ICI, NOUS SOMMES POUR LA RELAXATION... 10 LIGNES EXIGÉES SEULEMENT ET OUI, C'EST CADEAU ! I LOVE YOU ON VOUS AIME C’ÉTAIT LE BISOUNOURS TIMES NOUS SOMMES EN ESPAGNE ET EUROPÉENS. TENEZ EN COMPTE POUR VOS ORIGINES, MOINS D’AMÉRICAIN ! |
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| WEARL • Goodmorning, Willy | |
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Auteur | Message |
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William A. Brighton
LES INFOS I've got the power !
✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 05/07/1985 ✔ METIER : Responsable de la sécurité ✔ CUPIDON : Célibataire ✔ HUMEUR : Entre le bonheur et l'anxiété ✔ SURNOMS : Will ; Willy ✔ CITATION : U.C © CRÉDITS : Lapin fou ★ AVATAR : Ian Somerhalder ✔ PSEUDO : PoM € EUROS : 22743 ✔ MESSAGES : 633 ✔ ANNIVERSAIRE : 11/05/1988 ✔ AGE : 36 ✔ INSCRIPTION : 19/04/2012 ✔ PAYS : France AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: WEARL • Goodmorning, Willy Mar 28 Aoû - 8:19 | |
| Je me sentais vidé de mon énergie, tout ça toutes ses émotions comme des aiguilles qui venaient me piquer de toutes parts je ne savais plus où j'en étais ni quoi faire. Me demander de faire des choix à cet instant me paraissait être quelque chose d'insurmontable, au delà de mes moyens du moment. J'entends chaque mot que prononçait Pearl mais s'était autant d'informations qui venaient saturer un peu plus mon esprit. Je voulais comprendre, je voulais pouvoir lui répondre clairement et essayer de la convaincre qu'elle était bien plus forte que ce qu'elle pensait. Elle souffrait déjà parce que mes mots avaient dépassé ma vraie pensée, j'avais utilisé un terme trop fort pour traduire le simple fait que je voulais juste que l'on soit plus soft tous les deux et qu'on se déleste de la pression qui pesait sur nos épaules. Mais pour Pearl s'était comme si j'avais tout condamné en un instant. Le poids des mots... Leur force n'est pas à prendre à la légère, la preuve. Au fond sa réaction suscitait tout autant d'interrogations de mon côté "Je pensais que tu me connaissais assez pour savoir que je dis des trucs stupides quand je ne sais plus où j'en suis." depuis quelques temps j'avais l'impression qu'elle oubliait qui j'étais mais me balançait à la figure son rôle de meilleure amie. Je ne voulais pas être prisonnier ni de notre amour ni de notre amitié. Tout semblait si simple pendant ces trois jours merveilleux que nous avions passé avant mon départ, mais là ils me paraissaient à des années lumières.
Je la regardais avec une lueur d'incompréhension dans le regard "Pourquoi?" je soupirais "Pourquoi tu me dis que tu en crèverais alors que t'as encore la main presque sur la poignée de la porte, décidée à tout arrêté pour une erreur dans la façon que j'ai de présenter les choses? Parce que je n'arrive plus à m'exprimer convenablement et que j'ai peur des mots que je dis..." je me relevais et me dirigeais vers le meuble télé en sortant une bouteille de whisky. J'avais besoin d'un coup de fouet alors je bu deux gorgées, grimaçant un peu en sentant la chaleur de l'alcool me brûler la gorge puis descendre jusqu'à mon estomac. Je refermais la bouteille et la rangeais soigneusement avant de me redresser "J'ai l'impression que tu me condamne, que tu nous condamne alors que je voulais juste nous laisser une chance en réglant mes problèmes une bonne fois pour toute.". S'était peut-être dur mais je n'arrivais plus à comprendre pourquoi on se tirait dans les pattes comme ça, mais si elle passait cette porte je comprendrais alors qu'elle tirait un trait sur nous, notre famille et notre histoire. "Je ne prendrais pas de décision Pearl, tu risque de rester longtemps devant cette porte si tu attends que je te dise quoi faire. Moi je crois qu'on peut avancer j'en ai envie mais sûrement pas comme ça... Pas dans la peur d'une nouvelle explosion." elle allait sûrement me renvoyer encore l'ascenseur et le serpent se mordrait la queue encore et encore. Comment on pouvait arrêter ça? |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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[/b] ✔ JE SUIS NÉ(E) LE : 10 janvier 1987 ✔ APPARTEMENT : 5E ✔ METIER : Proprio du Chocothé et patronne ✔ CUPIDON : En couple avec ses peurs... et ça la monopolise sentimentalement. ✔ HUMEUR : solitaire ✔ SURNOMS : Pearl, Pearly... perle et tout ce que vous voulez. ✔ CHOSES A FAIRE : ✗ s'occuper de chocothé
