attendant un peu l’arrivé de mon meilleur ami. Je m’attendais à ce qu’il soit même en costume de travail. Top, j’adorais le voir avec une cravate et ne me demandez pas pourquoi. Cela avait un côté tellement attirant. |
| | | William A. Brighton
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Mer 15 Mai - 1:57 | |
| Pearl et moi avions prévus de sortir ce soir, nous amuser un peu en allant dans un bar comme il nous arrivait de le faire à Vegas. Depuis le très mouvementé bal masqué je n'avais pas refait de sortie, il faut dire que l'attelle au poignet n'était pas ce qu'il y a de plus sexy mais à présent j'avais le droit de la retirer. Ça ne m'avait pas empêché d'aller bosser cependant et après deux jours de repos seulement au lieu de la semaine indiquée par le médecin, j'étais de nouveau fidèle à mon poste de responsable de la sécurité. Et comme d'habitude des petits imprévus me mettaient en retard... Heureusement j'avais dit à Pearl de ne pas m'attendre et que je la rejoindrais directement au bar, c'est elle qui choisi l'endroit sans me laisser le choix, mais ça m'allait parfaitement. Mon retard n'était que d'une dizaine de minutes sur l'heure prévu initialement. J'entrais dans l'établissement qui m'était totalement inconnu, une déco sympa, une ambiance agréable, je comprenais le choix de ma meilleure amie pour cet endroit. N'étant pas passé par l'appartement pour me changer, j'étais en costard avec cravate j'avais hésité à l'enlever pour pas que ça fasse too much et puis finalement j'étais resté tel quel.
Je cherchais Pearl du regard et la vit plus loin assise au bar, me faufilant entre quelques personnes je me dirigeais vers elle quand une jeune femme m'intercepta avec un grand sourire « Salut beau brun, tu te souviens de moi ? » je la regardais avec perplexité un bref instant « Euh... » elle haussa les épaules « L'Ovaja Negra, il y a un mois... Allo ? Tu te souviens pas on a dansé un moment ensemble ? » malheureusement si maintenant je me souvenais d'elle. Son physique avantageux m'avait d'abord attiré et puis elle avait commencé à parler ce qui fût un drame ! Niaise et collante, une vraie caricature. Pour m'en débarrasser l'autre soir j'avais du prétexter avoir un appel urgent de l'hôpital en prétextant que j'étais médecin urgentiste « Tu as sauvé des vies dernièrement ? » demanda-t-elle avec un air charmeur « Je... Oui... Mais la j'étais à un colloc, je viens me détendre et rejoindre m... » la blonde fit volte face « On s'en fout je vais chercher à boire, viens ! ». Je jetais un regard blasé vers ma meilleure amie tandis que la bimbo me tirait par la main « Commande un truc je reviens. » dis-je en réussissant à lui faire lâcher sa prise pour me diriger vers Pearl. Je déposais un baiser sur sa joue et lui souriais « Salut Miss Hartley, vous êtes en beauté ce soir. » c'était sincère et je ne manquais pas d'en rajouter « J'en connais une qui ne rentrera pas seule ce soir... » un petit clin d’œil suivit ma remarque et je scrutais rapidement la salle du regard « Tu as trouvé ta cible pour la soirée ? ». Je savais que moi j'étais déjà la cible de l'écervelée, j'allais devoir être rusé pour lui faire lâcher l'affaire. Et ce besoin de trouver un plan se fit d'autant plus urgent qu'elle approchait avec deux verres à la main. « Pearl... Faut que tu m'aide à me débarrasser de cette nana. » connaissant son humour j'ajoutais en riant « Pas avec un flingue ou quelque chose du genre, hein... Juste qu'elle me lâche et drague un autre gars. » je m'étais fait prendre à mon propre piège, voilà ce qui arrive lorsqu'on est un homme qui séduit trop. Pour ma défense, habituellement je fais plus attention. Alors que la blonde approchait je rapprochais mon tabouret de celui de Pearl et posais une main sur son épaule. Plus stupide que dans mes souvenirs, le pot de glue me tendit un verre « Tiens beau gosse c'est pour toi. » elle regarda Pearl et arqua un sourcil « Une amie à toi ? » souriante elle alla même jusqu'à ce présenter « Je m'appelle Rachel. » ça j'avais complètement zappé... |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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| Arrêtes de penser et profiter de la soirée. Telle était ma devise en cette douce soirée. Porter cette robe, ces talons me ramenait un peu au passé. Le bar n’était juste pas au bon endroit. Alors que le barman venait de me tendre mon verre, j’en buvais une gorgée en attendant mon ami. J’inspirais alors en levant le regard alors qu’un gars à côté de moi draguait lourdement une fille. La pauvre. Je secouais la tête, les hommes étaient des énergumènes. Et là, je tournais vaguement le regard vers l’entrée du café, il papotait avec une fille. Une bimbo. La poitrine avantageuse comme pas possible. Elle les avait surement refaits. J’en étais certaine. Je soupirais doucement en prenant un sous-verre en carton et jouant nerveusement avec. Pourquoi j’étais nerveuse ? L’idée qu’il soit avec une fille alors qu’il devait me rejoindre ? Oui surement. Je captais du coin de l’œil son regard blasé et passant une main dans mes cheveux subtilement. Je ne voulais pas qu’il sache que je l’avais vu. Je n’en connaissais pas la raison. Je buvais alors une gorgée en sentant que l’on se rapprochait et un baiser sur ma joue. Je détournais le regard vers lui, trop vite, manquant presque même de frôler ses lèvres mais je reculais à temps. Il ne manquerait plus que ça. « Salut… », soufflais-je en riant. « Seulement ce soir ? », demandais-je avec un air faussement vexé car oui, c’était rare ce genre de compliment de sa part. Cela me surprenait. Ou alors ce n’était pas rare mais je ne le remarquais jamais ? Je ne saurais que dire, j’étais perdue en ce moment. Des petits rien qui me disait parfois que j’étais à l’ouest dans ce qui nous rapprochais. Dans le fond, il était la cause de mon réel départ fugueur de Las Vegas sans en être la cause pour autant. Je suis super compréhensible. Oui, hein ! Je roulais des yeux en le regardant. « Je n’ai pas cherchée… je suis avec mon meilleur ami ce soir ! », disais-je alors avec un air presque blasé en voyant la fille revenir. Je me demandais presque s’il ne tentait pas de se débarrasser de moi pour rester tranquille avec cette fille. Et c’est alors qu’il me demandait de l’aide qu’un sourire sadique se laissait dessiner sur mes lèvres. Et là, il parlait même d’une arme. Mon sourire sadique en parlait-il ou me connaissait-il un peu trop ? Option 2. J’avais toujours cette idée de la facilité d’une gâchette. Et oui. « J’y gagne rien à t’aider sauf de rire de ton malheur. Le séducteur perdu à son propre piège ! », C’était assez amusant comme idée de se moquer un peu de lui alors qu’il a une biatch sans cervelle au cul. Chacun son boulet. Je regardais alors la femme approcher et la main de William sur mon épaule. Je lui rendis un sourire des plus mignons en le tournant alors vers la coquine qui approchait. Quand elle lui présentait un verre, je le prenais en souriant. « Oh merci, c’est pour moi ? », demandais-je en buvant une gorgée. « Il ne fallait pas. », rajoutais-je en haussant une épaule avant de tourner mon regard vers William en posant le verre sur le bar et me hisser légèrement sur le tabouret en posant une main sur sa main et lui caressant légèrement avec le pouce avant de déposer un baiser sur ses lèvres. Je tournais alors le regard vers la jeune femme et lui tendant la main pour me présenter alors qu’elle faisait de même. « Je m’appelle Pearl et je suis sa petite amie. », je souriais doucement en penchant la tête. « Le beau gosse, c’est le mien… », lui disais-je avec un air sarcastique. Tellement vrai cette jalousie dans ma voix que l’on s’y prenait. En fait, n’était-elle pas réellement vrai ? Elle n’était pas fausse, je peux vous l’assurer. « Vous ? En couple ? T'es plate... », lâchait-elle en me regardant et me toisant du regard. Je soupirais doucement en relevant le regard vers William ! « Chéri… embrasses-moi ! », lui disais-je comme pour prouver à cette fille que c’était vrai. Mais il était un fait qu’un baiser depuis le bal n’était pas vraiment ce que j’aimais faire. Trop de baisers, j’avais l’impression que mes lèvres étaient des putes. Néanmoins, c’est William. J’avais remarqué cette gêne… vraisemblablement forte depuis quelques temps qui me disait que j’allais embrasser tous les hommes de l’hémisphère sauf lui. |
| | | William A. Brighton
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| Une soirée de retrouvailles c'était ça le plan de base, mais ça n'empêche pas de s'amuser chacun de notre côté si à un moment l'envie nous prend et l'occasion se présente. Je complimentais Pearl, comme il m'arrivait de le faire parfois à Vegas quand je savais qu'elle allait à un rencard. Une manière de la chambrer gentiment. Sa réaction m'amusait, son air faussement vexé était une de ses spécialités « Particulièrement ce soir. » rectifiais-je en riant légèrement. Je ne savais pas vraiment de quoi était faite sa vie sentimentale actuellement, je n'avais pas particulièrement noté de la présence d'un mec proche de Pearl si ce n'est ce jeune homme, Thomas mais leur relation semblait amicale. A Las Vegas elle avait son père sur le dos, allant même jusqu'à lui présenter des prétendants, une chose qui l'exaspérait. Mais maintenant elle pouvait séduire les hommes de son choix sans avoir de compte à rendre à personne. Le prétexte était cependant valable et l'arrivée de la bimbo vers nous m'embêtait d'autant plus. Je m'en voulais presque un peu alors que la situation était indépendante de ma volonté.
