Les deux jeunes femmes, se mettaient au chemin, pour aller prendre un bon verre. Laura était habituée à aller dans les cafés, mais, elle ne savait pas, si Eba, l'était vraiment. En tout cas, Eba n'en avait pas l'air.

Après quelques minutes, les deux, jeunes, femmes, se trouvaient devant la porte du café. Sans attendre longtemps, Laura montrait à Eba, qu'elle pouvait entrer au café.

Lorsque les deux, jeunes, femmes étaient entré, Laura se rendait tout de suite compte, qu'il y avait juste, encore une table de libre. Vite fait, elle se déplaçait, pour que ne personne d'autre, leur vole la place.

„Heureusement, qu'on a encore eu une table, car je dois avouer, que je ne veux pas rester début.“

Laura disait à Eba en souriant. Elle ne savait pas trop, comment Eba se sentait, mais elle savait, que quelque chose n'allait pas du tout. Un sentiment, que Laura avait souvent, lorsque dans son entourage, quelque chose n'allait pas.

„Ehm... tu veux boire quoi?“

Laura demandait à Eba. Laura ne voulait pas tomber avec la porte dans la maison. Du moins, c'est ainsi, qu'on le disait au Portugal... Expression bizarre, elle le savait.

„Bonne musique ici et ce n'est pas trop... ehm... fort? On le dit ainsi?“

Laura n'était pas sûr, si elle avait employé le bon mot. L'espagnole et Laura, elles n'étaient pas encore de très bonnes amies. Pendant un instant, Laura bougeait avec la tête, au tact de la musique.

Laura s'en rendait tout de suite compte, qu'Eba n'aimait pas les endroits trop peuplés. Vu qu'elle aimait le karaoké, Laura savait, qu'Eba préférait être plus tôt, dans une salle, seule avec ces amies.

„Je te comprends... quand c'est vraiment trop plein, je ne l'aime pas non plus. Mais ici... je ne sais pas... ce n'est pas tellement plein.“

Laura s'en doutait, qu'elle venait de dire quelque chose, qu'Eba pourrait prendre mal.

„Mais, si tu ne veux pas rester, on peut aussi partir par la suite, quelque part d'autres.“

Laura disait à Eba en souriant. Laura ne voulait pas, qu'Eba se sentait mal alèse, lorsque les deux faisaient une sortie entre amies. Mais lorsque Eba commandait un coca, Laura pensait, que peut-être, elle n'avait pas commis une tellement grande faute et qu'Eba pourrait encore s'habituer à la place.

„Je prends aussi un coca.“

Laura disait au serveur, qui venait de passer à leur table. Enfaîte c'était un, jeune homme, assez mignon. Un sourire s'afficha sur le visage de Laura.

Lorsque Eba disait que d'habitude, c'est les gens qui parlent et on n'entend rien d'autre, Laura se rendait compte, qu'elle n'avait pas encore vraiment parlé avec Eba, sur leurs loisirs. Laura ne savait pas du tout, quels loisirs Eba, elle avait. Laura de son côté en avait beaucoup trop.

„Enfaîte, tu as quoi comme loisirs?“

Ce n'est pas tellement plein... Laura disait à Eba. Du point de vue d'Eba, c'était plus que plein. Trop de personnes parlaient en même temps. Ça donnait mal à la tête. Mais, Eba n'osait pas le dire à voix haute. Avec la chance, qu'elle avait toujours, quelqu'un allait l'entendre et lui faire une remarque .... une remarque, dont, par la suite, elle ne saurait pas comment réagir.

„Je crois que sur ce sujet, tout le monde a un autre avis.“

Eba répondait à Laura en souriant. Lorsque Laura proposait à Eba, que les, deux jeunes, femmes, pourraient aussi aller ailleurs, Eba pensait, que dire oui, serait le mauvais choix. Surtout, que si jamais, Eba voulait s'intégrer dans ce pays, mieux dit dans cette ville, il fallait qu'elle s'habituât à ce genre d'endroit. Et comment? En faisant la fête avec Laura.

„Non, non, c'est bien, je dois m'habituer à ce genre d'endroit.“

Eba répondait à Laura en souriant. Après que Laura avait fini sa commande, aussi un coca, quelle surprise, Eba regardait pendant un moment autour d'elle. Dans chaque coin, elle voyait des, jeunes, couples. Une chose, qui rendait Eba de temps en temps, un peu triste, car ça la rappelait, qu'elle ne pouvait plus être avec la personne, qu'elle aimait de tout son coeur.