✗ faire la compta du café
❑ prendre rendez-vous chez le dentiste
❑ aller faire du shopping
❑ passer à la salle de sport
❑ s'occuper d'engager un cuistot ✔ CITATION : Quels sont les bons pansements pour une peine de cœur ? Les fabricants de sparadraps n’y ont pas encore pensés et pourtant cela serait réellement une bonne idée. Cela rapporterait beaucoup. Les plus blessées sont souvent les cœurs brisés. © CRÉDITS : Saraplapla et tumblr ★ AVATAR : NINA DOBREV alias Nikolina Constantinova Dobreva, je fais genre je peux l'écrire, je suis à la pointe de la mode. ✔ PSEUDO : Crazy B. € EUROS : 24410 ✔ MESSAGES : 2873 ✔ ANNIVERSAIRE : 10/01/1989 ✔ AGE : 35 ✔ INSCRIPTION : 20/12/2011 ✔ PAYS : Belgique AND MOREMy lifeMon carnet d'adresses: | Sujet: Re: WEARL • Goodmorning, Willy Mar 28 Aoû - 10:25 | |
| Je soupirais en l’entendant, je le connaissais, oui mais lui aussi et il savait que j’étais parfois parano et que j’avais beau faire tout ce que je voulais et paraitre aussi forte que je le voulais, il y avait des fois ou je manquais de confiance en moi. Je suis humaine après tout et comment avoir confiance en moi avec ce passé qui je traine comme un boulet accroché à ses chaines ? Je secouais la tête en le regardant. "Je te connais et tu me connais aussi... Je dis autant de choses stupides mais surtout, je les pense… et j’ai des choses dans la tête que je pense parfois mais qui sont fausses et stupide comme pour Liam et notre dispute, je le pense mais je sais que tu es un bon père. Tu es le meilleur ! », j’étais franche. J’avais beau avoir eue cette peur mais c’était sous la colère, sous la pression d’une dispute et surtout par ce que j’étais une rancunière et que je n’avais plus été rationnelle dès ce moment-là. Là, n’était même plus le souci et j’avais cependant juste envie de le dire. C’était bien autre choses. L’on n’était même plus sur ce sujet. On s’était même égaré en route comme des petits lièvres. Cette impression que j’oubliais qui il était seulement du fait que l’on semblait tellement bien et heureux que je ne me pose plus de questions. On vivait, c’était tout. Et ça faisais tellement de bien de vivre : bien. Mais le bonheur est souvent illusoire. Tellement orageux en ce moment que ma main ne quittait pas la poignée.
Je le regardais aussitôt à son regard et sa question. Pourquoi ? Telle était cette question tellement évidente. Par ce que je t’aime, c’est bête. Je le regardais et même mon regard pouvait le montre : cette réponse évidente. Comment tourner le dos à la personne qu’on aime ? Tellement impossible pour moi alors que nous nous étions désirés depuis tellement d’années. Je finissais par baisser le regard en l’entendant. Il était vrai que le choix des mots n’était pas des plus simples. Là, je voulais quitter cette poignée et je la lâchais même en haussant timidement les épaules. Je le suivais du regard allé vers la bouteille et restant simplement debout en écoutant la suite du programme. Je n’aimais pas qu’il touche à l’alcool c’était mauvais signe. J’avais toujours un mauvais signe de ceux qui ne buvait peut-être pas ce que je ne buvais que quand j’étais en simple désarrois ? Il en fallait même beaucoup. Il fallait simplement que la vie n’a plus aucuns gouts pour moi afin que l’alcool soit mon refuge. Lui était différent, j’étais au courant mais j’avais toujours cette panique. J’étais comme silencieuse à réfléchir à ce qu’il disait et faire le point avec moi-même. J’avais du mal à comprendre ce qu’il disait. Pourquoi voulait-il une pause bien plus tôt et là, il voulait bien qu’on avance ? J’étais perdue et je ne savais que faire ou dire. J’inspirais doucement en le regardant et allant vers lui. Approchant avant de reprendre enfin la parole et me mettant à quelques centimètres de lui. « Pourquoi ? Par ce que je t’aime et la simple idée de nous condamner me tue à petit feu mais ce n’est pas ce que je fais. », je posais les deux mains sur sa joue en allant