Notre duo en avait vu d'autres, je craignais pendant un instant que Pearl me laisse ramer tout seul à essayer de me débarrasser de la blonde. Et puis finalement elle joua le jeu, très franchement même ce qui me surpris un peu, je fis attention de ne pas le montrer. Une caresse sur ma main et un baiser volé, elle tenait bien son rôle. Quand elle se présenta comme étant ma petite amie je regardais la blonde qui soudain semblait un peu contrariée, elle répliqua avec une superficialité attendue. Il est certain qu'à côté de ses poumons généreusement siliconés, ma meilleure amie ne jouait pas dans la même catégorie mais elle n'avait rien à lui envier et en plus elle a de la conversation. « J'ai voulu te prévenir que je n'étais pas seul mais tu ne m'as pas laissé finir. » dis-je à l'intention de la dite Rachel qui devenait aussi encombrante que sa paire de seins. Et j'allais ajouter autre chose mais Pearl, à fond dans le jeu m'ordonnais de l'embrasser. J'étais sûr le moment un peu gêné, c'est ma meilleure amie et à part quelques baisers volés pour jouer la comédie comme ce soir nous n'étions pas allés plus loin. Enfin si il y avait eu plusieurs fois souvent sous le coup d'une vive émotion... D'ailleurs c'était toujours venu de Pearl. La dernière en date alors que l'on avait trop bu à Vegas mais c'était oublié, nous tenons l'un et l'autre beaucoup trop à notre amitié. Esquivant la demande je me levais en lui prenant la main « Seulement si on va danser. », occasion parfaite de laisser en plan l'autre potiche et de profiter de notre soirée entre amis comme c'était prévu à la base. Gros avantage que d'être dans un bar dansant, Pearl avait fait un bon choix. Arrivé sur la piste je me mis à rire « Magnifique jeu d'actrice ! » complimentais-je à l'intention de ma meilleure amie tout en jetant un rapide coup d’œil en direction de la blonde qui avait déjà abordé un autre mec tout en nous regardant de temps en temps. Je rapprochais ma colocataire de moi et dansais bien plus proche d'elle que je ne l'aurais fait en temps normal « Cette nana est stupide mais tenace. Je pense que d'ici quelques minutes quand l'autre gars qu'elle drague aura le nez dans son décolleté elle ne pensera déjà plus à venir me coller. ». Ça c'était ce que je pensais à tort... Devinez qui venait danser juste à côté de nous ? Et oui... |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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| Il y a deux portes à l’amitié, il faut savoir prendre la bonne sinon vous couler. Tout est d’une logique quand nous sommes proches d’une personne. L’on se dit souvent même que c’est dessiné mais que nenni. Me fait passer pour sa petite amie n’était pas spécialement des plus naturels mais je me faisais plaisir à me laisser aller à ce jeu peut-être dangereux. Ce baiser sur ses lèvres, les frôlant simplement pour ne pas me perturber d’avantage. Oui perturbée, c’était l’impression que j’avais depuis ce fameux bal ou un inconnu m’avait embrassé, même. J’avais eu ce déclin d’idées de ne pas avoir un baiser d’une personne qui m’était cher. Jouer était surement une erreur, je le savais. Ce jeu en ce moment-même. Me faire critiquer par cette femme ? Rien à foutre. Je riais nerveusement en relevant le regard alors vers lui et l’invitant même à m’embrasser. Il n’en fit rien ce qui dans un sens me fit aveuglement mal au cœur. C’est con, non ? Les hommes ont tellement de facilité à m’embrasser et il n’en a que dans mes rêves. Même si nos corps étaient échangés mais il y avait une facilité de ouf dans mon rêve. Je ne laissais rien paraitre, le regardant alors qu’il ne me tendait la main et m’invitait à danser. Seulement ? Donc un baiser à la clé pour cette blonde. Gentille esquive pour ne pas embrasser sa repoussante de meilleure amie. Et merde, arrêtes de penser Pearl. Tu étais d’une humeur festive et tu vois noir. Non mais oh. Enfin gris mais chut. Je riais un peu nerveusement en me laissant aller à l’approche de cette danse. Posant la main dans le bas de son dos et laissant ma tête contre son épaule. « J’ai de l’entrainement. », oui, j’en avais toujours eue un peu. M’entrainer à être une fille modèle par exemple alors que je rêvais de me rebeller. M’entrainer à d’autres choses aussi. Trépidante comme me faire passer pour une stripteaseuse blonde ou même une fille facile. Pauvre Juan. Je souriais doucement, un sourire un peu forcé en l’entendant alors parler de cette fille. Et j’éclatais de rire en voyant la femme danser à côté de nous. « Elle tente de te rendre jaloux… mais c’est de ta faute, tu te fais désirer à ta petite amie. Pas crédible le copain. Je suis tellement repoussante que tu ne veux pas m’embrasser. Je passe pour une de ses plates de services qui ne mérite pas de tes baisers ? », demandais-je en arquant un sourcil, faussement sérieuse enfin c’était complexe car je disais ça en le pensant mais sans vouloir le penser, c’était une sorte d’humour mais ce que je pensais aussi. Complexe à expliquer mais mon regard voulait à tout prix qu’il le prenne comme de l’humour ou une fausse scène de ménage alors que je me posais réellement les questions. Je ne voulais pas qu’il le comprenne car je n’étais pas encore sûre de bien le comprendre tout en le comprenant. L’être humain est d’un compliqué par moment. Et je me contentais de passer la main dans la poche arrière de son pantalon tout en dansant. Voulant un peu sauver ce qu’il restait d’illusion de couple. Je posais alors mon regard dans ses yeux, le regard qu’une fille amoureuse pourrait poser dans celui d’un homme enfin ce n’était pas difficile, j’avais juste à le regarder avec tendresse. Une chose que j’avais toujours faite avec lui. Je prenais alors sa main de celle qui m’était encore libre et entrelaçant mes doigts avec les siens. Cela me faisait cruellement bizarre d’être aussi proche, là. Cela me rappelait des moments du passé que je pensais clairement à l’oubliette surtout par ce qu’ils ne sont jamais revenus sur le tapis. Oublié comme une poussière envolée par le vent. Et je ne disais mot. Il ne voulait pas m’embrasser mais rien ne m’empêchait de montrer un semblant de couples. L’amour ne s’est jamais résumé que d’un baiser. Il y a tellement de façon de montrer des sentiments partagés à notre entourage. L’on peut embrasser quand on n’aime pas. |
| | | William A. Brighton
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| Est-ce que Miss gros poumons pensait vraiment me rendre jaloux en venant danser juste là à côté de Pearl et moi ? Raté... Tout ce que ça me faisait, c'était de confirmé à quel point elle pouvait être stupide. Très sérieusement j'avoue avoir parfois couché avec des filles pas très futées mais jolies, sauf que dans son cas ça dépassait de loin ma limite. Quand je l'avais rencontré en boite de nuit on avait commencé par danser, rire un peu et puis je l'avais invité à prendre un verre et là de fille canon bien que superficielle, elle était passé directement à l'état de plante verte. J'aurais pu la dégoter à jardiland que l'affaire aurait peut-être été meilleure, car les végétaux ont cet atout de ne pas parler. Heureusement pour ce soir que j'avais Pearl pour me sauver la mise, même si visiblement l'idée que je sois en couple de suffisait pas à barbie sans cervelle. Était-ce une sorte de punition ? Une forme de justice venu de je ne sais où s'abattant sur moi pour mon comportement détaché avec ces filles à qui j'ai dit « Je t'appelle. » tout en sachant pertinemment que je ne le ferais jamais ? Oui j'ai eu ma période connard, et puis à quoi bon construire quelque chose si c'est pour se faire abandonner pour mieux que soi ? Aucune utilité. Les sentiments c'est comment un écran de fumé, ça voile le moche et quand ça se dissipe c'est le néant. L'amitié ça par contre c'est solide et encore il y a quelque temps j'avais fini par en douter quand ma meilleure amie c'était barrée me laissant seul comme un con. Oh oui je lui en ai voulu pour ça, ma la joie de la retrouvée a pris le dessus et petit à petit je crois que je passe l'éponge. C'était cool de l'avoir contre moi, de lui montrer qu'elle pouvait encore compter sur son meilleur ami et que malgré ce qui s'était passé nous étions ici tous les deux parce que notre amitié nous sauverait toujours. L'entendre rire comme ça m'avait manqué, parce que nos délires n'appartiennent qu'à nous et que passer pour des fous parfois ne nous a jamais effrayés. Des passés différents aux conséquences pourtant semblables, un constat simple nous étions tous seuls dans un monde nous appartenant, tous seuls mais à deux. Cependant je crois que Pearl est bien plus ouverte que moi en matière de relation. Elle a déjà eu quelques histoires en tout cas plus longues que les miennes, pas difficile étant donné que mon record plafonne à un mois et que c'était à l'époque du lycée. Les plans culs plus ou moins réguliers ne comptant pas, bien évidemment.
Sa remarque me fit rire, elle maniait bien l'auto dérision « Jaloux de quoi au juste ? » dis-je en haussant les épaules « Je m'en fous qu'elle danse avec ce gars, elle peut même finir la nuit avec lui, au contraire ça nous permettra de profiter de notre soirée sans avoir à jouer la comédie. ». Je fis une moue à son hypothèse que le fait de ne pas l'avoir embrassé ai encouragé l'autre à agir ainsi « Hum... J'ai des doutes sur sa capacité à autant de réflexion. ». La suite de l'argument n'était vraiment pas flatteur pour Pearl et totalement faux en plus de cela, je secouais la tête en riant « N'importe quoi. T'es ma meilleure amie et tu es très jolie, d'ailleurs je pense que plus d'un mec ici l'a remarqué. Ce qui est de ma faute du coup c'est que tu doive jouer à ce jeu pour me sauver la mise et que ça éloigne tous tes potentiels prétendants. ». Elle calculait ses gestes pour que nous passions vraiment pour un couple, et en allant plus loin que ce que j'aurais pensé. Je sentis sa main glisser dans la poche arrière de mon pantalon et arquait un sourcil avant de chuchoter « Petite profiteuse... », je savais qu'elle faisait ça pour m'embarrasser un peu, c'est sa manière à elle de me faire comprendre que je me suis fait prendre à mon propre piège et qu'elle me sauve la mise. Elle posa son regard dans le mien et je restais un peu perplexe face à celui-ci non pas qu'elle ne m'ai jamais regardé comme ça mais là sur le moment c'était étrange sans que je puisse l'expliquer. A quoi jouait-elle au juste ? Au final elle voulait me mettre si mal à l'aise que je me vende ? Peut-être bien. Je lui souriais alors « Quoi ? Ça va j'ai compris, je suis un idiot qui devrait faire plus attention à qui il drague. ». Sa main se glissa dans la mienne et ses doigts se lièrent aux miens, nous restions ainsi pendant un moment avant que je ne lâche sa main et la serre dans mes bras comme je le faisais souvent, tout en continuant de danser, chuchotant à son oreille « Ma petite Pearly qui sauve encore mes arrières. Le décor n'est pas le même mais on dirait que les vieilles habitudes reviennent. » je faisais surtout allusion à notre complicité et cette confiance que nous avions l'un envers l'autre. Je jetais un coup d’œil autour de nous, la blonde et sa nouvelle cible étaient repartis au bar apparemment découragée. Déposant un baiser sur la joue de ma meilleure amie je desserrais ensuite mon étreinte en reculant, un sourire malicieux étirant mes lèvres « Je crois qu'on est tranquille. » .
