Une femme moderne, c’était comme ça que l’on me définissait ? Hummm, amusant. Je riais doucement en l’entendant et plaisantant alors sur ses cheveux en faisant une petite moue en l’entendant alors. « Très fan… », je riais légèrement en me demandant pourquoi d’ailleurs. Peut-être que c’était pratique ? Oui, pratique car je savais un peu ce que je pouvais faire ou pas par rapport à mes sentiments et ce geste dans ses cheveux, c’était une manière… de lui donner de l’attention sans me faire avoir par le cœur. J’étais épuisée, peut-être juste le contre coup et un coup de pompes mais ça m’amusait de l’entendre alors, je relevais le regarde vers lui. « Hummmmmm… attends qu’il sorte, t’auras pas une minute de répits… », je riais doucement en le regardant. « Le tigre est en moi ! », ouh bien sûr, je savais que l’invité surprise une fois sorti donnerait aussi du boulot mais je ne doutais pas sur le point que ça ne m’empêcherait point de ne pas partager mon temps en deux mais aussi mon énergie. J’étais une femme énergique en général, là, je l’étais surtout pour deux et essoufflée pour un rien donc c’était un peu plus compliqué, c’est vrai que l’invité surprise en était la cause. Je regardais nos mains se lier et ça me faisait tout bizarre mais positivement, disons que c’était réconfortant. Je me lançais alors à parler de mes projets et oui mais alors qu’il me posait sa question, automatiquement je relançais en disant que je ne pourrais pas faire ça. C’est alors que je le regardais quand il prit la parole, une petite moue se dessinait mélanger à un léger sourire. « Tu crois ? », demandais-je un peu effrayée simplement par l’idée d’être mon propre patron et dont être indépendante. Je souriais doucement en haussant une épaule. Je ne pus m’empêcher de refermer les yeux pensivement en l’entendant alors parler de mon père et je me mis à rire nerveusement. « Oui… si Marshall n’en voulait pas alors que Marshall, c’est Marshall… la gestion, pas son truc. », je souriais doucement en me redressant et le regardant alors dans les yeux avant de lui voler un baiser et rester contre ses lèvres. « Tu crois en moi, c’est vrai ? Tu seras là ? Mon soutien moral et physique ? », je riais doucement en l’embrassant alors et jouant avec ses lèvres légèrement en fronçant les sourcils. « Hummmmm… je me demande s’il me reste un peu d’énergie ! », posant les mains sur ses joues, je reculais doucement pour le regarder avec tendresse et rire doucement. « Peut-être que toi aussi tu as une invité surprise… tu veux te reposer ? », je riais un peu pour le taquiner surtout !

J'aimais pas quand Pearl se dévalorisait comme ça ou doutait de ses capacités, je savais que son père pensait plus à elle pour reprendre les rênes du casino que Marshall parce qu'il était devenu trop désinvolte et qu'il n'étais pas suffisamment ordonné et fiable pour ce rôle... Je n'invente rien s'était ses propres mots que j'avais entendu lors d'une conversation que je n'aurais jamais dû entendre "Tu te trompe, il voulait vraiment que tu le fasse s'était pas un choix par défaut." elle se redressais légèrement et je secouais la tête à sa question avant de répondre en riant "Non je disais ça pour rire... Je vais pas te soutenir, ça sert à rien." je levais les yeux puis la regardais avec un air amusé "Est-ce que je t'ai déjà laissé tomber? Il me semble pas et j'ai encore moins de raison de le faire maintenant alors que tu veux te lancer. Donc oui je serais là.".
Je répondais au baiser et trouvais amusant la manière dont elle jouait avec mes lèvres, s'était aussi assez excitant à vrai dire "Ça je sais pas, tu es la seule juge." j'éclatais de rire à sa question "J'ai eu une nuit plutôt courte mais j'ai l'habitude." je me redressais pour me rapprocher "Moi j'ai encore de l'énergie." j'affichais un air malicieux et allais mordiller son cou y déposant aussi quelques baisers, dans un même temps je remontais le drap au dessus de nous jusqu'à ce que nous soyons totalement recouverts "Bienvenue sous mes draps..." je riais avant de prendre possession de ses lèvres avec passion. Nous avions le début d'après-midi pour nos activités et même pour nous reposer un peu ensuite, je voulais que nous profitions un maximum du temps qui nous était offert avant que je ne ramène Pearl chez elle.

J’étais doucement pour les choix de mon père même si je voulais croire William… mon père m’avait tellement menti que je doutais tout simplement de ce qu’il disait lui ou ce qu’il voulait. Ça me perturbait cette histoire de liens du sang qu’il n’avouait pas même si c’était pour protéger son mariage, je respectais ça mais moi ? Je méritais de le savoir. Mon père m’avait tellement menti, j’haussais juste les épaules en ne rajoutant rien pour cette histoire de reprendre le casino et puis cela ne se ferait pas ou plus. Pourtant, j’en avais tellement eue envie. Je riais en l’entendant alors être ironique et me dire que ça ne servait à rien, je prenais un faux air offusqué en fronçant els sourcils et souriant alors qu’il me disait qu’il serait là d’une manière un peu amusant qui me fit hocher la tête. « Je t’aime… », disais-je juste à toutes questions et simplement parce que c’était tout ce qui me venait à l’esprit à ce moment-là. J’étais juste contente de savoir qu’il me soutiendrait puisque du soutient, j’en aurais besoin. Après ce baiser, je me concentrais dans mon jeu de lèvres en regardant les siennes et souriant doucement en l’entendant alors. « Humm… », je ne pus m’empêcher de sourire quand il disait avec l’habitude et hochant la tête en le regardant avec un beau sourire alors qu’il se redressait et se rapprochait. « Ah ouais ? Prouve-le… », disais-je mais il était déjà à l’assaut de mon cou ce qui me fit frissonner ainsi que rire un peu. « Ouh le tigre ! », disais-je pour le taquiner un peu en fermant les yeux et profitant de ses baisers qui me détendait encore plus, je n’avais même pas vu les draps remonter mais juste senti et je ne pus m’empêcher de rire en l’entendant alors que je répondais aussitôt au baiser avec autant de passion. Et mes dernières énergies partir alors dans ce sport avec lui. Tout en passion et avec tellement d’ardeur que j’en sentais mon cœur battre parfois, je vous jure que c’est possible. C’est alors que tout redevenait calme que je m’endormais tout bêtement pour une petite sieste contre lui et nous profitions ensuite avant que je ne rentre dans mon beau pyjama en plein après-midi… je vous jure que les voisins étaient heureux. Une fois entrée, une soirée cinéma bien tranquille en pensant à cette matinée avec une vision bien chaleureuse qui me faisait sourire comme une imbécile.