contre lui et entendant aussi Liam broncher dans son berceau. « Je ne veux pas que l’on soit comme un lecteur mp3 et que l’on puisse appuyer sur pause ou play quand ça nous chante. On est parents, on est une famille. Je sais très bien que parfois ça dépasse tes mots. C’est le lot de toutes les disputes… mais ça ce n’est rien. J’ai juste peur que l’on devienne comme nos parents, je ne veux pas ça. Je ne sais pas ce que je dois faire et je n’ai aucune envies de me séparer de toi, même pas le temps d’une pause sur notre mp3… », J’utilisais cette métaphore surement pour rendre ça moins dramatique et aussi que c’est l’impression que mon toujours faites les pauses et comme tous les mp3… les piles sont niqués et hop, ça restera toujours sur pause au point e devenir sur stop. « Je ne veux pas qu’on se mette en pause car ça me fait peur… je ne suis pas stupide, William. Les pauses deviennent toujours stop et je ne pourrais pas supporter ça ! Je ne veux pas non plus qu’on se dispute sans cesse et qu’on finisse par se déchirer par ce que je n’aime pas ça et surtout pour lui. Je n’en ai pas envie. », je déposais alors un fin baiser sur ses lèvres en fermant les yeux avant de poser mon front contre le sien. Je savais que ce que je m'apprêtais à faire allait être compliqué pour moi, dure à dire car c'était ainsi. Je ne voulais même pas y penser mais c'était ce que je m'apprêtais à faire en inspirant. Ce n'était pas une rupture et pas une pause, c'était juste ses barrières qu'il voulait mettre que je mettais comme une grande. « Cela peut te sembler Théâtrale... mais écoutes-moi... juste... ne m'interrompt pas sinon... j'aurais pas le courage de continuer... ou même tout ce que tu veux. Je vais juste m’éloigner… je ne promets pas d’y arriver si on se voit trop souvent. Ne m'appelles plus que pour Liam, je veux pas que lui, il s'éloigne. Tu me crois, hein ? Je veux pas ça, je veux surtout pas que tu te retiennes quand tu veux le voir. Mais moi... laisses-moi de la distance. C’est con mais c’est comme ça, on a tellement attendue pour pouvoir être enfin ensemble que je ne veux plus passer une seule seconde sans être dans tes bras. Je ne pourrais pas supporter d’être à côté de toi sans avoir le droit de te toucher ou t’embrasser quand j’en ai envie. Je vais me répéter... C’est con, je le sais et… c’est juste que ça fait mal de retourner à notre passé. Ce n’est ni une pause, ni une condamnation mais c’est la seule option que je suis prête à t’offrir… juste… que rien que cette décision me fait horriblement souffrir, je sais même pas si j’y arriverais… ou même si je n’en souffrirais pas… par ce que m’écarter de ta vie, c’est la chose la plus impossible que je serais prête de faire. Je préfère le faire de moi-même que de supporter que tu m'y repousses encore une fois... J’espère que tu comprends ça. Je ne veux pas d’un autre, j’en ai aucunes envies, je ne veux même pas y penser une seule seconde mais si ça peut faire ton bien… de devenir invisible... je le deviendrais. », je soupirais en ayant une larme qui coule sur ma joue, une de plus, elles n’arrêtaient pas de couler. Je ne lâchais pas ses joues et évitais de le regarder dans les yeux car cette seule idée de m'éloigner me transperçait le cœur mais je me disais que ça serait le plus simple. « Je t’aime, Will… et quand je quitterais cette appartement... je te paraitrais surement indifférente et invisible... mais ça ne changera pas ce que je ressens pour toi, ça serait juste ma façon de m'éloigner de toi et tenir bon ! Et si je fais ça, c'est uniquement pour toi et notre fils... », je l’embrassais alors brièvement. Je tenais à cette idée, si ça pouvait lui aider mais je n’y étais pas prête et je savais que cela serait dur. Surement bien trop. Et je n’étais même pas certaine d’en sortir indemne ! C’était stupide mais cette idée de ne devenir qu’un fantôme de l’appartement d’en face… m’était insupportable. J’avais besoin de lui, j’avais besoin d’être dans ses bras pour soulager mes cauchemars, j’avais besoin de sa présence. Il m’était vital. Sans lui, je n’étais qu’une ombre sur un tableau. Qu’une tâche. Je le faisais pour eux car je savais que ça serait bien pire pour moi.