Dernière édition par William A. Brighton le Sam 18 Mai - 1:03, édité 1 fois |
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Come here baby, from a whisper start
To have a little faith in me
When the road gets dark
And you can no longer see
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[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Ven 17 Mai - 7:04 | |
| Vous n’avez jamais l’impression d’être là, devant une personne mais d’être aussi sur une autre planète ? Ce moment où vous avez les pieds à un endroit mais que vous ne savez pas vraiment si vous êtes au même que les autres ? Parfois, j’en avais l’impression avec William. Surtout depuis peu en fait et ce soir aussi. Je voulais tenter de tout mon cœur de revenir sur cette planète et quitter celle qui me gardait captive mais la situation n’ouvrait pas ce bon chemin. Je m’en éloignais surtout de la planète terre à la remarque que je venais de faire. J’espérais vraiment qu’il n’y voit pas le vrai de mon désespoir à exister autrement qu’un homme sans couilles à ses yeux. Je le regardais attentivement quand il me demandait de quoi. Je secouais doucement la tête ne sachant que répondre à par une bêtise du genre : elle danse mieux que moi mais non. Il enchainait et ça m’amusait. Et pourtant cela me fit me poser une question. Jouer la comédie l’embêtait tant que ça ? Et c’est en tentant de cacher mon malaise que je l’écoutais en arriver au moment où il me disait que j’étais jolie. Mais sa meilleure amie. Les autres m’avaient remarqué ? Ah bon ? Je m’en fichais royalement pourtant ce qui n’était pas vraiment différent du passé. Je n’étais pas à l’affut du regard ou même… enfin plaire était ce que je cherchais en m’habillant mais avant tout pour me plaire à moi-même. Je voulais me sentir bien. « Hum hum… ouais ! », disais-je simplement en soupirant. « Je m’en fiche un peu de ceux qui me remarquent ce soir ! », rajoutais-je en haussant les épaules et rajoutant à la comédie d’être en couple alors que j’avais glissé ma main dans la poche arrière de son pantalon, j’entendais alors son chuchotement qui me fit arquer un sourcil. Je ne répondais pas à cela car dans un sens… cela ne m’était pas à revenir sur terre. Profitais-je ? Je n’en savais clairement rien mais tout ça me prenait la tête, sérieusement. Elle explosait ma caboche. C’était pire qu’un volcan. Et c’est alors que je continuais silencieusement le jeu. Ce regard que je posais sur lui et sa réaction ou il se défendait presque mais je n’avais rien dis. Sur le coup, je ne comprenais pas réellement ce qu’il pensait que je pensais avec mon regard ou même enfin, j’étais perdue. Persuadée d’être réellement sur une autre planète que la sienne mais qui était sur terre ? Je commençais drôlement à me demander si nous n’étions pas tous les deux sur d’autres planètes. « C’est bien de l’admettre ! », plaisantais-je alors en le regardant attentivement. « Mais je n’avais rien dis ! », rajoutais-je aussitôt en roulant des yeux alors que je liais nos deux mains comme un couple le ferait et là, je fermais les yeux à son chuchotement, oui, le souffle contre ma peau me laissait un peu de marbre mais ses mots me glaçait le sang en même temps. « Ouais ! », simple et direct. Oui, c’était tout ce que j’arrivais à dire car c’était con mais sans le savoir, il me perturbait encore plus. Depuis notre retour en colocation, nous n’avions pas été aussi proches. Surement par ce que je le cherchais. JE tentais de mettre cette distance. Mon départ de Las Vegas n’était pas pour rien. C’était justement pour ça sauf que j’avais mis trop de distance et sous-estimée mon besoin de le croise tous les jours pour me sentir en sécurité. Et là, je ne bougeais plus en me contentant de danser. Je comptais juste fermer les yeux et m’évader. Ne rien dire. Profiter de cette proximité pour passer un moment proche de lui mais non, il s’éloignait en desserrant de l’étreinte. Tranquille disait-il ? J’étais dans une impasse partagée entre l’envie d’aller m’enfiler une vodka au bar ou de le ramener à moi pour continuer à danser. Je regardais vers lui, au bar puis vers lui et ainsi de suite. Mais non, ce n’était pas une bonne idée. Je posais longuement mon regard vers lui. « En fait, on dansait juste pour ça ? », demandais-je alors en le regardant attentivement. Pourquoi lui posais-je cette question et surtout avec une sorte de déception au fond de la voix. Etais-je juste celle qui était bonne pour le sauver de la mise. La meilleure amie à tout faire. J’inspirais doucement en détournant le regard. « Qu’importe ! », dans le fond, j’avais l’habitude d’être la troisième roue du carrosse surtout au petit déjeuner quand je vois défiler ses coups d’un soir. Ses plans culs. Je me retournais en lâchant sa main et allant vers le bar. Je passais alors devant la fille et lui souriant. « Il est tout à vous si vous voulez ! », disais-je alors à cette jeune femme par pure rancune mais ça me rendait dingue de le dire. Je ne savais même pas pourquoi j’avais agis ainsi sur le coup. Peut-être que c’était juste mon mal-être. Je me reposais sur mon tabouret en redemandant une vodka au barman qui me la servait aussitôt avec un beau clin d’œil. Je souriais doucement en le prenant. « Merci ! », lâchais-je alors à celui-ci. Ni plus, ni moins et je me mis alors à boire mon verre gorgée par gorgée. |
| | | William A. Brighton
LES INFOS I've got the power !
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Sam 18 Mai - 2:06 | |
| C'était la première fois depuis que nous nous étions retrouvés que Pearl et moi étions aussi proches. Pourtant à Vegas je ne comptais plus le nombre de fois où nous regardions des films bien installés l'un contre l'autre sous un plaid. Et puis toutes ces nuits quand elle cauchemardait et venait me rejoindre dans mon lit pour se sentir plus en sécurité. Ça n'avait rien d'ambiguë, et c'est bien pour cela que nous pouvions faire semblant ce soir d'être ensemble sans que ça ne nous pose de réel problème. Bien entendu certaines limites n'étaient pas franchies, notre complicité reposait aussi là dessus. Je respectais trop Pearl pour profiter d'une situation comme celle-ci pour m'amuser en allant trop loin avec elle. Quand j'avais proposé cette soirée à ma colocataire c'était pour que nous reprenions là où nous nous en étions arrêté avant son départ. Faire la fête, voir du monde, rire à en avoir mal aux abdos, se comporter comme des gamins si l'envie nous prend. Bref vivre tout simplement. Mais ce qu'elle avait vécu lui collait trop à la peau pour qu'elle n'arrive à faire abstraction de cette ombre planant au dessus d'elle depuis son premier enlèvement et le décès de sa mère. Et c'était bien ça la raison de notre plan de partir vivre à Barcelone, sauf que finalement tout n'avait pas eu lieu comme prévu. Je sentais qu'on avait besoin de retrouver cette dynamique qui nous ressemble. D'ailleurs même si la blondasse venait un peu perturber le bon déroulement de notre soirée best friends, je trouve qu'on s'en sortait plutôt bien. Très souvent je taquinais ma meilleure amie sur le fait qu'elle plaise aux hommes et que bien souvent elle faisait des malheureux en paraissant autant désintéressée. Certains avaient réussi, à différents degrés et à chaque fois j'espérais pour elle que cette rencontre serait différente, que ce gars là aurait le truc en plus qui la ferait s'attacher, lui donnerait envie de construire quelque chose. Mais il n'était toujours pas arrivé ou alors les circonstances avaient fait que ça n'avait pas fonctionné. Et ce soir alors que nous étions tombés d'accord pour passer la soirée ensemble et ne pas papillonner à droite et à gauche, je remettais ça sur le tapis en réponse à ce dénigrement que Pearl venait de faire sur elle-même. « Ouais t'as raison, on a dit que c'était une soirée juste nous, du rire, de l'eau de source et du fun. » j'eus un léger rire « Je blague pour l'eau de source, on va picoler comme des alcoolo. » encore une plaisanterie, je ne voulais pas finir avec une gueule de bois horrible demain alors que c'était mon seul jour de repos de la semaine. Notre petite mise en scène était crédible, n'importe qui ne sachant pas que nous sommes simplement amis nous prendrait pour un couple j'en suis sûr. Mais je savais que Pearl voulait que je tire une leçon de ça, et je le voyais même si elle n'avait rien dit comme elle me le fit si bien remarqué « Ouais mais tu l'as pensé fort. » répondis-je et puis je sais bien ce qu'elle pense de mon comportement, je sais que parfois elle est un peu blasée. Facile de le voir le matin quand ma conquête de la vieille s'en va.