„Je n'ai pas cru, que tu te commandes aussi un coca.“

Eba disait à Laura en souriant. Et non, Eba ne s'attendait vraiment pas à ça. Eba pensait, que Laura était plutôt du genre, à boire de la bière, ou quelque chose d'autre, mais en tout cas, quelque chose d'alcoolique et non un soda.

„Je m'attendais à que tu te prends une bière ou quelque chose dans ce genre.“

Eba disait à Laura en souriant, mais elle était contente, qu'apparemment, Laura faisait un peu attention à qu'Eba, se sentait à l'aise dans cet endroit.

„Moi?“

Eba disait à Laura, lorsque celle-ci la demandait, c'était quoi ces loisirs. Enfaîte, ça faisait longtemps, qu'on avait posé cette question à Eba.

„Hm... la musique peut-être... les livres aussi...“

Eba ne savait, vraiment, pas comment répondre à ce genre de question.

„Et toi?“

Eba disait à Laura, que sur le sujet, si c'était trop peuplé dans un lieu, chacun aurait son propre avis, Laura pouvait qu'être d'accord. Laura le voyait très bien dans son propre entourage. Sa meilleure amie, au Portugal, était tout le contraire, d'elle-même. Lisa, le nom de sa meilleure amie, adorait surtout aller dans les endroits, qui n'étaient pas trop peuplés, tout le contraire de Laura.

„Si tout le monde aurait le même avais, ça ne serait pas marrant.“

Laura disait à Eba en souriant.

Laura observait le visage d'Eba, lorsqu'elle proposait à celle-ci, de changer d'endroit, pour voir, si elle affichait la même réaction sur son visage, que les paroles, qu'elle utilisait. Ce qui n'était pas le cas, lorsque Eba, disait que les, deux jeunes, femmes, pouvaient rester dans cet endroit.

„Je te ne le crois pas, mais je vais l'accepter.“

Laura répondait en souriant. Laura savait très bien, qu'Eba n'était pas encore habituée à ce genre d'endroit.

„Les lieux de karaoké, que vous avez au Japon, ce sont des pièces fermées non? Je veux dire, ce sont des pièces, où vous pouvez être en groupes non?“

Laura voulait bien sûr apprendre plus sur le pays natal d'Eba, car elle ne savait presque rien du tout de ce pays.

Lors des commandes, Laura remarquait tout de suite, l'air surpris d'Eba. Celle-ci ne s'attendait vraiment pas, à ce que Laura s'allait se commander un coca.

„Et oui, ça me prend de temps en temps, de boire de boissons, non alcoolique.“

Laura répondait à Eba avec, un large, sourire, sur ces lèvres.

Lorsque les deux, jeunes, femmes, venaient sur le sujet des loisirs, Laura était un peu surprise par la réponse, qu'elle recevait d'Eba. Eba adorait aussi la musique, sa elle s'en doutait, mais pour les livres, elle était surprise.

„J'aime bien sur la musique, surtout pratiquer de la guitare.“

Un sourire s'afficha sur le visage de Laura, lorsqu'elle répondait à Eba.

„Mais, j'adore aussi lire des livres, surtout, lorsque, je n'arrive pas à dormir. C'est lequel ton livre préféré? Et tu es entrain de lire quoi? Et niveau musique? Je sais, je suis entrain de poster beaucoup de questions en même temps, mais j'espère, que tu arrives à me suivre.“

Laura disait à Eba en souriant. Laura savait, que pour Eba le language espagnol, n'était sûrement, pas encore très facile à comprendre, parfois.

Eba donnait entièrement raison à Laura. Le monde ne serait pas le même, si tout le monde serait du même avais. Ou, si tout le monde aurait la même religion, si tout le monde aimait la même chose...

„Heureusement, qu'on a encore le droit d'avoir son propre avis.“

Eba savait très bien, qu'il y avait des pays dans ce monde, où ce n'est pas le cas. Ou les personnes, n'ont pas le droit d'avoir leur propre avis, ou ils n'ont pas le droit d'ouvrir leur bouche, pour dire, ce qu'ils pensent. Mais, Eba ne pouvait rien faire contre ce fait.


Lorsque Laura disait à Eba, qu'elle ne lui croyait pas, ce qu'elle venait de dire, celle-ci s'en rendait compte, qu'elle ne pouvait vraiment pas cacher ses pensées Qu'elle ne savait pas mentir.