J'ai pas clôturée, ça faisait trop long déjà puis on sait jamais sa réaction. |
| | | William A. Brighton
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| Donc il y avait une différence, ces choses qu'elle disait, elle les pensait? J'encaissais sans rien dire. de toute manière je n'étais plus à ça prêt. J'avais tout foutu en l'air avec mes conneries... Peut-être que j'aurais dû rester à Vegas? Mais sur l'instant ça me paraissait tellement impossible. Comment une personne capable de vous rendre le plus heureux du monde peut vous trainer en enfer quelques temps plus tard simplement parce que les choses ne sont pas si faciles? Je ne savais plus comment me comporter, quoi penser, s'était comme être au pied d'un mur lisse et de ne pas pouvoir l'escalader. Pearl m'aime je n'en ai jamais douter, mais est-ce que à trop aimer on ne fini pas par détruire? Au final en ce moment on se faisait bien plus de mal que de bien et j'étais désolé que ça la fasse souffrir mais oui s'était sa faute, on entière faute. La base s'était son départ sans un mot, pas une explication. Je voulais la pardonner et juste profiter pour être heureux et ne pas vivre dans le passé mais au fond de moi la blessure créé par la souffrance à son départ s'éveillait par moment faisant ressortir le pire en moi et s'était contre ça que je voulais lutter. Il fallait que les démons de mon enfance soient chassés, que j'arrive à devenir plus serein et ne craigne pas d'être abandonné à n'importe quel moment. La fissure que j'avais à cause de mon enfance elle en avait fait une faille énorme ou tombait parfois des petits morceaux de moi. Il fallait que ça s'arrête, j'allais finir par devenir fou et les seuls moments de bonheur qu'elle m'offrait ne seraient plus suffisant. "C'est pas de ça qu'il s'agit Pearl. Je voulais pas qu'on soit comme des inconnus, juste qu'on arrête de se prendre la tête pour rien et se balancer des saloperies. Mais toi t'as prit ça comme si j'avais appuyé sur le bouton qui déclenchait la bombe atomique. Je t'en veux pas... Ou peut-être que oui parce que tu rends les choses compliquées alors qu'elles l'étaient bien assez. Mais je te comprends aussi c'est pas simple pour personne." je secouais vivement la tête "J'ai été stupide et maladroit ok mais là? Regarde nous? On ressemble à quoi? Tu es en larmes et je suis une loque, j'ai l'impression d'être vidé de toute mon énergie. T'es ce qui m'arrive de mieux mais tu es aussi la cause du pire, c'est pour ça que c'est dur mais ça me dépasse tout ça. Les sentiments, les émotions... On est des êtres complexes et moi là en ce moment et depuis 10 mois maintenant je suis les deux pieds dans ce merdier.".
Je la laissais déposer un baiser sur mes lèvres mais j'étais comme inerte, ça pesait bien trop lourd sur mes épaules. Je fronçais les sourcils quand elle commença à parler mais respectais son désir de ne pas être interrompue. Ce que j'entendais me faisait mal, pour moi mais surtout pour elle. Je savais que s'était pour moi qu'elle faisait ça et je lui étais infiniment reconnaissant d'essayer de comprendre ce besoin que j'avais de me confronter à moi-même sans risquer de la blesser directement par mon attitude. Difficile ça allait l'être j'en étais conscient mais je devais faire ça seul. J'essuyais les larmes sur sa joue et hochais doucement la tête "Je t'aime aussi Pearl n'en doute jamais. Quand j'irais mieux et que je serais sûr d'être redevenu complètement moi-même tu le verras, je le sais. On peut pas vivre dans le mensonge, j'aurais pas la force de faire semblant d'aller complètement bien encore, c'est pour ça que je dois mettre un bon coup de pieds dans tout ça... Mon passé... Moi tout, et repartir à zéro." je lui souriais "Même si tu dis que c'est des mensonges ça n'en est pas, je te promets que bientôt ça ira parfaitement. Il me faut juste un peu de temps où je n'aurais pas à craindre de te blesser." parfois je devenais tellement fou que je ne craignais plus seulement mes mots mais aussi mes gestes, ma violence ne faisait que croitre et s'était terrifiant. "C'est pour notre famille Pearl...". Je la serrais un instant contre moi, s'était un peu comme un départ en voyage en fait sauf que je ne partais pas vraiment. Je déposais un baiser sur son front puis la lâchais pour la laisser partir, s'était dur d'en arriver là mais j'étais convaincu que s'était nécessaire. |
| | | Pearl B. Angeles-Hartley