Mission accomplie ! La blonde avait finalement comprit et sa nouvelle cible semblait être une alternative satisfaisante pour elle. J'étais ravi de le constater et content d'en faire part à ma meilleure amie. Mais là ce fût l'incompréhension totale de ma part devant la mine qu'elle affichait, est-ce que j'avais l'air trop enjoué et qu'elle se vexait en croyant que j'avais honte de jouer la comédie avec elle ? Son regard passa du bar à moi plusieurs fois avant de se stopper sur ma personne. Elle ne riait pas du tout et je restais perplexe ne le cachant pas du tout. Sa question me fit arquer un sourcil et j'allais répondre quand elle s'éloigna vers le bar en soufflant que ça n'avait pas d'importance. Elle parla à la blonde au passage et celle-ci ce contenta de faire un petit sourire de garce satisfaite avant de reprendre sa conversation avec l'homme du bar. Moi je restais planté comme un con au milieu des danseurs, regardant Pearl se rasseoir et commander à boire. Je lâchais un soupir avant de la rejoindre « T'aurais pu attendre que je te réponde. » Je m'asseyais à côté d'elle, plus loin que tout à l'heure il n'y avait plus besoin de faire semblant désormais et je commandais à boire moi aussi « Si on dansait c'est parce que j'avais envie de danser avec toi. » je levais les yeux avant de poursuivre « On aurait plus continuer d'ailleurs. Y'avait juste plus besoin de jouer le petit couple d'amoureux, on pouvait danser ensemble et s'amuser comme on l'a déjà fait des tonnes de fois... Ce qui me manque. » j'étais confus par cette réaction qui me paraissait démesurée par rapport à la situation. « T'as cru quoi ? Que j'avais honte de faire semblant d'être en couple avec toi ? » je me mis à rire « Si c'est ça c'est stupide, parce que de un je te l'aurais pas demandé si c'était le cas et de deux on l'a déjà fait en boite, tu te souviens pas ? En plus t'avoueras que c'est quand même un peu bizarre. ». Le barman posa mon verre devant moi en me regardant avec un drôle d'air, visiblement il aurait apprécié de faire un brin de causette avec Pearl. Dommage pour lui j'avais encore des choses à lui dire. Je bu une gorgée et souriant, repris la parole « Imaginons que avant d'arriver à Barcelone on ne se connaisse pas. Enfin tu vois je sais pas mais que toi tu sois d'ici par exemple et que moi je débarque. Bin si je t'avais rencontré dans un endroit comme celui-ci, je t'aurais dragué on aurait sûrement passé une nuit torride ensemble et puis... Voilà. » je haussais les épaules « Le problème c'est que j'aurais jamais pu me rendre compte à quel point t'es une fille géniale parce que... Bah je t'aurais sans doute pas rappelé. » je bu une nouvelle gorgée « Tu vois, j'ai pas honte. Et puis depuis quand t'as des soucis de confiance en toi, hein ? Souris Pearly ! Sinon t'auras un défi. » je la poussais gentiment de l'épaule « Et j'avais raison, ta une touche avec le barman ! ». On était là pour s'amuser, ce n'était pas le moment de faire la soupe à la grimace alors tous les moyens pour l'entendre rire seraient bons. |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Dim 19 Mai - 3:02 | |
| Picoler comme des alcoolos. Pourquoi pas mais non, je ne voulais pas picoler car on sait que je ne tiens pas vraiment l’alcool enfin oui et non mais je suis une alcoolique particulièrement lourde une fois que j’ai absorbée. En fait, je suis un bob l’éponge sombre quand j’ai épongée mon alcool. Un bob l’éponge saoule quand j’ai fumée ? Un peu, ouais mais je e fume jamais. Donc bon. Enfin bref. J’étais un cas donc l’alcoolo resterait au placard. Bonne idée sauf que je ne prévoyais pas la suite. Penser fort, j’éclatais de rire, presque sans m’en rendre compte et n’y répondant pas car il n’avait pas tort mais chut. Il nous ramenait parfois bien trop souvent des écervelées. Et là, nous dansions, sagement, calmement. Jusqu’au moment où il recule. Elle semblait s’être affairée d’un autre idiot. Super. Mais visiblement, je n’étais pas vraiment d’accord mais perdue. C’était tellement complexe dans ma tête que je ne savais réellement pas comment agir. Je l’avais dans la tête cette chanson qui passait. Elle résonnait. C’était Viva la Vida de Coldplay. C’était une belle chanson. Cela me rappelait un peu ma vie. Un coup sûr de moi et l’autre moment totalement peureux. C’était étrange mais oui. C’était moi. Je fermais doucement les yeux au bar alors que je venais cruellement de renvoyer la fille vers lui qui ne semblait apparemment pas convaincue enfin je ne savais pas trop comment prendre sa réaction. Et là, je sentais sa présence à côté de moi alors que le barman me regardait un peu trop à mon gout. Je l’écoutais alors me dire que j’aurais pu attendre. C’est vrai, j’aurais pu mais en avais-je envie ? J’avais déjà longuement été la fille délaissée sur la piste de danse par des crétins. A mon bal de promo par exemple. Vous savez, on a beau être riche et la reine du bal, on a jamais pour autant de la chance. Ce ne sont que des stéréotypes. Et cette chanson continuait à défiler dans ma tête pendant que je l’écoutais alors encore et encore. Je ne disais rien. Je ne faisais que l’écouter en buvant ses paroles et buvant surtout ma vodka qui me faisait grimacer à chaque gorgée. Je n’avais pas vraiment l’habitude de la boire nature. Je le regardais mais dans le miroir du bar, je ne faisais pas attention à lui… enfin pas de façon à ce qu’il s’en rende compte. Non, je regardais dans le vide, devant moi. Dans le miroir. Je tentais d’être subtile au peu de regard que je lui lançais alors qu’il me parlait mais une partie de moi était vexée et l’autre ignorait bêtement pourquoi. En fait, j’ignorais totalement pourquoi, ou je me forçais à l’ignorer. L’ignorance est un défaut comme une qualité. Elle nous protège de tellement de choses. C’est un peu comme l’innocence. On se sent plus libre innocent et ignorant. Je soupirais doucement à cette question quand il me demandait ce que j’avais cru ou si je pensais qu’il avait honte. En fait… un peu, oui. Enfin je n’en savais rien. Il semait le doute dans ma tête sans s’en rendre compte. Que me prenait-il ! Il ne m’aidait même pas sans même le savoir. C’était l’enfer dans ma tête. Je buvais alors la fin de mon verre d’une traite en l’écoutant toujours. Je ne montrais aucune réaction à ce qu’il me disait. Presque comme si je ne l’écoutais pas alors que c’était pourtant le contraire. Oh oui que je l’écoutais. Bon j’écoutais aussi encore cette chanson dans ma tête mais bon. Etais-je énervée ? Je n’en savais rien. En fait, je n’arrivais même pas à définir ce que j’étais. Je crois que j’étais peut-être frustrée, perdue… et encore un large panel. Devais-je lui en vouloir ? Encore une fois, je n’en savais rien. Je ne comprenais rien de ce qu’il se passait dans ma tête. Je me contentais de soupirer en le sentant me pousser l’épaule alors qu’il me fit une remarque sur le barman. J’haussais les épaules en le regardant. « Pas intéressée ! », lâchais-je en retournant alors mon regard sur le barman qui semblait m’avoir entendue, je lui souriais d’un air désolé avant de reporter mon regard sur William. Je le regardais attentivement, sans un mot, pendant quelques secondes. Soupirant doucement. « Sérieusement, je ne sais pas ce que j’ai cru. Je n’en sais rien. Mais tu peux embrasser toutes les écervelées de Las Vegas sans soucis et même coucher avec elle mais quand c’est moi, non. Et puis pour qui tu me prends ? Tu ne crois quand même pas que j’aurais couchée avec toi le premier soir ? », je levais les yeux, un peu irritée sur le coup, je doutais de la façon dont il me percevait avec les hommes par ce que la marie couches-toi là, ce n’était pas moi. Si cela s’était passé comme il l’imaginait, je n’aurais jamais eue ma nuit torride avec lui aussi vite. Jamais je ne l’aurais jamais laissé faire. Je soupirais doucement en redemandant un verre au barman alors que je détournais un peu le regard de mon meilleur ami en regardant ici et là sans vraiment pour autant quitter le miroir car c’était plus fort que moi, j’avais besoin d’avoir un regard sur lui. « Si tu ouvrais un peu plus les yeux, tu te rendrais compte que je n’ai jamais spécialement eue confiance en moi. Ce que je montre n’est pas ce que je suis. Je pensais que tu le savais. », je riais un peu nerveusement en le regardant du coin de l’œil. « Tu as oubliée surement ce savoir sur la piste de danse. Tes groupies écervelées ne t’y attentent pas ? », demandais-je en tournant le regard vers lui avec un air un peu sarcastique sur le coup. « Tu n’es pas obligé de rester avec celle que tu coucheras surement en la portant en sac à patate tellement elle aura picolée comme une alcoolo car c’est tout ce qu’elle sait faire par moment. », je souriais doucement en prenant le verre que me tendait le barman. « A la tienne ! », lâchais-je en faisant tchin avec le verre de William. Seule et alors ? On s’en fiche royalement. L’alcool commençait un peu à jouer. Lancer les dés car la partie commence et je sens que l’on va s’amuser. Alors William qu’as-tu encore dans ton jeu ? |
| | | William A. Brighton
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Lun 20 Mai - 0:21 | |
| Susceptible, boudeuse, pas intéressée par le fait de sympathiser avec qui que se soit... Ma meilleure amie avait elle laissé sa joie de vivre à Paris ? Ou alors elle était en zone rouge un problème insoluble pour n'importe quel homme. J'essayais de comprendre, de lui prouver qu'elle se trompait sur cette pseudo honte que j'aurais pu avoir à son égard. En fait ça me paraissait tellement idiot qu'elle puisse penser ça. Et mon intuition me disait que pendant ces trois mois elle avait dû faire une rencontre, peut-être même commencé quelque chose avec cette personne et que ça c'était mal fini. Plusieurs fois j'avais essayé d'en savoir plus mais Pearl restait très évasive, j'avais donc abandonné. Je me tapais un petit monologue, parce que c'était clairement ça que je faisais... Sauf que dans un premier temps je ne m'en étais pas rendu compte. L'humour ne fonctionnait pas plus que le reste et là je commençais à perdre l'envie d'essayer de la motiver pour passer une bonne soirée. Et puis enfin j'eus une réaction, que le barman prit directement en pleine face... Désolé mon vieux c'est Evil Pearly qui vient de te rembarrer ! Je le regardais en haussant les épaules, un regard qui disait « On y peux rien mon pote. ». C'est ça le pouvoir des femmes, elles peuvent vous mettre en touche et vous savez que c'est fini pour vous. En étant barman il n'aurait pas trop de soucis à trouver une autre cible.
