William A. Brighton
LES INFOS I've got the power !
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: Non mais t'es fou ? @ Will&Pearl Sam 26 Mai - 10:00 | |
| Pearl souhaitait que notre fils porte mon nom et je respectais ce choix, je comprenais bien ce qu'elle voulait dire en parlant de sécurité. Elle avait été profondément marqué par tout ce qu'elle avait vécu à Vegas et qui ne l'aurait pas été? A 5 ans à peine elle avait connu l'enfer, je savais combien cela était encore une source de traumatisme pour elle. Ce moment était apaisant, juste nous...Trois ou au moins deux et demi. Elle me demanda de fermer les yeux ce que je fis, je ne voulais pas lutter mais simplement profiter de l'instant je me montrais donc docile. Je sentais son souffle dans mon cou puis elle me chuchota d'imaginer que nous étions le 6 décembre à Vegas, que nous venions de faire l'amour. Je jouais le jeu et essayais de quitter Barcelone, de délaisser tout le reste pour me concentrer sur ce souvenir. Nos corps encore brûlants, enlacés, ses lèvres si douces que les miennes avaient du mal à quitter, je me surprenais à arriver facilement à m'en souvenir mais il faut dire que sentir son parfum m'aidait beaucoup. Je répondais à son baiser et le prolongeais, j'y étais à Vegas ce soir là où je pensais que les choses allaient changer positivement et finalement au matin j'avais vite déchanté, non pas exactement le matin... S'était plutôt après une fois que j'avais compris qu'elle était pas juste partie au casino peut-être en regrettant ce qui s'était passé mais bien partie définitivement. Mais là je repensais qu'au moment agréable de cette nuit, je caressais son dos et malgré que je sente son ventre contre le mien ça n'avait pas d'importance elle était là et je ne comptais pas la lâcher. Blottie contre elle je me sentais un peu comme un gamin fragile qui trouverait enfin le réconfort mais vis à vis d'elle je n'avais pas peur de montrer ma faiblesse, Pearl avait toujours été la seule à pouvoir voir mes failles même quand je ne voulais pas lui montrer. Je chuchotais comme un secret, les même que nous avions étant gamins "Je t'aime Pearl... Je suis complètement dingue de toi." dingue au point d'envoyer un mec à l'hosto mais ça je ne voulais pas y repenser. Immobile je trouvais peu à peu le calme nécessaire pour finir par me laisser emporter par le sommeil. |
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Pearl B. Angeles-Hartley
LES INFOS
[b]When your secret heart
Cannot speak so easily
Come here baby, from a whisper start
To have a little faith in me
When the road gets dark
And you can no longer see
Let my love throw a spark
[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: Non mais t'es fou ? @ Will&Pearl Dim 27 Mai - 1:43 | |
| Comment avoir la sensation de se retrouver alors que je n’étais même pas enceinte et que nous n’étions même pas en couple. Comment retrouver cette complicité de l’époque que nous avions encore mais avait quelques peu changée de statut ? Sentir ses caresses et ses lèvres contre les miennes m’aidait. Je fermais ainsi aussi les yeux en me rappelant de tellement de choses alors que cette nuit avait été tellement importante. La plus belle de ma vie. Je me rappelais de son toucher qui rendait ma peau tellement électrique quand il me touchait. Cette sensation n’était pas spécialement nouvelle, j’avais cette petite décharge depuis bien longtemps à chaque fois qu’il posait ses mains sur moi. Cela pouvait paraitre dingue de ressentir ceci au toucher de notre meilleur ami. Je ne devais pas mentir. J’étais amoureuse. Je me souvenais de cette bouffée de chaleur qui étaient montées en moins à chacun de ses baisers, à chaque apogée de nos passions en flamme quand nous n’étions plus qu’un. Ses caresses et tout ce qui avait rendu cette nuit parfaite. Ce smooking que j’aimais tant. Son parfum qui me rendait presque euphorique alors que maintenant, je sais qu’il me donnait la nausée lors de mon premier trimestre. Tout était différent sans l’être. Je ressentais les mêmes sensations alors qu’il me caressait. Je ne ressentais rien que ces sensations alors qu’il était proche de moi. Cela suffisait tellement. Je pouvais sentir mon ventre contre le sien et même si cela devait gâcher tout ce que j’emmagasinais pour me souvenir de cette nuit, bien au contraire. Cela rendait ça encore plus beau. C’était ce que nous avions accomplis. Le fruit d’une nuit qui n’est pas la plus belle rien que pour cet enfant, non bien plus. C’était le fruit d’années de renie des sentiments qu’on partage. D’années de jalousies des greluches qui couchaient avec lui alors que je me trouvais dans la pièce d’à côté… des années de jalousies de son côté aussi même si j’étais bien moins capable d’en aimer pleinement un autre alors que mon cœur lui appartenait. Sans qu’il ne le sache ? Ou peut-être le savait-il ? Je n’avais jamais sue ça. J’arrivais à en oublier mon départ dans ses bras et à son murmure, je souriais. Tout était encore plus concret. J’en oubliais sa folie au café pendant deux instants mais c’était réellement pendant deux instants, une moue ne put s’empêcher de se former. « Un peu dingue oui… », je souriais pourtant aussi tôt car j’aimais ce côté passionné et ce côté protecteur. En fait, je l’aimais tout court avec les bons et les mauvais côtés. Il était mon homme, mon meilleur ami et aussi le père de mes enfants. Il pourrait être un bandit, je m’en fichai. Il restait la personne qui m’avait tant apportée et qui me faisait oublier mon passé. Dans ses bras, je ne pensais plus à mon enfance tellement détruite comme si l’on écrasait des biscottes. Oui, on voulait faire des boulets de ma vie. Je murmurais à mon tour. « Je t’aime aussi, tu ne peux pas savoir à quel point. Je t’aimais au point que j’aurais bien tuée les femmes qui partageaient ton drap. Je t’aime au point d’en ressentir de la jalousie pour la première fois de ma vie et ne souhaiter qu’une chose… que tu vois que je t’aime… Je t’aime au point de trouver que c’était la plus belle nuit de ma vie pour diverses raisons. Je t’aime au point de porter ton enfant et de me dire que ton fils est le plus beau cadeau qu’on ne m’a jamais fait… car s’il ressemble à son père et qu’il est ne serait-ce que 50% comme son père. Qu’il ait son caractère, ses yeux, son nom et ses cheveux… cela sera le deuxième homme de ma vie. », je souriais doucement en déposant un baiser sur son épaule et me bougeant un peu pour être dos à lui pour ainsi pouvoir être encore plus contre lui et profiter de la chaleur de son corps. Je caressais ses bras et callais ma tête correctement en gardant les yeux fermés. Je m’endormais rapidement, apaisée par sa présence et profitant simplement du contact de celui-ci contre ma peau. Ma nuit fut bonne, le bébé semblait aussi apaisé et ne bougeait pas trop ce qui me surprenait. Je sentis des mouvements mais beaucoup moins brusque, plus calme. Juste assez pour ne pas m’alarme et savoir que tout allait bien. Tout était parfait, ma vie était parfaite. J’avais l’impression que je pouvais enfin m’autoriser à vivre. Au milieu de ma vie et comme pour une première fois, j’avais levé le bras pour éteindre la lampe de cheveux et refermer les yeux pour ainsi me retrouver dans le noir complet, un test ? Qui fonctionnait bien mais là, j’étais en sécurité et je savais que rien n’allais m’arriver. |
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