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| Se battre et se battre encore, être forte et montrer que l’on aimerait être vraiment insensible mais l’on ne peut pas du tout l’être. Je ne pouvais pas. A mesure que notre dispute continuait, je voulais juste m’enfermer au fond d’un trou car quoique je dise : j’avais l’impression d’être la fautive. J’avais l’impression que tout ça était de ma faute et que tous les torts m’étaient rendus. Mon réflexe fut de soupirer doucement. Cette sensation quand je l’entendais qu’il allait encore m’en vouloir d’avoir juste été blessée d’un mot que l’on détermine d’une pause mais c’était de ça qu’il s’agissait pour moi. Cette peur que ça s’arrête de ce simple mot. Pause allant directement avec Stop. Je ne disais rien à ses mots, j’encaissais. Au fond, c’était toujours ainsi même quand je n’étais pas en tort, je me culpabilisais. C’était ainsi et pas autrement. Je baissais le regard en soupirant. « Désolée de te pourrir la vie ! », soufflais-je doucement alors que j’approchais enfin à ses mots. Il ne voulait pas dire ça, j’en étais sûre et je le savais mais moi, je le voyais comme ça de ses mots. J’avais cette fichue impression d’être le boulet pendu à lui qui ne veut pas se décrocher et la pire décision que j’allais prendre, j’allais la prendre alors que j’étais face à lui. Je ne savais même pas si je comprenais comment ça pourrait l’aider que je sois loin. Quand on aime, on n’a pas besoin des personnes à qui l’on tient près de nous ? J’avais souvent été au plus mal et je ne voulais pas toujours être seule même si je le clamais parfois hauts et forts. On n’aime pas la solitude. On aime être soutenue et même si je parlais là pour exprimer la pire des choses que j’allais faire, je doutais même que cela ne serve à quelques choses. Je partais peut-être d’une logique négative mais je voulais me montrer forte alors que je bouillonnais de faiblesses. Je l’écoutais en laissant mes larmes retomber mais tentant de les retenir par ce que moi, je ne devais pas penser pour une seule personne mais j’allais devoir être forte pour deux. C’était ce qui rendait ma tâche encore plus difficile. Je devrais tenir les deux bouts. Je le savais que ça allait être ardue. Je ne l’écoutais plus quand il parlait comme si ça en étant trop. Je secouais doucement la tête. « Chut… n’en rajoutes pas sinon je n’y arriverais pas ! », c’était con mais ça me rendait la tâche encore plus compliqué et même voir son sourire ça ne me donnait pas envie de mettre mon plan à exécution. Pas du tout. Et quand il dit avoir craindre de me blesser, je soupirais doucement. Il ne s’en doutait surement pas mais ça me blesserait de loin et psychologiquement de vivre dans l’ombre de son fils à lui. L’ombre qui ne servirait qu’à être la personne qui s’occuperait d’apprêter celui-ci à voir son père. C’est tout à quoi se résoudrait notre communication. « Ne fais pas de promesses qu’aucun de nous ne sommes sûrs de tenir, Will… », je le pensais haut et fort que je doutais amèrement que cela arrange la situation. Peut-être que je manquais juste de confiance en nous. J’avais peut-être perdue cette petite flamme à la simplicité des choix que l’on prenait. Pour notre famille ? Oui mais je n’étais pas certaines que ça soit ça qu’une famille ferait et au fond ? Qu’est-ce que j’en savais ? J'avais toujours eue des semblants de familles. Ce baiser sur mon front semblait pour moi être le dernier, c’était con et stupide de penser ainsi mais c’était comme ça. Comme si on venait de nous mettre une épée de Damoclès au-dessus des têtes et que petits à petits dans le futur proche pourrait tomber et nous égorger vive. Je n pus m’empêcher de baisser le regard en reculant et allant chercher Liam dans son berceau avant de le regarder avec une moue. « Tu veux dire au revoir à papa ? », j’approchais en lui laissant l’occasion de lui dire au revoir et tentant de me montrer pour Liam : normal. Il semblait plus nerveux que d’habitude. Ça ne m’étonnait pas l’air était malsain. Je soupirais doucement en allant ensuite vers la porte et le regardant. « Je t’aime… », finissais-je par redire encore avec l’impression que ça clôturait tout et que ça serait surement la dernière fois que je pourrais le dire tout court ou même avant longtemps. Je baissais le regard à nouveau vers cette poignée que je tournais afin de sortir de l’appartement. Mon regard allant et venant dans le couloir, je finissais par rentrer dans l’appartement pour m’écrouler avec Liam contre la porte. Mes jambes m’avaient semblé… totalement absentes de muscles. |
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| | | | WEARL • Goodmorning, Willy | |
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