Enfin ma colocataire daignait m'adresser un regard, avais-je réussi ? Et bien non, son ton était à la limite de l'acidité d'un jus de citron. Ses arguments me laissèrent perplexe, le fait que j'ai couché avec pas mal de filles pas toujours très futées à Vegas mais que je refuse de l'embrasser c'était ça le problème ? Bon c'est vrai que pour mon petit exemple j'étais peut-être un peu présomptueux mais c'était surtout de l'humour. Je commençais à penser que l'option zone rouge était de mise, vu comme elle était irritable... Bien sûr je savais que Pearl n'était pas du genre à coucher avec le premier venu, mais c'était plutôt à moi que j'envoyais des fleurs en ayant dit cela, je me mis à rire « Je crois beaucoup en mon pouvoir de séduction, c'est tout. » encore une fois j'essayais de plaisanter et j'espérais vraiment qu'elle ne prenne pas encore tout au premier degré. Je crois que c'était ma fête ce soir, je n'étais juste pas au courant avant de venir. Maintenant c'était le procès du meilleur ami qui commençait, des remarques que j'accueillis avec un soupir. Oui je la connaissais par cœur, mais un tel manque de confiance elle ne l'avait jamais eu vis à vis de moi et je ne comprenais pas pourquoi soudainement ça lui prenait de me plaire. « Je le sais ! Sauf que d'habitude ça prend pas cette tournure. » je secouais la tête « T'es bizarre ce soir. » répliquais-je à ce regard qu'elle posait sur moi en usant de sarcasmes. Et la nouvelle attaque ne se fit pas vraiment attendre, j'en prenais pour mon grade depuis plusieurs minutes et clairement je n'étais pas venu pour ça. Cette fois je rigolais bien moins et peu à peu je me refermais, j'avais déjà compris sa petite leçon et sa susceptibilité me déroutait. Sauf que là je ne savais plus bien quoi dire qui ne puisse pas être mal prit par ma meilleure amie et qu'elle me renverrait dans la tronche. Pearl fit tinter son verre contre le mien, j'arquais un sourcil. Vissée à son tabouret avec l'intention de s'alcooliser je doute qu'elle ait encore envie que l'on puisse s'amuser. Je pianotais un peu sur le bar, quelques répliques me venaient mais peut-être que les choses allaient empirer si je m'y risquais. La situation désagréable plus mon talent pour la provocation eurent finalement raison de moi « En fait tu te dis que j'embrasse n'importe qui, que je m'en fous que ça a pas d'importance. Mais du coup que j'ai esquiver pour toi, ça t'as pas plu c'est ça ? » je bu mon verre d'une traite « Bah tu devrais plutôt voir ça comme du respect. Y'a pas de séduction entre nous, t'es la seule personne avec qui je peux être moi-même sans que tu me juge... Je pensais que tu le savais. Mais c'est promis la prochaine fois je me débrouillerais tout seul et t'auras pas l'impression d'être juste celle qui me sauve de mes conneries. » moi aussi je pouvais y aller avec des reproches sur son rôle d'amie et j'étais même à deux doigts de lui balancer à la tronche que moi au moins je ne partais pas du jour au lendemain sans rien dire. Je me levais et histoire d'en rajouter une couche gratuitement parce que c'est un truc que je fais j'ajoutais « Et en plus tu sais quoi ? J'embrasse même les inconnues à des bals, juste pour une bonne cause. L'avantage du masque c'est que belle ou moche j'ai pas vu et pour ce qui était de son intelligence on a pas parlé. » au moins si elle voulait faire la gueule je lui donnais une vraie raison de le faire. Pour ma part j'allais retourner danser « Maintenant je vais aller danser et je serais content si tu viens me rejoindre... Bref si tu compte arrêter de bouder tu sais où me trouver. » et à ces mots je la laissais au bar à fixer ce qu'elle voudrait et ruminer si ça lui chante. |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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| Pourquoi me montrer ainsi ? Je le connaissais, j’étais persuadée qu’il pensait que j’étais en zone rouge. Tellement habituée qu’il le remarque quand je me montrais complétement susceptible et là ? C’était tellement fou. Mon comportement me faisait peut à moi-même. Depuis quand j’agissais pareillement. Je soupirais doucement en levant le regard alors qu’il disait croire en son pouvoir de séduction. Sérieusement. C’était une belle piètre excuse à mon gout. Enfin cela passait pareillement à mon esprit mais je me doutais dans un sens que c’était juste mon humeur qui jouait. Mais où était passée la fille qui voulait faire la fête ? J’haussais bêtement les épaules quand il me disait que j’étais bizarre ce soir. Que dire ou que faire pour changer de comportement ? Je n’en savais rien. Je ne savais même pas pourquoi j’agissais comme tel. Je soupirais doucement en usant alors d’un subtil sarcasme. Subtile… ou pas. J’étais totalement ailleurs, totalement perdue. Je le regardais, attentivement. Je soupirais doucement en l’écoutant. J’haussais les épaules, sans même répondre en détournant le regard quant à savoir si cela m’avait plu ou non. Non, cela ne m’avait pas plu mais cela me stressait rien que d’y penser. Et alors qu’il me disait que je savais qu’il n’y avait pas de séduction ou même que la prochaine fois, il se débrouillait, je levais mon verre en arquant un sourcil. « Merveilleux ! », lâchais-je simplement d’un ton faussement joyeux. Simple et efficace mais aimais-je le tournant de cette discussion ? Non, pas du tout. Je ne supportais même pas d’y penser. Je voulais juste enfuir ma tête dans mon verre. Et je l’écoutais en plongeant mon regard dans le fond de cette boisson. Je le regardais du coin de l’œil en l’entendant et haussant les épaules. « Ouais, bah moi aussi ! », non, il ne fallait un peu plus pour que je tinte que c’était lui mon inconnu du bal. Je soupirais doucement en le regardant alors partir vers la piste de danse. J’osais les épaules en posant les coudes sur le bar et y posant ma tête en inspirant doucement. Le barman se posait de la même façon en me regardant. « Ce n’est pas une façon de faire la fête… », me disait-il en riant nerveusement. « Ouais… », Lâchais-je alors en soupirant. « C’est certain mais je ne suis pas open à la fête ! », il riait en me regardant. « Vous êtes doués en râteaux en tout cas ! », répondait-il avec un air un peu amusé. Il ne semblait pas vraiment rancunier dis-donc. Je souriais doucement. « Désolée… », il haussait les épaules en souriant. « Pas de problèmes ! », répondait-il en regardant vers William et souriant. « Vous vous crêpez le chignon souvent ? », me demandait-il en souriant. « Euh… trop d’indiscrétion. », répondis-je en fermant les yeux et l’ignorant en partant un peu dans ma tête. Je soupirais doucement en réfléchissant. Et là, si nous étions dans un cartoon… une lampe aurait éclairé le dessus de ma tête. J’arquais un sourcil en passant une main dans mes cheveux. C’était donc lui ? Comment n’avais-je pas reconnue le gout de ses lèvres ? Comment n’avais-je pas simplement reconnue son baiser ? Il avait un truc de différent que dans le passé et même s’ils étaient passés à l’oubliette, ils étaient encore dans ma mémoire. Je regardais rapidement vers la scène en arquant les sourcils, un peu perdue, totalement même. Je le regardais attentivement comme si je ne voyais que lui d’un coup car je pensais, je réfléchissais. L’alcool dans le sang, j’en étais à mon 3 iéme verre que le barman semblait m’en servir un nouveau de lui-même. Il le posait sur le bar presque dans ma main. Un shoot de tequila. Génial. « Cela vous aideras, je crois ! », je l’avalais e suite en le regardant. « Qu’on soit sur la même longueur d’ondes… vous ne m’intéressez toujours pas ! », lui lâchais-je alors avec un grand sourire, un peu désolé ce grand sourire. J’haussais doucement les épaules en descendant de mon tabouret et titubant un peu sur mes talons. J’avançais alors vers la piste de danse en allant vers lui et lui attrapant la main fermement pour l’attirer vers moi, posant mon regard rapidement dans le sien. Sans un mot. J’approchais mes lèvres des siennes en l’embrassant langoureusement. Ce baiser presque identique à celui de ce fameux soir au bal. Presque ? Oui, je n’avais pas le gout de l’alcool dans la bouche à ce bal. Je faisais durer ce baiser au plus longtemps qu’il ne me le permettait en reculant alors et le regardant attentivement. « Je suis moche mais intelligente au moins… sauf pour reconnaitre tes baisers apparemment. Je suis vraiment stupide. », je le repoussais un peu en m’en voulant moi-même. J’avais osée me dire que c’était un simple inconnu. Oui, je me traitais de tous les noms en ce moment-même. Je soupirais doucement en levant le regard. « Super… C’est aussi cool sans le masque ? », Demandais-je en soupirant sans bouger. « Content… ? Tu m’as embrassé mais masquée. Au moins, ça a le mérite d’être clair… », je levais le regard en regardant vers le bar, partagée entre l’envie d’attendre sa réponse ou de retourner pour avaler deux ou trois shoot avec mon nouvel ami. J’hésitais réellement. Finissant par soupirer en retournant mon regard vers lui et haussant les épaules. « Félicitation… », disais-je en souriant doucement. « Et avant que tu n’y songes, je ne suis pas en zone rouge, je te connais par cœur, Brighton. », je penchais la tête avec un sourire narquois. Oui, je le connaissais par cœur, il devait y avoir pensé, j’en étais persuadée. « Je ne sais pas ce que je suis mais ça, je le sais. », soufflais-je en me parlant un peu à moi-même sur le coup car oui, j’ignorais ce qu’il se passait dans ma tête ou ce à quoi je pensais en agissant ainsi. Je n’en savais rien. Je disjonctais totalement. |
| | | William A. Brighton
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Mar 21 Mai - 23:19 | |