„Je suis tellement mal? Je veux dire... je peux tellement mal mentir?“

Eba disait avec un air inquiet. Si, elle était vraiment, tellement, mal avec les mensonges, ses parents se sont peut-être aussi rendu compte, du fait, qu'elle leur mentait souvent... ils n'avaient pourtant pas le droit de le savoir...car ils étaient alors aussi au courant pour Kyou. et ça non...

„J'espère que ce n'est pas le cas...“

Lorsque Laura changeait de sujet, Eba se sentait déjà plus alèse.

„Ouai, c'est ainsi. On y va souvent en groupe de 4 à 5 personnes, parfois aussi plus. On chante, on boie, parfois on mange aussi. Chaque groupe a son endroit privé, où on peut chanter ce qu'on veut et il y que les personnes, que nous on veut, qui peuvent nous voir et entendre.“

Eba était contente, que Laura venait de poser une question, sur quelque chose de son pays. Ça lui affichait un, très, large sourire sur ces lèvres.

„Mais si tu veux, je n'ai rien contre, si tu veux boire quelque chose d'autre. Ce n'est pas, comme si on allait s'embrasser par la suite.“

Eba disait à Laura en rigolant.

Les loisirs, toujours le grand dilemme, si vous n'aimez pas les mêmes choses, ce qui n'était apparemment pas le cas, pour Laura et Eba.

„Rien de plus beau qu'une guitare, sauf le guitariste bien sûr, en tout cas parfois.“

Eba répondait en souriant. Eh oui, notre chère Eba, craquait, sur, les guitaristes.

„Mon livre préféré... je dois réfléchir. je dirais que c'est... je ne sais pas le nom en espagnol. Désolé... si tu veux je te les montre une fois. Et le tien? C'est lequel?“

Eba n'était pas du tout contente, qu'elle ne savait pas le nom espagnol du livre, surtout que ça faisait quand même déjà quelque temps, qu'elle était dans le pays.

„Pour l'instant je suis en train de lire le nouvel oeuvre de Steven King et toi? Et bien sûr, que j'arrive à te suivre, je dois juste réfléchir de temps en temps, pour trouver les mots correctes.“

Au loin, Laura voyait déjà le jour venir, où elle n'aurait plus le droit d'utiliser ses propres mots. Il faut juste regarder un peu, ce qui passe dans le monde.

„Il faut qu'on utilise nos mots, pour donner notre avis, maintenant, car on ne peut jamais être sûr, combien de temps on a encore.“

Laura disait à Eba, avec une voix sûre d'elle-même.
Lorsqu'Eba demandait à Laura, si elle serait tellement mal avec les mensonges, Laura avait du mal à se retenir de rigoler à voix haute. Mal? Elle était pire que ça.

„Ehm... comment peux-je te le dire, sans te faire du mal...“

Laura réflechissait pendant un instant avant de soupir.

„Enfaîte, je dois te dire, que tu es pire que mal... tu es une catastrophe, quand tu essayes de mentir.“

Laura était, une jeune, femme qui n'était pas tombée sur sa bouche, ce qu'on remarquait tout de suite. Après que Laura avait changé de sujet, elle se rendait très vite compte, qu'Eba se calmait.

„Intéressant.“

Laura répondait à Eba, lorsque celle-ci, lui parlait des salles karaoké au Japon. Pendant un instant, Laura essayait de s'imaginer une des salles, mais elle ne le pouvait pas.

„Désolé...mais je n'arrive pas à me l'imaginer, mais ça doit être intéressant en tout cas.“

Rien de plus beau qu'une guitare, sauf le guitariste bien sûr. Une réponse, qui aurait pu être de Laura. Le premier regard de Laura allait aussi toujours vers le guitariste et la guitare et que vers la fin, vers tout le reste d'un groupe.

„Le guitariste...“

Lorsque les deux jeunes femmes, se mettaient à parler des livres, Laura se rendait très vite compte, du problème au niveau du language des deux.

„Ce n'est pas grave.“

Un sourire s'afficha sur les lèvres de Laura.

„Le mien? Enfaîte c'est... je dois réfléchir... je dirais que c'est le dernier tome qui est sortie de Christine Feehan. C'est une, très bonne, écrivaine à mon avis.“

Laura disait à Eba. Le nom du livre, elle ne s'en rappelait pas et elles espérait qu'Eba ne s'en rend pas compte. Quoi? Eba aimait les livres de Steven King?

„Quand tu l'as fini, tu peux me l'emprunter? Moi? Je suis en train de lire le dernier de Christine Feehan.“

Laura répondait en souriant.