| Est-ce qu'on allait enfin arriver à se comprendre comme avant Pearl et moi ? J'avais gardé cette espoir depuis que nous nous étions retrouvé et d'autant plus en devenant colocataires, mais là ce soir le doute se réinstallait. Depuis quand les choses se passaient-elles comme ça entre nous ? Certes il nous arrivait parfois d'avoir des désaccords, de nous chamailler un peu parfois comme tout les amis peuvent le faire. Sauf qu'un truc clochait, surtout de son côté alors que j'étais simplement moi-même avec les défauts et qualités que ça impliquent. Le pire je crois c'était de voir que mon humour ne fonctionnait pas, qu'elle prenait tout au premier degré alors qu'elle me connaît par cœur. Oui ce soir elle était bizarre et je ne me gênais pas pour le lui dire, ce qui ne provoqua aucune réaction particulière de sa part. Mais en plus de ça elle ironisait, se payant un peu ma tête alors que ce dialogue de sourd commençait sérieusement à m'agacer. Quelle peste quand elle s'y met ! Du coup j'en rajoutais avec cette histoire d'inconnue et de bal, mais Pearl ne m'écoutait déjà plus et répondait à côté de la plaque histoire de me dire que je perdais mon temps. Cependant maintenant que nous étions dans ce bar je n'allais pas gâcher toute ma soire, malgré l'ambiance pourrie entre nous. Donc je retournais danser, sans difficulté pour sympathiser avec quelques personnes, je suis sociable c'est comme ça. Pas d'humeur à draguer c'est en tout bien tout honneur que je dansais avec deux jeunes femmes, elles même accompagnées par des amis. Au moins eux ne se prenaient pas la tête pour des conneries. L'une des deux ne manqua pas de faire remarquer que j'étais précédemment accompagné par ma copine ce qui me fit rire « On est pas ensemble, c'était juste un moyen d'être tranquille. » je haussais les épaules « Les sosies de barbie sont tenaces parfois... » ajoutais-je alors qu'elle acquiesçait « Si tu parle de la blonde aux gros seins, elle vient souvent ici et c'est un cas. ». Je continuais de danser en faisant un peu le clown, ça me changeait les idées après cette petite prise de tête avec ma meilleure amie. Et je sentis que l'on m'attrapait la main, je vis Pearl en me retournant « Ah bah c'est bien tu as arrêté de bou... » et la paf elle m'embrassait langoureusement. Mon temps de réaction fût assez lent, le temps que je me rende compte de ce qu'elle était en train de faire. Je ne répondis pas du tout à ce baiser mais posant mes mains sur ses épaules pour qu'elle recule, chose qu'elle fit plus ou moins d'elle même alors que je la regardais avec un air stupéfait « Mais qu'est-ce que tu fais ? ». Elle sentait l'alcool et ça laissait un goût désagréable sur mes lèvres, je m'essuyais la bouche en me demandant quelle mouche l'avait piqué.
Moche mais intelligente ? Reconnaître mes baisers ? Je ne comprenais rien à son charabia de fille sur la pente menant vers l'alcoolisation excessive. Elle me poussa avec une certaine vigueur qui trahissait de la colère. Je fronçais les sourcils au mot masque, percutant ensuite ce que Pearl essayait de m'expliquer. L'inconnue du bal c'était elle ? Je secouais la tête, de toutes les jeunes femmes présentent à ce bal il aurait fallu que je tombe sur ma meilleure amie ? « Tu déconne ? » demandais-je avec un léger rire un peu nerveux. Bon à son regard je me disais que peut-être pas... Mais un truc me disait qu'elle faisait peut-être ça pour m'emmerder, histoire d'avoir le dernier mot. Ça avait au moins de rassurant que si je l'avais embrassé elle, je n'avais pas embrassé une fille repoussante. Pas le temps de répliquer, elle excluait l'hypothèse de la zone rouge et je fis une moue à cette révélation, marmonnant pour moi-même « Bah on dirait pourtant. ». En fait elle était complètement paumée, avec en plus de ça l'effet de l'alcool... Un cocktail pas franchement de bonne augure. Donc elle ne savait pas ce qu'elle était ? Moi j'avais bien la réponse mais je ne pense pas qu'elle voulait l'entendre. Une emmerdeuse têtue n'étant sûrement pas ce qu'il y a de plus flatteur. Le petit groupe de personne avec qui je dansais c'était écarté, assistant à la scène avec étonnement. Je regardais alors la jeune femme avec qui j'avais le plus parlé et haussais les épaules, ça la fit rire. J'aurais bien voulu moi aussi en rire, mais au fond cette état dans lequel se mettait Pearl cachait un truc et je crois qu'elle transférait sur moi des choses qui c'était passé avec quelqu'un à Paris, j'en étais persuadé. « Tu as conscience que c'est du grand n'importe quoi là ? ». Elle avait bu et je l'avais plus ou moins encouragé dans cette voie, loin de m'imaginer que les choses finiraient ainsi, alors je m'en voulais aussi un peu. Je soupirais, à court d'idées qui pourraient l'aider et avec la simple envie de l'assommer... La mettre au lit, poser un verre d'eau et des cachets pour le mal de crâne sur sa table de nuit et la laisser décuver en oubliant son comportement désagréable de ce soir. Cette soirée que j'aurais voulue drôle et amusante tournait au vinaigre, mais au delà de ça j'étais blessé par ce constat de notre amitié qui semblait froissée sans possibilité de retour en arrière. Et l'amertume parlait pour moi « Je vais t'appeler un taxi ça vaut mieux. ». |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Mer 22 Mai - 15:16 | |
| Finie de bouder. Je finissais moi-même mentalement son mot alors que j’étais en train de l’embrasser. Qu’est-ce que je foutais ? On s’en fout. L’embrasser n’était peut-être pas ce que j’aurais fait en temps normal en fait, on n’était pas en temps normal. J’étais totalement perdue. Je ne savais même pas pourquoi. Je ne voulais plus chercher à comprendre en fait. L’alcool disait stop à cette grande magie qui est : la réflexion. Je venais alors de reculer et j’éclatais de rire alors qu’il me demandait ce que je faisais, les mains sur mes épaules. Il y avait vraiment besoin d’expliquer ce que je faisais. Il y en avait besoin ? J’inspirais doucement en le regardant attentivement. Et il fallait un peu de temps pour qu’il comprenne que l’inconnu, c’était lui. Je soupirais doucement en le regardant, me contentant simplement d’hausser les épaules sans un mot. Et là, je parlais du fait de ne pas être en zone rouge et passant du normal à rouge en lâchant un grognement alors qu’il me disait qu’on dirait. Il n’était pas l’heure de me dire ça. Je le regardais alors attentivement, il regardât cette femme qui finissait même par rire. Je le regardais alors à nouveau. Est-ce qu’il se foutait de ma poire ou je rêvais ? Je ne savais que dire et penchant la tête alors qu’il me disait que c’était du grand n’importe quoi. Je me demandais ce que j’étais à voix « haute » et il me disait que c’était du grand n’importe quoi ? Je riais, certainement pas de joie mais je souriais doucement en le regardant. « Oui, je suis du grand n’importe quoi ce soir, c’est trop top ! », j’insistais bien sur le trop avec une sorte de fausse joie. C’était un peu ironique. Mais à quoi pensais-je ? Je n’en savais rien. Je ne vouais même pas y faire attention. Je ne voulais plus réfléchir. Je le regardais attentivement alors qu’il disait appeler un taxi et j’arquais un sourcil. Non mais il était sérieux ? Il voulait se débarrasser de moi en me lâchant alors dans un taxi ? Non mais il rigolait ou pas. Je ne savais pas comment réagir et sans même savoir quoi dire sur le coup, je lui fis un grand sourire. Bêtement un sourire, sans plus. J’haussais les épaules en le regardant, sérieuse. « Je peux rentrer à pieds, t’es gentil mais je me débrouillerais ! », lui disais-je alors avec un sourire rassurant, un peu faux par ce que je jubilais à l’idée d’être celle qui l’abandonnait. Il devait s’en foutre mais j’étais alcoolisée, je me montrais aussi cinglée qu’une enfant. Charmant. Je soupirais doucement en levant le regard avant de retourner vers le bar en déposant un gros billet en cherchant rapidement après mon sac. L’avais-je pris aussi ? Je n’en savais rien pour l’instant et j’haussais les épaules en soupirant. « Tant pis, je l’ai sûrement oublié à la maison… », soufflais-je pour moi-même. Et puis ce n’était qu’un sac. Heureusement que mon argent était dans la poche de mon soutif et non dans mon sac au cas où. Sans même me tourner vers lui mais le regardant subtilement dans le miroir, je sortais de ce bar en marchant calmement, suivie d’un abruti assis au bar. Il portait apparemment mon sac, caché sous sa veste. Peut-être un plan subtile pour me parler mais trop tard, je partais mon petit. Je poussais la porte en marchant sagement dans la rue. Bon sagement, il était vrai que mes pieds n’étaient pas vraiment en bonne épique. Un partait par là et l’autre par ici. C’était la rumba. Je soupirais doucement en me retournant vers le bar et voyant même un type en sortir. Je continuais de marcher sagement. Je me retrouvais dans la pénombre mais heureusement, les lumières étaient là. Je ne faisais pas attention à ça. « Ben bien sûr, il fallait qu’à ce bal, je dise que j’attendais que la personne qui ne m’embrassait pas m’embrasse et hop, c’était lui. Je ne l’ai même pas reconnu. Génial. Je suis stupide peut-être ? », je levais les yeux doucement en haussant les épaules. « En fait, je suis cloche et en plus, je parle seule dans la rue, c’est super. », c’était génial. Je me parlais à moi-même sans m’en rendre compte. Je me sentais stupide aussi. Je parlais seule en rue mais je m’en fichais tellement. Je marchais toujours, et là, un pas se fit entendre. J’arquais un sourcil en continuant de marcher, j’étais alcoolisée et je ne savais clairement pas si j’étais capable de me défendre. Contrairement à d’habitude ou j’étais sobre. Je baissais doucement en le regard en avançant tranquillement mine de rien vers mon immeuble. |
| | | William A. Brighton
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Ven 24 Mai - 0:04 | |
| Je n'avais plus vraiment envie de faire d'effort, surtout pas si Pearl de son côté n'en faisait aucuns. Pour moi elle était responsable de cette soirée gâchée et si elle souhaitait continuer à faire la gueule alors soit ! J'avais oublié à quel point elle pouvait devenir chiante quand elle était contrariée et bourrée... Un cocktail explosif. Impossible de tenir une discussion normale avec elle, la tête de mule n'entendrait pas raison. Je proposais ou plutôt l'informais que j'allais lui appeler un taxi, chose qu'elle refusa sans que ça ne me surprenne vraiment. Je haussais les épaules avec un air détaché « Ok fais comme tu veux. ». Me détournant d'elle alors qu'elle repartait vers le bar je voulais continuer à m'amuser un peu, en partie pour oublier que notre moment entre amis avait tourné au fiasco total. Je ne la regardais même pas partir la tournure que tout cela avait pris me déplaisait vraiment, j'étais blasé et déçu... Sauf que j'avais beau essayer d'occuper mon esprit une petite partie me chuchotait que la laisser rentrer seule dans son état n'était pas vraiment ce qu'il y avait de mieux. Et puis elle avait se passé plutôt atypique et on peut le dire dramatique qui faisait obligatoirement penser au pire dès qu'un truc pouvait lui arriver. Je regardais l'heure sur ma montre et soupirais, j'approchais de la jeune femme avec qui j'avais sympathiser « Je vais y aller, pas sûr que ma coloc retrouve bien son chemin dans son état... » elle comprenait tout à fait et nous échangions rapidement nos numéros avant que je ne me dirige à mon tour vers la sortie de l'établissement.
Une fois dans la rue je regardais autour de moi dans l'espoir que Pearl se soit arrêtée pas loin mais je ne la vis pas. Prenant la direction de l'immeuble je marchais assez vite pour la rattraper, elle devait avoir cinq minutes d'avance sur moi, peut-être un peu plus. Finalement je l'aperçu assez rapidement plus loin dans la rue, la démarche mal assurée. Talons et alcool ne font pas bon ménage. Mais je constatais rapidement qu'un mec la suivait et se rapprochait d'elle d'un pas rapide. J'accélérais alors le pas. L'homme lorsqu'il fût à sa hauteur attrapa le poignet de Pearl pour la forcer à s'arrêter « Mademoiselle vous avez oublié votre sac. » déclara-t-il en lui montrant qu'il l'avait « C'est pas prudent de rentrer toute seule vous savez, surtout quand on est jolie et qu'on a bu. » mais son haleine à lui aussi trahissait un nombre de verres ingurgités assez élevé. Sa prise sur le bras de Pearl se fit plus forte encore « Venez chez moi, j'habite dans la rue en face. ». C'est à ce moment que j'arrivais à leur hauteur, prenant le sac d'un geste vif « Merci pour lui avoir ramené... » dis-je en regardant le gars avec un air sérieux « Et je vais la raccompagner. ». Il n'avait pas l'air du même avis trop bourrée pour comprendre ce que je lui racontais sûrement « C'est bon, rentre chez toi. » Et puis l'idée qu'il puisse avoir des notions en anglais assez limité me vint à l'esprit... Je baragouinais alors dans un espagnol pas très clair qu'il fallait qu'il dégage. Autant dire que je ne compris rien à sa réponse mais il lâcha Pearl et s'éloigna en gueulant je ne sais quoi. Donnant son sac à ma meilleure amie je mettais ensuite mes mains dans mes poches « Tu vois j'avais raison pour le taxi... » dis-je avec un petit ton moralisateur. Du coin de l’œil je la regardais tituber, ce qui me fit rire « Tu vas tomber de tes échasses. » la taquinais-je au risque qu'elle m’envoie encore une réplique piquante dans la tronche mais je n'étais plus à ça près. Et puis je me souvins de cette remarque qu'elle avait faite comme quoi j'allais la porter sur mon épaule pour la ramener saoule à l'appartement. Sortant les mains de mes poches je l'attrapais alors pour la mettre en sac à patate sur mon épaule. « Si t'as envie de vomir, t'es gentille tu me préviens. ». Peu importe quelle soit d'accord ou non, le chemin du retour allait être trop long. En plus ça m'amusait de lui donner raison, la prendre à son propre jeu. |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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| Quand on se sent suivre, ce n’est pas vraiment des plus agréables. J’avais toujours l’habitude en temps normal de vérifier que l’on ne me surveillait pas. Je baissais sans aucuns doutes ma garde en ce moment-même. Je changeais même peut-être en devenant moins peureuse ? Je n’en savais rien. Et je marchais, titubant alors qu’on attrapait mon bras. Sur le coup, je voulais me défendre mais j’avais l’impression d’avoir un bras en coton et je n’avais plus de force. Cela ressemblait bêtement à la défense nulle d’une fillette sans défense. J’avais oublié mon sac. Ah oui ? Pas dans mon appartement alors ? Je regardais le type et mon sac à tour de rôle et puis il me disait que ce n’était pas prudent. Je menais ma main lentement sous le bord de ma jupe là ou trainait toujours un couteau plaqué contre ma cuisse. J’aurais pu prendre Charlotte mais bon. Il forçait de plus en plus et je me rendais compte que je n’avais même pas pris mon couteau. Et merde. Damned. Je soupirais doucement en le regardant attentivement. « Lâchez-moi, s’il vous plait. C’es… », et là, je me rendais compte qu’on lui arrachait mon sac des mains. Punaise, un voleur voulait piquer mon sac à mon agresseur ? Je me mettais à rire sans avoir encore remarquée que c’était William jusqu’à ce que son parfum remontait à mes narines. C’était lui. Je posais mon regard sur lui en illuminé. Qu’est-ce qu’il faisait là. Sa greluche moqueuse était partie alors qu’il n’avait trouvé d’autres choix que de me rejoindre ? Je soupirais doucement alors que je l’écoutais parler avec le type. Il parlait même un espagnol assez bizarre… « Tu viens de lui dire de rentrer chez sa mamie en culote…. Tu sais ? », demandais-je alors en riant, totalement hilare. J’éclatais alors de rire en regardant vers lui. Et je reprenais ma marche sagement en me disant que c’était nul, ce type avait surement voulu me faire du mal et je ne lui donnais même pas de correction. Et là, je le regardais avec son ton moralisateur et arquant un sourcil. Je me retenais soudainement de lui dire de la fermer. Je ne voulais pas de sa morale. « Ouais… pour me chasser aussi vite de ta fête. », j’avais compris une sorte de message. Il ne voulait plus de moi au bar. Je continuais de tituber en ignorant sa remarque et regardant cependant plus assidument mes pieds pour moins tituber mais ils faisaient la guerre, les petits. Et là, j’hurlais quand il me prenait comme un vulgaire sac à patate, j’en avais oublié ce que j’avais dit plus tôt. L’alcool surement et par ce que c’était aussi dans le vent en quelque sortes. Une rafale de conneries par Pearly mais là, je ne comprenais pas vraiment ce qu’il foutait. « Mais lâches-moi, William ! », lâchais-je d’un ton presque meurtrier en arquant un sourcil et regardant… tenez-vous bien… ses fesses. Oui, je matais et puis quoi ? Oui, le coude sur son dos et la tête penchée, je matais ses fesses. L’alcool, bonjour. J’éclatais de rire, un peu dans la lune. « Non, pas envie de vomir… mais de baver ! », lâchais-je alors naturellement. Et là, d’un coup, je repensais à ce type. Je pensais à mon avis de ne pas le laisser s’en tirer aussi facilement. Depuis que j’étais gamine, toutes les personnes qui s’en étais prise à moi s’en était tirés toujours trop facilement. Ils partaient et la police faisait semblant d’agir, j’en avais plus qu’assez de ça. « On peut pas le laisser s’en tirer comme ça… je l’ai vu dans son regard de pervers, il voulait me violer ! », je me débattais alors un peu sur son épaule. « Lâches-moi, je veux aller lui faire la peau et de toute manière… tu voulais juste te débarrasser de moi, pourquoi tes venus me rejoindre ? Pour me montrer encore plus que j’étais minable ? », oui, minable c’est l’impression que j’avais de moi-même. Une drôle façon de se voir, non ? Je ne savais pas vraiment s’il pensait que je l’étais mais j’en avais l’impression. Râler ou même déprimer que mon meilleur ami ne m’embrasse pas alors que c’est lui qui m’en avait donné l’envie qu’il ne m’embrasse en m’embrassant sous un masque. Je me comprends, je suis saoule mais je me comprends. Une voie vers les neurones. C’était déjà ça. |
| | | William A. Brighton
LES INFOS I've got the power !
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Lun 27 Mai - 5:54 | |
| Loin de moi l'idée de jouer à Zorro, mais ce gars avait trop bu il était lourd et Pearl pas en état de se défendre convenablement... S'il lui arrivait quelque chose je ne me le pardonnerais pas. Peu importe que ça plaise ou non à ma meilleure amie, elle pouvait penser ce qu'elle voulait de ma présence au moins j'avais la conscience tranquille. Mes vagues notions en espagnol avaient suffit à faire comprendre au mec bourré que partir était sa meilleure option. Forcément je n'étais pas un as et ça fit rire Pearl... Cela dit j'avais des doutes sur sa traduction. Elle riait ça changeait de son air boudeur qui ne l'avait presque pas quitté de la soirée. Un petit faux pas de ma part, un ton moralisateur et hop la mine contrariée revenait avec en prime une petite pique « Déjà c'était pas ma fête, mais une soirée entre amis... Sauf que t'as fait ta mauvaise tête et que du coup... Bin y'a pas eu de soirée comme on l'avait prévu. » je n'allais pas me laisser marcher sur les pieds quand même, surtout pas après son attitude de ce soir. Je décidais de prendre les choses en mains, au sens propre comme figuré et j'attrapais Pearl malgré qu'elle ne soit pas de cet avis. En sac à patate sur mon épaule, j'avançais en lui demandant de bien vouloir me prévenir si elle avait envie de vomir. Sa réponse me fit rire, c'était un peu à côté de la plaque, un truc de fille bourrée tout simplement. Et je pensais être tranquille, que le chemin qui nous restais à faire serait calme. Erreur. Je sentis de l'agitation, allant de paire avec des envies de justice de la part de Pearl. Je soupirais alors à ses remarques sur ma venue, elle n'en avait pas marre de m'en mettre plein la gueule ? « Tout ce que je voulais c'est que t'arrête de faire la gueule ! » je m'arrêtais et la reposais sur ses deux pieds. Mon regard se planta dans le sien « J'ai jamais pensé que t'étais minable. Mais tu t'entends un peu ? Je crois que tu te rends pas compte à quel point tu peux être désagréable avec moi depuis le début de la soirée. ». Un peu dépité je secouais la tête « Je te reconnais pas là. Elle est où ma meilleure amie ? La fille qui rit à mes blagues aussi pourries soient-elles ? Qui ne prend pas tout au 1er degré avec susceptibilité ? Dis moi... Elle est restée à Paris ? » j'en avais marre de me battre tout seul pour notre amitié, c'était moi qui me sentais comme un con. « Je veux juste que ça redevienne comme avant... C'est pas compliqué. ». Jamais auparavant je m'étais sentis si incompris par Pearl, d'habitude même dans nos désaccords nous arrivions à parler mais là, c'était comme si tout ce que je disais était rejeté en bloc à peine sortie de ma bouche. Je reprenais le chemin vers l'immeuble, nous n'étions plus très loin de toute façon. Je ne m'occupais même pas qu'elle me suive ou non, j'avais dit ce que j'avais à dire et maintenant elle pouvait bouder autant qu'elle voudrait, je ne ferais pas le premier pas pour une réconciliation. |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
LES INFOS
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily
Come here baby, from a whisper start
To have a little faith in me
When the road gets dark
And you can no longer see
Let my love throw a spark
[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Jeu 30 Mai - 0:59 | |
| Un sac à patate et voilà ce dont j’étais réduite à être. Un vulgaire sac à patate sur ses épaules mais tout ce que je voulais c’était donner une correction à un abruti qui oublierait surement sa soirée au réveil. Il en faut peu pour être heureuse, vraiment très peu. Et montrer mes pulsions féministes à cet homme… c’était ce que je désirais. Et là, je venais alors de lui demander pourquoi il était venu me rejoindre. Mais pourquoi ? Quelle pulsion faisait qu’il était là ? Je n’en savais rien. Que j’arrête de faire la gueule. Bah voyons. Faisais-je la gueule ? Je n’en savais rien. Je ne savais pas plus ce qu’il se passait dans ma tête mais je voulais arrêter de penser. Et là, alors que je me débattais, il me reposait. Miracle. Quelle mouche lui piquait ? Je l’écoutais alors attentivement en arquant un sourcil. Il était curieux quand même. J’haussais les épaules. Je soupirais doucement en l’entendant. Le voyant alors s’éloigner et marcher à pas rapide, de grands pas pour arriver rapidement à sa hauteur. Je ne savais pas pourquoi j’avais envie e le rattraper car aussitôt que je m’apprêtais à laisser des mots sortir de ma bouche, je ne disais rien. Je soupirais doucement en tournant le regard vers lui. Sans mots, qu’allais-je bien pouvoir dire alors que j’ignorais bêtement ce que je cherchais. Comment être une amie quand on a l’impression de vouloir plus et que cela nous dépasse totalement ? Je n’en savais rien. Et me je mettais à penser à ce qu’il avait dit. A ce qu’il venait de se passer. Rien n’était réellement logique dans ma tête. J’avais l’impression d’être comme morte sans savoir quoi dire et marchant à des pas moins vifs et pas du tout aussi droit que les siens. J’étais réellement à côté de la plaque et le pire était que j’en étais consciente. J’étais morte. Oui, ceci est métaphorique bien sûr. Et là, il fallait que des mots sortes. « Paris… paris mais t’as que ça en tête, il est ou le rapport avec Paris ? », demandais-je alors en soupirant doucement. Pourquoi ? C’était tellement tabou pour moi et qu’il en vienne sur le sujet me ramenait à cette idée qu’il ne valait mieux pas en parler. « Laissons Paris et mon erreur ou elle est… je ne vois pas le rapport, William ! », en fait, une chose dont j’étais sûre à part le fait que j’étais partie car j’étais autant perdue… il n’y avait aucuns rapports de mon départ à Paris. Enfin je n’en savais rien, je ne savais rien. J’inspirais doucement. « Désolée d’être désagréable… mais je pense juste être minable, c’est tout. Je le suis donc voilà ! », disais-je cash en le regardant. « Tu me reconnais pas et ben tant mieux pour toi, je me reconnais pas non plus alors, tout le monde est content. », soufflais-je en prenant des pas plus rapides pour le dépasser alors que nous arrivions à l’entrée du parking. « Et désolée de pas être drôle, je suis nu…fuck ! », oui, je me prenais le pied dans une des bordures n’ayant pas vraiment fais attention à ce qui se passait à l’étage panard. Je me retrouvais la tête au sol et les fesses en l’air. « MERDE ! », soufflais-je mêlé à un soupire sans daigner bouger. Je m’étais surtout un peu faite mal à la cheville encore légèrement endolorie depuis le bal. Je savais que dès que je serais les pieds sur terre, je ressentirais encore cette douleur gênante à mon pied. « Ça peut pas redevenir comme avant car tu ne me pardonneras jamais d’être partie et je ne me le pardonnerais jamais même si c’est en espérant te revoir que je suis venue à Barcelone. Et… j’avais besoin de m’éloigner de Las Vegas… », je soupirais doucement en retenant le : j’avais besoin de m’éloigner de toi. Cela reporterait trop de questions. « T’as raison en fait, je suis juste mal. C’est ce qu’on appelle le coup de blues, le… enfin j’en sais rien. Je suis ce que tu veux ! », Et sur tout mon discours, j’étais toujours les fesses en l’air et les mains sur le sol. Le pied douloureux et l’envie soudaine de me cogner la tête contre le sol pour dire de me faire encore plus mal et ressentir au moins une chose que je comprenais. Enfin la douleur à la cheville, je la comprenais bien sûr. Je soupirais doucement en fermant les yeux et posant ma tête sur l’herbe. |
| | | William A. Brighton
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✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL Sam 29 Juin - 10:31 | |
| Un fiasco, voilà ce qu'était cette soirée. Moi qui m'étais réjouie toute la journée de pouvoir passer un bon moment entre amis, je ne pouvais cacher ma déception. Je ne le faisais pas et exprimais ce que j'avais sur le cœur, mes impressions par rapport à son attitude. Et ses réponses n'allaient pas arranger cela. Je lâchais un soupir bien profond « Le rapport ? Bah c'est quand même étrange que après ton passage là bas tu sois comme ça. Alors j'essaye de comprendre. » je secouais la tête « Mais je vais laisser tomber je crois. ». Ok elle était bourrée mais là je n'avais pas envie de lui trouver des excuses, son attitude au bar avait été horrible et je lui en voulais d'avoir fait foirer ce qui devait être une bonne soirée. Au final je ne l'écoutais même plus, ses arguments et ses pleurnicheries j'y devenais hermétique. Peut-être que j'étais trop dur mais Pearl l'avait malgré elle bien cherché. Je sortais mes clés, décidé à rentrer à l'appartement et y retrouver ma chambre sans plus d'échange sur ce soir. Mais c'était sans compter sur la maladresse de ma meilleure amie qui se retrouva par terre après quelques pas mal assurés. Deux pieds gauches pour une droitière à l'origine c'était pas terrible mais alors deux pieds gauches et l'alcool c'était la cata ! J'hésitais à la laisser là, réellement... Et puis elle reprit son discours, m'expliquant que ça ne serait plus pareil parce que je n'allais pas lui pardonner. Ok donc en gros c'est ma faute ? Elle se barre sans rien dire, je me retrouve comme un con avec un projet qu'on avait fait à deux et maintenant c'est ma faute ? J'hallucinais non ? Je tentais de ne pas être trop sec pour lui répondre « Bah ouais t'éloigner de Vegas c'était pour ça qu'on voulait venir à Barcelone, mais bon. ». Donc c'était un coup de blues qui la rendait si pénible. Peut-être était-ce la seule excuse recevable qu'elle avait pondu.
Pearl n'avait même pas pris la peine de se relever, j'approchais et la poussais un peu sur les fesses avec mon pied « T'es ridicule comme ça. ». Après un énième soupir je l'attrapais pour la relever « Bon on va pouvoir rentrer maintenant ? ». Je m'assurais que se soit le cas l'aidant à aller vers la porte de l'immeuble puis jusqu'à l'ascenseur et même ensuite jusqu'à notre appartement. Une fois à l'intérieur, j'allais dans la cuisine prendre un verre que je remplissais d'eau et sortait des cachets pour le mal de tête également. Je donnais tout ça à Pearl « Je pense que t'en auras besoin demain matin. Passe une bonne nuit. » et sur ces derniers mots j'allais dans ma chambre pour dormir à défaut d'avoir pu faire la fête jusqu'au bout de la nuit avec ma meilleure amie. |
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| | | | + il fut un temps ou le jeu n'était qu'un jeu | WEARL | |
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